ALLIANCE GALACTIQUE

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hypercube

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Message par hypercube »

Mains sur vos poitrines a tous

C'est quand même dingue que les marchand de pillules s'invitent partout , les équipes de
developpeurs pour ces mecs arrivent a fabriquer des moteurs d'incrustes dans les forums
même qui dénoncent l'inconscience de l'écologie de marché ! :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen:

ryjlmg est un automate d'incruste , les bombes dans nos salons :!:


Les youkis de sarkozaille

Richard Gotainer (France)


Le youki a mangé son petit caca !

Odeurs (France)




Un ptit Q.I.
Un gros bunker
C'est la ...
Nouvelle droite

é bour vinir


Le cerveau un botillon !
Modifié en dernier par hypercube le 03 déc. 2010, 00:06, modifié 1 fois.
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Marc
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Message par Marc »

Bonsoir tous les mondes :)

Bonsoir toutes et tous, que l' Energie nous conduise a l' Harmonie ;)
-------------
02.12.10

WikiLeaks : Des bombes à sous-munitions américaines sur le sol britannique

La Grande-Bretagne a autorisé les Etats-Unis à stocker des bombes à sous-munitions sur son sol, alors que Londres a signé un traité interdisant ces armes, selon une note diplomatique américaine obtenue par WikiLeaks et publiée jeudi par le quotidien britannique The Guardian.

Washington qui est opposé à l'interdiction des bombes à sous-munitions (BASM), s'est entendu avec Londres pour que l'armée américaine puisse bénéficier d"une "exemption temporaire" et entreposer ses BASM sur le territoire britannique.

"Le déplacement de bombes à sous-munitions depuis des bateaux à Diego Garcia vers des avions là-bas (...) exigera une exemption temporaire", selon un câble diplomatique.

L'île de Diego Garcia dans l'océan Indien est un territoire britannique de 27 km2, qui abrite l'une des plus importantes bases aéronavales américaines à l'étranger. Elle sert de point d'appui à l'armée américaine pour toute intervention en Asie centrale et dans le Golfe.

La Grande-Bretagne a signé en décembre 2008 le Traité d'Oslo interdisant les bombes à sous-munitions, un fléau dévastateur pour les populations civiles. Les BASM peuvent contenir plusieurs centaines de mini-bombes qui se dispersent sur un vaste périmètre mais n'explosent pas toutes, se muant de facto en mines antipersonnel, des armes interdites par la Convention d'Ottawa de 1997.

L'organisation Handicap International a demandé jeudi dans un communiqué au gouvernement britannique "de clarifier sa position".

"La Grande-Bretagne se trouve dans une situation d'infraction avérée" de deux dispositions du Traité d'Oslo, souligne l'association: ayant ratifié le traité, "elle s'est engagée à ne pas stocker ni faciliter le transit sur son sol d'armes à sous-munitions" et elle doit aussi "promouvoir le Traité auprès des Etats non signataires".

"En novembre 2010, le Royaume-Uni a pourtant déclaré n'avoir plus aucun stock de sous-munitions étrangères sur son territoire", rappelle Handicap International, ce qui "semble être contredit par l'accord passé avec les Etats-Unis".

Selon Handicap International, environ 100.000 personnes, dont 98% de civils, ont été tuées ou mutilées dans l'explosion de sous-munitions à travers le monde depuis 1965. Plus d'un quart des victimes sont des enfants intrigués par les formes et les couleurs de ces bombes.

http://www.lemonde.fr/depeches/2010/12/ ... 71738.html
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Marc
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Message par Marc »

Le Traité d'Oslo: Questions-Réponses

Le traité1 d'interdiction des BASM prévoit des obligations fortes pour les Etats qui le signeront, à la fois en terme d'interdiction mais également en terme de solidarité internationale.



