ALLIANCE GALACTIQUE
Modérateur : Admin
Re: ALLIANCE GALACTIQUE
la création est une symphonie dont nous sommes les musiciens , mais que signifie-t-elle sans son compositeur source de toute Vie ?
Re: ALLIANCE GALACTIQUE
20/11/2010
Médiator: "scandale insupportable"
...] "scandale insupportable" l'affaire du Médiator, un antidiabétique des laboratoires Servier accusé d'avoir causé quelque 500 décès en 33 ans.
"C'est un scandale insupportable qui met en cause les liens entre les laboratoires pharmaceutiques et les agences publiques du médicament"
"Comment une famille de molécules interdites mondialement, à la fin du siècle dernier, pouvait-elle se retrouver dans ce médicament, dont l'interdiction n'a été prononcée que l'année dernière?".
cette affaire "est la preuve que la santé et la vie de la population sont incompatibles avec les intérêts privés". "L'expropriation des laboratoires et la création d'une industrie publique, disposant de fonds publics, travaillant en lien étroit avec les usagers, démocratiquement organisés, est une nécessité de santé publique"
.http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/ ... le-npa.php
Médiator: "scandale insupportable"
...] "scandale insupportable" l'affaire du Médiator, un antidiabétique des laboratoires Servier accusé d'avoir causé quelque 500 décès en 33 ans.
"C'est un scandale insupportable qui met en cause les liens entre les laboratoires pharmaceutiques et les agences publiques du médicament"
"Comment une famille de molécules interdites mondialement, à la fin du siècle dernier, pouvait-elle se retrouver dans ce médicament, dont l'interdiction n'a été prononcée que l'année dernière?".
cette affaire "est la preuve que la santé et la vie de la population sont incompatibles avec les intérêts privés". "L'expropriation des laboratoires et la création d'une industrie publique, disposant de fonds publics, travaillant en lien étroit avec les usagers, démocratiquement organisés, est une nécessité de santé publique"
.http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/ ... le-npa.php
- Fichiers joints
-
- argent_021.gif (16.37 Kio) Vu 4011 fois
-
- docteur-seringue.gif (8.13 Kio) Vu 4011 fois
Re: ALLIANCE GALACTIQUE
Mercredi 20 octobre 2010
Ces multinationales européennes qui pillent les ressources des pays du Sud
“Toutes les cinq secondes, c’est l’équivalent du poids d’une Tour Eiffel de ressources naturelles qui est prélevé des écosystèmes et des mines.” C’est à partir de ce constat alarmant que des associations écologistes et de solidarité internationale, des syndicats et des chercheurs, coordonnés par le Centre de recherche et d’information pour le développement (Crid), lancent, ce samedi, la campagne “Une seule planète” pour une gestion durable et équitable des ressources naturelles.
Car les pays riches ne se contentent pas de consommer dix fois plus de ressources par habitant que les pays pauvres. Cette consommation, d’eau, de minerais, de pétrole ou de produits agricoles, se fait aussi au prix de dégradations environnementales et de violations des droits humains, générées par les multinationales qui (sur)exploitent ces ressources. Des entreprises qui ne sont jamais tenues légalement responsables des conséquences de leurs activités, en raison de leur poids économique et politique et de l’attentisme des gouvernements et des populations. Sylvain Angerand, chargé de campagne forêts et ressources naturelles aux Amis de la Terre, livre cinq exemples de “scandales environnementaux et sociaux”.
* Eramet en Indonésie
Ce groupe minier français prépare l’exploitation du gisement de nickel de Weda Bay, au cœur de l’île d’Halmahera. Ce gisement est situé sous une forêt primaire théoriquement protégée mais qui a été déclassée en 2004 sous la pression des industriels. L’enjeu économique est en effet de taille puisqu’il représente potentiellement le deuxième gisement au monde, avec 4 millions de tonnes de nickel potentiellement exploitables. Cette exploitation menace l’équilibre environnemental de l’île et le mode de vie des communautés autochtones et des populations locales.
