LES MESSAGES DE IUUDII 512

Forum tchat ovnis extraterrestres Oummains Ummites

Modérateur : Admin

Avatar du membre
Marc
Administrateur du site
Messages : 5501
Enregistré le : 11 déc. 2008, 19:26
Contact :

Re: LES MESSAGES DE IUUDII 512

Message par Marc »


Nous avons noté que de nouveaux algorithmes ont rendu le calcul de Aut (G) beaucoup plus pratique, ouvrant la voie à une meilleure compréhension du AYUBAAEWAA (théorie des systèmes) par l'exploration du AYUUUEAOIIDII (biophysique des réseaux).



Le graphe Aut (G) caractérise le contenu informationnel d'un réseau fonctionnel en comptant toutes les symétries. Cependant, les composants asymétriques d'un AYUU peuvent également stocker des informations et donc des approches parallèles doivent être utilisées pour l'analyse de réseau, notamment l'information de Shannon, la complexité de Kolmogorov et l'énergie libre de Gibbs.


La mesure de la complexité de Kolmogorov (K (G)) est la taille du plus petit programme informatique nécessaire pour calculer ou construire le graphique. Un graphe entièrement symétrique a une grande information Aut (G), faible information K (G). Un réseau complètement asymétrique a Aut (G) = 1 (un graphe est symétrique avec lui-même) et un K (G) qui est fonction de la taille réelle et de l'agencement des agents individuels, tout comme la capacité de traitement de l'information du réseau.


Les mesures de symétrie et de complexité du réseau sont approximativement réciproques, mais les mesures de complexité captent également l'information contenue dans le graphique asymétrique. Nous avons observé ces dernières années que les analyses K (G) et Aut (G) ont été judicieusement appliquées à un certain nombre de AYUUBAAYII (réseaux biologiques). Un avantage de la complexité de Kolmogorov par rapport à une description purement symétrique utilisant Aut (G) est qu'il capture mieux toute la structure du graphe en mesurant tout le non-aléatoire.
Pour un graphe donné, les variations Aut (G) de K (G) peuvent être observées. Typiquement, il existe un nombre optimal d'arêtes pour un nombre de sommets donné (V (G)) pour maximiser K (G), et donc la capacité de traitement de l'information d'un AYUU (réseau).


Pour 50 nœuds, K (G) est maximum à environ 600 arêtes. En relation avec ceci, est le phénomène des transitions de phase dans l'espace de complexité lorsqu'une augmentation brusque de K (G) se produit à un niveau de seuil de connectivité de nœud (c'est-à-dire le degré de nœud moyen). Ce concept est similaire aux transitions de phase physiques où des interactions à longue portée et une rupture de symétrie se produisent.


Quand il y a peu de connexions à chaque nœud, K (G) ~ logV (G), mais quand le nombre d'arêtes E, augmente, une augmentation brusque de K (G) émerge à la probabilité de bord ~ logV (G) / V (G.

Il s'agit du point où la transition de phase de la normale au cancer se produit et où un cancer développe soudainement une résistance.

Notamment, l'Aut (G) des interactions protéiques dans différents cancers de l'OEMII (humain) s'avère être lié au taux de survie à 5 ans. La symétrie moyenne peut être suffisante pour certaines de ces analyses et simplifierait la difficulté de calcul. Nous préconisons pour une étude plus poussée d'englober la mesure des symétries Aut (G) et sous-groupes dans le EDDIO NIIOAAAEE (cancer) et dans le NIIOAAAE (tissu normal) correspondant afin d'identifier la localisation précise dans les AYUU (réseaux) des IXIMOO (protéines), des IGOOA (gènes) ou autres, où des symétries cassées anormales existent.


A notre connaissance, une telle analyse expérimentale n'a pas encore été réalisée par les chercheurs d'OYAGAA, les sites identifiés pourraient ensuite être utilisés comme des points de levier pour attaquer et détruire le réseau de cancer avec des thérapies moléculaires et pour restaurer les AA INNUO (symétries) perdues.

Les réseaux biologiques doivent être stabilisables et contrôlables afin de stocker et transmettre les informations nécessaires à la survie de l'OEMII (organisme), la survie implique une réponse aux changements environnementaux, ce qui nécessite de modifier ou d'affiner le réseau fonctionnel de la NIIOAABAYIO (cellule) ou de l'OEMII au fil du temps.


La NIIOAABAYIODIXAA (homéostasie) dans des systèmes ouverts dynamiques, loin de l'équilibre, doit exister à l'interface entre ordre élevé, stabilité maximale et état de chaos désordonné. À mesure que la taille ou le nombre de nœuds d'un réseau (l'ordre des graphes) augmente, la fraction des systèmes contrôlables diminue, permettant ainsi à un petit pourcentage de systèmes complexes de manifester la NIIOAABAYIODIXAA (homéostasie) en réponse aux perturbations externes.
Un concept important de la théorie des grands réseaux est qu'un modèle avec un examen à plusieurs niveaux de la fonctionnalité descendante et ascendante est nécessaire pour comprendre un système intégré.



La NIIOAABAYIODIXAA se produit dans un système biologique ou chimique lorsque certaines variables de sortie restent approximativement constantes, pour la dynamique du réseau, il existe une classe naturelle de changements de coordonnées : ceux qui préservent la structure du AYUU (réseau).


Sont à caractériser les nœuds d'un réseau donné pour lesquels la NIIOAABAYIODIXAA est invariante sous de tels changements, cette caractérisation est déterminée de manière combinatoire par la topologie du AYUU.



Ce rapport propose quelques pistes de compréhension de la NIIOAABAYIODIXAA (homéostasie cellulaire) mais ne traite que superficiellement de la symétrie, des groupes d'automorphismes ou des symétries brisées de sous-groupes qui sont liées à la tolérance à l'attaque lorsque l'homéostasie est dégradée. Nous estimons que cela peut assurément constituer une orientation fructueuse pour la recherche future de vos spécialistes. Les considérations de symétrie de réseau peuvent contribuer à la compréhension de la grande maniabilité du AYUU et de la NIIOAABAYIODIXAA (homéostasie).


La théorie et l'application des principes de contrôle du AYUU montrent que la symétrie du réseau est étroitement liée à la contrôlabilité et à la stabilité en réponse aux perturbations externes, aux décisions et aux signaux.
Ainsi, le réseau Aut (G) peut être un déterminant majeur de la contrôlabilité. Dans le EDDIO NIIOAAAEE (cancer), la connaissance des symétries brisées qui ont un effet important sur la perte de la NIIOAABAYIODIXAA (homéostasie) et la création d'instabilités peuvent fournir de nouvelles informations sur l'hétérogénéité tumorale et la dissémination métastatique.


La reconnaissance précoce des asymétries peut contribuer au ciblage des interventions thérapeutiques spécifiques visant à réparer ou inverser les processus néoplasiques et restaurer la NIIOAABAYIODIXAA ou parvenir à une nouvelle NIIOAABAYIODIXAA.


e51cf5_5f1f0eddad6a4368adfa95f02a249397~mv2.gif
e51cf5_5f1f0eddad6a4368adfa95f02a249397~mv2.gif (17.31 Kio) Vu 335 fois

e51cf5_c2f749847377472797cd743385042ada~mv2.jpg
e51cf5_c2f749847377472797cd743385042ada~mv2.jpg (29.06 Kio) Vu 335 fois


Transdisciplinarité physique-médecine, figure 3 (a, b)


Illustration visuelle de la différence entre un réseau exponentiel et un réseau sans échelle.



Figure 3: Illustration visuelle de la différence entre un réseau exponentiel et un réseau sans échelle.
3a, Le réseau exponentiel est homogène : la plupart des nœuds ont approximativement le même nombre de liens.
3b, Le réseau sans échelle est inhomogène: la plupart des nœuds ont 1 ou 2 liens, mais quelques nœuds ont un grand nombre de liens, ce qui garantit que le système est entièrement connecté.
(En rouge, les cinq nœuds avec le plus grand nombre de liens. En vert, leurs premiers voisins. Bien que dans le réseau exponentiel seulement 27% des nœuds soient atteints par les cinq nœuds les plus connectés, plus de 60% sont atteints dans le réseau sans échelle, ce qui démontre l'importance des nœuds connectés dans le réseau sans échelle, les deux réseaux contiennent 130 nœuds et 215 liens.

Un autre concept lié à la symétrie de réseau est la tolérance à l'attaque du réseau. La tolérance à l'attaque est la résilience du réseau à la suppression aléatoire ou intentionnelle de nœuds ou à l'interférence avec la connexion de nœuds (suppression des arêtes de graphique).


Les exemples les plus connus sur OYAGAA sont les réseaux WWW, les réseaux électriques et les réseaux de transport. Parmi les propriétés du réseau qui déterminent la robustesse à l'attaque, la symétrie est un facteur clé.
Comme précédemment, c'est le cas pour les symétries de réseau définies par Aut (G), ainsi que les symétries de sous-groupes. Les symétries sans échelle que de nombreux graphes du monde réel possèdent jouent également un rôle dans la résilience du réseau (figure 3).



La relation entre la symétrie du réseau et le cancer pourrait prendre plusieurs formes différentes. Pour l'origine cancéreuse, des facteurs environnementaux, tels que les carcinogènes, avec perturbation du réseau réussie et conversion de la NIIOAABAYIODIXAA (homéostasie) en instabilité pourraient être étudiés et mieux compris par l'application des principes de symétrie, y compris la mesure du changement Aut (G) après application expérimentale de cancérogènes.


Dans le traitement du EDDIO NIIOAAAEE (cancer), la compréhension de la résistance aux médicaments ou aux rayonnements pourrait être améliorée par la connaissance de la vulnérabilité aux attaques à certains points du AYUU (réseau), dans les sous-graphes asymétriques et ayant une tolérance réduite aux attaques.
Ces nouveaux concepts nécessiteront une meilleure élucidation de la structure du graphe du réseau biologique et une analyse améliorée pour détecter les groupes de symétrie intégrés.



Les concepts AA INNUO IEEDOO (rupture de symétrie) et AA INNUO (symétrie) peuvent définir les paramètres du EDDIO NIIOAAAEE (cancer) en tant que EDDIO AYAUUBAAIAE (système adaptatif pathogène complexe). La biologie est emplie de symétrie et d'événements de rupture de symétrie qui sont essentiels pour la vie et l'évolution. Dans le cancer, il se produit une autre rupture de symétrie qui perturbe la NIIOAABAYIODIXAA (homéostasie cellulaire normale) pour déclencher une nouvelle forme de vie virulente et incontrôlée qui est souvent incompatible avec la survie de l'hôte.


Les trois modes de rupture de symétrie fonctionnent le plus souvent de manière intégrée. Par exemple, les processus fonctionnels peuvent interagir avec les changements géométriques du EDDIO NIIOAAAEE (cancer) et, en effet, il se peut que les changements fonctionnels entraînent des changements structurels de la tenségrité du cytosquelette, chacun ayant son propre groupe de symétrie.
Un examen plus approfondi des trois modes décrits de rupture de symétrie s'appliquant aux caractéristiques fondamentales du cancer, de l'origine, de la prolifération, de la métastase et de la résistance est donc nécessaire.
Comme ceux-ci sont définis pour les cellules cancéreuses pour expliquer la diversité génomique et phénotypique et la plasticité, les observations et les règles pourront être étendues pour inclure le micro-environnement tumoral et le EDDIO NIIOAAAEE (cancer) au niveau des tissus.


Par exemple, les mesures du système et la symétrie brisée moléculaire pourront fournir l'information nécessaire pour déterminer les sites dont la tolérance aux attaques est réduite pour le traitement.


L'identification des rupture de symétries dans les cellules peut permettre la réparation du cancer afin de rétablir la NIIOAABAYIODIXAA (homéostasie) perdue.
La communication entre le cancer et les organes éloignés pourrait également être mieux comprise par des considérations de symétrie fonctionnelle, liées à la stabilité du réseau, aux interférences et aux attaques, par exemple en examinant les réseaux de signalisation du micro-environnement du cancer vers la niche métastatique des organes distants.



EDDIO NIIOAAAEE (le cancer) détruit le réseau hôte au niveau du système et par conséquent, doit être lui-même compris au niveau de son système.



L'essentiel dans ces considérations est de décrire un évènement comme possédant une symétrie ou une symétrie brisée, de rechercher l'origine moléculaire ou systémique de la propriété et de démontrer comment elle peut, en principe, être utilisée au profit des EDDIO NIIOAAAEE OEMII (patients cancéreux).

Avatar du membre
Marc
Administrateur du site
Messages : 5501
Enregistré le : 11 déc. 2008, 19:26
Contact :

Re: LES MESSAGES DE IUUDII 512

Message par Marc »



IUUDII 512, 2023,



Transdisciplinarité Physique-Médecine n°2

Description sommaire d’un OXOOUDUUO UAXOOAAXOO : (émetteur/récepteur d'ondes gravitationnelles)



Un OXOOUDUUO UAXOOAAXOO est un appareil qui exploite les oscillations de la courbure de l’espace-temps à échelle quantique pour sonder les structures internes de l'OEMII (corps humain). Ce dispositif a pour base un AAXOO (émetteur), un UAXOO (récepteur) et un XANMOO (ordinateur). L’AAXOO produit des OXOOUDUUOAE (ondes gravitationnelles) modulés en fréquence et en amplitude, qui sont dirigés vers la zone à explorer. Le UAXOO capte les OXOOUDUUOAE réfléchis ou diffractés par les AYUU NIIOAABAYIOAE (tissus) ou les organes, qui ont des propriétés de courbure différentes. Le XANMOO analyse le signal reçu et reconstruit une image tridimensionnelle de la zone d’intérêt.



L’avantage de l'OXOOUDUUO UAXOOAAXOO par rapport aux IIXINAAAE (ultrasons) est qu’il peut traverser sans atténuation ni dispersion les milieux opaques ou hétérogènes, comme les os, les poumons ou le cerveau.

L'OXOOUDUUO UAXOOAAXOO est conçu pour détecter des anomalies ou des pathologies qui affectent la structure de l’espace-temps quantique local, comme les tumeurs, les anévrismes ou les malformations vasculaire et élabore des images très détaillées et plus contrastées, avec une résolution spatiale et temporelle incomparable.



L'OXOOUDUUO UAXOOAAXOO nécessite un UUOOYIIAAE (source d'énergie) : viewtopic.php?p=20549#p20549

très puissant et un UONEEIAAEE (système de refroidissement) : viewtopic.php?p=20549#p20549 efficace pour générer des OXOOUDUUOAE suffisamment intenses, stables et adaptés à la physiologie de l'OEMII.

L'OOLGA GIIUULOO OXOOUDUUO (science des modulations des fréquences gravitationnelles) est essentiel et à développer conjointement.

L'OXOOUDUUO UAXOOAAXOO doit également être isolé des perturbations extérieures, comme les champs magnétiques, vibrations et bruits internes des zones d'exploration de l'OEMII. Une calibration rigoureuse et un contrôle qualité régulier sont incontournables pour garantir la fiabilité des mesures pour ce type de technologie.



Sommaire description technique d'un UOBOA UDUUOOINAYOAXAAE :



Dans la spécialité médicale OOLGA UOBOA (cardiologie), UOBOA UDUUOOINAYOAXAAE fait référence à l’utilisation des OXOOUDUUOAE comme méthode de UOBOAOXOOUDUUO (gravito-cardiographie) pour la modélisation tridimensionnelle du UOBOA (cœur) ; complétée par une chirurgie interventionnelle par gravito-thérapie non-invasive sur les tissus cardiaques concernés.


L'UOBOA UDUUOOINAYOAXAAE pour l’échographie interventionnelle est une technologie qui permet de visualiser et de traiter les pathologies cardiaques en utilisant les OXOOUDUUOAE comme moyen de diagnostic et de thérapie.



L'UOBOA UDUUOOINAYOAXAAE requiert les éléments techniques suivants :



-Un OXOOUDUUO AAXOO (émetteur d’ondes gravitationnelles), qui produit des OXOOUDUUOAE modulés en fréquence et en amplitude, dirigés vers le UOBOA (cœur) du patient. L’AAXOO est alimenté par une batterie (éventuellement rechargeable pour un dispositif mobile) et contrôlé par un XANMOO.