• POURQUOI UN TRAITE D'INTERDICTION ETAIT-IL NECESSAIRE ?
Face aux utilisations massives et de plus en plus systématiques des bombes à sous-munitions dans les conflits, une solution rapide et efficace s'imposait. Seul un Traité d'interdiction des BASM offrait ces 2 aspects. Rapide, car l'agenda des négociations décidé en amont permettait de condenser les discussions sur moins de deux ans avec une obligation de résultats. Efficace, car aucun droit de veto n'était possible. Ainsi, malgré des oppositions farouches, les négociations ont pu avancer sans blocage et aboutir à un traité particulièrement ambitieux. Ce résultat est notamment lié au rôle qu'ont joué les pays pollués, et plus généralement les pays du sud, dans cette arène de débat.

• QUELLES SONT LES OBLIGATIONS POUR LES ETATS SIGNATAIRES ?
- Les Etats n'auront plus le droit de produire, d'utiliser, de transférer et de stocker des BASM (art.1)
- Tous les types de BASM ayant des conséquences humanitaires inacceptables seront bannis.
En d'autres termes, avec ce traité, les tragédies humanitaires engendrées par l'utilisation de cette arme, du Laos au Liban, n'auraient pas eu lieu.
- Les Etats devront détruire leur stock sous 8 ans (art.3)
- Les Etats devront dépolluer les zones affectées (art.4)
. Plus aucun territoire ne pourra rester pollué en toute impunité :
. Les Etats pollués auront 10 ans pour supprimer les sous-munitions de leur territoire.
Chaque année, ils devront rendre publiques les actions conduites pour y parvenir.
. Les Etats signataires auront la responsabilité de pourvoir financièrement et / ou techniquement à la dépollution des zones touchées, avec une responsabilité particulière pour les Etats pollueurs.

• CE QUE LE TRAITE VA CONCRETEMENT CHANGER POUR LES VICTIMES ?
C'est la première fois que les besoins des victimes et de leur communauté sont pris en compte de manière aussi forte : les Etats devront dégager des moyens (financiers, humains) pour aider les victimes et leur entourage. Ils devront rendre des comptes. L'article 5, largement inspiré des recommandations des ONG de terrain comme Handicap International, définit ainsi les obligations des Etats en matière d'assistance aux victimes (collecte de données, soins médicaux, réadaptation physique, soutien psychologique, insertion sociale et économique, lois et politiques publiques sur le handicap). Avec cet article, le Traité d'interdiction des bombes à sous-munitions établit une norme internationale qui représente le standard le plus élevé en matière d'assistance aux victimes.

• QUAND LE TRAITE ENTRERA-T-IL EN VIGUEUR ?
Le Traité d'interdiction entrera en vigueur 6 mois après la 30e ratification. Etant donné que plus de 30 pays ont confirmé leur venue à Oslo et que, pour certains d'entre eux, la ratification peut aller très vite, l'interdiction des BASM pourrait être effective avant fin 2009.

• QUI VA SIGNER LE TRAITE ?
De nombreux Etats ont d'ores et déjà confirmé leur présence à Oslo. Parmi eux, de nombreux pays producteurs et stockeurs comme l'Allemagne, la Grande-Bretagne, ainsi que de nombreux pays pollués.
L'objectif des associations de la CMC pour Oslo est de réunir au moins la moitié des pays de la planète (soit une centaine). Le Traité deviendrait alors immédiatement une norme internationale incontournable.


• LES ETATS-UNIS, LA RUSSIE ET LA CHINE REFUSENT DE SIGNER LE TRAITE. CELA AFFAIBLIT-IL SA PORTEE ?
Le refus de certaines puissances militaires de signer le traité peut sembler compromettre l'efficacité du Traité. Cependant, dans les faits, si ces pays refusent formellement cette contrainte, ils seront, quoiqu'il en soit, quasiment contraints de l'appliquer. Le nombre d'Etats clients de ces gros exportateurs va s'effondrer, et de nombreux Etats Parties refuseront de s'associer à l'utilisation de ces armes. De façon générale, la pression politique des autres Etats sera trop forte, et tout pays utilisateur de BASM sera désormais dénoncé par la communauté internationale.
Ce fut le cas avec l'interdiction des mines antipersonnel : leur utilisation était normalisée il y a 10 ans, aujourd'hui c'est un scandale. Seuls 2 Etats en auraient utilisé en 2008, et plus aucun transfert n'est officiellement recensé.

http://www.sousmunitions.org/grandes-co ... -reponses/
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Marc
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Message par Marc »

18/02/2010

Le traité d’Oslo contre les bombes à sous-munitions va entrer en vigueur

Le traité va devenir contraignant pour les trente pays qui l’ont ratifié, mais les États-Unis, la Chine et la Russie refusent toujours de le signer

Le traité d’Oslo interdisant les bombes à sous-munitions (BASM) entrera en vigueur le 1er août 2010.