* Michelin au Nigeria
Pour fabriquer le caoutchouc nécessaire aux pneus, l’entreprise française exploite des plantations d’hévéas, via une filiale, la société internationale de plantations d’hévéas. Au Nigeria, cette culture, d’une superficie d’environ 3 000 ha, s’est traduite par la destruction de forêts primaires dans l’état d’Edo, au sud du pays, et la dépossession de leurs terrains des populations locales. Or, 20 000 personnes vivent dans cette zone, dont 80 % sont dépendantes de la forêt pour subvenir à leurs besoins.
* Tereos au Mozambique
Cette coopérative sucrière cultive près de 100 000 ha, dont 15 000 de canne à sucre, au Mozambique, qui viennent s’ajouter aux productions en provenance de sa filiale au Brésil. Comme tous les agrocarburants, ces plantations génèrent des conflits en occupant des surfaces agricoles utilisées par les populations locales pour se nourrir, dans un pays où la faim reste un défi majeur. Elles entraînent par ailleurs des phénomènes de déforestation en déplaçant les paysans sans terre vers des zones forestières qu’ils vont défricher.
* GDF-Suez au Brésil
L’entreprise est impliquée dans le financement de deux mega-barrages, San Antônio et Jirau, sur la rivière Madeira en Amazonie brésilienne. Ces projets vont déplacer des milliers d’autochtones et détruire les forêts où vivent plusieurs peuples d’Indiens. La venue d’industriels dans ces zones retranchées peut aussi entraîner la propagation de maladies, comme la grippe ou la rougeole, contre lesquelles les Indiens sont peu immunisés.
* Total au Venezuela
Le pétrolier français exploite, dans des mines à ciel ouvert ou des gisements souterrains, au Venezuela, à Madagascar et au Canada, des huiles extra-lourdes et des sables bitumineux, c’est-à-dire des résidus de pétrole qui ont migré dans les roches superficielles et qui prennent la forme d’un bitume très visqueux et lourd. Leur exploitation, très coûteuse, a été lancée depuis quelques années en raison de l’augmentation des cours du pétrole. Total s’est donné pour objectif de produire, à l’horizon 2020, 200 000 barils de ce pétrole par jour, soit 9 % de sa production actuelle. Or, l’extraction de ces hydrocarbures, qui contiennent des métaux lourds comme de l’uranium, du nickel ou du cadmium, entraîne des pollutions des sols, de l’air et des nappes phréatique, détruit des forêts et requiert des ressources considérables en électricité, eau, carburant. Au total, de son extraction à sa consommation, ce pétrole émet cinq fois plus de gaz à effet de serre que le pétrole conventionnel.
“Aujourd’hui, toutes les ressources facilement exploitables ont déjà été exploitées, conclut Sylvain Angerand. En repoussant toujours nos limites, nous nous rendons dans des zones fragiles, où nous exacerbons les conflits et tensions politiques et où nous provoquons des désastres écologiques et sociaux.”
Au-delà de la simple pression sur les multinationales pour limiter cette surexploitation des ressources du Sud, l’action réside aussi à notre niveau. Elle se résume finalement en une idée, que nous connaissons tous même si nous nous refusons souvent à l’appliquer : réduire notre consommation. Les solutions sont nombreuses pour y parvenir : renforcer les transports publics, relocaliser l’économie, augmenter la durée de vie des produits encore proposer davantage de services. “La réorganisation de la société sera longue à mettre en place. Par contre, des mesures politiques, notamment au niveau européen, peuvent être d’ores et déjà prises pour agir dans le sens d’une moindre consommation et pour mettre fin à cette schizophrénie des gouvernements entre objectifs économiques et environnementaux”, ajoute-t-il.
http://ecologie.blog.lemonde.fr/2010/10 ... ys-du-sud/
Vivre tous simplement pour que tous puissent simplement vivre. Gandhi
Ces multinationales européennes qui pillent les ressources des pays du Sud
“Toutes les cinq secondes, c’est l’équivalent du poids d’une Tour Eiffel de ressources naturelles qui est prélevé des écosystèmes et des mines.” C’est à partir de ce constat alarmant que des associations écologistes et de solidarité internationale, des syndicats et des chercheurs, coordonnés par le Centre de recherche et d’information pour le développement (Crid), lancent, ce samedi, la campagne “Une seule planète” pour une gestion durable et équitable des ressources naturelles.