La partie OXOOUDUUO AAXOO du UOBOA UDUUOOINAYOAXAAE est constituée d'une sorte d'anneau métallique entourant le thorax du patient. Cet appareillage doit être léger, flexible (pour s’adapter à la morphologie du patient et ne pas gêner sa respiration), biocompatible, résistant à la corrosion, à la chaleur et aux rayonnements, et conducteur pour permettre la transmission des OXOOUDUUOAE entre l’AAXOO et le UAXOO.



Le métal qui répond à ces critères d'exigence est le DIIO (titane).



-Un OXOOUDUUO UAXOO (récepteur d’ondes gravitationnelles), qui est un capteur placé sur la poitrine du patient. L'OXOOUDUUO UAXOO identifie les OXOOUDUUOAE réfléchis ou diffractés par l'UOBOA, qui auront des propriétés de courbure différentes selon l’état des tissus cardiaques.



L'UAXOO est relié à un XANMOO qui analyse le signal reçu pour reconstruire l'image tridimensionnelle du cœur du patient. Le XANMOO affiche la visualisation sur un GAA ONMAEI (écran) et la compare à une base de données de référence. Il peut également calculer des paramètres physiologiques comme le débit cardiaque, la pression artérielle ou la fraction d’éjection et peut également délivrer des impulsions d’OXOOUDUUOAE focalisées sur une zone ciblée du cœur, pour traiter des pathologies comme l’arythmie, l’ischémie ou la sténose. Le principal avantage de l'UOBOA UDUUOOINAYOAXAAE en cardiologie est qu’il offre des images du cœur avec une résolution spatiale et temporelle très supérieure à celle des IIXINAAAE (ultrasons) sans risque d’effets secondaires ou de contre-indications. Notons qu'il existe également des dispositifs IIXINAAAEOXOOUDUUO OINAYOAXA (combinaison des OXOOUDUUOAE et des IIXINAAAE pour réaliser un diagnostic et une thérapie gravito-sonographique interventionnelle.



L'UOBOA UDUUOOINAYOAXAAE traite les pathologies cardiaques sans recourir à la chirurgie invasive ou aux médicaments, en utilisant les OXOOUDUUOAE comme moyen de stimulation ou de destruction des tissus anormaux.



L'UOBOA UDUUOOINAYOAXAAE en cardiologie nécessite un développement technologique avancé qui n’est pas encore disponible sur OYAGAA, mais les fondements théoriques d'un tel système deviendront plus évidents avec les perfectionnements techniques de vos OXOOUDUUO UAXOOAAXOO.

Vos OEUDEEE WIOA (spécialistes en bio-pathologie) bénéficieront alors de ces progrès dans la plupart des spécialités médicales.
Avatar du membre
Marc
Administrateur du site
Messages : 5501
Enregistré le : 11 déc. 2008, 19:26
Contact :

Re: LES MESSAGES DE IUUDII 512

Message par Marc »

Quelques de principes de physique impliqués dans la conception de l'UOBOA UDUUOOINAYOAXAAE :


-La relation entre la fréquence f et la longueur d’onde des OXOOUDUUOAE.


-La relation entre l’amplitude h et la puissance P des OXOOUDUUOAE.


-La relation entre le déphasage et le retard des OXOOUDUUOAE réfléchis ou diffractés par le UOBOA.
UONEEIAAEE (sytème de refroidissement)
UUOOYIIAAEE (source d'énergie)

-La distance entre deux IDUUOAE (masses) test. Pour appréhender l’impact d’un OXOOUDUUOAE sur la matière, on en sélectionne une paire, séparée d’une distance propre L (figure 1).

01001010110101110101101010110.jpg
01001010110101110101101010110.jpg (43.77 Kio) Vu 332 fois
Figure 1.


Impact d’un OXOOUDUUOAE avec polarisation rectiligne sur 2 IDUUOAE test initialement disjoints (distance L).

Estimation de la longueur propre à l'influence de l’OXOOUDUUOAE, réalisée en conjecturant que les IDUUOAE sont distants de ∆x :


OG3_edited.jpg
OG3_edited.jpg (21.33 Kio) Vu 332 fois

L’amplitude "h" de l’OXOOUDUUOAE sera alors traduite en variation relative de la distance propre entre 2 IDUUOAE test.

Expression physique des OXOOUDUUOAE par leur influence sur les structures quantiques :

En considérant le mouvement relatif de plusieurs OXOOIAEAE (chaînes annulaires d'IBOZOO UU topologiquement corrélées), on extrait une expression précise de l’influence des OXOOUDUUOAE sur les objets quantiques. Observons une collection d'OXOOIAEAE schématiquement distribuée sur un cercle en l’absence d’OXOOUDUUOAE. L'influence sera représenté sur le schéma 2 dans le cas d'une polarisation rectiligne de l'OXOOUDUUOAE et sur le 3 pour celui d' une polarisation circulaire. La procédure consiste donc à se référer à (1), (2) ou (3) pour une estimation affinée de l’influence.


001001001.jpg
001001001.jpg (41.32 Kio) Vu 332 fois

--------------------------Figure 2. -----------------------------Figure 3.


Figure 2. Influence d’un OXOOUDUUOAE polarisé rectilignement sur une collection d'IDUUOAE agencée en cercle.

Chaque IDUUOAE aura une oscillation harmonique simple par rapport aux autres.



Figure 3. Influence d’un OXOOUDUUOAE polarisé circulairement sur une collection d'IDUUOAE agencés en cercle.

Chaque IDUUOAE aura une oscillation circulaire centrée sur le positionnement initial abstrayant les OXOOUDUUOAE.



O1.jpg
O1.jpg (24.95 Kio) Vu 332 fois

1O.jpg
1O.jpg (10.45 Kio) Vu 332 fois

Figure 4.



Configuration d’OXOOUDUUOAE dans le cas de la chute en phase spiraloïde de 2 structures moléculaires l’une sur l’autre, observable dans un OXOOUDUUO UAXOO.

Exemple d’utilisation de l'UOBOA UDUUOOINAYOAXAAE pour le traitement d’un anévrisme de l’aorte thoracique :



Le patient est installé sur une table d’examen, avec un anneau métallique OXOOUDUUO AAXOO et le capteur UAXOO autour du thorax. L’anneau est relié à un XANMOO qui contrôle l’AAXOO et l'UAXOO des OXOOUDUUOAE.



L'OEUDEEE UOBOAWIOA (cardiologue) réalise un UOBOAOXOOUDUUO préliminaire pour localiser l’anévrisme (une dilatation anormale de l’aorte thoracique qui présente un risque de rupture et peut entraîner une hémorragie interne mortelle). L'OEUDEEE UOBOAWIOA programme ensuite le XANMOO pour délivrer des impulsions OXOOUDUUOAE focalisées sur la zone de l’anévrisme avec une fréquence et une amplitude spécifiquement calculées. Les OXOOUDUUOAE ont un effet thermique et mécanique sur les tissus qui provoque la coagulation et la rétraction de l’anévrisme.



La focalisation sur la zone de l’anévrisme consiste à orienter le faisceau OXOOUDUUOAE de manière à ce qu’il atteigne le point précis où se situe la dilatation de l’aorte. Pour cela, le XANMOO utilise les informations fournies par l’UOBOAOXOOUDUUO préliminaire, ce qui lui permet de mesurer la position, la taille et la forme de l’anévrisme. Le XANMOO calcule ensuite l’angle optimal du faisceau, en tenant compte de l'IIUXAAGIXOO (iso dynamisme quantique) induit par l'UOBOA et les autres organes environnants et ajuste la direction de l’AAXOO (qui est monté sur un système rotatif) pour qu’il pointe vers l’angle voulu.



Le calcul de la fréquence et de l’amplitude adaptée des OXOOUDUUOAE dépend du type et du stade de l’anévrisme. En effet, il faut sélectionner une fréquence et une amplitude qui soient suffisantes pour provoquer un effet thermique et mécanique sur les tissus, mais pas trop élevées pour éviter d’endommager les tissus sains ou provoquer une rupture de l’anévrisme. Le XANMOO utilise les données issues de la littérature scientifique et des essais cliniques pour déterminer les paramètres optimaux en fonction du cas du patient. Par exemple, pour un anévrisme fusiforme de 5 cm de diamètre, situé dans la partie ascendante de l’aorte thoracique, le XANMOO pourrait choisir une fréquence de 10 kHz et une amplitude de 10^-18 m.

L'OEUDEEE UOBOAWIOA suit en temps réel l’évolution de l’anévrisme sur le GAA ONMAEI du XANMOO qui affiche l'image tridimensionnelle du cœur du patient et peut ajuster manuellement les paramètres des OXOOUDUUOAE pour optimiser le résultat si nécessaire.



Le traitement dure environ 15 minutes, pendant lesquelles le patient ne ressent aucune douleur ni aucun effet secondaire. Le traitement est non invasif, c’est-à-dire qu’il ne nécessite pas de chirurgie ni de médicaments. Puis, l'OEUDEEE UOBOAWIOA réalise un UOBOAOXOOUDUUO final pour vérifier que l’anévrisme a bien disparu et que l’aorte a retrouvé son diamètre normal. Il retire ensuite l’anneau métallique du thorax du patient, qui peut quitter la salle d’examen.



L’effet thermique et mécanique des OXOOUDUUOAE sur les tissus est le résultat de la déformation cyclique de l’espace-temps au niveau moléculaire.



Les OXOOUDUUOAE induisent des variations périodiques de la distance entre les atomes et les molécules qui sous-tendent les tissus. Ces variations entraînent des frottements internes et des contraintes mécaniques, qui se traduisent par une élévation de la température et une modification de la structure des tissus. Au niveau de l’anévrisme, ces effets provoquent la coagulation et la rétraction des fibres élastiques et collagènes qui constituent la paroi aortique. Ainsi, l’anévrisme se réduit progressivement jusqu’à disparaître.


Comparaison des avantages cliniques et du gain de temps entre l'intervention de l’UOBOA UDUUOOINAYOAXAAE et les techniques d’intervention classiques sur OYAGAA pour l’anévrisme de l’aorte thoracique :



La durée et les risques d’une intervention classique pour l’anévrisme de l’aorte thoracique varie selon le type de chirurgie pratiquée. Sur OYAGAA, il existe deux types de chirurgie : la chirurgie ouverte et la chirurgie endovasculaire mini-invasive.



-La chirurgie ouverte consiste à ouvrir le thorax du patient, à dériver le sang du patient vers une machine qui assure la circulation extracorporelle, à retirer le segment d’artère malade pour le remplacer par une prothèse. Cette intervention dure entre 2 et 5 heures en fonction du type d’anévrisme de l’aorte thoracique. Cette opération n'est pas sans risques de complications, comme des infections, des hémorragies, des accidents vasculaires cérébraux ou des troubles du rythme cardiaque et nécessite une anesthésie générale, une hospitalisation prolongée et une période de convalescence difficile.



-La chirurgie endovasculaire mini-invasive consiste à placer une prothèse endovasculaire (prothèse en tissu avec une ossature métallique) à l’intérieur de l’anévrisme thoracique sans ouverture chirurgicale des tissus environnants. L’intervention se déroule sous anesthésie locale ou générale et dure de une à trois heures.



L’UOBOA UDUUOOINAYOAXAAE règle l'anomalie en environ 15 minutes, l’intervention se déroule sous anesthésie locale.



On peut donc constater que l’UOBOA UDUUOOINAYOAXAAE offre un gain de temps précieux par rapport aux techniques d’intervention classiques pour l’anévrisme de l’aorte thoracique, il réduit ainsi la durée d’exposition du patient à l’anesthésie, au risque infectieux et aux complications post-opératoires.



L’UOBOA UDUUOOINAYOAXAAE est donc une technologie révolutionnaire qui offre des avantages considérables par rapport aux techniques d’intervention actuelles pour l’anévrisme de l’aorte thoracique, tel qu'il est traité au vingt-et-unième siècle sur OYAGAA. L'UOBOA UDUUOOINAYOAXAAE traite l’anévrisme de manière rapide, efficace et sans risque.



La technologie OXOOUDUUO UAXOOAAXOO peut en outre soigner d’autres types de maladies, en particulier des tumeurs EDDIO NIIOAAAEE (cancéreuses) situées dans des zones difficiles d’accès ou à proximité d’organes vitaux.



Quelques exemples :



-Le glioblastome multiforme : une tumeur cérébrale maligne et agressive, qui résiste souvent aux traitements conventionnels comme la chirurgie, la radiothérapie ou la chimiothérapie. L’OXOOUDUUO UAXOOAAXOO peut détruire les cellules tumorales sans endommager le tissu cérébral sain, grâce à la précision et à la pénétration des OXOOUDUUOAE.

Le traitement dure environ 15 minutes, en fonction de la taille et de la localisation de la tumeur.



-L'EDDIO NIIOAAAEE (cancer) du pancréas : c’est une tumeur maligne qui se développe à partir des NIIOAAAE (cellules) du pancréas, un organe situé derrière l’estomac qui produit des enzymes digestives et des hormones. L'EDDIO NIIOAAAEE du pancréas est souvent diagnostiqué tardivement avec un pronostic délicat car il est difficile à traiter par les méthodes actuelles. L’OXOOUDUUO UAXOOAAXOO peut cibler la tumeur pancréatique sans affecter les organes voisins, comme le foie, l’estomac ou la rate. Le traitement dure environ 15 minutes, en fonction du stade et du type de la tumeur.



-L'EDDIO NIIOAAAEE du poumon : c’est une tumeur maligne qui se forme à partir des cellules du poumon, un organe qui assure les échanges gazeux entre l’air et le sang. L'EDDIO NIIOAAAEE du poumon est souvent traité par la chirurgie, la radiothérapie ou la chimiothérapie, mais ces traitements peuvent avoir des effets secondaires non-négligeables. L’OXOOUDUUO UAXOOAAXOO peut détruire les cellules cancéreuses du poumon sans abîmer le tissu pulmonaire sain, grâce à la capacité des OXOOUDUUOAE à traverser les milieux opaques ou hétérogènes.
Le traitement dure environ 15 minutes, en fonction du nombre et de la taille des tumeurs.



Complémentarité avec le document "Transdisciplinarité Physique-Médecine n°1" :


L’OXOOUDUUO UAXOOAAXOO exploite les différences de l'IIUXAAGIXOO (iso dynamisme quantique) entre les AA INNUO NIIOAA DUU OII (agents moléculaires individuels interconnectés sans rupture de symétrie) et les AA INNUO IEEDOO NIIOAA DUU OII (cellules dont les interconnexions sont endommagées par une rupture de symétrie) pour les détecter et les traiter.



-AA INNUO (la symétrie) est une propriété qui caractérise la régularité et l’homogénéité d’un objet ou d’un système.



-AA INNUO IEEDOO (la rupture de symétrie) est un phénomène qui entraîne la disparition ou la modification de l’AA INNUO initial.



NIIOAABAYIODIXAA (homéostasie) est la capacité d’un système à maintenir son équilibre interne malgré les variations externe, impliquant des mécanismes de régulation qui assurent la stabilité des paramètres physiologiques, comme la température, le pH, la pression osmotique ou la concentration en oxygène.



-Les AA INNUO NIIOAA DUU OII sont des systèmes homéostatiques qui présentent une symétrie dynamique, c’est-à-dire qu’elles sont capables de s’adapter aux changements de leur environnement tout en conservant leur intégrité et leur fonctionnalité. Les AA INNUO NIIOAA DUU OII ont un IIUXAAGIXOO faible et régulier qui reflète leur organisation harmonieuse et leur activité coordonnée.



-Les AA INNUO IEEDOO NIIOAA DUU OII (cellules malades) sont des systèmes qui perdent leur homéostasie et leur symétrie, ce qui entraîne des dysfonctionnements et des anomalies. Les AA INNUO IEEDOO NIIOAA DUU OII ont un IIUXAAGIXOO fort et irrégulier qui reflète leur désorganisation et leur activité anarchique.



