Bonjour tous les mondes
Bonjour amies et amis
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D 41-7
"C'est vrai que le jeu et le sport se pratiquent largement sur Terre. Mais d'une manière désordonnée et même absurde. Parfois vous orientez de telles pratiques au développement physiologique sans prendre en compte que L'OEMII (HOMME) est une UNITÉ PHYSIOLOGICO-MENTALE et que peuvent se produire de sérieux troubles quant les développements mentaux et somatiques ne s'équilibrent pas simultanément. Dans d'autres cas il se produit des aberrations telles qu'abandonner les masses à un inactivisme sportif en convertissant le sport en spectacle, dans le but de dévier les esprits vers d'autres buts étrangers aux authentiques objectifs sociaux et politiques. Véritable drogue qui arrive si bien à obtenir une apparente paix sociale et perpétue des structures sociales injustes. Les gouvernants qui agissent ainsi sont de véritables délinquants cachés derrière la légalité. Il n'existe pas de plus grand génocide que le crime de maintenir le réseau social dans l'abrutissement qui permet à une minorité de dirigeants de se maintenir au pouvoir."
lettre D41.7 volume 1
Vous vous fatiguez de répéter que l'humanité est perdue, malade, aliénée et les plus naïfs d'entre vous cherchent des solutions convenant au réseau social terrestre.
Extrait venant du lien d'Aurore:
Le Monde des Debats, Decembre 1999
Le siecle et le pardon
Le pardon et le repentir sont depuis trois ans au centre du seminaire de Jacques Derrida a l'Ecole des hautes etudes en sciences sociales. Qu'est-ce que le concept de pardon ? D'ou vient-il ? S'impose-t-il a tous et a toutes les cultures ? Peut-il etre porte dans l'ordre du juridique ? Du politique ? Et a quelles conditions ? Mais alors qui l'accorde ? Et a qui ? Et au nom de quoi, de qui ?
Eh bien, ce qui a donne son ultime justification, sa legitimite declaree a cette commission, c'est la definition de l'Apartheid comme " crime contre l'humanite " par la communaute internationale dans sa representation onusienne.
Cette convulsion dont je parlais prendrait aujourd'hui la tournure d'une conversion. D'une conversion de fait et tendanciellement universelle : en voie de mondialisation. Car si, comme je le crois, le concept de crime contre l'humanite est le chef d'accusation de cette auto-accusation, de ce repentir et de ce pardon demande ; si d'autre part une sacralite de l'humain peut seule, en dernier ressort, justifier ce concept (rien n'est pire, dans cette logique, qu'un crime contre l'humanite de l'homme et contre les droits de l'homme) ; si cette sacralite trouve son sens dans la memoire abrahamique des religions du Livre et dans une interpretation juive, mais surtout chretienne, du " prochain " ou du " semblable " ; si des lors le crime contre l'humanite est un crime contre le plus sacre dans le vivant, et donc deja contre le divin dans l'homme, dans Dieu-fait-homme ou l'homme-fait-Dieu-par-Dieu (la mort de l'homme et la mort de Dieu trahiraient ici le meme crime), alors la " mondialisation " du pardon ressemble a une immense scene de confession en cours, donc a une convulsion-conversion-confession virtuellement chretienne, un processus de christianisation qui n'a plus besoin de l'Eglise chretienne.
La tache la plus difficile, a la fois necessaire et apparemment impossible, ce serait donc de dissocier inconditionnalite et souverainete. Le fera-t-on un jour ? C'est pas demain la veille, comme on dit. Mais puisque l'hypothese de cette tache impresentable s'annonce, fut-ce comme un songe pour la pensee, cette folie n'est peut-etre pas si folle.
http://hydra.humanities.uci.edu/Derrida/siecle.html
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Nobles Mercure, Laja, ou ceux qui pensent pouvoir nous aider, quels conseils pour que TOUT cela change positivement, demain, après demain...bon, disons la semaine prochaine...