Car les pays riches ne se contentent pas de consommer dix fois plus de ressources par habitant que les pays pauvres. Cette consommation, d’eau, de minerais, de pétrole ou de produits agricoles, se fait aussi au prix de dégradations environnementales et de violations des droits humains, générées par les multinationales qui (sur)exploitent ces ressources. Des entreprises qui ne sont jamais tenues légalement responsables des conséquences de leurs activités, en raison de leur poids économique et politique et de l’attentisme des gouvernements et des populations. Sylvain Angerand, chargé de campagne forêts et ressources naturelles aux Amis de la Terre, livre cinq exemples de “scandales environnementaux et sociaux”.
* Eramet en Indonésie
Ce groupe minier français prépare l’exploitation du gisement de nickel de Weda Bay, au cœur de l’île d’Halmahera. Ce gisement est situé sous une forêt primaire théoriquement protégée mais qui a été déclassée en 2004 sous la pression des industriels. L’enjeu économique est en effet de taille puisqu’il représente potentiellement le deuxième gisement au monde, avec 4 millions de tonnes de nickel potentiellement exploitables. Cette exploitation menace l’équilibre environnemental de l’île et le mode de vie des communautés autochtones et des populations locales.
* Michelin au Nigeria
Pour fabriquer le caoutchouc nécessaire aux pneus, l’entreprise française exploite des plantations d’hévéas, via une filiale, la société internationale de plantations d’hévéas. Au Nigeria, cette culture, d’une superficie d’environ 3 000 ha, s’est traduite par la destruction de forêts primaires dans l’état d’Edo, au sud du pays, et la dépossession de leurs terrains des populations locales. Or, 20 000 personnes vivent dans cette zone, dont 80 % sont dépendantes de la forêt pour subvenir à leurs besoins.
* Tereos au Mozambique
Cette coopérative sucrière cultive près de 100 000 ha, dont 15 000 de canne à sucre, au Mozambique, qui viennent s’ajouter aux productions en provenance de sa filiale au Brésil. Comme tous les agrocarburants, ces plantations génèrent des conflits en occupant des surfaces agricoles utilisées par les populations locales pour se nourrir, dans un pays où la faim reste un défi majeur. Elles entraînent par ailleurs des phénomènes de déforestation en déplaçant les paysans sans terre vers des zones forestières qu’ils vont défricher.
* GDF-Suez au Brésil
L’entreprise est impliquée dans le financement de deux mega-barrages, San Antônio et Jirau, sur la rivière Madeira en Amazonie brésilienne. Ces projets vont déplacer des milliers d’autochtones et détruire les forêts où vivent plusieurs peuples d’Indiens. La venue d’industriels dans ces zones retranchées peut aussi entraîner la propagation de maladies, comme la grippe ou la rougeole, contre lesquelles les Indiens sont peu immunisés.
* Total au Venezuela
Le pétrolier français exploite, dans des mines à ciel ouvert ou des gisements souterrains, au Venezuela, à Madagascar et au Canada, des huiles extra-lourdes et des sables bitumineux, c’est-à-dire des résidus de pétrole qui ont migré dans les roches superficielles et qui prennent la forme d’un bitume très visqueux et lourd. Leur exploitation, très coûteuse, a été lancée depuis quelques années en raison de l’augmentation des cours du pétrole. Total s’est donné pour objectif de produire, à l’horizon 2020, 200 000 barils de ce pétrole par jour, soit 9 % de sa production actuelle. Or, l’extraction de ces hydrocarbures, qui contiennent des métaux lourds comme de l’uranium, du nickel ou du cadmium, entraîne des pollutions des sols, de l’air et des nappes phréatique, détruit des forêts et requiert des ressources considérables en électricité, eau, carburant. Au total, de son extraction à sa consommation, ce pétrole émet cinq fois plus de gaz à effet de serre que le pétrole conventionnel.
