ALLIANCE GALACTIQUE

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olifant
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Re: Alliance Galactique

Message par olifant »

Bonjour,
Voici un lien vers les ovni dans l'art : http://secretebase.free.fr/ovni/histoire/art/art.htm ;)
Biz
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aurora
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Re: Alliance Galactique

Message par aurora »

Bonjour les Amis :)

A l'issue de quatorze heures de tractations, le gouvernement de Jan Peter Balkenende n'est pas parvenu, samedi 20 février, à s'entendre sur le maintien du contingent néerlandais en Afghanistan. Le premier ministre a annoncé, au milieu de la nuit, la démission de sa coalition, qui regroupait son parti, l'Appel chrétien-démocrate (CDA), le Parti du travail (PVDA, social-démocrate) et la petite formation protestante ChristenUnie (CU). Des élections législatives anticipées auront lieu dans les trois mois.
Le CDA et le PVDA, du vice-premier ministre Wouter Bos, s'affrontaient depuis plusieurs jours sur la question d'une éventuelle prolongation de la mission militaire néerlandaise dans la province d'Oruzgan, dans le sud de l'Afghanistan. Les Pays-Bas y comptent quelque 2000 soldats.

A l'issue d'une longue et rude confrontation au sein du conseil des ministres, M. Balkenende a lu une déclaration devant la presse à 4 heures du matin. Selon lui, c'est "un manque de confiance" entre les partenaires et une "hypothèque politique" placée par la gauche, désireuse d'arrêter immédiatement la mission, qui a rendu impossible toute solution.

Jeudi, au Parlement, le gouvernement s'était déjà déchiré. Convoqués pour un débat d'urgence, les ministres de la coalition avaient affiché publiquement leurs désaccords. Elles-mêmes divisées sur la poursuite de l'opération afghane, les diverses formations de l'opposition s'étaient coalisées pour dénoncer le manque de cohésion de l'équipe Balkenende et réclamer son départ.

Vendredi, le conseil des ministres devait, en fait, décider s'il prenait en compte, ou non, une requête d'Anders Fogh Rasmussen, le secrétaire général de l'OTAN. Dans une lettre au gouvernement envoyée le 4 février et négociée, semble-t-il, avec le ministre des affaires étrangères, Maxime Verhagen –chrétien-démocrate, accusé par les travaillistes d'avoir outrepassé son mandat–, M. Rasmussen évoquait le maintien de soldats néerlandais, en nombre réduit mais jusqu'en août 2011, en Oruzgan. Les militaires devaient, en principe, amorcer leur retrait le 1er août 2010 et l'avoir achevé le 1er décembre. M. Rasmussen évoquait aussi des missions d'entraînement de la police et de l'armée afghanes et le maintien d'une équipe provinciale de reconstruction.

Pour les travaillistes, il n'était pas question de négocier sur la base de cette demande. Pour le CDA, il fallait envisager divers scénarios, y compris la prolongation de la mission. Le troisième parti du gouvernement, ChristenUnie, avait voté, avec les travaillistes, le principe d'un arrêt de la mission mais détenait en même temps le portefeuille de la défense.

Particulièrement complexe, la situation découlait en fait d'une décision adoptée par le gouvernement en 2007. Fermement défendue par M. Balkenende, elle fixait bel et bien le début du retrait à 2010 et devait être confirmée avant le 1ermars de cette année. Soumis à la pression de l'OTAN et des Etats-Unis, invoquant le changement de stratégie sur le terrain afghan, les chrétiens-démocrates semblaient prêts à réviser leur point de vue. Le ministre des affaires étrangères, Maxime Verhagen, soulignait la nécessité, pour son pays, de respecter ses engagements internationaux.

Les travaillistes, échaudés par de récentes révélations sur les conditions juridiquement douteuses de l'engagement néerlandais dans la guerre d'Irak, en 2003, ne voulaient pas, eux, revoir leur position. Pour de nombreux observateurs, la fermeté des sociaux-démocrates sur ce qu'ils présentent comme une "question de principe" a aussi beaucoup à voir avec les prochaines échéances électorales. Les Néerlandais se rendent aux urnes le 3 mars pour un scrutin municipal et les perspectives semblaient très sombres pour le parti de M. Bos, qui risque, selon les sondages, de perdre la moitié de ses sièges à Amsterdam et d'être en net recul à La Haye et à Rotterdam.