Un geste « salué » par le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, pour qui cette avancée « démontre le dégoût collectif du monde pour ces terribles armes », très dangereuses à cause des centaines de mini-bombes qu’elles dispersent à chaque largage et qui n’explosent pas systématiquement.

Environ 440 millions de bombes auraient été dispersées depuis 1965.

Au Laos, au moins 270 millions de mini-bombes non explosées

Depuis la conférence d’Oslo, 104 pays ont signé le texte et 30 l’ont ratifié. Mais les plus gros producteurs de ce type d’armes, à savoir la Russie, la Chine et les États-Unis, ne l’ont pas signé. Ces derniers, qui en stockeraient à eux seuls 700 à 800 millions, avancent que renoncer à ces armes pourrait mettre en danger la vie de leurs soldats et de leurs alliés. Ils affirment d'autre part qu’elles entraîneraient moins de dommages collatéraux que des bombes de taille plus importante.

À partir du 1er août 2010, les 30 États ayant ratifié le traité auront obligation de respecter leurs engagements. Ils devront cesser immédiatement toute utilisation, toute production et tout transfert de BASM, tandis que les délais de huit ans pour la destruction de leurs stocks et de dix ans pour la dépollution de leur territoire commenceront à courir.

Le Comité international de la Croix-Rouge estime que, pour le seul Laos, l’un des pays les plus touchés avec le Vietnam et le Cambodge, il reste au moins 270 millions de ces mini-bombes non explosées. Tous les pays devront également dégager les moyens financiers et techniques nécessaires pour venir en aide aux victimes survivantes et aux communautés affectées.

Les enfants représentent un tiers des victimes

Les enfants, qui confondent parfois ces engins explosifs avec des rations alimentaires ou des jouets, constituent près du tiers des victimes, à 98 % civiles.

Si les ONG voient dans cette entrée en vigueur un signe très positif, elles soulignent toutefois la nécessité de rester mobilisé : « Soixante-quatorze États signataires du traité d’Oslo ne l’ont pas encore ratifié, rappelle Marion Libertucci, responsable du Plaidoyer contre les mines et les BASM pour Handicap International. Nous les appelons à le faire au plus vite afin de confirmer leur engagement. »

Quant à la position des États non signataires, elle n’est, selon elle, « plus tenable à la fois militairement et diplomatiquement ». La première réunion des 30 États ayant ratifié le traité se tiendra au Laos en novembre 2010. L’occasion pour les ONG de vérifier « si les États ont bien pris toutes les dispositions pour respecter leurs engagements ».

Élisabeth PINEAU

(1) Les signataires du traité d’Oslo sont : Albanie, Allemagne, Autriche, Belgique, Burkina Faso, Burundi, Croatie, Danemark, Espagne, France, Irlande, Japon, Laos, Luxembourg, Macédoine, Malawi, Malte, Mexique, Moldavie, Monténégro, Nicaragua, Niger, Norvège, Nouvelle-Zélande, République de Saint-Marin, Saint-Siège, Sierra Leone, Slovénie, Uruguay, Zambie.

http://www.la-croix.com/article/index.j ... rubId=4077
hypercube

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Message par hypercube »

trop bien la "tout va bien"

BRRRRR !!!! :shock:
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Marc
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Message par Marc »

Samedi, juillet 31st, 2010

Traité d’Oslo : La fin des armes à sous-munitions

Le 1er août sera désormais une date à retenir dans le domaine du désarmement international et du droit humanitaire. Ce jour marque l’entrée en vigueur du Traité d’Oslo interdisant l’utilisation des bombes à sous-munitions (BASM). Une victoire pour les ONG et les populations civiles

Traité d’Oslo : La Convention internationale visant à interdire la production, l’utilisation, le stockage, le commerce et le transfert des bombes à sous-munitions (BASM) entre en vigueur le 1er août 2010, soit six mois après que le trentième Etat est ratifié cette Convention (adoptée en Oslo en décembre 2008). À ce jour 107 états ont signé ce traité et 35 l’ont ratifié.