“Aujourd’hui, toutes les ressources facilement exploitables ont déjà été exploitées, conclut Sylvain Angerand. En repoussant toujours nos limites, nous nous rendons dans des zones fragiles, où nous exacerbons les conflits et tensions politiques et où nous provoquons des désastres écologiques et sociaux.”
Au-delà de la simple pression sur les multinationales pour limiter cette surexploitation des ressources du Sud, l’action réside aussi à notre niveau. Elle se résume finalement en une idée, que nous connaissons tous même si nous nous refusons souvent à l’appliquer : réduire notre consommation. Les solutions sont nombreuses pour y parvenir : renforcer les transports publics, relocaliser l’économie, augmenter la durée de vie des produits encore proposer davantage de services. “La réorganisation de la société sera longue à mettre en place. Par contre, des mesures politiques, notamment au niveau européen, peuvent être d’ores et déjà prises pour agir dans le sens d’une moindre consommation et pour mettre fin à cette schizophrénie des gouvernements entre objectifs économiques et environnementaux”, ajoute-t-il.
http://ecologie.blog.lemonde.fr/2010/10 ... ys-du-sud/
Vivre tous simplement pour que tous puissent simplement vivre. Gandhi
- Fichiers joints
-
- mine-de-nickel-halmahera.1287570972.jpg (61.09 Kio) Vu 4000 fois
-
- crise-alimentaire-mondiale.jpeg (37.88 Kio) Vu 3998 fois
-
- arton12019-5c841.jpg (22.42 Kio) Vu 4003 fois
Re: ALLIANCE GALACTIQUE
Après la douce soirée, la douce nuit Gaga...
Re: ALLIANCE GALACTIQUE
la création est une symphonie dont nous sommes les musiciens , mais que signifie-t-elle sans son compositeur source de toute Vie ?
Re: ALLIANCE GALACTIQUE
la création est une symphonie dont nous sommes les musiciens , mais que signifie-t-elle sans son compositeur source de toute Vie ?
Re: ALLIANCE GALACTIQUE
au nom de l"énergie j'appose ma main sur la poitrine des dignes représentants de l'alliance '(*_*)' main droite sur le cœur
bonjour toutes et tous , ma main sur vos honorables poitrines sœurs et frères en l'esprit '(*_*)' main droite sur le cœur
_____________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________
ces médicaments qui tuent l'esprit , il est désolant de constater que dans notre monde , au lieu de rechercher les véritables causes , d'anxiété ou de dépression qui sont le plus souvent dues a notre comportement en dehors des véritables valeurs , on endort l'esprit, la ou devrait avoir lieu une remise en question de notre parcours , l'esprit est alors assujettit a des concepts erronés faisant de nous des robots plus que de véritables acteurs responsables
Le 21 novembre 2010 à 12h10
Médicament au volant, mort au tournant !
D'après l'étude la plus importante jamais réalisée, certains médicaments comme les anxiolytiques augmenteraient les risques d’accidents de la route responsables. Le remède : suivre les messages indiqués par les pictogrammes présents sur les boîtes de médicaments.
Une équipe française est enfin parvenue à quantifier avec précision la part des accidents de la route imputables à la consommation de médicaments. Ils seraient à l’origine de 3 % des accidents corporels enregistrés chaque année.
Afssaps, Assurance-maladie, Inrets et Inserm ont uni leurs moyens pour mener l’étude la plus importante jamais réalisée sur ce sujet. Plus de 70.000 conducteurs impliqués dans un accident corporel sur une période de 3 ans – entre 2005 et 2008 – ont été inclus dans ce travail.
