
ALLIANCE GALACTIQUE
Modérateur : Admin
Re: Alliance Galactique
tu as vérifié si tu n'as pas rentré le mot de passe avec des majuscules 

Re: Alliance Galactique
Bonne nuit à tous! 

Re: Alliance Galactique
douce nuit Princesse,et Jack,pleins de rêves en relief et en couleurs...
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Re: Alliance Galactique
Aurora va nous dévoiler tous ses charmes,voulais lui dire que le tchador c'est pas notre tasse de thé... 

Re: Alliance Galactique
Ce serait bien qu'on puisse la voir un peu plus,mais en tout cas elle a de beaux yeux,ça s'est sûr! 

Re: Alliance Galactique
les yeux sont les fenêtres de l'âme,m'en doutait qu'ils seraient beaux... 

Re: Alliance Galactique
Bonjour à tout le monde. 

Re: Alliance Galactique
Bonjour mes Amis c'est fou ce que la nuit passe vite
......Alors quoi de 9 dans ce monde
-Un militant des droits de l'homme chinois campe depuis neuf jours dans le no man's land de l'aéroport de Tokyo, en raison du refus des autorités chinoises de le laisser rentrer dans son pays.
Feng Zhenghu est installé depuis le 4 novembre sur un canapé dans la zone de transit précédant les contrôles de l'immigration, dans le terminal 1 de l'aéroport international de Narita (région de Tokyo). Au plan juridique, il n'est pas entré au Japon.
"Cela fait neuf jours et huit nuits que je passe ici. Je n'ai pas eu grand chose à manger ni à boire", a-t-il déclaré. "J'ai un passeport chinois valide pour encore trois ans. J'ai aussi un visa pour le Japon, mais je ne veux pas y rester, je veux rentrer chez moi".
Feng Zhenghu fait partie des militants recensés par l'organisation de défense des droits de l'homme Amnesty International, basée à Londres. Il a été emprisonné par le passé pour des motifs politiques, selon Amnesty.
Il a expliqué avoir tenté à huit reprises de regagner la Chine, après un séjour de quelques mois au Japon.
"Quatre fois, les autorités m'ont refoulé à l'aéroport de Pudong à Shanghai. (...) Les quatre autres fois, ce sont les compagnies aériennes japonaises qui ne m'ont pas autorisé à embarquer", a-t-il dit.
"Selon la charte de l'ONU, aucun pays n'a le droit de refuser l'entrée de son territoire à l'un de ses citoyens", a dénoncé M. Feng.
Le militant a expliqué que son avocat avait déposé plainte à la fois contre les autorités de Pudong devant un tribunal de Shanghai, pour lui avoir dénié l'entrée de son pays, et contre les autorités de l'aéroport de Narita pour l'avoir empêché d'embarquer alors qu'il disposait des documents nécessaires.
Il a ajouté avoir dépensé tout son argent pour acheter ses huit billets d'avion pour Shanghai, dont le montant ne lui a pas été remboursé, le laissant sans ressource.

......Alors quoi de 9 dans ce monde

Feng Zhenghu est installé depuis le 4 novembre sur un canapé dans la zone de transit précédant les contrôles de l'immigration, dans le terminal 1 de l'aéroport international de Narita (région de Tokyo). Au plan juridique, il n'est pas entré au Japon.
"Cela fait neuf jours et huit nuits que je passe ici. Je n'ai pas eu grand chose à manger ni à boire", a-t-il déclaré. "J'ai un passeport chinois valide pour encore trois ans. J'ai aussi un visa pour le Japon, mais je ne veux pas y rester, je veux rentrer chez moi".
Feng Zhenghu fait partie des militants recensés par l'organisation de défense des droits de l'homme Amnesty International, basée à Londres. Il a été emprisonné par le passé pour des motifs politiques, selon Amnesty.
Il a expliqué avoir tenté à huit reprises de regagner la Chine, après un séjour de quelques mois au Japon.
"Quatre fois, les autorités m'ont refoulé à l'aéroport de Pudong à Shanghai. (...) Les quatre autres fois, ce sont les compagnies aériennes japonaises qui ne m'ont pas autorisé à embarquer", a-t-il dit.
"Selon la charte de l'ONU, aucun pays n'a le droit de refuser l'entrée de son territoire à l'un de ses citoyens", a dénoncé M. Feng.
Le militant a expliqué que son avocat avait déposé plainte à la fois contre les autorités de Pudong devant un tribunal de Shanghai, pour lui avoir dénié l'entrée de son pays, et contre les autorités de l'aéroport de Narita pour l'avoir empêché d'embarquer alors qu'il disposait des documents nécessaires.
Il a ajouté avoir dépensé tout son argent pour acheter ses huit billets d'avion pour Shanghai, dont le montant ne lui a pas été remboursé, le laissant sans ressource.