France : La France a été le 20ème État à ratifier cette Convention, le 25 septembre 2009. La loi n° 2010-819 du 20 juillet 2010 tendant à l’élimination des armes à sous-munitions a été publiée au Journal Officiel du 21 juillet 2010 et fait de la France un des tout premier pays à avoir mis en œuvre le Traité d’Oslo.

Les autres : Evidemment, de nombreux pays manquent à l’appel dont les plus grandes puissances militaires comme les Etats-Unis, la Chine, Israël, la Russie. La victoire de la société civile ne pourra être complète que lorsque que ce traité deviendra universel. Cependant, comme dans le cas de nombreux traités, les Etats non-signataires, se voient dans la quasi-obligation de ne pas utiliser, lors de leurs interventions armées, ce type d’armes. La société civile n’hésite pas en effet à « faire feu » sur les Etats qui tentent d’utiliser des BASM. Amnesty international a ainsi dénoncé fortement l’utilisation d’un missile américain au Yémen en décembre 2009.

Handicap International : Il est évident que sans la lutte, l’action et l’acharnement de la société civile, jamais les Etats n’auraient acceptés d’éliminer ce type d’armes. Handicap International, après sa victoire sur les mines antipersonnel en 1997 a décidé de se mobiliser sur les BASM – à ce titre, j’ai réalisé deux expertises pour cette organisation en 2003 et en 2008 - avec de multiples autres organisations (Human Rights Watch, CICR, Amnesty…) en fondant le 13 novembre 2003 la Cluster munition Coalition (CMC). « Nous avons mis cinq ans à interdire les mines antipersonnel. Cinq ans ont aussi été nécessaires pour que le traité d’interdiction des BASM soit signé en 2008. C’est la première fois dans l’Histoire que des armes conventionnelles sont interdites grâce à la pression exercée par la société civile » a déclaré Jean-Marc Boivin, Directeur général de Handicap International.

La conférence de Vientiane (Laos) : Du 8 au 12 novembre, la première conférence des Etats parties au Traité d’Oslo va se tenir au Laos ; un pays pollué par plus de 260 millions de sous-munitions déversées pendant la guerre du Vietnam de 1965 à 1975.

http://alternatives-economiques.fr/blog ... munitions/


Les instigateurs des largages jusqu'aux auteurs finaux auront a répondre de leurs actes, peut-être jusqu'à la dernière munition détruite. Ces consciences risquent d'avoir longtemps a attendre, dans des conditions morales a hauteur des conséquences.

La justification d'une activité professionnelle militaire risque aussi d'être un argument sans valeur a l'examen auquel la conscience sera confrontée.

Ne vous méprenez pas en pensant que vous lisez un original de plus, la permanence de la conscience est constatée, puis confirmée oralement autant que de forme télépathique par des personnes vraiment pas de chez nous.
Fichiers joints
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AJA
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Message par AJA »

au nom de l'énergie j'appose ma main sur l'honorable poitrine des dignes représentants de la confrérie '(*_*)' main droite sur le cœur

bonjour toutes et tous , ma main sur vos humbles poitrines sœurs et frères en l'esprit '(*_*)' main droite sur le cœur
que la paix et l"énergie nous conduisent a l'harmonie

___________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________

il est attristant de constater que des décisions aussi graves que la paix et la vie de son prochain , sont assujettis a des enjeux électoraux de la part d'un homme qui est le premier a parler de valeurs universelles, qui sont rappelons le la fraternité et l'altruisme


WikiLeaks : l'électoralisme et les choix sarkozystes pour l'Afghanistan

LEMONDE | 02.12.10 | 22h31

La France restera engagée en Afghanistan "jusqu'à la fin", déclare en janvier 2010 Bernard Kouchner, alors ministre des affaires étrangères, recevant à Paris le secrétaire américain à la défense, Robert Gates. Les documents obtenus par WikiLeaks et consultés par Le Monde montrent que ce message a été constamment envoyé aux Américains : la France sera en Afghanistan un allié sur la longue durée.