Les résultats montrent que « la prise de médicaments comportant un pictogramme de niveau 2 ou de niveau 3 est associée à une augmentation significative du risque d’accident responsable ». Pour rappel, le pictogramme de niveau 2 représente un triangle orange recommandant de « ne pas conduire sans l’avis d’un professionnel de santé ». Le niveau 3 correspond à un triangle rouge avec la mention « Pour la reprise de la conduite, demandez l’avis d’un médecin ».
Un risque accru en cas de consommation élevée de ces médicaments
Les auteurs ont également noté que le risque d’accident « responsable » augmentait avec la quantité de médicaments consommés. « Le risque principal provient des médicaments de niveau 2 et 3 », expliquent-ils. Il s’agit essentiellement d’anxiolytiques, d’hypnotiques, d’antiépileptiques et d’antidépresseurs.
Ils rappellent enfin qu’il « est indispensable que les patients respectent les messages de bon usage qui accompagnent les pictogrammes ».
Pour aller plus loin , on peut télécharger le guide édité par l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) : Médicaments et conduite automobile.
http://www.futura-sciences.com/fr/news/ ... xtor=RSS-8
bonjour toutes et tous , ma main sur vos honorables poitrines sœurs et frères en l'esprit '(*_*)' main droite sur le cœur
_____________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________
ces médicaments qui tuent l'esprit , il est désolant de constater que dans notre monde , au lieu de rechercher les véritables causes , d'anxiété ou de dépression qui sont le plus souvent dues a notre comportement en dehors des véritables valeurs , on endort l'esprit, la ou devrait avoir lieu une remise en question de notre parcours , l'esprit est alors assujettit a des concepts erronés faisant de nous des robots plus que de véritables acteurs responsables
Le 21 novembre 2010 à 12h10
Médicament au volant, mort au tournant !
D'après l'étude la plus importante jamais réalisée, certains médicaments comme les anxiolytiques augmenteraient les risques d’accidents de la route responsables. Le remède : suivre les messages indiqués par les pictogrammes présents sur les boîtes de médicaments.
Une équipe française est enfin parvenue à quantifier avec précision la part des accidents de la route imputables à la consommation de médicaments. Ils seraient à l’origine de 3 % des accidents corporels enregistrés chaque année.
Afssaps, Assurance-maladie, Inrets et Inserm ont uni leurs moyens pour mener l’étude la plus importante jamais réalisée sur ce sujet. Plus de 70.000 conducteurs impliqués dans un accident corporel sur une période de 3 ans – entre 2005 et 2008 – ont été inclus dans ce travail.
Les résultats montrent que « la prise de médicaments comportant un pictogramme de niveau 2 ou de niveau 3 est associée à une augmentation significative du risque d’accident responsable ». Pour rappel, le pictogramme de niveau 2 représente un triangle orange recommandant de « ne pas conduire sans l’avis d’un professionnel de santé ». Le niveau 3 correspond à un triangle rouge avec la mention « Pour la reprise de la conduite, demandez l’avis d’un médecin ».
Un risque accru en cas de consommation élevée de ces médicaments
Les auteurs ont également noté que le risque d’accident « responsable » augmentait avec la quantité de médicaments consommés. « Le risque principal provient des médicaments de niveau 2 et 3 », expliquent-ils. Il s’agit essentiellement d’anxiolytiques, d’hypnotiques, d’antiépileptiques et d’antidépresseurs.
Ils rappellent enfin qu’il « est indispensable que les patients respectent les messages de bon usage qui accompagnent les pictogrammes ».
Pour aller plus loin , on peut télécharger le guide édité par l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) : Médicaments et conduite automobile.
http://www.futura-sciences.com/fr/news/ ... xtor=RSS-8
la création est une symphonie dont nous sommes les musiciens , mais que signifie-t-elle sans son compositeur source de toute Vie ?