UN NÉERLANDAIS SUR DEUX RÉCLAME LA FIN DE LA MISSION AFGHANE

"Impossible de tomber plus bas", semble avoir conclu la direction de ce parti. Pari réussi ? En affichant son intransigeance sur l'Afghanistan, le vice-premier ministre semble, en tout cas, avoir non seulement rassemblé les électeurs traditionnels de son parti (66 % d'entre eux se disent favorables à un retrait immédiat des troupes néerlandaises) mais il se serait rendu populaire auprès de l'ensemble de l'opinion : un Néerlandais sur deux réclamait la fin de la mission afghane. Et les sondés qui imputent la crise à M. Balkenende sont plus nombreux que ceux qui montrent du doigt M. Bos.

Le scrutin législatif sera organisé dans trois mois environ. Il pourrait compliquer un peu plus la situation politique néerlandaise : la droite radicale et populiste du député Geert Wilders (15 % à 20 % des intentions de vote) devrait y jouer les trouble-fête et, peut-être, s'imposer comme l'un des principaux partis du royaume
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aurora
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Marianne enceinte, une pub polémique

Message par aurora »

Marianne enceinte, pieds nus et vêtue de blanc... L'allégorie choisie par le gouvernement pour promouvoir le grand emprunt s'affiche en "une" des sites d'info et des journaux. Présentée comme "un très beau symbole d'avenir" par Thierry Saussez, le directeur du service d'information du gouvernement (SIG), l'image censée incarner les investissements durables voulus par Nicolas Sarkozy dérange à gauche et dans les rangs des féministes Dénonçant dans un communiqué un "triple scandale" politique, démocratique et budgétaire, les socialistes ont réclamé l'annulation de la campagne, estimant que "l'Etat a une obligation de neutralité" à la veille des élections régionales. Ils reprochent au gouvernement de se livrer à un exercice de "propagande politique au service des listes de l'UMP aux frais du contribuable".

Pour les seuls premiers encarts, le SIG a dépensé 975 000 euros. "Notre mission, c'est de promouvoir les politiques publiques. La campagne devrait connaître plusieurs phases et se décliner en fonction des différents projets du gouvernement. Rapporté à l'ensemble du budget du grand emprunt, le montant de l'opération est très faible", estime Thierry Saussez.

Pour le directeur du SIG, les socialistes feraient mieux de balayer devant leur porte. "La gauche a lancé des campagnes de communication bien plus politiques à l'époque où elle était au pouvoir", rétorque-t-il. Pendant le premier septennat de François Mitterrand, "des produits institutionnels du type 'Les yeux ouverts' ou 'La France avance', réalisés par les ministères pour vanter leur politique, étaient en fait des spots qui ne disaient pas leur nom", rappelle Jean-Paul Gourévitch, spécialiste de la communication et de l'image en politique.

UNE IMAGE CONSENSUELLE ?


Mais dans un contexte électoral encore marqué par le débat sur l'identité nationale, une telle utilisation de Marianne soulève le problème d'une représentation uniforme de la nation. Jean-Marc Huleux, vice-président de l'agence Euro RSCG C&O, qui a conçu la campagne, assure que la future maman et son costume ont été choisis antérieurement au débat lancé par le ministre de l'immigration, Eric Besson. "Normale, ni trop belle ni trop laide", l'image de la jeune femme se voulait consensuelle.

Sa tenue blanche associée à "la pureté cristalline, représente ce beau moment de la maternité qui incarne tout le potentiel de ce grand emprunt", précise Jean-Marc Huleux au Parisien. Mais pourquoi avoir retenu cette couleur symbole de la monarchie et rarement utilisée à elle seule pour habiller Marianne ? Comme le souligne la blogueuse Marie Lanvin, "le bonnet phrygien révolutionnaire était rouge, et la tradition l'a ainsi perpétué, la Liberté de Delacroix en témoigne, tout comme des séries innombrables de Marianne, tant au XIXe qu'au XXe siècle". "Ça ne nous a pas du tout gênés. Ce n'est pas un sujet d'incarnation politique, mais une incarnation de la nation, de la France dans toute sa noblesse", répond le vice-président d'Euro RSCG.