Mais ils montrent aussi à quel point des considérations d'ordre électoral, et le souci de ménager l'opinion publique française, ont pesé sur l'approche de Nicolas Sarkozy. Préoccupé par l'impopularité de cette guerre, l'Elysée incite Washington à multiplier les déclarations publiques assurant que les alliés européens sont bel et bien consultés sur la stratégie d'ensemble.

C'est notamment le cas en 2008, alors que M. Sarkozy a décidé d'envoyer environ 1 000 soldats supplémentaires (le contingent est aujourd'hui officiellement de 3 750 hommes). "Tous les officiels français ont demandé que les Etats-Unis aident à convaincre l'opinion publique" que "les alliés ont une influence sur la stratégie civile et militaire", écrit l'ambassade américaine le 28 octobre.

MÉNAGER CEUX QUI ONT CRITIQUÉ LE RETOUR DANS L'OTAN

La demande devient plus pressante encore après la mort de dix soldats français tombés dans une embuscade dans la vallée d'Ouzbine, en août 2008, qui provoque une onde de choc. Les télégrammes ne dévoilent pas les dessous de ce drame, mais mentionnent une livraison en urgence de "50 postes de radios supplémentaires " américains aux troupes françaises.

A l'automne 2009, l'administration Obama demande aux alliés de nouvelles contributions de troupes. M. Sarkozy répond par la négative. "Pas un seul soldat combattant" de plus, dit-il à la télévision. Les conseillers de l'Elysée expliquent à leurs interlocuteurs américains que M. Sarkozy doit ménager ceux qui, "au sein de son camp politique, ont critiqué le retour de la France dans l'OTAN", en avril 2009. La perspective des élections régionales de mars 2010 pèse beaucoup, ajoutent-ils. Les documents américains évoquent aussi "les ressources financières limitées" de la France.

Les responsables américains espèrent néanmoins que M. Sarkozy changera d'avis. Le chef d'état-major de l'armée française, Jean-Louis Georgelin, discute à Paris d'un scénario d'accroissement du contingent français avec son homologue américain, Mike Mullen.

"LA FLATTERIE MÈNERA TRÈS LOIN"

M. Sarkozy "a été jusqu'à récemment un vrai atlantiste", mais "il cherche actuellement à se distancer des Etats-Unis et à améliorer sa popularité", dit le général Georgelin, selon un document daté du 25 novembre. Un appel téléphonique de Barack Obama au président français pourrait selon lui avoir un impact décisif : "Le président Obama doit faire la demande maintenant (…). Il doit parler au président Sarkozy et, dans ce cas, la flatterie mènera très loin."L'amiral Mullen demande 2 000 soldats supplémentaires à la France (et non 1 500, comme le disaient des médias à l'époque). En entendant ce nombre, "les Français ont ri nerveusement", écrit un diplomate américain. "Le général Georgelin a répondu que le nombre discuté au sein de l'état-major français avait été d'environ 1 500. C'est un nombre important pour les Français, mais il est envisageable, étant donné la taille des forces françaises et la réduction de leur présence outre-mer", ajoute le document.

M. Sarkozy a, en tout cas, campé sur sa position. En janvier 2010, alors que plusieurs pays européens annoncent des renforts pour l'Afghanistan, l'Elysée s'en tient à la seule décision d'envoyer plus d'instructeurs pour l'armée afghane.
http://www.lemonde.fr/documents-wikilea ... id=1446739
Image