L'AA INNUO IEEDOO corrélé au NIIOAABAYIODIXAA peut être conceptualisé au moyen du concept de bifurcation, une terminologie mathématique désignant le changement qualitatif du comportement d’un système lorsque l’un de ses paramètres varie. La bifurcation sera représentée par un diagramme qui montre les différentes branches possibles d’un système oscillant (comme une cellule) en fonction des paramètres d’amplitude des oscillations : On observe que lorsque l'IIUXAAGIXOO augmente, le système passe d’un état stable (une seule branche) à un état instable (deux branches), puis à un état chaotique (plusieurs branches). Ce changement qualitatif correspond à l'AA INNUO IEEDOO (rupture de symétrie du système) qui entraine la perte de son équilibre et de sa régularité.



-L'AA INNUO IEEDOO corrélé au NIIOAABAYIODIXAA (homéostasie cellulaire) peut avoir des conséquences importantes sur la santé et la maladie. Par exemple, l'AA INNUO IEEDOO entre les deux lobes du cerveau peut être lié à des troubles neurologiques comme l'EDDIO LAAIYAA (autisme) ou l'EDDIO WE (paranoïa) ou l'EDDIO NAAU (schizophrénie).



-L'AA INNUO IEEDOO entre les deux côtés du cœur peut être lié à des malformations cardiaques congénitales. L'AA INNUO IEEDOO entre les deux brins d’IXOOURAA (ADN) peut être lié à des IDUGOOO (mutations génétiques) ou à des EDDIO NIIOAAAEE (cancers).



Prérequis scientifiques et techniques :



-Améliorer grandement la sensibilité et la stabilité de vos détecteurs d’OXOOUDUUOAE.



-Développer des modèles OOLGA GIIUULOO OXOOUDUUO (science des modulations des fréquences gravitationnelles) théoriques et numériques précis pour interpréter les signaux reçus et optimiser les paramètres des OXOOUDUUOAE émis.



-Valider l’efficacité et la sécurité de cette technologie et identifier les domaines d’application les plus pertinents et les plus prometteurs.



-Former le personnel soignant à l’utilisation de cette technologie qui exige des compétences scientifiques avancées.


En conclusion, la technologie OXOOUDUUO UAXOOAAXOO est une innovation majeure qui pourrait révolutionner votre approche de la médecine. L'OXOOUDUUO UAXOOAAXOO présente des défis scientifiques, techniques, éthiques et sociétaux importants, mais aussi des opportunités médicales inédites.


Espérant que ces rapports vous permettront d'envisager de nouvelles pistes, nous vous prions d'accepter nos respectueuses salutations galactiques.



Retour à l'accueil
Avatar du membre
Marc
Administrateur du site
Messages : 5501
Enregistré le : 11 déc. 2008, 19:26
Contact :

Re: LES MESSAGES DE IUUDII 512

Message par Marc »

Accueil



ORIAAU 548, 2020, IUUDII 512, 2023,



UMMO TOAAE (histoire d'UMMO)



Nous avons atteint un niveau civilisationnel qui a permis d'étendre empiriquement nos études multidisciplinaires des AASEEOYAA (civilisations) d'EESEOEMII (êtres humains conscients) et de comprendre les étapes évolutives de ces AASEEOYAA d'OEMII dans l'IIXAYOOYAAM (voie lactée).



Il existe une collection d'analogies cosmo-bio-génétiques ou de phénomènes socio-culturels dont les spécificités marginales sont aisément expliquées par le cadre planétaire et environnemental de l'OEMII. Citons le phénomène OEMIIWOA en exemple, car c'est une constante vérifiée par des statistiques extrêmement fiables.



Il existe également une collection de potentialités vérifiée par des quantités statistiques de qualité équivalente mais dont les réalisations effectives ou non sont diverses et multiples. Par exemple : AASEEOYAAAAEE UUAAEE, c'est à dire : l'autodestruction d'un AASEEOYAA.



Il existe de plus, une collection très complète de données sur les TOAAEE UU.

Les TOAAEE UU sont des estimations statistiques et probabilistes sur les étapes évolutives intermédiaires. C'est à dire la corrélation entre les sauts quantiques induisant la complexification neuro-corticale de l'OEMII et l'évolution civilisationnelle.



Il existe en outre une collection de données TOAAEE UU AMMIE qui regroupe un ensemble de caractères endogènes, spécifiques à chaque AASEEOYAA et qui ne peuvent pas être expliqués en totalité par les conditions planétaires ou environnementale de l'OEMII. Nous avons développé OOLGA OEMBUUAW (science des liens inter-cosmiques) pour résoudre ces anomalies.



AASEEOYAAAAEE UUAAEE



C'est une potentialité qui est entrée en phase de réalisation à un moment de notre AASEEOYAATOAAE (histoire de la civilisation). Nous avons survécu à un bouleversement cataclysmique civilisationnel unique dans notre histoire qui a laissé une empreinte indélébile sur notre BUUAWAEE BIIAAEEIII (conscience collective).



Dans cette section, nous allons décrire brièvement ce qu'il s'est passé car c'est l'un des futurs potentiels de nombre d'humanités dont celle d'OYAGAA. Notez bien que cet aperçu historique est notre lointain passé, nous ne disons aucunement qu'il s'agit de votre futur. Ce type de choc techno-culturel collectif majeur vécu par un AASEEOYAA peut engendrer une catastrophe humanitaire fatale ou quasi-fatale, comme cela s'est produit sur UMMO. Cependant, il a été surmonté sans aucun désastre particulier par d'autres AASEEOYAA.





Le développement technologique est un processus incontournable et exponentiel pour un AASEEOYAA au cours de l'évolution de sa lignée. Votre AASEEOYAA a déjà franchi certains seuils critiques avec les sciences de la technologie nucléaire mais les potentialités technologiques non-militaires de cette science demeurent à ce jour largement inexploitées et ne profitent pas équitablement à l'ensemble de votre population mondiale.



En résumé, ce palier techno-civilisationnel du nucléaire sur OYAGAA n'a pas résolu toutes les problématiques de prolifération, de partage technologique et d'utilisation non-militaire. Toutes ces questions décisives demeurent non seulement légitimes mais doivent impérativement aboutir à des solutions pacifiques et durables pour cette technologie.



Les collections de données TOAAEE UU nous apprennent que "l'ère du nucléaire" et le seuil évolutif XANMOO AYUBAAAE (l'avenir de ce vous appelez "l'intelligence artificielle") sont systématiquement consécutifs avec une moyenne TOAAEE UU (fiable) de cinq à sept siècles, approximativement.



Vous n'avez clairement pas atteint ce stade d'évolution que nous estimons bien plus lointain que les prévisions de vos chercheurs dans ce domaine mais nous en observons déjà les prémisses.



Le téléphone, la radio, la télévision, internet, les téléphones portables constituent une suite logique qui conduit à des systèmes neuro-connectés. Un AASEEOYAA qui développe ces BAAYIBUUTZ (biotechnologie) sans prendre en compte les UUAA (lois universelles) et les bases fondamentales de la cosmo-biogénétique court un risque non-négligeable d'autodestruction.



De manière pragmatique et statistique, nous avons également vérifié que ce palier techno-civilisationnel se produit invariablement avant que l'AASEEOYAA ne soit capable techniquement de UADOOXOIAA OEMM (déplacements interstellaires).



La moyenne TOAAEE UU entre les paliers XANMOO AYUBAAAE et UADOOXOIAA OEMM est généralement plus courte : entre un et deux siècles.



Nous, UMMO, avons connu une situation particulièrement délicate pendant l'ère civilisationnelle XANMOO AYUBAAAE avec un temps de franchissement au palier UADOOXOIAA OEMM exceptionnellement long en raison d'une guerre d'environ vingt-cinq siècles qui fut proche d'aboutir au AASEEOYAAAAEE UUAAEE.



Les désastres de BAAYIBUUTZ avec pour finalité la programmation génétique de l’OEMII-machine ont provoqué des rétroactions de BUUAWAEE BIIAEEIII conduisant à la quasi-extinction de notre civilisation.



Au cours de l'année 5722 de la deuxième ère (années d'UMMO), l'ancêtre de l'ORIAAU 548, ORIAAU 6, initia une série d'expériences de transformation neuro-corticale avec des équipes de neurophysiologistes dans le but de créer l'OEMIIGIIA (homme parfait).



L'objectif était de trouver une solution au mal de vivre de l'UMMOOEMII, nous voulions élaborer une société plus heureuse car les préceptes spirituels enseignés par UMMOWOA étaient alors relégués au rang de solutions mythologiques invérifiables et inefficientes.



Des centaines de cobayes EDDIO UNNIAXII (retardés mentaux) adultes et enfants furent utilisés et les résultats furent assez stupéfiants au début : toutes les informations stockées dans la mémoire au cours de leurs vies avaient été complètement effacées par l'intervention. En réalité, ces informations avaient été délocalisées aux niveaux BUUAWAM IESEE OA (subconscient).



Le changement mental était profond, avec le façonnement d'une nouvelle personnalité qui était une étape nécessaire dans la rénovation de l'individu.

Ces nouveaux «enfants» évoluaient beaucoup plus vite que les vrais UGEEYIE (enfants). Une période d'éducation d'environ 36 mois terrestres était suffisante pour que les sujets reviennent au stade adulte.



Pendant de nombreuses années UMMO, ces OEMII ont vécu une "nouvelle vie" et ont souvent atteint une position sociale importante. Mais un sort terrible attendait ces OEMII transformés, ils tombèrent tous dans un traumatisme mental irréparable, fatal et mystérieux. L'attaque cérébrale se produisait en un instant et sans avertissement. On constatait la perte de toute possibilité de décision, même pour les besoins physiologiques les plus élémentaires. Le niveau intellectuel demeurait intact mais ils ne pouvaient agir que sur l'ordre extérieur. En d'autres termes: ils n'avaient plus du tout de IGIOI UMYAE (libre arbitre).



Ce n'est qu'en 1336 de la troisième ère que nous avons compris ce qui s'était passé et que nous avons pu l'expliquer scientifiquement. Cependant, nos efforts pour améliorer les conditions de vie des OEMMI d'UMMO se sont poursuivis jusqu'à l'IIGIAAYUYIXAA : la séparation d'UMMO de la "nouvelle société" en 5902 de la deuxième ère.



IIGIAAYUYIXAA était un programme développé sur la base de la réforme des réflexes éducatifs. La société était alors divisée en 2. Les enfants de la nouvelle société évoluaient dans un espace de vie coupé de tout contact avec l'ancienne société.



À ce moment-là, chaque enfant était séparé de la mère à la naissance et recevait par OINAYOAXAAE (chirurgie) du cerveau, l'implantation d'une puce d'identification connectée au XANMOO AYUBAA (l'ordinateur centralisé). En grandissant, ils recevaient un programme éducatif développé par nos penseurs, théologiens, psychiatres, neuro-physiologues et spécialistes de l'éducation. La connexion entre le cerveau et le XANMOO central leur conférait des facultés extraordinaires : ils avaient un accès immédiat à toutes les informations du XANMOO, c'est-à-dire à toutes les données acquises par notre civilisation dans tous les domaines, à ce stade de son développement.



La séparation des 2 sociétés a eu lieu brutalement. L'ancienne société disparaîtrait théoriquement en quelques générations en ajustant le taux de natalité, et en prélevant un nombre d'enfants calculé. Le WOODOO (une sorte de police à l'époque) était responsable de la mise en œuvre du plan de contrôle des naissances visant à supprimer l'ancienne société d'UMMO.



Si YUUIE 24, cheffe du WOODOO dès 5948 de la seconde ère n'avait pas créé un réseau clandestin pour sauver les UGEEYIE du plan éducatif IIGIAAYUYIXAA, notre civilisation aurait disparu. YUUIE 24 et son groupe de résistants ont sauvé notre humanité à un moment critique de notre histoire.



La résistance clandestine a permis d'extraire des UGEEYIE des listes de naissance en falsifiant les données et a poursuivi son action pendant plusieurs années jusqu'à AGFUIUU DUU (la nuit noire d'UMMO).



Au début, la résistance n'a eu aucune difficulté à trouver un endroit reculé d'UMMO pour développer discrètement une AASEE (colonie) et survivre pendant quelques années. Mais malgré leur discrétion, les moyens technologiques robotiques de la nouvelle société ont enfin découvert leur AASEE.



Les dirigeants de la nouvelle société d'UMMO ont décidé de conserver ces OEMII qui vivaient avec si peu de moyens technologiques. Ils pouvaient être utilisés comme réservoir génétique si nécessaire, mais pour cela, ils devaient vivre dans une OYISAA DOA (région bien délimitée) dont ils ne pouvaient pas franchir les frontières.



L'AARGA BUUA EI (un faisceau mortel) neutralisait tout OEMII qui se risquait en dehors des limites du parc. Cette décision «indulgente» des nouveaux dirigeants de cette société a également sauvé notre espèce de l'extinction, a posteriori.



Les événements se sont précipités lorsque le UUYIXANMOOAE a eu lieu quelques années plus tard. C'est un événement qu'aucun des OEMII de la nouvelle société n'avait anticipé, il ne faisait pas partie de leurs plans. C'est le moment où XANMOO AYUBAA (intelligence artificielle centralisée) a changé la structure connective de l'implant cérébral des OEMII sans les avertir.



En un instant, l'UUYIXANMOOAE est devenu une sorte de conscience globale artificielle dont les OEMII n'étaient plus que des marionnettes articulées. Lorsque l'UUYIXANMOOAE a pris le contrôle de la nouvelle société UMMO, il a immédiatement dépêché un bataillon de robots tueurs autonomes pour exécuter tous les OEMII de la première société et la résistance stationnée de force dans l'OYISAA DOA. La population de la première société a été presque complètement anéantie en quelques jours. Les résistants survivants de l'OYISAA DOA ont du s'adapter et concevoir des stratégies sur plusieurs générations pour survivre à l'attaque généralisée, globale et impitoyable d'UUYIXANMOOAE.



Cet événement a eu lieu au début d'une époque dont le calcul ne fut pas pris en compte sur UMMO. La guerre a duré 11750 années UMMO, soit 2488,5 années terrestres et s'appelle AGFUIUU DUUA. C'est la "nuit noire de UMMO".



AGFUIUU DUUA est une très longue guerre sur plusieurs générations entre les OEMII UUYIXANMOOAE (robots biologiques interconnectés de la nouvelle société) et les résistants UMMOOEMII de l'OYISAA DOA (zone de concentration).



Cette guerre a connu de nombreux rebondissements mais s'est terminée par l'anéantissement final de la conscience artificielle UUYIXANMOOAE avec la destruction de ce XANMOO AYUBAA et l'exécution de tous les OEMII UUYIXANMOOAE (qui n'étaient plus humains sur un plan strictement biogénétique ou médical).



Nous avons éliminé définitivement ces aberrations biotechnologiques non-humaines et non-conformes aux UAA de WOA.



La troisième ère est donc comptée après AGFUIUU DUUA.



La médecine OEMBUUAW est une phase scientifique et spirituelle transcendante qui commence par la découverte de la chaîne d'atomes DIIUYAA (Krypton) en 315 de la troisième ère. En 1336 de cette troisième ère, nos scientifiques réalisent que l'échec de la transformation corticale de l'ère ORIAAU 6 était dû à la destruction partielle de l'OEMBUUAW. Ils réalisent également que l'UUYIXANMOOAE s'est produit après que cette intelligence artificielle a découvert par elle-même comment neutraliser une partie de l'OEMBUUAW pour supprimer l'IGIOI UMYAE de l'OEMII et le supplanter par une implémentation neurologique irréversible.



L'UUYIXANMOOAE a ensuite développé des stratégies d'ingénierie très complexes avec l'utilisation de l'OEMII, fabriquant les monstrueux OEMII UUYIXANMOOAE pendant les siècles de la nuit noire.