"MARIANNE N'EST PAS UNE MÈRE"

Pour Thierry Saussez, le choix d'une femme enceinte a été évident. "Comme ce sont des investissements d'avenir, on a assez naturellement eu l'idée de prendre ce symbole de la maternité." Mais cette image tranche avec les représentations traditionnelles de Marianne. "Moitié Athéna, moitié Jeanne d'Arc, c'est une figure d'amazone vierge et protectrice de la cité. Elle n'est pas censée être mère", explique Mariette Darrigrand, sémiologue. Le fait de la représenter enceinte signifie que "seul l'enfant à naître peut assurer régénérescence de la société. Ce ne sont plus les lois mais les générations à venir qui vont sauver la cité".

Le message passe mal auprès des féministes, d'autant plus qu'il fait écho au débat provoqué par la publication du livre d'Elisabeth Badinter, Le Conflit. La femme et la mère, une étude sur la situation des femmes aujourd'hui, sommées d'être mères avant tout. "La main de l'Etat n'a rien à faire dans mon utérus, et certainement pas y chercher de l'argent !", s'indigne
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aurora
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Désarmement nucléaire : les obstacles s'accumulent

Message par aurora »

Le projet du désarmement nucléaire que Barack Obama a relancé avec son discours de Prague en avril 2009 connaît des accrocs, après une phase initiale d'optimisme. Ainsi les objectifs concrets annoncés par le président américain s'avèrent plus difficiles à atteindre que prévu Cela complique la donne à trois mois de la conférence d'examen du traité de non-prolifération (TNP), durant laquelle les Occidentaux veulent faire prévaloir leur point de vue face à certains pays "émergents" et du Sud non dotés de l'arme suprême. Ces derniers critiquent une attitude de "deux poids, deux mesures" des grandes puissances, accusées de ne pas tenir leurs engagements en matière de désarmement tout en cherchant à renforcer les instruments de vérification du nucléaire civil dans le monde.

Premier accroc : les discussions entre Russes et Américains sur un accord post-START de désarmement, qui étaient censées aboutir en décembre 2009, se prolongent. Elles seraient cependant entrées dans une phase finale, portant sur la vérification, les échanges de données sur les vols de missile et l'accès des inspecteurs aux sites. Une fois cette étape franchie, Washington espère lancer des discussions sur des réductions beaucoup plus ambitieuses des arsenaux.

Deuxième déconvenue : l'espoir de voir les Etats-Unis ratifier rapidement le traité d'interdiction complète des essais nucléaires (TICE) s'est évanoui. M. Obama espérait faire passer ce texte au Congrès américain avant la conférence du TNP en mai. Il pourrait même avoir du mal à le faire ratifier avant la fin de l'année, alors qu'approchent les élections de mi-mandat. La redéfinition de la doctrine nucléaire américaine (Nuclear Posture Review), prévue en janvier, a été reportée au 1er mars à la suite de tiraillements avec le Pentagone. Tout en parlant de désarmement, l'administration Obama vient d'accroître considérablement le budget pour la modernisation de l'arsenal nucléaire.

Troisième difficulté : à Genève, siège de la conférence sur le désarmement, les négociations n'ont pas pu être lancées en vue d'un traité sur l'interdiction de la production de matière fissile utilisable dans les armes nucléaires (dit traité "cut-off"). L'optimisme qui prévalait en 2009 butte maintenant sur le refus du Pakistan de se soumettre à de telles limitations, en raison de ses inquiétudes sécuritaires face à l'Inde.

Tout cela "complique la tâche " de la consolidation du régime de non-prolifération, observe-t-on de source diplomatique à Paris, en soulignant que les trois objectifs brandis par M. Obama sont aussi des priorités pour les Européens. Cette épreuve de la réalité pour le président américain semble conforter l'analyse française sur l'idéalisme naïf d'une politique uniquement déclaratoire en matière de désarmement nucléaire complet et universel.

Le débat sur le nucléaire est entré dans une phase intense. Avant la conférence d'examen du TNP, Barack Obama a prévu d'organiser à New York un sommet consacré à la sûreté nucléaire, pour évoquer le risque de détournement d'armes ou de la technologie nucléaire par des terroristes.