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WikiLeaks.org abandonné par son fournisseur de nom de domaine
Ne cherchez plus WikiLeaks.org. Après avoir été abandonné par son hébergeur Amazon.com, c'est son fournisseur de noms de domaine américain qui le laisse tomber. EveryDNS, filiale de Dynamic Network Services, a annoncé dans la nuit de jeudi avoir été la cible de nombreuses attaques par déni de service qui ont menacé la stabilité de ses infrastructures. Résultat, vendredi matin, le site est inaccessible à son nom de domaine habituel. Le compte Twitter de WikiLeaks a annoncé que le site est disponible sur l'adresse suisse wikileaks.ch, mais la connexion est lente. Il est possible d'accéder plus rapidement à WikiLeaks en utilisant son adresse IP, http://46.59.1.2/

Tous ces rebondissements ne devraient pas prendre fin avec la décision d'EveryDNS : vendredi, Eric Besson, ministre de l'économie numérique, a demandé à ce que les serveurs de WikiLeaks, qui contiennent notamment les câbles diplomatiques, ne soient plus hébergés en France. Depuis hier, la société roubaisienne OVH assure l'hébergement de WikiLeaks, après que Amazon.com a décidé de ne plus assurer ce service.

DÉCISION RARE

EveryDNS est le principal fournisseur gratuit de noms de domaine, avec la gestion de 500 000 noms de domaine. En comparaison, le premier fournisseur payant de noms de domaine, Go Daddy, en gère 44 millions. Tout comme Amazon, qui a arrêté d'héberger cette semaine les serveurs de WikiLeaks, Every DNS est d'origine américaine.

Un fournisseur de noms de domaine permet de faire le lien entre l'adresse IP d'un site Internet, qui se compose d'une série de chiffres compréhensibles par le navigateur Internet, et le nom "usuel" du site. Ainsi, quand un internaute tape http://www.wikileaks.org, le navigateur doit en réalité se rendre à l'adresse IP 46.59.1.2. En supprimant le nom de domaine, EveryDNS brise ce lien. Tout internaute qui saisit l'adresse habituelle de WikiLeaks tombe sur une page d'erreur, son navigateur ne comprenant pas où il doit se rendre. La décision d'un fournisseur de supprimer le nom de domaine d'un client est rare.

"MENACE SUR LA STABILITÉ DE L'INFRASTRUCTURE"

"Nous avons interrompu notre service [auprès de wikileaks.org] pour violation de la mention selon laquelle 'un membre ne doit pas interférer avec la possibilité d'un autre membre ou d'une autre entité de profiter de nos services'", explique EveryDNS sur sa page d'accueil. "Ces interférences viennent du fait que wikileaks.org est devenu la cible de nombreuses attaques par déni de service. Ces attaques ont, et vont, menacer la stabilité de l'infrastructure de EveryDNS.net, qui permet l'accès à près de 500 000 autres sites."

Une attaque par déni de service, aussi appelée DoS, vise à rendre indisponible un site sur Internet. La technique employée pour bloquer l'accès à WikiLeaks est connue sur sous le terme de déni de service distribué, ou DDoS. Elle consiste à bombarder les serveurs du site visé en ordonnant à un grand nombre d'ordinateurs, le plus souvent piratés à l'insu de leurs propriétaires, d'y envoyer des requêtes simultanément. Le serveur, totalement saturé, est incapable de répondre aux requêtes, finit par tomber, et le site Internet devient inaccessible.

Pour l'avocat londonien du site, Me Mark Stephens, un acteur étatique est "probablement" à l'origine des cyber-attaques de ces derniers jours contre le site Internet WikiLeaks. Selon lui, les tentatives "sophistiquées" pour mettre hors service le site font partie d'un plan plus général visant à réduire au silence son fondateur Julian Assange. Ces "millions de requêtes fantômes par seconde" finissent par mettre le site en panne, a-t-il expliqué vendredi.

AMAZON JUSTIFIE SA DÉCISION

Plus tôt dans la semaine, Amazon avait annoncé qu'il cessait d'héberger les serveurs de WikiLeaks, qui contiennent toutes les informations du site. L'organisation avait migré sur les serveurs du site marchand américain après qu'il eut subi de nombreuses attaques par déni de service sur ses serveurs suédois. Depuis, les serveurs seraient hébergés en Suède et en France.