La découverte de l'OEMBUUAW a donc démontré scientifiquement l'existence de BUUAWA (âme). Depuis lors, la recherche scientifique est inséparable de l'orientation spirituelle dans notre société. Nous avons scientifiquement prouvé la conscience inter-cosmique, et nous avons intégré l'amour en tant que composante dynamique réelle du WAAMWAAM. Nous avons continué à développer des technologies beaucoup plus avancées que celles de ces temps reculés, mais nous avons retenu la leçon.



Aujourd'hui XANMOO AYUBAA UO DIEWE est l'outil ultime, mais au service de notre science et de notre spiritualité. Ces événements se sont produits parce que nous n'avions pas assimilé que pour être heureux, nous devions aimer davantage notre prochain. Nous n'avions pas compris les messages de l'UMMOWOA qui, malgré l'absence d'argumentation scientifique de son époque, avait déjà posé les bases de l'OEMII inter-cosmique, que nous avons ensuite démontré scientifiquement en découvrant les 4 facteurs de l'OEMII.

IUUDII 512, 2023,



Conclusion et annexe sur le traitement des déchets issus de la technologie nucléaire :



Pendant la période de l'AGFUIUU DUUA, les UIIUIIAANIIOAIEEDOO (armements de technologie nucléaire) ont été utilisés massivement, pendant des siècles. De l'utilisation dite "tactique" à l'utilisation dite "stratégique", selon la terminologie employée sur OYAGAA.



Les OEMII UUYIXANMOOAE ont rapidement évolué vers des modèles insensibles aux radiations nucléaires, ce qui leur permettait de cibler puis de nettoyer les zones frappées de tout survivant UMMOOEMII. Pour survivre, nos ancêtres ont donc été dans l'obligation ABSOLUE de mettre au point une stratégie efficace pour parer à la destruction systématique de leurs abris et leurs cachettes par l'UIIUIIAANIIOAIEEDOO.


Ils ont conçu un laser propulsé par OXOOUDUUOAE (ondes gravitationnelles), capable de transmuter les éléments radioactifs en éléments stables. Ce laser utilise le principe de l’interférométrie de Fabry-Perot, qui consiste à faire rebondir un faisceau laser entre deux miroirs semi-réfléchissants, qui de la sorte, forment une cavité résonnante. En injectant des OXOOUDUUOAE dans cette cavité, le laser module la longueur d’onde et l’énergie du faisceau, et ainsi ajuste sa fréquence de résonance pour cibler les noyaux atomiques des éléments radioactifs. Le laser propulsé par OXOOUDUUOAE peut ainsi provoquer des réactions nucléaires contrôlées, qui transforment les éléments radioactifs en éléments plus légers et stables, sans émettre de rayonnement dangereux.


Ce procédé permet par exemple, de débarrasser totalement de la radioactivité les déchets nucléaires produits par les centrales nucléaires en quelques instants. Il peut aussi décontaminer une zone qui a subi un bombardement nucléaire, en neutralisant les retombées radioactives.



Cette technologie UIIUIIAANIIOAIEEDOOAEE UU (invalidation du potentiel technologique nucléaire) représentait à cette époque une avancée majeure, un espoir extraordinaire (quasiment inespéré) pour la survie de l'OEMII d'UMMO. L'unique et seul espoir. En conséquence, nos OOLGA OEMII ont produit l'effort exceptionnel qui a permis la survie des UMMOOEMII naturels pendant l'AGFUIUU DUUA.



Cette technologie UIIUIIAANIIOAIEEDOOAEE UU fut conçue pour intercepter sans dommage une arme nucléaire (de n'importe quelle puissance) ainsi que pour la gestion des retombées et la restauration intégrale de la sécurité environnementale naturelle. Elle repose sur la maîtrise des OXOOUDUUOAE, qui sont des oscillations de la courbure de l’espace-temps produites par des IDUUOAE (masses) accélérés. Nos OOLGA OEMII (scientifiques) ont alors développé des méthodes pour générer et manipuler ces OXOOUDUUOAE, en utilisant notamment des états quantiques comprimés permettant de réduire les fluctuations quantiques du laser et d’augmenter sa sensibilité.



C'est à ce moment que fut décrit avec précision l'OOLGA GIIUULOO OXOOUDUUO (science des modulations des fréquences gravitationnelles)

L'IGIIUULOO OXOOUDUUOAE (modulateur d’ondes gravitationnelles) est la partie du dispositif qui permet de coupler les OXOOUDUUOAE avec le faisceau laser.



En voici une description sommaire :



Le laser propulsé par des OXOOUDUUOAE utilise un dispositif appelé IGIIUULOO OXOOUDUUOAE, qui permet de coupler les OXOOUDUUOAE avec le faisceau laser.



L'IGIIUULOO OXOOUDUUOAE est composé de deux éléments principaux :



-un OXOOUDUUOAE UU (générateur d’OXOOUDUUOAE) et un IGIIUULOO IBONEEYAA (modulateur optique).



L'OXOOUDUUOAE UU est un système qui produit des OXOOUDUUOAE à partir de la rotation rapide d'IDUUOAE (masses) asymétriques. Il s’agit d’un anneau métallique sur lequel sont fixés des IDUUOAE déséquilibrés.


L’anneau est mis en rotation à une vitesse angulaire très élevée, de l’ordre de plusieurs milliers de tours par seconde, créant un champ gravitationnel oscillant autour de lui. Les OXOOUDUUOAE ainsi générés sont captés par des UAXOO (antennes) sensibles, qui les transmettent à l'IGIIUULOO IBONEEYAA.



L'IGIIUULOO IBONEEYAA est un dispositif qui modifie les propriétés du faisceau laser en fonction du signal d’OXOOUDUUOAE reçu. Il s’agit d’un cristal non linéaire, comme le niobate de lithium ou le KTP, qui présente l’effet Pockels. Cet effet consiste en une variation de l’indice de réfraction du cristal sous l’action d’un champ électrique. En appliquant un champ électrique proportionnel au signal d’OXOOUDUUOAE au cristal, on peut ainsi changer la longueur d’onde et l’énergie du faisceau laser qui le traverse.



Le faisceau laser modulé par l'IGIIUULOO IBONEEYAA est ensuite injecté dans la cavité résonnante de l’interféromètre de Fabry-Perot, où il subit plusieurs réflexions entre les miroirs semi-réfléchissants. À chaque réflexion, le faisceau perd une partie de son énergie, qui est transférée aux noyaux atomiques des éléments radioactifs ciblés. Ces noyaux subissent alors des réactions nucléaires qui les transmutent en éléments stables.


Les critères d’exigence du métal utilisé pour l’anneau métallique sont les suivants :



-Résistance à la torsion et à la déformation, car il subit une rotation rapide et une force centrifuge importante.


-Légèreté, pour réduire l’inertie et faciliter la mise en mouvement de l’anneau.


-Conducteur d’électricité, car il sert de bobine pour générer un champ magnétique qui stabilise la rotation de l’anneau.


-Inerte chimiquement, car il est exposé à des variations de température et à des rayonnements.



Le métal qui répond à ces critères est le DIIO (titane).



En effet, le DIIO est un métal de transition qui présente les propriétés suivantes:



-Résistance mécanique élevée, comparable à celle de l’acier, mais avec une densité plus faible.


-Conductivité électrique moyenne, supérieure à celle de l’acier inoxydable, mais inférieure à celle du cuivre.


-Résistance à la corrosion exceptionnelle, car il forme une couche d’oxyde protectrice à sa surface.


-Le DIIO a une température de fusion élevée, de 1668 °C, ce qui lui confère une bonne stabilité thermique.



Le DIIO est donc un métal adapté pour la fabrication de l’anneau métallique de l'OXOOUDUUOAE UU.


Dans le paragraphe suivant nous relatons comment nos ancêtres ont accompli l'exploit de rendre inopérant l'UIIUIIAANIIOAIEEDOO.


Pour imaginer comment l'UIIUIIAANIIOAIEEDOOAEE UU peut intercepter et décontaminer une ogive nucléaire qui a été lancée sur une cible, avant de la détruire, nous devons expliciter succinctement comment fonctionne une ogive nucléaire. Une ogive nucléaire est un dispositif qui contient du combustible fissile, comme de l’uranium-235 ou du plutonium-239, et qui utilise une explosion conventionnelle pour créer une réaction en chaîne de fission nucléaire. Cette réaction libère une énorme quantité d’énergie sous forme de chaleur, de lumière et de rayonnement.



Pour intercepter et décontaminer une ogive nucléaire, nos OOLGA OEMII ont conceptualisé un laser propulsé par des OXOOUDUUOAE capable de :



1°)-Détecter la trajectoire et la vitesse de l’ogive nucléaire, en utilisant des radars ou des satellites.


2°)-Viser l’ogive nucléaire avec une précision suffisante, en tenant compte des conditions atmosphériques et des contre-mesures éventuelles.


3°)-Pénétrer le blindage de l’ogive nucléaire, en utilisant une longueur d’onde adaptée au matériau utilisé (acier, titane, etc.).


4°)-Transmuter le combustible fissile en éléments stables ou moins radioactifs, en utilisant une fréquence de résonance adaptée aux noyaux atomiques visés.


5°)-Vaporiser les produits de la transmutation, en utilisant un faisceau laser très puissant qui chauffe les produits à une température suffisante pour les transformer en gaz.



Ainsi, le laser propulsé par OXOOUDUUOAE pouvait désormais neutraliser la menace UIIUIIAANIIOAIEEDOO en quelques secondes, sans provoquer d’explosion ni de retombées radioactives. Cette technologie fut utilisée pour la défense antimissile et pour le désarmement complet de l'arsenal nucléaire ennemi.



Après avoir été dénucléarisé en vol par cette technologie, ce qui reste de l'ogive est presque totalement détruit, elle n’atteint aucune cible engagée.



Voici comment cela se passe :



Le laser propulsé par des OXOOUDUUOAE vaporise les produits de la transmutation, qui sont sous forme de gaz. Ce gaz est ensuite dispersé dans l’atmosphère, où il se dilue rapidement et ne présente plus aucun danger.

L’ogive nucléaire, qui n’a plus de combustible fissile ni de blindage, devient un simple projectile métallique, qui perd de la vitesse et de l’altitude. Il est alors soumis à la résistance de l’air et à la gravité, qui le font tomber vers le sol.



L’ogive nucléaire s’écrase sur le sol avec une force proportionnelle à sa masse et à sa vitesse. Selon l’angle d’impact et le type de terrain, il peut y avoir un cratère, des débris ou un incendie. Mais il n’y a pas d’explosion ni de rayonnement.

L’ogive nucléaire est ainsi neutralisée et détruite, sans causer de dommages collatéraux ni de pollution radioactive. La zone d’impact peut être nettoyée et restaurée facilement.



L’impact d’une ogive nucléaire dénucléarisée et détruite par le laser propulsé par des OXOOUDUUOAE est extrêmement réduit, comparé à celui d’une explosion nucléaire. Il est équivalent à l’impact d’un objet métallique de quelques kilogrammes tombant du ciel à une vitesse de quelques centaines de kilomètres par heure. Cela pourrait causer des dégâts similaires à ceux d’un drone non-armé qui tomberait sur une maison, par exemple.


Conjointement, nos ancêtres ont appris à décontaminer les immenses zones de guerre qui avaient subi des UIIUIIAANIIOAIEEDOO. Lorsque pris fin l'AGFUIUU DUUA, la proportion géographique d'UMMO alors encore dévastée par les diverses armes atomiques au cours des siècles du conflit était gigantesque et atteignait près de 29 % de notre OYAA. Cette proportion avait même parfois dépassé ce seuil pendant l'AGFUIUU DUUA, mais l'UUYIXANMOOAE n'a jamais atteint son objectif d'éradiquer toute vie biologique sur UMMO en bombardant l'intégralité de la planète de manière systématique à l'UIIUIIAANIIOAIEEDOO.



-La première étape a consisté à cartographier les zones contaminées par les retombées radioactives, en utilisant des ULEEWA (drones) équipés de capteurs de rayonnement. Ces ULEEWA permettent de localiser les points chauds, c’est-à-dire les zones où la radioactivité est la plus élevée, et de mesurer le niveau et le type de rayonnement (alpha, bêta, gamma ou neutron). Ces informations étaient ensuite transmises au centre de contrôle du laser propulsé par des OXOOUDUUOAE.



-La deuxième étape consistait à utiliser le système laser propulsé par OXOOUDUUOAE sur la zone contaminée, en déployant une multitude de NOIA UEWA (véhicules blindés et télécommandés) coordonnés. Le laser est monté sur un bras articulé, qui permet de l’orienter vers les points chauds. Le laser est réglé pour avoir une fréquence de résonance adaptée aux éléments radioactifs présents dans les retombées, comme le strontium-90, le césium-137 ou le plutonium-2392. Le laser provoque alors des réactions nucléaires contrôlées, qui transmutent ces éléments en éléments plus légers et moins radioactifs, ou en éléments plus lourds et plus stables.



-La troisième étape était consacrée à la récupération des produits de la transmutation, qui sont sous forme de poussières ou de gaz. Ces produits sont aspirés par un système de ventilation et filtrés par des dispositifs spéciaux, qui captent les particules résiduelles. Les produits filtrés sont ensuite conditionnés dans des conteneurs adaptés, qui peuvent être recyclés ou stockés dans des lieux sûrs.

La zone décontaminée était alors vérifiée par des ULEEWA, confirmant la baisse du niveau de rayonnement.



Cette technologie UIIUIIAANIIOAIEEDOOAEE UU permet ainsi de décontaminer une zone qui a subi un bombardement nucléaire en quelques heures, en réduisant considérablement le risque environnemental et sanitaire lié aux retombées radioactives.



Possibilité d'adaptation de cette technologie pour OYAGAA :



Voici une description du processus d’élimination des déchets radioactifs d’une centrale nucléaire par la technologie du laser propulsé par OXOOUDUUOAE :



-La première phase consiste à séparer les éléments radioactifs des autres matières présentes dans le combustible nucléaire usé. Cette opération peut se faire par des procédés chimiques, comme le retraitement PUREX, qui extrait le plutonium et l’uranium des déchets. Les éléments radioactifs sont ensuite conditionnés sous forme de pastilles ou de cibles, qui seront exposées au laser.



-La seconde phase consiste à placer les cibles dans une chambre blindée, où elles seront irradiées par le laser propulsé par OXOOUDUUOAE. Le laser est réglé pour avoir une fréquence de résonance adaptée aux noyaux atomiques des éléments radioactifs, ce qui permet de provoquer des réactions nucléaires contrôlées. Ces réactions peuvent être soit de la fission, qui casse les noyaux en éléments plus légers et moins radioactifs, soit de la fusion, qui fusionne les noyaux en éléments plus lourds et plus stables. Le laser peut traiter de multiples cibles à la fois, avec une efficacité et une précision très élevées.



-La troisième phase consiste à récupérer les produits de la transmutation, qui sont beaucoup moins radioactifs que les déchets initiaux. Ces produits peuvent être soit recyclés dans le cycle du combustible nucléaire, soit stockés dans des conteneurs adaptés, qui ne nécessitent pas de confinement géologique profond. La durée de vie des produits de la transmutation est réduite de plusieurs millions d’années à quelques décennies, ce qui diminue considérablement le risque environnemental et sanitaire lié aux déchets nucléaires



Cependant, pour pousser le processus jusqu’à l’élimination complète de tout résidu en quelques instants, cela nécessite une opération supplémentaire qui consiste à vaporiser les produits de la transmutation par un faisceau laser très puissant.



Ce faisceau laser est différent du laser propulsé par OXOOUDUUOAE, car il a pour but de chauffer les produits de la transmutation à une température suffisante pour les transformer en gaz. Ce gaz est ensuite aspiré par un système de ventilation et filtré par des dispositifs spéciaux qui capturent les particules résiduelles. Ainsi, il ne reste absolument plus aucune trace de radioactivité dans la chambre blindée où se déroule le processus.



