Meilleurs Vœux de Nouvel An 2016 à nos lectrices et lecteurs
La réalité ET (constatée pour ma part) et Ovni est heureusement de plus en plus prise au sérieux
(traduction bing)
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UFODATA – Une voie à suivre en Science OVNI
À UFODATA, nous cherchons à créer une science systématique et rigoureuse du phénomène OVNI. Telle une science est nécessaire en raison des certitudes mal placées sur les deux côtés du débat UFO: "croyants" convaincu que les OVNIS sont des extraterrestres, et "sceptiques" tout aussi convaincu qu'OVNIS n'existent pas encore. Notre propre point de vue est que l'humanité connaît très peu de choses sur la véritable nature d'OVNI inexpliqués, et que la seule façon de résoudre ce manque de compréhension est une étude scientifique sérieuse. C'est maintenant possible pour la première fois dans l'histoire de la recherche Ufologique en raison d'une convergence sans précédent des technologies d'appareil photo numérique haute résolution, instrumentation scientifique hors-la tablette, puissants peu coûteux plates-formes informatiques et omniprésent accès internet haut-débit.
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Par l'énergie du vivant, j'appose ma main de façon virtuelle, sur l'honorable poitrine des dignes représentants de l'alliance main droite sur le cœur..
Bonjour toutes et tous , ma main sur vos humbles poitrines sœurs et frères en l'esprit universel, main droite sur le cœur
que la paix en l'énergie nous conduisent a l'harmonie avec la source de toute VIE et tous les Acteurs du Vivant d'ici et d'ailleurs !
Merci honorable Amie de votre si louable aide fraternelle !
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Tous mes vœux a toutes et tous pour cette nouvelle Année ,qu'elle soit celle de notre retour a l'état de co créateur conscient et responsable en l'universel ......
Utopie réaliste: un mouvement milite pour un revenu de base en France
Versé à tous les citoyens de façon inconditionnelle et individuelle, le revenu de base se veut être un nouveau droit humain conforme à la Déclaration universelle des droits de l’Homme. Distribué de la naissance à la mort, sans contrôle des ressources ni exigence de contreparties, il serait cumulable avec tout autre revenu. Retour sur cette idée novatrice expérimentée un peu partout dans le monde et qui fait, en France, l’objet d’un mouvement citoyen actif.
L’idée n’est pas nouvelle. On l’attribue généralement à Thomas Paine qui, dès 1795 dans son livre La Justice Agraire, proposait de taxer la rente des propriétaires fonciers pour en redistribuer le produit à tous les citoyens sous la forme d’une dotation universelle. « Sans revenu, pas de citoyen », écrivait ce révolutionnaire franco-américain pour qui la terre était un bien commun dont une part des fruits devrait revenir à tous. Depuis, la productivité par tête a augmenté de manière inimaginée. Un peu plus de deux siècles plus tard, l’idée d’un partage élémentaire des richesses a fait son chemin et pourrait constituer un des piliers d’une société plus égalitaire où chacun pourrait choisir librement son travail, où la grande pauvreté serait abolie. C’est du moins ce à quoi aspirent les défenseurs de cette idée muée en mouvement en France : le Mouvement Français pour un Revenu de Base (MFRB)
Des expérimentations partout dans le monde
Si l’idée était un véritable OVNI à la fin du siècle dernier, les témoignages de l’intérêt du revenu de base se multiplient dans le monde. En Inde, plusieurs expérimentations menées notamment dans le Gujarat et le Madhya Pradesh ont permis à plus d’un million de personnes de sortir de la grande pauvreté. Loin d’être une incitation à la paresse, le revenu de base a permis à de nombreux paysans de travailler à leur propre compte en créant de activités locales et indépendantes. Le rapport poids/âge chez les enfants, principalement chez les jeunes filles, s’est notamment amélioré, de même que la fréquentation et les résultats scolaires des enfants. Les dépenses médicales des ménages ont également augmenté de 50%. En Namibie, après une première expérience réussie limitée à quelques villages en 2008, le gouvernement prépare une extension à l’ensemble du pays en direction des populations les plus pauvres, notamment celles qui n’ont pas accès à une retraite, qui sont en situation d’invalidité, ainsi que les enfants orphelins ou particulièrement vulnérables. En Alaska depuis 1976, l’ensemble des familles touchent chaque année un dividende citoyen, financé par la rente pétrolière, qui a atteint 2 072 dollars l’an passé.