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Re: Alliance Galactique
bonjour à tous,
Nouvelle tentative ce matin pour entrer dans les coordonnées, effectivement je rentrait le code en majuscule puisque quand la machine envoie un nouveau code il est en majuscule et que je faisais un copier-coller.
Donc j'ai recopié le code en minuscule mais ça ne marche toujours pas !
Faire avec une autre adresse mail ? Je n'en ai pas d'autre !
Il me reste qu'a changer de nom d'utilisateur . Faites moi des suggestions !
Oliphant. (Dommage j'avais trouvé une belle image d'oliphant !)
Nouvelle tentative ce matin pour entrer dans les coordonnées, effectivement je rentrait le code en majuscule puisque quand la machine envoie un nouveau code il est en majuscule et que je faisais un copier-coller.
Donc j'ai recopié le code en minuscule mais ça ne marche toujours pas !

Faire avec une autre adresse mail ? Je n'en ai pas d'autre !
Il me reste qu'a changer de nom d'utilisateur . Faites moi des suggestions !

Oliphant. (Dommage j'avais trouvé une belle image d'oliphant !)
Proche-Orient: les experts invitent Barack Obama à revoir sa
Les spécialistes américains invitent le président Barack Obama à revoir sa copie au Proche-Orient, après dix mois d'efforts intensifs mais infructueux pour relancer le processus de paix.
L'échec, disent-ils, est devenu patent après la visite dans la région de la secrétaire d'Etat Hillary Clinton, la semaine dernière.
Lors de ce voyage, le président palestinien Mahmoud Abbas a refusé l'offre de Mme Clinton de reprendre les négociations avec le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu sans obtenir le gel complet des colonies israéliennes -- une exigence que Washington avait soutenue jusqu'à présent.
Dans la foulée, M. Abbas, un interlocuteur précieux des Etats-Unis, a renoncé à se représenter à ses fonctions. Son entourage a accusé Washington d'avoir provoqué sa décision.
M. Obama a ensuite reçu M. Netanyahu brièvement lundi soir, dans un silence de la Maison Blanche envers les médias qui en dit long sur les crispations entre les deux alliés.
Loin d'annoncer un changement, le secrétaire d'Etat adjoint Bill Burns a indiqué mardi que "la volonté et la détermination de l'administration sont inchangées. Nous allons continuer à travailler dur pour obtenir le retour rapide aux négociations, la seule voie vers une solution à deux Etats".
"Le problème fondamental de la politique d'Obama, c'est qu'il croit, comme trop de ses prédécesseurs, que la solution est à portée de main s'il parvient à forcer les parties à s'asseoir autour d'une même table", assure Elliott Abrams, un expert du CFR, dans l'hebdomadaire néo-conservateur Weekly Standard.
"Le temps est venu d'adopter une approche radicalement différente", juge pour sa part dans le New York Times l'éditorialiste Thomas Friedman: "Faire quelque chose qu'aucune administration américaine n'a jamais osé faire: ranger notre pancarte proclamant notre promesse de faire vivre le processus de paix, et rentrer à la maison".
Une option que Jon Alterman, du centre de réflexion CSIS, considère comme une manière de "gagner du temps". Autre possibilité, dit-il à l'AFP: "présenter un plan de paix américain décrivant la forme que pourrait avoir un accord final aux yeux des Américains, et tenter de réorienter ainsi le débat".
Enfin, "le président pourrait s'engager encore plus directement, rendre son implication personnelle plus visible".
Mais "aucun de ces choix n'est très bon", dit-il, en raison de la situation sur le terrain: "La partie palestinienne est en train de s'effondrer, ce qui renforce l'idée des Israéliens que le moment de bouger n'est pas arrivé".
Les Palestiniens "avaient placé de très grands espoirs" en M. Obama, rappelle Robert Malley, de l'International Crisis Group. Mais l'objectif d'un gel complet de la colonisation était selon lui "irréaliste".