Amazon a justifié aujourd'hui sur son blog sa décision de ne plus héberger WikiLeaks. Le site marchand réfute les accusations de pression politique – il avait reçu la visite de la commission sénatoriale de la sécurité intérieure, présidée par Joe Lieberman –, mais pointe les violations de ses conditions de service par WikiLeaks.

Ces dernières "stipulent que 'vous déclarez et garantissez que vous possédez ou alors contrôlez tous les droits sur les contenus (...), que l'utilisation du contenu que vous fournissez ne viole pas cette politique et ne causera aucun dommage à aucune personne ou entité'. Il est évident que Wikileaks ne possède ou ne contrôle pas tous les droits sur ce contenu classifié".

Amazon affirme également que les documents de WikiLeaks ont été publiés "sans s'assurer que cela ne portera pas préjudice à des tiers", estimant qu'il est impossible que "l'extraordinaire volume" des données puisse "avoir été soigneusement expurgé pour ne pas mettre des personnes innocentes en danger".

Selon Numerama, bien que les hébergeurs mettent tous dans leurs conditions de services des clauses dont le non-respect peut mener à la fin du contrat, il est rare qu'ils décident d'eux-mêmes de ne plus héberger un site. La décision est généralement laissée à la justice, afin de préserver leur neutralité.
http://www.lemonde.fr/international/art ... id=1446739
la création est une symphonie dont nous sommes les musiciens , mais que signifie-t-elle sans son compositeur source de toute Vie ?
hypercube

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Message par hypercube »

Asian dub foundation (ioukaille)


Tourbo :geek:
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AJA
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Message par AJA »

L'hébergement de WikiLeaks en France menacé

LEMONDE.FR avec AFP
Eric Besson et les services de l'Etat peuvent-ils faire interdire l'hébergement de WikiLeaks par la société roubaisienne OVH ? "C'est au juge d'en décider", répond en susbtance Octave Klaba, fondateur d'OVH, dans un message sur les forums de sa société. Il annonce également qu'OVH va saisir le juge des référés "afin qu'il se prononce sur la légalité ou pas de ce site sur le territoire français (...) compte tenu de pressions qui commencent réellement à se sentir, même ici à Roubaix Valley".

Plus tôt dans la journée, Eric Besson, ministre de l'économie numérique, avait demandé aux autorités compétentes "quelles actions peuvent être entreprises afin que ce site Internet ne soit plus hébergé en France". Eric Besson justifie cette décision en indiquant que le site a "violé" le secret diplomatique en publiant, depuis le 28 novembre, des centaines de documents confidentiels américains en collaboration avec Le Monde et d'autres grands titres de la presse mondiale.

"Cette situation n'est pas acceptable. La France ne peut héberger des sites Internet qui violent ainsi le secret des relations diplomatiques et mettent en danger des personnes protégées par le secret diplomatique", affirme le ministre dans sa lettre (.pdf) au Conseil général de l'industrie, de l'énergie et des technologies, un vivier d'ingénieurs des mines et des télécoms à la disposition du gouvernement pour répondre à des questions relevant de leur domaine de compétence.

"On ne peut héberger des sites Internet qualifiés de criminels et rejetés par d'autres Etats en raison d'atteintes qu'ils portent à leurs droits fondamentaux, écrit Eric Besson. Je vous demande de bien vouloir m'indiquer dans les meilleurs délais possibles quelles actions peuvent êtres entreprises afin que ce site Internet ne soit plus hébergé en France et que tous les opérateurs ayant participé à son hébergement puissent être dans un premier temps sensibilisés aux conséquences de leurs actes, et dans un deuxième temps placés devant leurs responsabilités."

OVH ESTIME ÊTRE PRESTATAIRE TECHNIQUE

"Ce n'est pas au monde politique ni à OVH de demander ou de décider la fermeture ou pas d'un site, mais à la justice, estime Octave Klaba, fondateur d'OVH. C'est comme ça que ça doit marcher dans un pays de droit." La société a saisi le juge des référés pour qu'il statue sur la légalité de la présence du site en France, et espère sa réponse d'ici à "ce soir ou demain. Et OVH appliquera sa décision immédiatement."