Si d’autres expérimentations sont également en cours au Canada, au Brésil ou encore en Corée du Sud, l’Europe n’est pas en reste. En Finlande, plusieurs expérimentations devraient être menées à partir de 2017, à l’issue d’une étude lancée en novembre dernier par le nouveau gouvernement élu au printemps dernier. AuxPays-Bas, trente municipalités, dont Utrecht, envisagent d’expérimenter le revenu de base. En Suisse, une votation aura lieu le 5 juin prochain sur l’instauration du revenu de base dans l’ensemble du pays. Nombre de gouvernements envisagent donc cette solution alternative en guise de sortie de crise, en opposition aux logiques d’austérité qui ne portent pas leurs fruits.
L’Inconditionnel, journal sur le revenu de base
En France, le monde politique commence à se saisir de l’idée. En juillet dernier, le Conseil Régional d’Aquitaine a voté une étude pour préparer l’expérimentation d’un RSA versé automatiquement aux ayants droits. Une première étape vers un revenu de base dont le principe a été repris par les élus de la nouvelle régionAquitaine-Limousin-Poitou-Charente. La semaine dernière, le Conseil National du Numérique présentait à Myriam El Khomri, ministre du travail, un rapport préconisant une étude approfondie pour permettre la mise en place d’un revenu de base étapes par étapes en France. Le CNNum affirme la nécessité de repenser le travail et la protection sociale dans un contexte où, « dans l’hypothèse d’un remplacement du travail humain par des machines, la valeur créée […] ne serait plus répartie que dans quelques mains, accroissant de fait les inégalités et la paupérisation d’une grande partie de la population ».
Une proposition qui fait écho à la volonté du Premier Ministre, Manuel Valls, de réformer le RSA socle et qui vient d’être complétée par une proposition d’amendement à la loi sur le numérique, présentée par Delphine Batho, ancienne ministre de la justice et de l’écologie qui défend le revenu de base.Un financement collectif pour promouvoir le revenu de base
Depuis 2013, le revenu de base est activement défendu en France par les adhérents du Mouvement Français pour un Revenu de Base (MFRB). Forte d’une quarantaine de groupes locaux répartis sur toute la France, cette association transpartisane organise des réunions d’information, des projections, des apéro-débats dans les principales villes de France. Elle était aussi présente au Village Mondial des Alternatives de Montreuil, lors de la COP21 en décembre dernier. Par ailleurs, le groupe mène des actions d’influence en direction des élus pour que les politiques s’emparent du sujet. Et ça marche !
En ce début d’année, le MFRB mène une campagne de dons sur Helloasso pour renforcer ses actions, augmenter sa capacité militante, éditer un « Livre blanc du revenu de base » présentant les différentes options possibles et leurs financements, créer un portail d’informations et de débats sur internet et réimprimer le journal L’inconditionnel, outil pédagogique de diffusion du revenu de base. Jusqu’au 14 février, vous pouvezsoutenir le MFRB en apportant votre contribution sur le site HelloAsso.
Des questions en suspend
Toutefois, il faut relever que le RDB suscite de nombreuses questions et oppositions. Deux en particulier divisent ses partisans et opposants : son montant et sa source de financement. Ainsi certains libéraux se sont infiltrés dans la brèche, tels que Christine Boutin, Dominique de Villepin ou des cercles de réflexion libéraux, qui y voient avant tout un moyen de « simplifier » les prestations sociales… hors, si le RDB venait à remplacer la sécurité sociale ou les retraites, il provoquerait une régression sociale sans précédent dont les classes populaires et moyennes seraient les grandes perdantes. Si les vidéos du MFRB précisent bien que ce n’est pas leur souhait (il remplacerait seulement le RSA et les allocations familiales), il convient de rester vigilent pour que cette belle idée ne se retrouve pas dans de mauvaises mains. « Le fait que des gens très à gauche et d’autres très à droite se retrouvent masque un malentendu. Lorsqu’on creuse un peu, on voit vite apparaître des philosophies très différentes et même contradictoires », explique ainsi Julien Damon, professeur à Sciences-Po et spécialiste de la protection sociale.
Il en va de même pour son financement : si la logique voudrait que ce soit la répartition des richesses qui finance le RDB (impôt sur le revenu, taxation des flux financiers, etc.), certains avancent qu’il pourrait être financé par la TVA, « impôt indirect » non corrélé au revenu et inégalitaire au possible (la TVA est la taxe préférée du MEDEF, qui a obtenu son augmentation l’an dernier…). Enfin, si le RDB a de multiples atouts (même à 450 euros, voir vidéos ci-dessous), il ne pourra lutter contre la précarité qu’avec un montant bien supérieur au RSA, qui permet à peine de se loger : il devra être au moins équivalent au seuil inférieur de pauvreté, défini en France à 828 euros mensuels (50% du revenu médian). Précisons enfin qu’un projet « concurrent » au RDB est souvent débattu : le « salaire à vie » de l’économiste Bernard Friot (plus radical mais plus précis sur son financement, il propose d’abolir le marché du travail et de sortir du capitalisme).