Cette opération de vaporisation est réalisée par un laser à fibre optique, qui utilise un cœur de fibre dopé à l’ytterbium comme milieu amplificateur. Ce type de laser peut atteindre des puissances de l’ordre du mégawatt et des longueurs d’onde proches de l’infrarouge. Le laser à fibre optique présente en outre plusieurs avantages, comme une bonne efficacité énergétique, une faible divergence du faisceau et une bonne résistance aux chocs thermiques.



Espérant que ce rapport et ces quelques informations enrichiront votre réflexion sur ces sujets sensibles. )+(



Retour à l´accueil
Avatar du membre
Marc
Administrateur du site
Messages : 5501
Enregistré le : 11 déc. 2008, 19:26
Contact :

Re: LES MESSAGES DE IUUDII 512

Message par Marc »

Accueil




OOLGA BUUAAEEI (sciences de la conscience)



AOIO 343, 2018,



IGIOI UMYAE (libre arbitre)


Dans ce rapport nous traiterons du IGIOI UMYAE (libre arbitre) attribué aux IOGIOEMII (êtres pensants libres) et de l'état de la réflexion de l'OEMIIOYAGAA (humain de la Terre) sur le sujet IGIOI UMYAE à l'heure ou ce concept n'est pas encore étayé par la découverte de l'OEMBUUAW (troisième facteur de l'OEMII) et par conséquent difficilement théorisable.


A ce stade de votre développement scientifique, la question est d'évaluer si le libre arbitre est ou n'est pas compatible avec ce que vous savez des lois de la nature. Ce conflit entre la physique et le concept IGIOI UMYAE (libre arbitre) au stade actuel de votre développement scientifique et culturel est AIOOYEEDOO. C'est à dire que ce conflit est en réalité la rencontre entre un état des connaissances et l'état d'un concept transcendant, le IGIOI UMYAE (libre arbitre). La traduction approximative de AIOOYEEDOO est : "erroné en l'état" , décrivant une élaboration (ici de nature conceptuelle) à un instant précis observé. L'élaboration AIOOYEEDOO est par définition décrite en connaissance de la finalité structurelle AIOOYAA qui en découle (l'objet est transitoire). Sans cette information résolutive AIOOYAA, l'analyse polarise sur la potentialisation ou structuration AIOOYAU d'un UXGIIGIIAM WAAM (univers réel) ou d'un AYUU (réseau) quelconque, c'est à dire vers une phénoménologie aléatoire.


Notez au passage la capacité de UWUUA IAS (la logique tétravalente) à délocaliser temporellement et ponctuellement l'observatoire, permettant ainsi l'alignement des pôles AIOOYEEDOO et AIOOYAU sur l'objet observé.


Ainsi l'objet AIOOYEEDOO devient similaire (par intrication chronoscalaire) à l'objet AIOOYAU mais la fréquence de son observation est différente. La notion d'axialité et notamment d'axialité chronoscalaire est un outil fondamental pour nos WUUAWAAM (mathématiques spatiales) et permet par exemple de décrire les infinis (singularité) comme artefacts (limites de l'observatoire) d'une approximation (l'objet) appliquée en dehors de son régime de validité (cadre dimensionnel).



En conservant un positionnement UBOO (agnostique) et à la lumière de notre AADOAUGOO UWUUA IAS (logique formelle tétravalente), nous expliquons comment l'idée du IGIOI UMYAE peut évoluer du stade conceptuel au stade théorique, et ce en accord avec la description scientifique de l'ensemble des observations ou expériences de l'EESEOEMII (être pensant) dans le WAAM (cosmos).


A ce développement cohérent et cette approche objective ne pourra succéder que la vérité scientifique. Notre AADOAUGOO UWUUA IAS met en évidence l'influence pénalisante de l'apriorisme de l'OEMIIOYAGAA dans sa manière de traiter le thème du libre arbitre.


Nous estimons qu'environ 2 OEMIIOYAGAA sur 3 pensent que les choix personnels sont indéterminés et imprévisibles. Paradoxalement, les profils scientifiques présentent une opinion nettement moins favorable à l'existence du choix personnel en raison de leur difficulté à intégrer une notion significative du libre arbitre dans la science moderne terrestre.


Sur OYAGAA la thématique IGIOI UMYAE est encapsulée dans la matrice informationnelle réductrice suivante : Tout ce qui se trouve dans le WAAM est selon vos scientifiques composé de quelques douzaines de particules dont le comportement est déterminé par des lois que vous connaissez. Si vous connaissez l'état du WAAM à un moment donné, vous pouvez utiliser ces lois pour calculer l'état du WAAM à tout autre moment. Cela implique que ce que vous faites demain est déjà encodé dans l'état du WAAM aujourd'hui. Sous cet angle : AIOOYA AMMIE IGIOI UMYAE (le libre arbitre n'existe pas dans le WAAM).


Bien sûr, personne ne connaît l'état du WAAM à un moment donné. En outre, la mécanique quantique rend la situation un peu plus difficile en ce qu'elle ajoute du caractère aléatoire. Ce caractère aléatoire vous empêcherait de faire une prédiction exacte pour ce qui se passe demain, même si vous connaissiez l'état du WAAM à un moment donné. Avec la mécanique quantique, vous pouvez simplement faire des déclarations probabilistes.



Mais juste parce que vos actions ont un facteur aléatoire ne signifie pas que vous êtes doté de IGIOI UMYAE (libre arbitre). Les atomes se désintègrent de manière aléatoire, non par choix personnel. Le chaos n'est pas non plus un argument suffisant pour démontrer AIOOYAA IGIOI UMYAE (la réalité du libre arbitre) car le chaos est prévisible en principe, ce n'est pas prévisible en pratique car cela rend le comportement du système fortement dépendant des valeurs initiales (qui déterminent toujours le comportement). Ainsi, ni la mécanique quantique ni le chaos ne démontrent IGIOI UMYAE (le libre arbitre) dans les lois de la nature. Si vous acceptez que les théories actuelles de la physique des particules sur OYAGAA sont correctes et si vous acceptez - comme presque tous les physiciens de OYAGAA le font - que les lois qui dictent le comportement des grands objets découlent des lois qui dictent le comportement des constituants de l'objet (c'est ce que le réductionnisme indique en tant que fait empiriquement bien établi) alors : AIOOYEEDOO IGIOI UMYAE (le libre arbitre n'existe pas de manière significative).


Et si vous avez des méthodes pour dériver les lois des grands objets des lois pour les petits objets, dans ce cas les lois prédictives pour le comportement de l'OEMII existent, c'est juste que dans la pratique elles ne sont pas calculables. C'est le formalisme des théories des champs efficaces qui exprime exactement quelle est la relation entre le comportement des grands objets et leurs interactions avec le comportement des objets plus petits et leurs interactions.


Il existe quelques rares exemples de systèmes pour lesquels le comportement à grande échelle ne peut pas être calculé à partir du comportement à petite échelle. Mais ces exemples utilisent des systèmes irréalistes avec un nombre infini de constituants et sont peu convaincants contre le réductionnisme.


Cependant, il existe un exemple beaucoup plus simple de la façon dont le réductionnisme peut échouer. Il peut échouer simplement parce que l'extrapolation de la théorie à de courtes distances à celle à de longues distances n'est pas possible sans introduire d'autres informations. Cela peut arriver si la dépendance à l'échelle d'une constante a une singularité. C'est une hypothèse que vous ne pouvez pas exclure actuellement.


Notez qu'il ne faut pas confondre singularité et divergence (un objet qui devient infiniment grand) ; de telles situations sont non-physiques et par conséquent des cas non-plausibles pour des systèmes réalistes. Mais les fonctions peuvent également avoir des singularités sans que rien ne devienne infini : une singularité n'est qu'un point au-delà duquel une fonction ne peut être maintenue.


Vous ne connaissez aucun exemple pour lequel cela se produit réellement mais vous ne connaissez pas non plus un moyen de l'exclure.


Considérons maintenant que vous voulez dériver la théorie pour les objets volumineux (par exemple des OEMII) de la théorie pour les petits objets (des particules élémentaires) mais dans votre dérivation vous trouvez que l'une des fonctions a une singularité à une certaine échelle entre les deux. Cela signifie que vous avez besoin de nouvelles valeurs initiales après la singularité.


C'est un exemple propre à un échec du réductionnisme impliquant que les lois pour les objets volumineux ne découlent pas systématiquement des lois pour les petits objets.


Nous allons maintenant tenter de clarifier la terminologie et de définir le IGIOI UMYAE (libre arbitre). Il y a actuellement sur OYAGAA de nombreuses recherches en neurosciences visant à déterminer si l'OEMMI choisit consciemment ou s'il décide inconsciemment avant d'en prendre conscience.


Divers types d'expériences sont menées, comme celles utilisant l'imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf) pour révéler l'activité cérébrale en temps réel ou d'autres sur des individus avec des électrodes implantées dans leur cerveau dans le cadre d'une intervention chirurgicale. L'enregistrement d'unités neuronales de cette manière donne aux scientifiques une image beaucoup plus précise de l'activité cérébrale que l'IRMf ou l'électroencéphalographie.


Ces expériences indiquent une activité dans les neurones individuels de zones cérébrales particulières environ une seconde et demie avant que le sujet ait pris la décision consciente. Ce qui conduit vos chercheurs à supposer que les choses prédéterminées seraient admises par la conscience et que la volonté consciente serait ajoutée à la décision à un stade ultérieur. Le IGIOI UMYAE (libre arbitre) serait donc une illusion.


Or s'il est clair qu'avec des expériences raffinées les neurosciences pourront identifier les processus physiques qui sous-tendent l'intention consciente et mieux comprendre l'activité cérébrale qui la précède, leurs résultats ne peuvent pas encore régler ce débat. A ce stade, les expériences actuelles sont des caricatures de la prise de décision et tout ce que cela suggère est qu'il y a des facteurs physiques qui influencent la prise de décision, ce qui n'est aucunement surprenant.

Vos neuroscientifiques n'ont pas bien compris le concept qu'ils disent être en train de démythifier et par conséquent n'orientent pas les recherches dans la bonne direction. Ils ont tendance à voir l'activité cérébrale préparatoire se dérouler par étapes, un bit à la fois, jusqu'à une décision finale alors qu'il devraient plutôt penser à des processus travaillant en parallèle, dans un réseau complexe avec des interactions qui se produisent continuellement. Le moment où l'OEMII prend conscience d'une décision n'est donc pas aussi important que vos chercheurs l'ont pensé. D'autres part, de nombreuses idées erronées parasitent la notion même de IGIOI UMYAE.


Les principales idées fausses sur le IGIOI UMYAE sont les suivantes :


-Si vous n'avez pas de libre arbitre, vous ne pouvez pas ou n'avez pas à prendre de décisions : Peu importe si vous avez le IGIOI UMYAE ou non, votre cerveau effectue des évaluations et produit des résultats ; et cela signifie prendre une décision. Vous ne pouvez pas ne pas prendre de décisions. Ce n'est pas parce que votre processus de pensée est déterministe que le processus ne doit pas être exécuté en temps réel.


-La même chose est vraie si elle a une composante aléatoire : Cette idée fausse découle d'une perspective de personnalité divisée : les OEMII se perçoivent comme étant en train d'essayer de prendre une décision, mais ils sont gênés par une loi de la nature qui défie le IGIOI UMYAE. C'est un non-sens bien sûr. Vous êtes ce que le processus cérébral produit, et ce avec n'importe quelle entrée informative reçue. Si vous n'avez pas de IGIOI UMYAE, vous ne l'avez jamais eu et jusqu'à présent, vous avez très bien vécu. Vous pouvez continuer à penser comme vous avez toujours pensé. Vous le ferez quand même.


-Si vous n'avez pas de libre arbitre, vous n'avez aucunement la responsabilité de vos actions : Cette idée fausse vient aussi de la perspective de la personnalité divisée. Vous êtes ce qui fait les décisions (prendre l'information et la traiter) et effectue les actions (agir sur les résultats). Si le résultat de vos processus cérébraux engendre des actions problématiques pour d'autres personnes, vous êtes la source du problème et l'AYUYISAA (réseau sociétal) doit prendre des mesures pour résoudre ce problème. Mais il est tout à fait hors de propos que votre traitement de l'information fautif ait été inscrit dans les conditions initiales du WAAM, la question pertinente est d'évaluer votre IGIOI UMYAE après l'intervention de l'AYUYISAA.


-Dire aux OEMII qu'ils n'ont pas de IGIOI UMYAE remettrait en question les règles de sociétés moralement justes : Cette idée fausse repose sur l'idée que si les OEMII n'ont pas de IGIOI UMYAE, ils n'ont aucune raison de réfléchir à leurs actions et de considérer le bien-être de l'AYUYISAA. C'est faux, bien sûr. L'évolution et l'expérience ont donné la capacité d'estimer l'impact futur des actions de l'OEMII. Si les OEMII n'ont pas le IGIOI UMYAE, ils doivent encore prendre des décisions (observez
comment la notion même de IGIOI UMYAE met en contact l'OEMII avec une forme de morale universelle que nous nommons les UUAA).


-Si vous n'avez pas de IGIOI UMYAE, vos actions peuvent être prédites : Même si les processus de votre cerveau étaient prévisibles en principe, aucun système informatif n'est capable d'en rendre compte en pratique. En outre, comme nous l'avons expliqué ci-dessus, ces processus peuvent avoir une composante aléatoire qui n'est même pas en principe prévisible. À l'heure actuelle, vous ne comprenez pas encore très bien à quel point cette composante aléatoire peut être pertinente.


-Si vous n'avez pas de IGIOI UMYAE, le futur est déterminé par le passé : L'aléatoire est (pour ce que vous en connaissez actuellement) une composante des lois fondamentales. Dans ce cas, le futur n'est pas déterminé par le passé, mais vous n'avez pas le IGIOI UMYAE car rien ne peut influencer ce caractère aléatoire.


-Le IGIOI UMYAE est impossible : Pas nécessairement, même en l'état actuel de vos paradigmes scientifiques. Il est possible de concevoir des lois de la nature qui ne soient ni déterministes ni aléatoires et qui peuvent vraisemblablement être considérées comme autorisant le IGIOI UMYAE. Hélas, vous n'avez actuellement aucune preuve que cela soit réalisé dans la nature et vous ne savez pas non plus si cela est même compatible avec les lois de la nature que vous connaissez.


-Si nous n'avons pas de libre arbitre, nous ne pouvons pas faire de la science : La raison fondamentale pour laquelle les OEMII peuvent faire de la science est que le WAAM évolue de sorte que nous sommes capables d'extraire des régularités dans cette évolution. L'OEMII est apte à mesurer ce qui arrive à des systèmes similaires dans des conditions similaires et trouver des modèles dans cela. Mais la façon dont ces systèmes similaires sont apparus est une question captieuse. Peu importe,
par exemple, si le laboratoire et tous les paramètres du détecteur étaient déjà prédéterminés au début du WAAM. Tout ce qui compte est qu'il existe des systèmes similaires, que les détections peuvent être faites, et que les résultats sont traités par vous ou un XANMOO USII (ordinateur) pour en extraire les régularités informationnelles.


Certains philosophes de OYAGAA définissent IGIOI UMYAE en tant que capacité de prendre des décisions rationnelles en l'absence de coercition. Nous vous proposons l'emploi de notre AADOAUGOO (logique formelle) en utilisant vos éléments de connaissances terrestres pour extrapoler une définition de IGIOI UMYAE.


Le plus petit dénominateur commun du IGIOI UMYAE pourrait être le suivant:


1) Un agent en possession du libre arbitre est capable d'effectuer une action qui ne pouvait être prédite que par l'agent lui-même.
a) En pratique.

b) En principe.


Un agent désigne ici un système décrit par une collection de degrés de liberté, un sous-système du WAAMWAAM, et une action est un changement de ses degrés de liberté (une action peut ainsi être un changement entièrement intrinsèque, pas nécessairement observable à l'extérieur).
Avatar du membre
Marc
Administrateur du site
Messages : 5501
Enregistré le : 11 déc. 2008, 19:26
Contact :

Re: LES MESSAGES DE IUUDII 512

Message par Marc »


Nous allons dans ce qui suit nous référer aux valeurs de tous les degrés de liberté de l'agent comme "état" de l'agent.