Re: ALLIANCE GALACTIQUE
Bonsoir tous les mondes
Bonsoir toutes et tous, bon dimanche soir, que l' Energie nous conduise à l' Harmonie
--------------------------------------------------------------------------------
Dimanche 21 novembre 2010
Alerte, l’industrie pharmaceutique va commencer à insérer des micro-puces dans des médicaments
L’ère du micro-puçage pharmaceutique est maintenant devant nous. Novartis AG, l’une des plus importantes sociétés pharmaceutiques dans le monde, a dévoilé un projet afin de commencer à implanter des micro-puces dans des médicaments dans le but de créer une technologie de « pilule intelligente ».
La technologie de micro-puçage est brevetée par Proteus Biomedical à Redwood City, Californie. Une fois activée par l’acide de l’estomac, la micro-puce intégrée commence à détecter son environnement et à émettre des données à un récepteur utilisé par le patient. Ce récepteur est également un émetteur qui peut envoyer les données par Internet à un médecin.
L’idée derrière tout cela est de créer des « pilules intelligentes » qui peuvent détecter ce qu’il se passe dans le corps et délivrer cette information au médecin du patient. Novartis prévoit de commencer à micro-pucer ses médicaments anti rejet de transplantation d’organe et puis potentiellement étendre le micro-puçage à d’autres produits de sa gamme pharmaceutique. Cette même technologie pourrait également bientôt se retrouver dans des pilules fabriquées par d’autres sociétés pharmaceutiques.
Dans ce contexte, le micro-puçage des pilules profite aux compagnies pharmaceutiques, mais pas nécessairement aux patients. C’est particulièrement vrai lorsque l’on considère ces produits pharmaceutiques qui sont nocifs pour la santé humaine – et nous savons tous que le marché pharmaceutique est rempli de pilules dont on a plus tard découvert qu’elles étaient extrêmement dangereuses voire mortelles (quelqu’un se rappelle-t-il du Vioxx ?).
Si les personnes qui prennent des médicaments émettent ces informations par l’intermédiaire de toutes les micro-puces qu’elles avalent, dans ce cas, analyser la présence de médicaments est simple. C’est même encore plus simple qu’un alcootest car cela ne nécessite aucune action de la part du sujet test. Le policier appuie simplement sur un bouton, patiente deux secondes, et peut alors déterminer si vous émettez des données médicales. Jusque là, vous pourriez être arrêté en étant suspecté de « conduite sous traitement ».
Une autre raison de ne pas prendre de médicaments
Il y a bien évidemment une tonne de questions sans réponses et même des risques potentiels quant à l’ingestion de produits pharmaceutiques à micro-puces. Pour certaines personnes, les problèmes de vie privée sont les plus importants de tous, car évidemment, qui souhaite émettre des données sur le fait qu’il prend des médicaments ?
L’ère du micro-puçage des peuples et du micro-puçage des médicaments se trouve devant nous. Etant donné ce que fait l’agence nationale Américaine de sécurité dans les transports (TSA) avec les scanners corporels (http://www.naturalnews.com/030100_DANGER VIRUS ... rport.html), vous pouvez clairement imaginer ce que Big Brother fera avec vos données médicales que vous pourriez émettre depuis l’intérieur de votre corps.
La meilleure façon d’éviter tout cela est de simplement manger vos légumes et boire vos nutraceutiques (superfood). Ne devenez pas un sujet traçable et micro-pucé de l’industrie médicale qui souhaite transformer votre corps en un centre de profit par produits chimiques.
http://sos-crise.over-blog.com/article- ... 99311.html
Dissocier l'industrie pharmaceutique des notions de profits, afin d'épargner au moins a ce secteur commercial, les dérives insensées de psychopathes en cravate avides de capitaux.