Alors, enfin une utopie réaliste ? Pour en juger et découvrir les projets de cette campagne, rendez-vous surleur site officiel.
Si la vidéo est authentique on peut se demander si les contacts "officiels" ne sont pas déjà en cours, en tout cas cela se produira un jour.
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29 décembre 2015
Le C.E.R.N. JOUE À DIEU. Vidéo folle d'un Vortex directement au dessus du COMPLEXE EXPERIMENTAL Cernin Genève Suisse.
Le renseignement américain a publié des dossiers secrets évoquant des témoignages sur les "soucoupes volantes" recueillis à travers le monde.
La Central Intelligence Agency (CIA) a déclassifié des centaines de documents d'archives consacrés aux observations d'objets volants non identifiés (ovnis) dans différents pays du monde, notamment en Allemagne, au Congo Belge (colonie ayant existé jusqu'en 1960) et en Union soviétique, rapporte le magazine britannique en ligne The Mirror.
Les documents déclassifiés couvrent une période allant de 1947 à 1978, la plupart d'entre eux évoquant les témoignages recueillis à la fin des années 1940 et dans les années 1950. Les dossiers sont divisés en deux groupes, le premier comprenant des jugements négatifs et le second, des jugements affirmatifs concernant les origines extraterrestres des ovnis.
Les témoignages datant de 1952 font état de "soucoupes volantes" observées en Allemagne de l'Est, en Espagne, en Afrique du Nord et au-dessus des mines d'uranium au Congo Belge. La CIA a également publié les procès-verbaux de réunions de différentes commissions d'enquête et une consigne détaillée sur la façon d'observer les ovnis.
Aucun des documents déclassifiés ne fournit de preuves démontrant la provenance extraterrestres des objets volants non identifiés, car la plupart des témoignages ne contiennent pas suffisamment d'éléments pour entamer une étude scientifique. Le renseignement américain a publié ces dossiers à l'occasion de la diffusion de nouveaux épisodes de la série télévisée X-Files, consacrée aux phénomènes paranormaux et à la présence d'extraterrestres parmi les humains.
La publication des documents ufologiques intervient trois semaines après la promesse faite par la candidate démocrate à la présidence américaine Hillary Clinton "d'aller au fond du phénomène ovni" si elle venait à remporter le scrutin.
Le Maroc a été frappé début janvier par une vague de sons étranges qui suscite les plus folles spéculations. C'est le dernier épisode en date d'une série de phénomènes survenus partout dans le monde mais qui demeure pour l'instant sans explication.
Du 3 au 5 janvier, le Maroc a été touché par une vague de sons étranges ou Bruits Non Identifiés (BNI) selon un terme francophone en usage. Bien que ce phénomène soit répandu dans le monde, ces bruits inexpliqués, sinistres et étrangement mélodieux, ont été si spectaculaires que tout le pays en parle. D’autant que les sons ont retenti non pas dans quelque région isolée du royaume chérifien mais au coeur des grandes villes: Casablanca, Rabat, Sale, Tanger, Marrakech et Agadir énumère « Aujourd’hui Maroc ».
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(extraits)
Décédé le 5 février 2016 à l'âge de 85 ans, Edgar Mitchell est un cas unique dans l'histoire de la conquête spatiale américaine. Convaincu que les OVNIs sont d'origine extraterrestre, passionné de parapsychologie, le sixième homme sur la Lune n'a jamais hésité à mettre son statut en danger pour explorer les sujets les plus controversés.
« Je me sentais connecté. J’avais la sensation que les molécules de mon corps étaient fabriquées à partir des étoiles. »
« On développe une conscience globale instantanée, on se tourne vers l’humanité, on ressent un intense mécontentement de l’état du monde et l’envie compulsive de changer les choses. Depuis la lune, la politique internationale semble insignifiante. On aimerait prendre un politicien par la peau du cou, l’amener à un quart de million de miles de la Terre et lui dire: ‘Regarde ça, fils de pute’ ».
Vie extraterrestre, OVNIs, parapsychologie, EMI… Ces sujets forment une pierre philosophale mal lunée qui transforme en plomb tous ceux s’en approchent. Du moins aux yeux de la science académique.
Malgré son statut de héros de la conquête spatiale, le sixième homme sur la lune, présenté au mieux comme un doux rêveur, au pire comme un charlatan ou un fou, n’a pas fait exception à cette règle. Mais, en homme pour qui la liberté compte infiniment plus que la respectabilité, il n’en n'a jamais eu cure. En ce sens, il était un véritable pionnier et l’avenir dira si les terres qu’il a défrichées sont arides ou fertiles.