Le PDG affirme avoir découvert dans la presse que son entreprise hébergeait WikiLeaks. En effet, "le système [pour commander un serveur] est totalement automatique et fonctionne 24 heures sur 24". "OVH est une entreprise qui fournit les infrastructures, le fameux cloud computing disponible en quelques heures, et notre rôle est d'assurer cette prestation technique. C'est tout." Octave Klaba estime également que "juridiquement parlant", OVH n'est pas hébergeur de WikiLeaks mais "prestataire technique de la solution technique que le client a commandé".

HÉBERGEMENT EN FRANCE, EN SUÈDE ET AUX ÉTATS-UNIS

OVH n'héberge pas la totalité des serveurs de WikiLeaks. D'après ZDNet, ces derniers se partageraient entre la France, la Suède et les Etats-Unis. Plus précisément, la société suédoise Bahnhof a confirmé à ZDNet qu'elle hébergeait deux serveurs de WikiLeaks. "Nous leur fournissons uniquement des ressources et n'avons aucun contrôle sur leur contenu ou la façon dont ils gèrent leur trafic", a précisé la porte-parole de l'hébergeur. Toujours selon le site spécialisé, Banhnof héberge la page collateralmurder.com, qui contient la vidéo d'un hélicoptère de l'armée américaine tirant sur des civils irakiens.

OVH héberge, quant à lui, les pages wikileaks.ch et cablegate.wikileaks.org, qui contient les fameux câbles diplomatiques. Les pages des War Logs d'Irak et d'Afghanistan seraient hébergées aux Etats-Unis par le Massachusetts Institute of Technology (MIT), selon ZDNet, qui n'a pas encore pu avoir confirmation officielle de la part de celui-ci. Les pages en question sont actuellement sous le coup d'une cyberattaque.
http://www.lemonde.fr/technologies/arti ... 51865.html

LA VÉRITÉ DÉRANGE C'EST BIEN CONNUS , MONSIEUR BESSON LES MANIPULATIONS DE GENS COMME VOUS ,SONT LE FAIT DE CRIMINELS NOTOIRES TANT ET SI BIEN QUE RIEN QUE LE FAIT DE PARTICIPER OU PROCRÉER DANS VOTRE SYSTÈME NOUS REND COMPLICES DE VOS CRIMES , METTRE EN LUMIÈRE VOS EXACTIONS UNIVERSELLES C'EST RELATER VOTRE VÉRITABLE PERSONNALITÉ MANIPULATRICE ET VOUÉE A D'AUTRES INTÉRÊTS QUE LA PAIX LE RESPECT DE NOTRE PLANÈTE , ET DES DIFFÉRENCES QUI FONT LA RICHESSE DE NOTRE MONDE
la création est une symphonie dont nous sommes les musiciens , mais que signifie-t-elle sans son compositeur source de toute Vie ?
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AJA
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Message par AJA »

En marche !

1. Et, voyant les foules, il monte sur la montagne et s’assoit là.
Ses adeptes s’approchent de lui.
2. Il ouvre la bouche, les enseigne et dit:
3. « En marche, les humiliés du souffle ! Oui, le royaume des ciels est à eux !
4. En marche, les endeuillés ! Oui, ils seront réconfortés !
5. En marche, les humbles ! Oui, ils hériteront la terre !
6. En marche, les affamés et les assoiffés de justice ! Oui, ils seront rassasiés !
7. En marche, les matriciels ! Oui, ils seront matriciés !
8. En marche, les coeurs purs ! Oui, ils verront Elohîms !
9. En marche, les faiseurs de paix ! Oui, ils seront criés fils d’Elohîms.
10. En marche, les persécutés à cause de la justice !
Oui, le royaume des ciels est à eux !
11. En marche, quand ils vous outragent et vous persécutent,
en mentant vous accusent de tout crime, à cause de moi.
12. Jubilez, exultez ! Votre salaire est grand aux ciels !
Oui, ainsi ont-ils persécuté les inspirés, ceux d’avant vous

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la création est une symphonie dont nous sommes les musiciens , mais que signifie-t-elle sans son compositeur source de toute Vie ?
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