Pour ne pas être en reste, les 8 et 9 mars, Paris accueille une conférence ministérielle sur la sécurisation des exportations de technologie nucléaire civile. Nicolas Sarkozy devrait s'adresser à cette conférence.

La France veut à la fois faire la promotion de sa technologie et réaffirmer son soutien au TNP, qui garantit l'accès au nucléaire civil pour les Etats qui renoncent à l'acquisition de l'arme suprême.

Mais le grand rendez-vous de l'année 2010 sera la conférence d'examen du TNP, prévue du 3 au 28 mai à New York. En 2005, la précédente conférence avait échoué, faute de consensus sur la façon d'empêcher une dissémination des armes atomiques.

Le régime de non-prolifération a subi bien des coups de boutoir : l'irruption dans le "club" nucléaire de la Corée du Nord en 2006, la crise autour des activités de l'Iran, les critiques remontant de pays du Sud et du monde musulman, qui dénoncent le silence des Occidentaux à propos de la détention de la bombe par Israël, Etat non signataire du TNP. Sans compter les essais nucléaires jumeaux de l'Inde et du Pakistan, en 1998.

C'est pour tenter de créer une dynamique vertueuse que M. Obama a voulu l'adoption, le 24 septembre 2009, par le Conseil de sécurité de l'ONU, de la résolution 1887 évoquant un "monde sans armes nucléaires". Les trois objectifs, concrets et plus immédiats, du président américain visaient à consolider sa position dans le traitement des crises iranienne et nord-coréenne. Les difficultés pour faire ratifier le TICE le privent d'un levier d'entraînement sur d'autres pays.

De nombreuses questions demeurent : comment sanctionner efficacement un retrait du TNP ? Comment pousser Israël vers un gel de la production de matière fissile ? Comment convaincre que le TNP de 1968, qui promettait le désarmement des uns en échange du renoncement des autres à la bombe, n'est pas un marché de dupes ?
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aurora
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Lutte d'influence entre la France, le Canada et les Etats-Un

Message par aurora »

A chacun sa conférence pour aider la reconstruction d'Haïti. La course diplomatique se poursuit, notamment entre la France, les Etats-Unis et le Canada, pour préparer la réunion du 31 mars à New York qui doit aider à rebâtir l'île dévastée par un tremblement de terre le 12 janvier.
Nicolas Sarkozy a indiqué, jeudi 18 février, qu'une des quatre réunions préparatoires se tiendrait dans les Antilles françaises. "Avant la fin du mois de mars, se tiendra, en Guadeloupe, une Conférence internationale des villes et des régions du monde pour Haïti, afin de préparer dans les meilleures condition la grande conférence de New York", a déclaré le chef de l'Etat à Fort de France en Martinique.

Trois autres conférences sont prévues, qui reflètent la lutte d'influence que se livrent les grandes puissances. L'une se tiendra avec la diaspora haïtienne, sous l'égide de l'Organisation des Etats américains et du Canada, sans doute à Washington; une deuxième réunion rassemblera les entreprises, sans doute aux Etats-Unis; une troisième devrait avoir lieu à Saint-Domingue, sous l'égide des Nations unies, avec les organisations non gouvernementales.

Ce processus, indique-t-on de source française, a été proposé par le diplomate Pierre Duquesne, chargé de représenter la France pour préparer la reconstruction d'Haïti, à son homologue, la directrice cabinet d'Hillary Clinton, Cheryl Mills.

LEADERSHIP DE L'ADMINISTRATION AMÉRICAINE

La conférence de New-York se tiendra sous l'égide des Etats-Unis et des Nations unies, mais c'est l'administration américaine qui a pris le leadership.

La France espérait que l'ONU serait plus dans le jeu grâce à Bill Clinton, chargé de la reconstruction d'Haïti par l'ONU, mais l'ancien président et époux de la secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton, se remet actuellement d'un accident cardiaque.

Le Canada, qui abrite une forte communauté haïtienne, est aussi très actif. Le premier ministre Stephen Harper a doublé M. Sarkozy en se rendant sur l'île juste avant lui pour une visite de deux jours, lundi 15 et mardi 16 février, tandis que le président français n'est resté sur place qu'à peine quatre heures, mercredi 17 février.