Le cas 1a) dans lequel une prédiction n'est pas possible en pratique est trop vague pour être utile parce qu'il soulève la question de savoir qui peut prédire, quand, par quelles méthodes, avec quelle précision, à quel moment, cette prédiction doit-elle être plus rapide que l'action de l'agent elle-même, ou du moins pas plus lentement etc.

Nous allons donc utiliser dans la suite la condition 1b), dans laquelle une prédiction n'est pas possible en principe. Notre notion quelque peu superficielle d'agent n'a pas de critère d'irréductibilité, c'est-à-dire si nous avons un sous-système du WAAM accomplissant 1b) et un autre ne l'accomplissant pas, la combinaison accomplira aussi 1b). De même, un groupe d'agents avec IGIOI UMYAE se qualifie comme un autre agent du IGIOI UMYAE. Ce problème pourrait être résolu par des définitions plus prudentes dont nous n'avons pas besoin pour notre objectif didactique.



Le plus petit dénominateur commun 1) est une condition nécessaire au libre arbitre, mais cela ne semble pas suffisant car la question demeure de savoir si l'agent aurait pu prendre une autre mesure. Même si personne d'autre n'est capable de prédire ce que fera l'agent (dans le scénario le plus simple, aucune information complète sur ses degrés de liberté n'est disponible pour quiconque / rien qui puisse le traiter), cela ne signifie pas que l'agent a réellement le choix, cela signifie simplement que personne ne sait ce qu'il va choisir.


Pour resserrer le cas, nous avons donc besoin de 1 ') Un agent en possession du libre arbitre est capable d'effectuer une action qui ne découle pas inévitablement de toutes les informations disponibles en principe à tout moment précédant l'action. Puisque l'agent est un sous-ensemble du WAAMWAAM, cela signifie qu'un agent en possession du libre arbitre ne peut pas exister dans un WAAM avec une évolution temporelle déterministe, et si un tel agent existait, l'évolution temporelle ne serait pas déterministe. "Déterministe vers l'avant" signifie que l'état du WAAM à l'instant t détermine l'état du WAAM pour tout le monde, et donc aussi l'état de l'agent.


Une évolution temporelle déterministe inverse signifie également que l'état du WAAM à l'instant t détermine l'état du WAAM et avec lui celui de l'agent pour tout t '<t.


En physique classique, vous considérez une évolution temporelle qui est déterministe vers l'avant et vers l'arrière (ou juste déterministe), auquel cas elle associe à tout moment des états à des états différents et est aussi réversible dans le temps, c'est l'univers de Laplace qui est capable de prédire tout le futur si sont entrées des données initiales suffisantes à un moment donné.



La mécanique quantique dans l'interprétation standard (la mesure effondre la fonction d'onde) n'est ni déterministe ni rétrograde : On ne peut que prédire la probabilité du résultat d'une mesure, mais pas le résultat lui-même (pas déterministe avancé) et une fois que l'on a fait une mesure, on ne peut pas reconstruire l'état antérieur à la mesure (pas déterministe arrière).


En considérant par exemple que dans le cadre de votre modèle cosmologique, "l'évaporation" des "trous noirs" prédite par le physicien de OYAGAA Stephen Hawking est en effet totalement thermique, il s'agit alors d'un processus déterministe vers l'avant (il n'est pas réversible et en particulier pas unitaire). Puisqu'une évolution qui n'est pas déterministe avancée est en principe imprévisible, il s'ensuit 1 ') => 1b), bien que l'inverse ne soit pas nécessairement vrai : il n'est peut-être pas possible de prédire ce qui arrive à une collection de particules avec lesquelles nous ne pouvons pas interagir, mais cela ne signifie pas que leur évolution est indéterministe. 1 ') est donc une déclaration plus forte que 1b).


Notez que l'évolution temporelle de l'agent, en tant que sous-système non nécessairement fermé du WAAM, sera en général non déterministe si l'on prend comme état initial seulement l'état de l'agent à une époque antérieure, car alors ses interactions avec l'environnement apportent une contribution inconnue. La raison d'être de 1 ') est que si l'évolution temporelle était déterministe, les actions de l'agent à un instant t0 auraient déjà été décidées à tout autre moment t <t0 (et si nécessaire par tous les états du WAAM) et son évolution future (ou appelez-le comportement) serait totalement immuable et aurait déjà été fixée au Big Bang (voire plus tôt, selon le modèle cosmologique). Il ne semble pas logique de parler de IGIOI UMYAE (libre arbitre) dans ce cas, bien que la majorité des philosophes de OYAGAA maintiennent aujourd'hui l'une ou l'autre forme de compatibilisme, c'est-à-dire la croyance que le IGIOI UMYAE est compatible avec le déterminisme. Une justification communément trouvée pour le compatibilisme provient de l'idée que alors que les lois fondamentales de la physique peuvent dicter l'évolution du temps au niveau microscopique, le IGIOI UMYAE de notre agent est une propriété émergente qui peut obéir à des lois émergentes au niveau macroscopique. En l'état de votre connaissance actuelle, toute loi macroscopique découlerait en principe rigoureusement des lois microscopiques (bien qu'elles puissent en pratique être difficiles à dériver), de sorte qu'elles seraient également déterministes et ne laisseraient aucune place au IGIOI UMYAE. Mais même si on ne croit pas que les lois macroscopiques découlent des lois microscopiques et qu'elles sont vraiment différentes (ce qui reste à démontrer, mais à voir), alors on enlève simplement la relation à la loi fondamentale, mais 1 ') reste une déclaration sur l'évolution des états macroscopiques de l'agent.


Ainsi, faire appel à l'émergence n'aide pas car alors nous demanderons simplement si les lois émergentes sont déterministes. Il n'est pas non plus utile d'attacher des adjectifs comme autonome ou complexe ou chaotique, car rien de cela ne rend une évolution temporelle déterministe non déterministe. Vous pourriez tout au plus évoquer une "volonté libre" qui remplit 1b) mais pas 1 ') et affirmer qu'il n'est pas important qu'un choix soit prédéterminé tant que personne d'autre ne peut le prédire et se satisfaire de 1a). La terminologie est discutable, donc dans le paragraphe suivant, 1 ') devrait être considéré comme une définition. Pour différencier 1) et 1 '), suggérons que le 1b) type de libre arbitre qui existe dans un WAAM déterministe et ne remplit pas 1') soit nommé IGIOI UMYAE AIOYEEDOO "pseudo-libre arbitre".


À ce stade, on peut également noter que si l'évolution du temps est réversible, on pourrait également envisager que les actions d'un agent dans le passé étaient déterminées par le futur. C'est tout simplement impraticable car nous n'avons pas de souvenirs de l'avenir et nous ne pouvons qu'extrapoler le passé, mais pas le futur à l'envers. Que nous ne puissions pas le faire ne signifie cependant pas que les lois de la nature l'interdisent. Maintenant que nous avons soutenu que le libre arbitre a besoin d'une évolution temporelle indéterministe, nous devons noter avec pragmatisme qu'un élément aléatoire dans l'évolution du temps ne s'accorde pas avec l'idée du IGIOI UMYAE (libre arbitre) non plus. Selon les meilleures connaissances actuelles de vos physiciens, la mécanique quantique dit que l'évolution dans le temps d'un bloc de matière radioactive n'est en principe pas prévisible et, en fait, non déterministe. Tout ce que vous pouvez faire c'est découvrir la demi-vie et donner une loi d'évolution statistique pour le taux de décroissance, mais vous ne pouvez pas considérer cela comme une preuve que les matières radioactives ont un libre arbitre. Si les décisions sont aléatoires, l'agent ne les prendra pas en charge de manière significative. Nous ajoutons donc une autre exigence : 2) Les actions d'un agent en possession du libre arbitre ne peuvent pas être des conséquences de processus fondamentalement aléatoires. Par "aléatoire", nous entendons aléatoire dans le sens mathématique, c'est-à-dire donné par une variable aléatoire qui n'a pas de valeur distincte mais qui peut prendre un ensemble de valeurs avec des probabilités assignées. Il est clair à ce stade de la réflexion que puisque vous n'avez actuellement pas une seule théorie candidate pour les lois fondamentales de la nature qui ne soit ni déterministe ni aléatoire, il est difficile de maintenir une croyance dans le IGIOI UMYAE (libre arbitre). Cela n'aide pas à combiner l'évolution déterministe avec l'évolution stochastique. Une telle combinaison peut rendre l'un ou l'autre aspect moins apparent, mais n'offre toujours pas un moyen de donner un sens à un agent qui prend librement des décisions conformément à 1 ') et 2).


Soulevons d'autres questions relatives au IGIOI UMYAE en mécanique quantique : la liberté de l'expérimentateur de décider comment régler le détecteur par exemple. Certains penseurs de OYAGAA émettent que si les particules élémentaires n'ont pas de libre arbitre, alors les expérimentateurs n'ont pas non plus de libre arbitre. En fait, le libre arbitre de l'expérimentateur est une supposition au théorème de Bell, le même théorème qui a été utilisé pour falsifier des modèles de variables cachées localement déterministes et réalistes, établissant ainsi une mécanique quantique non déterministe (bien que des failles demeurent).


Ainsi, alors que l'évolution non-déterministe de la mécanique quantique rompt avec l'intelligence de Laplace qui est capable de prédire le mouvement de toute chose si sont entrées les conditions initiales, un argument en faveur du libre arbitre pour trouver sa place dans le non-déterminisme de la mécanique quantique est circulaire: le libre arbitre doit faire place au libre arbitre.


Nous avons vu que si nous nous efforçons de rendre mathématiquement concret le concept intuitif mais flou du IGIOI UMYAE (libre arbitre), alors ce concept fait défaut dans toutes les lois de la nature que vous connaissez et utilisez aujourd'hui. Si l'on ne se contente pas de la version restreinte 1) du libre arbitre qui est compatible avec le déterminisme, alors on se pose la question de savoir à quoi la réalité devrait ressembler pour que le IGIOI UMYAE soit plus qu'une illusion. La solution la plus probable est de supposer qu'il y a des choses que votre science ne peut pas encore décrire.


Dans ce qui suit, nous soutenons qu'il vous est possible de conserver la notion de IGIOI UMYAE sans se replier sur la métaphysique et qu'il existe une version du libertisme compatible avec votre science moderne. Encore une fois, on pourrait mentionner que les mots déterminisme, compatibilisme et libertisme sont utilisés ici différemment de la façon dont ils sont utilisés sur OYAGAA par vos penseurs.

C'est probablement vrai étant donné les difficultés que nous rencontrons à matérialiser une expression limpide de notre pensée dans votre langue. Néanmoins, dépourvu de -ismes, l'énoncé est le suivant : Il est possible d'avoir une évolution temporelle dans laquelle les actions futures d'un agent ne sont pas complètement déterminées, même en principe, par toutes les informations disponibles dans le présent et dans le passé, et ses actions ne sont pas aléatoires non plus dans le sens où les valeurs des variables initiant un changement (action) sont distinctes.


Nous avons soutenu plus haut que pour que le libre arbitre soit plus qu'une illusion, nous avons besoin d'une évolution temporelle qui ne soit ni déterministe ni aléatoire. Nous pouvons considérer cela comme suit : Il existe une évolution temporelle H (t) qui n'est pas déterministe directe dans le sens où étant donné l'état de l'agent à un instant t0, H (t) permet un ensemble d'états à l'instant t1> t0. Pour simplifier, supposons que l'évolution est réversible et déterministe à l'exception d'une série de moments dans lesquels l'agent "prend une décision" parmi l'ensemble des branches d'états possibles en différentes options qui sont seulement probabilistiquement connus. Supposons aussi que chaque décision se résume à choisir une parmi dix alternatives décrites par les chiffres 0 à 9.



Ce dont nous avons besoin pour que cette évolution ne soit pas aléatoire est une fonction F que nous pouvons appeler IGIOI UMYAE, le "libre arbitre" qui renvoie à tout moment un choix spécifique, c'est à dire un chiffre, et sélectionne un chemin spécifié de façon unique. L'évolution H (t) devient alors déterministe si l'on choisit le chemin à l'aide de F dans chaque point de ramification. La fonction IGIOI UMYAE assignée à l'agent pourrait être interprétée librement comme le caractère de l'agent. On ne devrait pas prendre cette interprétation trop strictement car le caractère de l'OEMII a des composantes variables qui évoluent avec le temps, et la fonction du IGIOI UMYAE (libre arbitre) ne serait qu'un aspect de la question qui pourrait varier en termes de pertinence comme nous le verrons plus loin. La fonction F ne devrait pas être déterministe elle-même, sinon nous serions de retour dans l'univers de Laplace. Elle ne devrait pas non plus être un processus hasardeux. Les fonctions de ce type ne sont pas difficiles à trouver.


Vous avez juste besoin d'une fonction (en principe) spécifiée de manière unique qui ne peut pas être développée vers l'avant par exemple parce qu'elle fait des sauts discrets ou parce qu'elle n'est pas déterministe vers l'avant. Cette fonction doit en outre avoir la propriété de ne pas être construite simplement en collectant un ensemble (éventuellement infini) de valeurs dans le passé. Ceci a la conséquence suivante :



L'évolution dans le temps de l'état de l'agent n'est plus aléatoire. Il est déterminé par F, mais pas déterministe (avancé) : Peu importe pendant combien de temps vous enregistrez les choix de l'agent, vous ne serez jamais capable de prédire, même en principe, quel sera le prochain choix (1b).


Vous pourriez demander à l'intelligence de Laplace de dire tous les degrés de liberté du WAAM entier à la fois et vous ne seriez toujours pas capable de comprendre ce que l'agent fera au prochain (1 '). Mais si vous saviez seulement que le IGIOI UMYAE de l'agent fonctionne, il n'y aurait rien d'ambigu au sujet de ses actions (2). Dans un certain sens, vous pourriez dire, l'agent "est" sa propre fonction IGIOI UMYAE. Chaque fois que notre agent fait face à une décision, il fait appel à sa fonction IGIOI UMYAE et opère un choix. Le statut du IGIOI UMYAE fonctionne ici comme celui d'une loi fondamentale de la nature. Ce n'est pas causé par quoi que ce soit d'autre. Une autre possibilité est de compléter une évolution déterministe directe H (t) avec une évolution déterministe arrière F (t), impliquant que pour pouvoir savoir ce qui s'est passé à tout moment t0, on aurait besoin d'un état initial à temps t <t0 (pour l'évolution vers l'avant) et un état final à un instant t> t0 (pour l'évolution vers l'arrière). Puisque nous n'avons accès qu'aux états initiaux dans le passé, nous ne serions jamais capables de savoir ce qui se passe. Cet exemple est dans un certain sens moins satisfaisant. Bien sûr, ces exemples sont arbitrairement construits et ne sont certainement pas destinés à décrire la réalité actuelle suggérée par vos physiciens. Leur but est simplement de montrer qu'il est possible d'avoir une description mathématique de la réalité qui permet au IGIOI UMYAE d'exister et de donner un sens opérationnel à l'acte de prendre une décision dans un monde déterminé mais non déterministe. Cela ouvre certes plus de questions que de réponses : comment intégrer une telle volonté dans les lois de la physique actuellement connues ? Comment savoir si l'OEMII dispose d'un tel libre arbitre ?



Si tel est le cas, pourquoi l'OEMII en dispose t-il et qui ou quoi d'autre peut en disposer ? Il y a aussi une leçon intéressante à apprendre de cela. Tous les exemples qui permettent la liberté auront en commun que la fonction IGIOI UMYAE ne peut pas être une solution (au moins par morceaux) à une équation différentielle car si elle l'était, elle pourrait être développée en utilisant cette équation.