Il estime que "ce n'est pas tant l'échec de l'administration Obama à atteindre ses buts qui est inquiétant, mais le fait qu'ils aient défini ces ambitions sans un plan pour gérer la situation s'ils ne parvenaient pas à les atteindre".
Robert Hunter, un ancien ambassadeur américain auprès de l'Otan qui conseille désormais l'organisation RAND, invite l'administration à un virage "tactique".
"Il faut se concentrer sur tous les dossiers qui ne dépendent pas d'un succès de l'ensemble du processus de paix", explique-t-il à l'AFP, "mettre de côté le problème des colonies" et développer l'aide humanitaire à Gaza, par exemple, afin de tenter de réduire l'emprise du Hamas sur la population.
....bla bla bla bla
L'échec, disent-ils, est devenu patent après la visite dans la région de la secrétaire d'Etat Hillary Clinton, la semaine dernière.
Lors de ce voyage, le président palestinien Mahmoud Abbas a refusé l'offre de Mme Clinton de reprendre les négociations avec le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu sans obtenir le gel complet des colonies israéliennes -- une exigence que Washington avait soutenue jusqu'à présent.
Dans la foulée, M. Abbas, un interlocuteur précieux des Etats-Unis, a renoncé à se représenter à ses fonctions. Son entourage a accusé Washington d'avoir provoqué sa décision.
M. Obama a ensuite reçu M. Netanyahu brièvement lundi soir, dans un silence de la Maison Blanche envers les médias qui en dit long sur les crispations entre les deux alliés.
Loin d'annoncer un changement, le secrétaire d'Etat adjoint Bill Burns a indiqué mardi que "la volonté et la détermination de l'administration sont inchangées. Nous allons continuer à travailler dur pour obtenir le retour rapide aux négociations, la seule voie vers une solution à deux Etats".
"Le problème fondamental de la politique d'Obama, c'est qu'il croit, comme trop de ses prédécesseurs, que la solution est à portée de main s'il parvient à forcer les parties à s'asseoir autour d'une même table", assure Elliott Abrams, un expert du CFR, dans l'hebdomadaire néo-conservateur Weekly Standard.
"Le temps est venu d'adopter une approche radicalement différente", juge pour sa part dans le New York Times l'éditorialiste Thomas Friedman: "Faire quelque chose qu'aucune administration américaine n'a jamais osé faire: ranger notre pancarte proclamant notre promesse de faire vivre le processus de paix, et rentrer à la maison".
Une option que Jon Alterman, du centre de réflexion CSIS, considère comme une manière de "gagner du temps". Autre possibilité, dit-il à l'AFP: "présenter un plan de paix américain décrivant la forme que pourrait avoir un accord final aux yeux des Américains, et tenter de réorienter ainsi le débat".
Enfin, "le président pourrait s'engager encore plus directement, rendre son implication personnelle plus visible".
Mais "aucun de ces choix n'est très bon", dit-il, en raison de la situation sur le terrain: "La partie palestinienne est en train de s'effondrer, ce qui renforce l'idée des Israéliens que le moment de bouger n'est pas arrivé".
Les Palestiniens "avaient placé de très grands espoirs" en M. Obama, rappelle Robert Malley, de l'International Crisis Group. Mais l'objectif d'un gel complet de la colonisation était selon lui "irréaliste".
Il estime que "ce n'est pas tant l'échec de l'administration Obama à atteindre ses buts qui est inquiétant, mais le fait qu'ils aient défini ces ambitions sans un plan pour gérer la situation s'ils ne parvenaient pas à les atteindre".
Robert Hunter, un ancien ambassadeur américain auprès de l'Otan qui conseille désormais l'organisation RAND, invite l'administration à un virage "tactique".
"Il faut se concentrer sur tous les dossiers qui ne dépendent pas d'un succès de l'ensemble du processus de paix", explique-t-il à l'AFP, "mettre de côté le problème des colonies" et développer l'aide humanitaire à Gaza, par exemple, afin de tenter de réduire l'emprise du Hamas sur la population.
....bla bla bla bla

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