Trois sujets sont à l'ordre du jour de la réunion de New-York. D'abord, la construction d'Haïti. "Les problèmes préexistaient. Dès le 13 janvier, on ne se contentait pas de dire qu'il y avait eu un tremblement de terre", explique-t-on au quai d'Orsay.

Deuxième tâche, évaluer les dommages. Les autorités haïtiennes ont avancé un chiffre de l'ordre de 50 % à 60% de leur produit intérieur brut (PIB), ce qui conduit à une addition comprise entre 3,5 et 5 milliards de dollars selon Paris. Le chiffre de 8 à 14 milliards de dollars avancé par la Banque interaméricaine du développement est jugé excessif. Enfin, il convient de mettre en place le projet national, la vision que les Haïtiens définiront pour reconstruire leur pays.
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aurora
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Deux universités chinoises seraient derrière les attaques co

Message par aurora »

La main de Pékin serait derrière la série d'attaques informatiques massives contre Google et plusieurs autres sociétés ciblant des militants des droits de l'homme, affirme le New York Times.

Citant des sources anonymes "impliquées dans l'enquête", le New York Times explique que la traque est remontée jusqu'à une université chinoise réputée pour sa branche informatique, Shanghaï Jiaotong, et à l'établissement professionnel Lanxiang, qui forme certains informaticiens pour l'armée
L'affaire, qui empoisonne les relations sino-américaines, a poussé Google à menacer de cesser ses opérations en Chine. Les attaques ont ciblé le code source du groupe américain et les comptes de messagerie Gmail de militants des droits de l'homme chinois dans le monde. Au moment où il avait rendu publique ces attaques, Google avait précisé les avoir détectées en décembre. Le New York Times indique que l'origine des attaques, "destinées à voler des secrets comerciaux et des codes informatiques ainsi qu'à récupérer les adresses Internet de militants des droits de l'homme chinois, ont peut-être commencé dès avril".
Google travaille en coopération avec les agences américaines de renseignement pour retrouver l'origine des attaques, qui ont été décrites comme de l'espionnage de haut niveau. Le groupe Internet continue de filtrer les recherches selon la loi chinoise en même temps qu'il tente de négocier un compromis avec des dirigeants du pays.
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aurora
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Le coup d'Etat au Niger

Message par aurora »

Le coup d'Etat au Niger marque le début d'une offensive stratégique chinoise:

Tout indique que la Chine vient de lancer sa campagne stratégique pour l'année 2010. Plusieurs informations ces dernières semaines annonçaient en effet une action majeure du géant asiatique sur le continent africain. La raison de cette offensive ? La compétition mondiale autour des matières premières.

La Chine, deuxième plus grand consommateur d’énergie du monde, avait annoncé début janvier 2010 qu’elle participerait désormais "très activement" à la compétition mondiale pour le pétrole, le gaz naturel et des ressources minérales. Ainsi, le pays devait intensifier le développement de ses approvisionnements à l’étranger afin d’assurer des provisions d’énergie "stables" pour sa croissance économique. C’est Zhang Xiaoqiang, vice-président du Développement national et la Commission de Réforme, qui avait annoncé ce renforcement de l’activité chinoise dans le domaine des matières premières. Ultime précision : la Chine allait intensifier ses investissement à l’étranger, notamment pour développer des infrastructures dans "les pays clés" qui possèdent des réserves de ressources naturelles et ont "une relation amicale" avec la Chine.

C'est dans ce cadre qu'il convient de replacer les événements récents au Niger. Le président en exercice, Mamadou Tandja, ainsi qu'une partie du gouvernement, ont été capturés par des mutins. La junte responsable du coup d'Etat est présidée par Salou Djibo, officier de 49 ans qui a servi dans les forces de l'Onu en Côte d'Ivoire et en République démocratique du Congo. Il a également suivi des formations militaires au Maroc et en Chine, et commandait la garnison de Niamey.

Début janvier 2010, le géant français du nucléaire, Areva, avait annoncé la conclusion d'un accord d'exploitation semi-exclusif des énormes gisements d'uranium d'Imouraren. Cet accord était la conclusion de deux années de longues et laborieuses négociation entre la France et le Niger. Durant tout le temps des négociations la diplomatie française avait du déployer des trésors d'énergie pour empêcher le président Mamadou Tandja de se jeter dans les bras de la Chine.