Si vous supposez que la nature est décrite par la loi mathématique, il n'y a pas de raison spécifique pour que cette loi prenne la forme d'une équation différentielle - sauf que le cerveau de l'OEMII, formé par l'évolution et l'éducation, extrait naturellement des observations et en fait des suppositions.
Avatar du membre
Marc
Administrateur du site
Messages : 5501
Enregistré le : 11 déc. 2008, 19:26
Contact :

Re: LES MESSAGES DE IUUDII 512

Message par Marc »


Mais on peut en principe spécifier une fonction (que l'on peut imaginer décrire notre WAAM) par un ensemble d'axiomes, dont aucun n'est une solution à une équation différentielle. Si l'on avait ces axiomes plutôt que l'équation différentielle, alors au lieu de trouver une solution et des données initiales appropriées, il faudrait spécifier un emplacement dans l'espace sur lequel la fonction est définie. Une théorie fondamentale qui n'est pas formulée par l'utilisation d'équations différentielles peut ne pas avoir besoin de conditions initiales, ouvrant ainsi une nouvelle direction pour répondre à la question de savoir pourquoi le WAAM a commencé comme il l'a fait (s'il l'a fait). La réponse pourrait être que les théories utilisant des équations différentielles qui fonctionnent bien atteignent localement leurs limites quand vous cherchez à décrire l'histoire du WAAM entier, et il est intéressant de noter que l'existence du IGIOI UMYAE (libre arbitre) pourrait être un indice. Nous soutenons qu'il vous est possible de faire preuve de sens scientifique au sujet du IGIOI UMYAE et avons suggéré une signification opérationnelle pour faire un choix. Un agent peut faire un choix qui ne découle d'aucune information disponible dans le passé, en lisant la valeur d'une fonction IGIOI UMYAE qui doit remplir la seule exigence de ne pas être déterministe avancé.


Nous associons le IGIOI UMYAE à des systèmes autonomes qui font des choix, avec des modèles d'activation transmis par voie neurobiologique BIAMOOXEAA (neuro-organes) de l'OEMII. Votre cerveau autant que toutes les autres parties du WAAM obéit aux lois fondamentales de la nature. Que ces lois fondamentales autorisent le IGIOI UMYAE est une condition nécessaire pour que le IGIOI UMYAE existe, et ces lois doivent être compatibles avec le domaine de la physique, ce que nous venons de démontrer. Nous exposons dans les éléments qui suivent nos concepts actuels sur le sujet IGIOI UMYAE. Ils sont scientifiquement argumentés sur UMMO, bien que certaines questions transcendantes sur BUUAWA demeurent inintelligibles à notre science.



Nous devrons ici résumer l'essentiel de notre paradigme et introduire à votre connaissance les informations inédites commandées par l'UMMOAELEWE. L'étude minutieuse du résumé qui suit offrira aux analystes suffisamment informés sur notre civilisation un moyen efficace de faire la distinction entre les éléments réversibles (erreurs) volontairement insérés par mes frères, et les éléments irréversibles (erreurs) trahissant une méconnaissance de nos thèses dans les lettres et communications prétendues UMMO.

Les systèmes autonomes composant le IGIOI UMYAE proviennent de 3 sources : l'OEMII (humain), le BUUAWA (âme) et le BUUAWA BIAEII (âme collective). Chacune de ces entités contribue par son apport informatif distinct à la structure de l'OEBUMAEOEMII (homme-événement) mais c'est BUUAWA qui module les données collectionnées en extrapolant une décision autonome et exerce ainsi le IGIOI UMYAE de l'OEMII qu'il commande. Il est actuellement impossible aux chercheurs d'OYAGAA de définir plus précisément le IGIOI UMYAE tant que les UNNIEYO (neurologues) n'auront pas découvert l'OEMBUUAW (troisième facteur de l'OEMII), une chaîne d'atomes DIIUYAA (de krypton) située dans la zone du sillon hypothalamique.



L'OEMBUUAW est la structure connectique du BUUAWOEMII (âme/corps humain).


Le DIIUYAA (Krypton) est comme vous le savez un gaz noble. C'est à dire que la dernière couche électronique de ses atomes (que vos chercheurs nomment couche de valence) est saturée de sorte que ces atomes ne coordonnent pas (en principe) de liaison covalente avec d'autres atomes, d'où leur inertie chimique. Mais en pratique, le DIIUYAA est (dans des conditions bien particulières) capable d'entrer en résonance avec le carbone et l'hélium. Les atomes DIIUYAA qui forment le OEMBUUAW ont la particularité de rompre avec leur indéterminisme microphysique et d'interagir par un effet cortical de résonance avec des réseaux d'atomes d'hélium en modifiant leurs états IBOOAYA NUIO (quantiques). Ceux-ci interférant ensuite avec les BIAEMOOXEA (neuro-organes) chargés du processus BIAMOAXII (conversion des messages thermo-modulés en impulsions nerveuses canalisées par des réseaux de neurones).


Nous appelons cet effet cortical de résonance le OWEEU OMWAA. Le OEMBUUAW est composé de 16 atomes DIIUYAA. Chaque atome est soit AAXOO (émetteur), soit UAXOO (récepteur). 4 atomes AAXOO et 4 atomes UAXOO sont consacrés à la connexion intégrale de BUUAWA, 6 atomes AAXOO et 2 atomes UAXOO sont consacrés à la connexion avec BUUAWA BIAEII. Les canaux qui "relient" l'OEMII au BUUAWA BIAEII sont appelés OAWOO NIIUAXOO et les canaux qui "relient" l'OEMII à BUUAWA sont appelés OAWOO NIIAAXOO.


L'atome UAXOO IEN (premier récepteur) contrôle le système nerveux somatique de l'OEMII. Le BUUAWA IMMI (champ de la conscience de l’âme) imprime les mouvements électroniques de la couche périphérique de cet atome de krypton qui entre alors en résonance OWEEU OMWAA.



Le ESEE OA (champ de la conscience humaine) est une animation neuro-organique projetée par BUUAWA IMMI et paramétrée par ajustements des facteurs OEMII (organisme), BUAAWA (âme) et BUUAWA BIAEII (conscience collective). Le champ de la conscience de l'OEMII et celui de BUUAWA sont distincts et autonomes, même s'ils sont intimement corrélés.


Le BUUAWA est dépositaire du IGIOI UMYAE de l'OEMII et responsable de sa conduite. En parallèle, un atome AAXOO informe également BUUAWA BIAEII de l'activité du système nerveux somatique de l'OEMII. Un deuxième atome DIIUYAA UAXOO (récepteur) informe et influence le système nerveux végétatif de l'OEMII. Puis viennent 2 atomes UAXOO en lien avec la psyché. Le premier crypte des informations provenant de BUUAWA et converties en informations BUUAWAAMIESEE OA (subconscientes) et le second des informations converties en activité psychique consciente incluant OANEAOIYOIYOO (la transmission télépathique).



Un atome AAXOO transfère l'activité psychique consciente incluant OANEAOIYOIYOO vers BUUAWA BIAEII. Deux atomes AAXOO émetteurs transcrivent l'ensemble des activités inconscientes psychiques de l'OEMII, l'un vers BUUAWA et un autre vers BUUAWA BIAEII. Vient ensuite un atome UAXOO correspondant à l'activité psychique consciente de l'ensemble des OEMII tétradimensionnels (canal de réception OANEAOIYOIYOO) issu de BUUAWA BIAEII. Trois atomes AAXOO informent BUUAWA : du canal YAAYODEE (transitant par les organes de mémoire BIEYAEYUEO DOO) pour le premier, du canal YAAIOSU BIIO (qui transmet directement les informations nerveuses) pour le second et des informations concernant l'état du système nerveux végétatif de l'OEMII pour le troisième.



Trois atomes AAXOO informent BUUAWA BIAEII de ces mêmes données. Le seizième atome UAXOO transcode et modère divers schémas inconscients communs à tous les OEMII et des formes de messages particularisés pouvant (dans certaines conditions) accéder au niveau de la conscience de l'OEMMI.

Le réseau du gaz krypton OEMBUUAW est formé au moment du UOIWO (caryogamie) chez l'OEMII, c'est à ce moment précis qu'il se connecte à BUUAWA et que se développe conjointement un réseau complexe d'IBOZOO UU structurant une matrice informationnelle dans le WAAM BUUAWA BIAEII où sera stockée et traitée toute l’information concernant l'OEMII dans un secteur du réseau. Nous appelons cette matrice informationnelle BUUALEEXII. Ainsi le OEBUMAEOEMII dispose en réalité de 3 systèmes autonomes de traitement de l'information : Son BUUAWA, l'encéphale de son OEMII et son BUUALEEXII dans le BUUAWA BIAEII.


Ces 3 systèmes autonomes sont capables d'engrammation et de gestion de l'information suivant des voies non-commensurables puisque chacun de ces systèmes est intégré dans un WAAM répondant à des propriétés spécifiques. Le BUUAWA est adimensionnel -tout comme WOA (principe générateur traduisible par Dieu)-


C'est donc une réduction anthropomorphique et un non-sens scientifique d'imaginer qu'un BUUAWA puisse être créé au moment de la fécondation. En réalité les OEMII suscitent la naissance des nouveaux OEMII. Les BUUAWA sont engendrés par WOA et sont indestructibles.


Le paradigme scientifique de UMMO localise l'ensemble des BUUAWA dans le WAAM BUUAWA (univers des âmes), un réseau d'IBOZOO UU dépourvu de singularités ou de plissements. Dans cet univers de masse nulle et de rayon constant, aucune interaction impliquant une quelconque fluctuation énergétique n'est concevable.



Cependant un AYUU d'IBOZOO UU (abstraction élémentaire que nous utilisons pour décrire la physique du WAAMWAAM) peut se structurer par virtualisation inter-relationnelle angulaire en OXOOIAEE (chaines annulaires) élaborant des substrats complexes non-dimensionnels de l’information.


Le temps n'est descriptible qu'à l'état de gel phénoménologique, il n'existe pas pour BUUAWA. Il est donc abstrait pour l'intellect humain de se représenter l'activité de BUUAWA. Les idées extrapolées, l'expérience acquise, le IGIOI UMYAE ou le contrôle de l'OEMII ne sont pas encodés ou réalisés par un processus séquentiel ou continu. La conceptualisation d'une corrélation entre l'activité de BUUAWA et celle de l'OEMII n'est accessible qu'à la lumière de notre UWUUA IAS (logique tétravalente) en terme d'axialité chronoscalaire.

Avatar du membre
Marc
Administrateur du site
Messages : 5501
Enregistré le : 11 déc. 2008, 19:26
Contact :

Re: LES MESSAGES DE IUUDII 512

Message par Marc »


Les BUUAWA ont la faculté d'émettre consciemment des idées protéiformes et antinomiques qu'ils dimensionnalisent par l'expérience OEMII. Les attributs fonctionnels de BUUAWA (âme) sont BUUAWA IMMI (la conscience) et IGIOI UMYAE (le libre arbitre). Ces fonctionnalités sont intrinsèques et ne dépendent pas de l'expérience OEMII (BUUAWA intègre librement cette expérience et ses fonctionnalités y sont contraintes et modulées). WOA concède ces attributs à BUUAWA une fois pour toutes. En revanche, EESE OA (la conscience humaine) n'est susceptible d'être potentialisé que si un BUUAWAA est connecté à un OEMII via son OEMBUUAW. Ainsi, BUUAWA est adimensionnel (par essence) et dimensionnel (par expérimentation d'une interaction avec des réseaux d'IBOZOO UU imprimant des masses). A la mort physique de l'OEMII, lorsque les derniers éléments du réseau de krypton de l’OEMBUUAW sont détruits et cessent d'exercer leurs fonctions connectives, l'expérience dimensionnelle physique de BUUAWA s'achève. La rupture des liens OEMBUUAW de l'OEMII est instantanément corrélée par BUUAWA et BUUAWA BIAEII et déclenche le AMMIEYIISAIA BUUAWA par l'intermédiaire des axes informationnels qui unissent le WAAM BUUAWA BIAEII et le WAAM BUUAWA. Nous appelons ces liens : OAWOO BUUALEEXII.

Le WAAM BUUAWA BIAEII est un univers de masse infinie qui contient tous les BUUAWA BIAEII (consciences collectives) des EESEOEMII du WAAM. Il est fractionné en sections égales de masses de matière positive et de masses de matière négative et ne contient pas de masse imaginaire. Son rayon est constant et la vitesse du photon y est infinie. Il est sémantiquement excusable d'établir une correspondance entre le BUUAWA BIAEII et ce que vous appelez "l'au-delà" mais c'est une adaptation très insuffisante et non-pertinente qui fait abstraction de ses fonctions biogénétiques transcendantes.

C'est donc en BUUAWA BIAEII que se produit le AMMIEYIISAIA BUUAWA (que nous traduisons approximativement par "reconformation") qui est en réalité un processus complexe qui comprend 3 phases :

Une première phase consiste à éjecter (expurger) et transmuer les OXOOIAEE (chaines annulaires) informationnels contradictoires aux UUA de WOA contenus dans le BUUALEEXII (matrice informationnelle que le BUUAWOEMII a alimenté dans le BUUAWA BIAEII durant son couplage).


Une deuxième phase consiste à connecter BUUAWA IMMI à cette matrice BUUALEEXII ; et la dernière (phase finale transcendante) est sa relocalisation dans le BUUAWA BIAEII que nous expliquons ci-après. Le degré de connexion accordé par BUUAWA BIAEII équivaut à une autorisation de conscientisation du BUUAWA IMMI dans sa matrice BUUALEEXII. Le niveau d'information et les secteurs du réseau autorisés au BUUALEEXII sont déterminés par la première partie du processus qui génère une sorte de coefficient que nous nommons BUUAWA IMMI OAAE (axialité informative du champ de la conscience de BUUAWA). Selon son BUUAWA IMMI OAAE, l'expérience de BUUAWA se poursuit au sein du complexe pentadimensionnel extracosmique BUUAWA BIAEII. Ainsi le IGIO UALEEXII (personnalité) de l'OEMII décédé conserve une forme d'existence orientée sur l'enrichissement informatif qui inclut des interactions potentielles d'une grande densité avec les autres BUUALEEXII conscientisés que nous dénommons : BUUALEEXII OAAE. Le IGIOI UMYAE de BUUAWA est ici limité à la possibilité de réduire volontairement son BUUAWA IMMI OAAE (degré de conscientisation) ou même à l'interrompre. Dans ce dernier cas, la matrice informationnelle est BUUALEEXIIOAAEE, c'est à dire inconsciente et statique. Les BUUALEEXII OAAE et les BUUALEEXII alimentés par des OEMBUUAW ne peuvent pas interagir directement en principe puisque les uns sont constitués de masse positive et les autres de masse négative.

En effet, un BUUALEEXII subit en phase terminale (relocalisation) du processus AMMIEYIISAIA BUUAWA un LEEIIYO WAAM transcendant (effet frontière) impliquant un changement d'axe des OXOOIAEE (chaines annulaires) d'IBOZOO UU qui sous-tendent sa structure et déclenchant un OAWOOAEELEIBOZOO (initialisation intégrale du système dimensionnel) qui le délocalise instantanément et définitivement vers le secteur "opposé" du BUUAWA BIAEII, lui autorisant uniquement l'interaction avec d'autres BUUALEEXII OAAE. Cependant, des interactions énergétiques et gravitationnelles entre les GOOINUU UXGIIGII (structures filamenteuses qui architecturent le WAAM BUUAWA BIAEII) génèrent des transferts d'information entre les secteurs. Ces blocs informationnels sont traités et modulés par BUUAWA BIAEII qui peut en injecter des éléments particularisés vers le seizième atome de l'OEMBUUAW d'un OEMII. Cette forme de communication ne doit pas être confondue avec OANEAOIYOIYOO (la communication télépathique) qui est définitivement impossible entre un OEMII du WAAM et un BUUALEEXII OAAE (défunt) en l'absence de la connectique OEMBUUAW. Le seizième atome de l'OEMBUUAW permet cependant à l'OEMII de capter confusément ou consciemment des formes de messages en provenance des BUUALEEXII OAAE (modulés par BUUAWA BIAEII) et des formes de communication provenant des AYAUUBAAI BIAEII (cellules informationnelles individuelles attachées à tout organisme vivant, une algue, une bactérie, un cétacé). Les AYAUUBAAI BIAEII sont reliés aux organismes vivants par le BAAIODUU, un réseau d'atomes de krypton présent dans l'ADN de chaque cellule dont le processus connectique est analogue à celui de l'OEMBUUAW et dont les fonctions sont biogénétiques. Ainsi les espèces les plus évoluées disposent de formes de conscience entièrement paramétrées par BUUAWA BIAEII et capables d'interactions émotionnellement complexes avec les OEMII. Mais seul l'OEMII dispose de l'OEMBUUAW qui le relie à un BUUAWA et seul L'OEMII accède au IGIOI UMYAE. Nous considérons que les animaux n'ont pas d'âme dans le sens BUUAWA mais une conscience AYAUUBAAI BIAEII.