L'onde gravitationnelle prédite par Einstein détectée pour la 1ère fois
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Pour la première fois, une onde gravitationnelle, une "vibration de l’espace-temps" prédite par Albert Einstein, a été détectée ! Un événement majeur, le dénouement de plus d’un siècle d’effort, que la revue Nature devrait annoncer le jeudi 11 février 2016.
En 1995 des discussions avec un groupe de personnes dont les propos m'ont laissé penser qu'ils étaient des ET, cela s'est avéré exact en 2004, dans une discussion sur le sujet pollution l'un d'eux m'avait répondu : "Gaia n'est pas une théorie !".
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08.02.2016
L’univers est-il vivant?
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L’univers est-il d’une toute autre nature que celle purement physique que nous cherchons à comprendre? Sommes-nous des éléments infimes d’un ensemble «vivant» dont les éléments n’ont pas forcément conscience de l’existence.
Le scientifique Ethan Siegel tente de répondre à cette difficile question sur son blog publié par le magazine Forbes. Elle est formulée de la façon suivante: «sommes-nous les cellules du cerveau d’une créature bien plus importante, à une échelle planétaire, qui n’a pas conscience de son existence? Comment le savoir? Comment tester cette hypothèse?»
Il existe d’indéniables et troublantes analogies entre le vivant et le physique, entre l’infiniment petit et l’infiniment grand. Les atomes sont à l’image des systèmes solaires avec leurs électrons comme des planètes tournant autour d’un noyau comparable à une étoile. La structure à très grande échelle de l’univers et de ces galaxies n’est pas sans rappeler non plus les neurones du cerveau humain. Autre coïncidence remarquable, le très grand nombre d’étoiles dans une galaxie, de galaxies dans l’univers, d’atomes dans une cellule et de cellules dans un corps humain est compris entre 10 puissance 11 et 10 puissance 14. Des nombres qui sont comparables.
L’idée philosophique selon laquelle l’ensemble de l’univers est en fait une créature sensible n’est pas nouvelle. Et il est presque impossible d’y répondre. Tout simplement et pour commencer parce que nous ne savons pas exactement ce qu’est la conscience d’exister. Nos connaissances sont avant tout celles, partielles, de la réalité physique de l’univers. A partir de cela, on peut essayer de construire un raisonnement sur ce que serait un univers vivant et voir si cela correspond à cette réalité physique.
«Nous savons les choses suivantes: quel est l’âge de l’univers, combien de temps il faut pour que les différents éléments qui le compose envoient et reçoivent des signaux les uns des autres et quelle est la taille des structures gravitationnelles les plus importantes… Si nous faisons ces différents calculs et les comparons avec ce qu’il se passe même dans la plus simple des structures cérébrales, nous pouvons apporter une réponse partielle à la question de savoir s’il existe des structures sensibles à une échelle cosmique quelque part dans l’univers», écrit Ethan Siegel.
L’univers existe depuis 13,8 milliards d’années depuis le Big Bang et il est en expansion à un rythme rapide. Cela est cohérent avec l’hypothèse selon laquelle cet univers est composé de 68% d’énergie noire, 27% de matière noire, 4,9% de matière «normale», 0,1% de neutrinos et 0,01% de photons.
Comme la lumière se déplace à une vitesse constante dans cet univers, la plus rapide possible, nous pouvons déterminer combien il existe de différentes «communications» entre deux objets pris dans cette expansion. Le premier grand problème c’est l’expansion. Si nous envoyons aujourd’hui des signaux à la vitesse de la lumière, nous ne serons capables que de toucher 3% des galaxies de l’univers observable, le reste est inatteignable compte tenu de la vitesse à laquelle nous nous éloignons les uns des autres.
Les communications sont évidemment beaucoup plus faciles au sein de notre groupe local de galaxies avec la Voie Lactée, Andromède, la galaxie Triangulum et une cinquantaine d’autres plus petites. Elles vont peut-être, sans doute, fusionner pour former une structure plus massive de centaines de milliers d’années lumières au cours des prochains milliards d’année. De nombreux groupes et clusters de galaxies vont probablement connaître la même évolution.
Mais si nous comparons ces structures «locales» de l'univers avec le seul cerveau humain qui possède environ 100 milliards de neurones et 100 000 milliards de connections activées 200 fois par seconde par chaque neurone, il faudrait des milliers de milliards d’étoiles confinées dans un petit volume de l’espace pour avoir quelque chose de comparable. Ce n’est pas le cas.
Cela signifie que notre compréhension actuelle de la réalité physique de l’univers fait qu’il ne peut s’agir d’une entité vivante comparable à notre forme de vie et de conscience de nous même. Cela ne signifie pas que l’univers n’est pas vivant. Mais que cette forme d’existence, si elle existe, n’a tout simplement rien à voir avec la notre.