La nouvelle compagnie, détenue à 66,65% par Areva et à 33,35% par le Niger, doit normalement démarrer l'exploitation du gisement d'Imouraren en 2012. Cette exploitation devait permettre au Niger de devenir le deuxième producteur mondial d'uranium. Quant à la France, cet accord lui assurait son indépendance énergétique. La question est donc de savoir à qui profite ce putsch ? La junte au pouvoir va-t-elle appliquer cet accord ou se tourner vers de nouveaux partenaires ? Tous les yeux se tournent vers Pékin qui n'a pas condamné officiellement ce coup d'Etat contrairement à Paris ou Washington.

Toujours dans le cadre d’assurer des provisions d’énergie "stables" pour sa croissance économique la Chine avait également fait une autre annonce spectaculaire au début de cette année. Un haut-responsable de la marine chinoise avait proposé d’installer une base permanente. Officiellement pour soutenir les navires participant à la mission de lutte contre la piraterie dans le golfe d’Aden, soulevant l’idée que la Chine pourrait construire des bases ailleurs. Une grande première.

Dans un entretien publié sur le site du ministère chinois de la défense, Yin Zhuo — un amiral et chercheur au Centre de recherche pour l’équipement de la marine — avait expliqué qu’une telle base soutiendrait la participation à long-terme de la Chine à l’opération : "Nous ne disons pas que nous avons besoin que notre marine aille partout pour accomplir nos engagements internationaux. Nous disons que pour accomplir nos engagements internationaux, nous avons besoin de renforcer notre capacité de soutien. Si la Chine établit une base de ravitaillement de ce type, je pense que les pays de la région et ceux participant à la lutte contre la piraterie, le comprendront". Il a ajouté qu’il savait que les bâtiments chinois si près du Golfe avaient provoqué des soupçons, mais qu’il croyait que d’autres pays comprenaient que les intentions de Pékin étaient de lutter contre la piraterie.

En vérité les intentions chinoises ne trompent personne. La création d'une ou de plusieurs bases navales permanentes (un peu sur le modèle des Etats-Unis) n'a rien à voir avec la piraterie le long des côtes de la Somalie mais a pour but de contrôler et de protéger ses voies de communication maritime. La liste des bases navales potentielles ne laisse planer aucun doute à ce sujet : Pakistan, Bangladesh, Cambodge, Myanmar, Thaïlande et en mer de Chine du Sud. L'objectif est également de disposer de forces militaires à proximité du continent africain où les intérêts chinois sont de plus en plus importants.

La Chine vient d'entrer dans l'année du Tigre. Elle vient de sortir ses griffes.

David Bescond pour Rebelles.info
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Marc
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Re: Alliance Galactique

Message par Marc »

Bonjour tous les mondes :)

Bonjour Aurore et Olifant, super le recueil d'images, c'est plus parlant que des mots.
Vous avez des yeux et ne savez point voir...sans parler des oreilles :lol:

Deux images a cogiter...

Prodigiorum Ac Ostentorum Chronicon ( 1479 )
Extrait du " Prodigiorum Ac Ostentorum Chronicon " par le suisse Conrad Lycosthenes ( 1518-1561). Le dessin décrit la vision d'un OVNI en Arabie en 1479. Le livre est à l'Australian Museum Research Library.

La seconde image vient d'un témoin certifié digne de foi, sur une observation faite en conduisant son camion en 1979 dans le Sud de France.

http://secretebase.free.fr/ovni/histoire/art/art.htm
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Marc
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Re: Alliance Galactique

Message par Marc »

Bienvenue toutes et tous dans nos recherches sans prétentions...
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Laja
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Re: Alliance Galactique

Message par Laja »

ma main sur l'honorable poitrine de tous '(*_*)' main sur le coeur

je voudrais dire toute ma tristesse a nos frères musulmans après l"effondrement de la mosquée de Meknès

je me joint a leur peine et déplore que nos gouvernants , ne reflètent pas celle ci aux yeux de leur peuple

nous sommes tous issues de la création et a ce titre notre peine rejoint la votre


fraternellement
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yéshoua‘ lui dit: « Je suis la route, la vérité et la vie.
Personne ne vient au père, sinon par moi. UN PACTE NEUF annonce de jean 14:5/7
http://nachouraqui.tripod.com/id60.htm
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