Bonsoir toutes et tous, bon dimanche soir, que l' Energie nous conduise à l' Harmonie

--------------------------------------------------------------------------------
Dimanche 21 novembre 2010
Alerte, l’industrie pharmaceutique va commencer à insérer des micro-puces dans des médicaments
L’ère du micro-puçage pharmaceutique est maintenant devant nous. Novartis AG, l’une des plus importantes sociétés pharmaceutiques dans le monde, a dévoilé un projet afin de commencer à implanter des micro-puces dans des médicaments dans le but de créer une technologie de « pilule intelligente ».
La technologie de micro-puçage est brevetée par Proteus Biomedical à Redwood City, Californie. Une fois activée par l’acide de l’estomac, la micro-puce intégrée commence à détecter son environnement et à émettre des données à un récepteur utilisé par le patient. Ce récepteur est également un émetteur qui peut envoyer les données par Internet à un médecin.
L’idée derrière tout cela est de créer des « pilules intelligentes » qui peuvent détecter ce qu’il se passe dans le corps et délivrer cette information au médecin du patient. Novartis prévoit de commencer à micro-pucer ses médicaments anti rejet de transplantation d’organe et puis potentiellement étendre le micro-puçage à d’autres produits de sa gamme pharmaceutique. Cette même technologie pourrait également bientôt se retrouver dans des pilules fabriquées par d’autres sociétés pharmaceutiques.
Dans ce contexte, le micro-puçage des pilules profite aux compagnies pharmaceutiques, mais pas nécessairement aux patients. C’est particulièrement vrai lorsque l’on considère ces produits pharmaceutiques qui sont nocifs pour la santé humaine – et nous savons tous que le marché pharmaceutique est rempli de pilules dont on a plus tard découvert qu’elles étaient extrêmement dangereuses voire mortelles (quelqu’un se rappelle-t-il du Vioxx ?).
Si les personnes qui prennent des médicaments émettent ces informations par l’intermédiaire de toutes les micro-puces qu’elles avalent, dans ce cas, analyser la présence de médicaments est simple. C’est même encore plus simple qu’un alcootest car cela ne nécessite aucune action de la part du sujet test. Le policier appuie simplement sur un bouton, patiente deux secondes, et peut alors déterminer si vous émettez des données médicales. Jusque là, vous pourriez être arrêté en étant suspecté de « conduite sous traitement ».
Une autre raison de ne pas prendre de médicaments
Il y a bien évidemment une tonne de questions sans réponses et même des risques potentiels quant à l’ingestion de produits pharmaceutiques à micro-puces. Pour certaines personnes, les problèmes de vie privée sont les plus importants de tous, car évidemment, qui souhaite émettre des données sur le fait qu’il prend des médicaments ?
L’ère du micro-puçage des peuples et du micro-puçage des médicaments se trouve devant nous. Etant donné ce que fait l’agence nationale Américaine de sécurité dans les transports (TSA) avec les scanners corporels (http://www.naturalnews.com/030100_DANGER VIRUS ... rport.html), vous pouvez clairement imaginer ce que Big Brother fera avec vos données médicales que vous pourriez émettre depuis l’intérieur de votre corps.
La meilleure façon d’éviter tout cela est de simplement manger vos légumes et boire vos nutraceutiques (superfood). Ne devenez pas un sujet traçable et micro-pucé de l’industrie médicale qui souhaite transformer votre corps en un centre de profit par produits chimiques.
http://sos-crise.over-blog.com/article- ... 99311.html
Dissocier l'industrie pharmaceutique des notions de profits, afin d'épargner au moins a ce secteur commercial, les dérives insensées de psychopathes en cravate avides de capitaux.
- Fichiers joints
-
- argent_021.gif (16.37 Kio) Vu 4032 fois
-
- docteur-seringue.gif (8.13 Kio) Vu 4032 fois
Re: ALLIANCE GALACTIQUE

- Fichiers joints
-
- Copie de notre_systeme_solaire_et_la_voie_lactee.jpg (34.44 Kio) Vu 4025 fois
-
- 3801895055.jpg (46.04 Kio) Vu 4025 fois