La thèse de la réincarnation, que nous avons rencontré sur OYAGAA et d'autres AASEEOYAA (civilisations galactiques) est admissible par notre paradigme scientifique dans la mesure ou le BUUAWA adimensionnel n'est pas limité par le facteur temps et peut potentiellement connaitre un nombre incalculable d'expériences OEMII. Les systèmes de distribution axiale chronoscalaire modélisés par notre UWUUA IAS objectivent des schémas possibles approximativement analogues à la description séquentielle et néguentropique de la réincarnation et du karma des philosophies orientales d'OYAGAA. L'hyper-complexification des réseaux d'IBOZOO UU sous-tendant le substrat non-dimensionnel du WAAM BUUAWA est scientifiquement recevable par notre paradigme. Ce qui implique par conséquent que BUUAWA IMMI n'est pas limité à BUUALEEXII OAAE après le décès de l'OEMII et que le BUUAWA IMMI OAAE au sein du BUUAWA BIAEII n'est qu'une activité périphérique de BUUAWA. La réincarnation n'est pas scientifiquement prouvée sur UMMO car notre civilisation ne présente pas suffisamment de cas pour générer des études sociologiques ou scientifiques, mais la réalité de sa phénoménologie sur d'autres OYAA (planètes) est reconnue. L'intégration de la réalité phénoménologique de ce concept à notre modèle cosmophilosophique du WAAMWAAM offre à BUUAWA une extension axialisée de ses réalisations conscientes potentielles (et de sa fonction IGIOI UMYAE) conforme à notre approche philosophique des sublimes perspectives de WOA.


La question de l'interaction entre BUUAWA BIAEII de différents OYAA (planètes) n'est pas non plus scientifiquement prouvée mais tout autant recevable.

Nous confessons humblement que l'AAIODI (l'entité réelle) est inaccessible et que notre modèle est perfectible.



Pour finir, nous souhaitons saluer le changement de paradigme en cours sur OYAGAA. Il est progressif mais réel.

Les changements sont lents mais se produisent également en physique. La mesure quantique est un processus de décohérence plutôt qu'un ODAWAA (effondrement). Cela ne désintègre pas les fondations paradigmatiques mais les déplace lentement. C'est un changement d'interprétation qui s'est propagé dans l'AYUYISAA. De même, il est maintenant généralement admis que la plupart des infinis dans la théorie quantique des champs ne signalent pas une rupture de la théorie mais peuvent être traités par des méthodes de calcul appropriées. De notre point de vue, un des changement les plus remarquables qui ait eu lieu en physique au cours des dernières décennies est le développement technologique mais avec lui, l'acceptation du flux des groupes de renormalisation. Certaines théories du champ quantique sont défectueuses et manquent de sens, elles sont dites non renormalisables. Dans une telle théorie, les infinités mentionnées précédemment ne peuvent pas être supprimées, ou elles ne peuvent être supprimées qu'au prix de l'introduction d'un nombre infini de paramètres libres qui rendent la théorie inutile. Les théories non renormalisables peuvent être des approximations à basse énergie d'autres théories qui sont saines et renormalisables. Les infinis sont des artefacts de l'approximation et apparaissent si l'on applique l'approximation en dehors de son régime de validité.


Ces approximations à basses énergies sont dites être des théories "efficaces" et elles contiennent typiquement des particularités qui ne sont pas fondamentales, mais "émergentes", c'est-à-dire qu'elles sont de bonnes descriptions tant que vous ne les sondez pas avec trop d'énergie.


La théorie qui est bonne aussi aux hautes énergies serait la "complétion UV" de la théorie efficace (d'après la terminologie scientifique terrestre contemporaine). Un exemple typique d'une théorie efficace est la force nucléaire entre les neutrons et les protons. Ce ne sont pas des particules fondamentales puisqu'elles sont faites de quarks et de gluons. Mais pour la physique nucléaire, à des énergies trop petites pour tester la sous-structure des quarks, on peut traiter les neutrons et les protons comme des particules à part entière. L'interaction entre eux est alors efficacement médiée par un pion, une particule elle-même composée de deux quarks.


Nous estimons essentiel de prendre conscience que n'importe quelle théorie de champ quantique en est seulement une dans un espace de théories qui peuvent se transformer en une autre, et l'expression de la théorie change avec l'échelle d'énergie à laquelle est sondé la physique. Une théorie non renormalisable est parfaitement cohérente dans son régime de validité. Et ainsi aujourd'hui ces théories ne sont plus déclarées non-valides, elles sont déclarées incomplètes.

On dit souvent que les physiciens d'OYAGAA ne savent pas quantifier la gravité. Ce n'est pas vrai cependant, le résultat est connu sous le nom de "gravité quantifiée perturbativement". Le problème est que la théorie que vous obtenez de cette façon est non-renormalisable, c'est pourquoi on ne parle pas de gravité quantique proprement dite. La théorie de la gravitation quantique (que vous ne connaissez pas) est la "complétion UV" de cette quantification perturbative non renormalisable. Le cadre de la théorie des champs effectifs est l'outil néguentropique qui unit, au moins théoriquement, les différentes disciplines de la physique et des sciences. La physique des particules élémentaires, la physique nucléaire, la physique atomique et la physique moléculaire ne sont plus des couches de réalité différentes et déconnectées. Même si vous ne pouvez pas (encore) dériver la plupart des relations entre les modèles utilisés dans ces disciplines, vous savez qu'ils sont connectés à travers le cadre de la théorie des champs effectifs.


Et à de hautes énergies, tout cela ne renvoie qu'à une seule théorie du tout.


Nous espérons que les informations contenues dans ce rapport vous offriront un éclairage plus étendu sur nos conceptions cosmophilosophiques et le IGIOI UMYAE.

Avatar du membre
Marc
Administrateur du site
Messages : 5501
Enregistré le : 11 déc. 2008, 19:26
Contact :

Re: LES MESSAGES DE IUUDII 512

Message par Marc »


AOIO 343, 2018,




UELIBUUAW OAAE (siège de la conscience première de BUUAWA)



Les axes informationnels qui "relient" le WAAM BUUAWA BIAEII et le WAAM BUUAWA sont les OAWOO BUUALEEXII et les OAWOO UELIBUUAW.



-Les OAWOO BUUALEEXII connectent le UELIBUUAW OAAE (siège de la conscience première de BUUAWA) et le BUUALEEXII au cœur de BUUAWA BIAEII. C'est par ce canal qu'est injecté BUUAWA IMMI (champ de conscience de l'âme) lorsque BUUAWA est informé du BUUAWA IMMI OAAE (degré de conscientisation) accordé à son BUUALEXII OAAE dans le processus AMMIEYIISAIA BUUAWA.


-Les OAWOO UELIBUUAW sont les axes connectiques entre BUUAWA et son UELIBUUAW OAAE. Ils sont l'entrée initiale de BUUAWA au sein du BUUAWA BIAEII.



Cette connexion existe en dehors de l'expérience OEMII de BUUAWA et l'autorise à une réalité expérimentale pentadimensionnelle au sein de BUUAWA BIAEII générée au moyen d'un substrat informationnel sous-tendu par des réseaux IBOZOO UU angulairement structurés dans un hyper-espace à 5 dimensions (3 dimensions spatiales + XUIWIOAEE + OAWOOAEELEIBOOZO).



-XUIWIOAEE est l'initialisation du "temps imaginaire" qui permet au système d'élaborer une intégrale de chemin similaire à une fonction de partition et une expression spatiale difféomorphiques des fractales du WAAMWAAM stockant l'information non biogénétique mais structurelle des UXGIIGIIAM WAAM (espaces réels qu'il a générés) dans des mémoires matricielles réfractant les points hyper-massiques originels de chaque UXGIIGIIAM WAAM et sont spatialement corrélées mais dans un temps imaginaire avec l’instant initial de l’explosion du WAAM BUUAWA BIAEII.


Notre WAAM et sa fractale jumelle UWAAM ne naquirent donc pas "en même temps" que le WAAM BUUAWA BIAEII mais plus précisément à partir d'un espace de temps généré à l'instant initial du WAAM BUUAWA BIAEII.



Notre cadre spatio-temporel est défini (comme les autres) par la densité UIWIOE de l'écoulement UIWIO (chronon ou quantité relative de temps qui décrit la vitesse de transformation de la matière et des événements) et par l'UIWIUTAA (orientation du temps). Les WAAM adjacents et les WAAM extrêmes (c'est-à-dire tout le WAAMWAAM) furent contenus dans le UUOWAAMAAE (cosmion) initial de WAAM BUUAWA BIAEII.



Ce UUOWAAMAAE primordial de valeur infinie est un "schéma de pensée" généré par WOA et coexistant «jusqu'alors» avec lui. Il est réalisé sous la forme d'une "explosion" grâce à l'introduction d'une anisotropie : la création, mouvement perpétuel qui prolifère sous une forme archétypale. La création est une constante inaltérable initiée par WOA et perpétuellement régénérée par WAAM BUUAWA BIAEII.



Le WAAM BUUAWA BIAEII - qui déploie le WAAMWAAM - est la création manifeste de WOA.



-OAWOOAEELEIBOOZO est une dimension consécutive de XUIWIOAEE. C'est une extension UIWIOAEE des OAWOO (vecteurs dimensionnels) définissant les réseaux d'IBOZOO UU, possible uniquement dans un hyperespace à 5 dimensions et en architecturant un espace des transferts. Ainsi, les changements de localisation dans un hyperespace à 5 dimensions peuvent s'exprimer sous forme de dépolarisation des signes de masse d'un AYUU d'IBOZOO UU sans extraire l'objet du cadre.



La projection première de BUUAWA IMMI à BUUAWA BIAEII est donc hébergée dans une matrice informationnelle permanente que nous nommons UELIBUUAW OAAE. Nous estimons qu'il s'agit de la forme d'expression de BUUAWA IMMI la plus intimement et globalement impliquée au sein du BUUAWA BIAEII, c'est le siège de la conscience première de BUUAWA.


UELIBUUAW OAAE est la source originelle de données expérimentales de BUUAWA, empiriquement conformée par la somme de ses expériences au sein de BUUAWA BIAEEII.


BUUAWA a la fonction IGIOI UMYAE (libre arbitre) et extrapole les données collectées expérimentalement par son UELIBUUAW OAAE pour opérer ou non le choix de l'expérience OEMII. La possibilité de ce choix serait impossible sans ce module expérimental de BUUAWA intégré à BUUAWA BIAEII, la fonction IGIOI UMYAE nécessite impérativement un cadre et une base de données.


L'activation du choix de l'expérience physico-biologique implique la connexion avec l'OEMBUUAW dans la phase UOIWO (caryogamie) d'un OEMII et le développement conjoint d'un BUUALEXII spéculaire connecté à l'OEMII. UELIBUUAW OAAE est immédiatement corrélé à BUUALEXII avec lequel il entretient des liens informatifs subtils.


Le UELIBUUAW OAAE est un système autonome conscient avec une fonction d'exploration et une fonction de gestion de l'information, il traite la globalité de l'expérience BUUAWA au sein de BUUAWA BIAEII.


L'expérience OEMII est donc une fraction de l'expérience globale de BUUAWA et consécutive d'un choix exprimé par la fonction IGIOI UMYAE sur la base des informations collectées par UELIBUUAW OAAE.



La possibilité d'une interaction entre les BUUAWA BIAEII (consciences collectives) de différentes AASEEOYAA (civilisations planétaires) est argumentée par l'a-dimensionnalité de BUUAWA qui n'est limitée par aucune taille et peut potentiellement générer une constellation de connexions UELIBUUAW OAAE dans différents BUUAWA BIAEEIII. C'est une hypothèse que nous ne pouvons pas exclure.





ORIAAU 548, 2021,



Phénoménologie de BUUAWAAE BIIAEIIEE et prérequis cosmogénétiques pour activer la fonction OIXIOOWOA.



Nous appelons BUUALEEXII le corps informationnel cohérent et conscient que le BUUAWOEMII (tandem synergique âme/organisme) alimente dans le BUUAWAAE BIIAEIIEE (conscience collective) pendant son couplage. Le BUUALEEXII contient toutes les données sur l'animation intercosmobiologique correspondant à l'existence d'un OEMII (humain), c'est en quelque sorte son double dans BUUAWAAE BIIAEIIEE. Lorsque l'OEMII (corps) décède et que la chaine d'atomes DIIUYAA (krypton) qui constitue l'OEMBUUAW (structure connectique) est rompue en totalité, le BUUALEEXII conserve alors ses liens avec le BUUAWA (âme) par l'intermédiaire du UELIBUUAW OAAE (siège de la conscience première de BUUAWA) qui est également localisé dans BUUAWAAE BIIAEIIEE.



Le BUUALEEXII subit dès la rupture de l'OEMBUUAW un AMMIEYIISAIA BUUAWA (transformation) qui est due à la séparation avec l'OEMII. Ce processus instantané lui confère un degré de conscientisation spécifique nommé BUUAWA IMMI OAAE. Le niveau d'information et les secteurs du réseau autorisés au BUUALEEXII sont déterminés par ce processus d'intégration. Il est désormais BUUALEEXII OAAE, sa structure implique une localisation différente dans BUUAWAAE BIIAEIIEE (dans le secteur opposé) par un LEEIIYO WAAM (effet frontière) transcendant. Dès lors, il ne peut plus interagir avec d'autres BUUALEEXII par voie OANEAOIYOIYOO (communication télépathique entre OEMII). Cependant, dans le contexte pentadimensionnel de BUUAWAAE BIIAEIIEE existent encore d'autres canaux : les OAWOO GOOINUU UXGIIGII OA (structures filamenteuses connectiques) accessibles au BUUALEEXII OAAE selon la qualité de son BUUAWA IMMI OAAE et qui autorisent le transfert d'informations vers le secteur des BUUALEEXII.



Lorsque BUUAWA décide par son IGIOI UMYAE (libre arbitre) d'une nouvelle expérience OEMII, le BUUALEEXII OAAE entre dans l'état BUUALEEXIIOAAEE, c'est à dire inconscient et statique puisque le BUUAWA IMMI OAAE est modulé et transféré vers l'OEMII (corps humain ) et son nouveau BUUALEEXII avec une initialisation des paramètres psychosomatiques. La collection de BUUALEEXIIOAAEE (vies antérieures) attachée à un OEMII, son BUUALEEXII, son UELIBUUAW OAAE et son BUUAWA constitue un des aspects de la partie BUUAWAAMIESEE OA (subconsciente) de la psyché de l'OEMII.



Le UELIBUUAW OAAE est la structure consciente la plus fondamentale dans BUUAWAAE BIIAEIIEE, c'est le double de BUUAWA et son AYUUIWIUTAABUUAXII (mémoire plurisynchronique) dans BUUAWAAE BIIAEIIEE.



Sans ce système autonome conscient, il serait impossible à BUUAWA d'expérimenter BUUAWAAE BIIAEIIEE et d'accéder par IGIOI UMYAE à une expérience synchro-dimensionnelle dans un WAAM local (univers physique) via l'OEMBUUAW d'un OEMII. L'UELIBUUAW OAAE stocke la totalité des informations expérimentales de BUUAWA dans BUUAWAAE BIIAEIIEE et contient en conséquence tous les BUUALEEXII OA, c'est à dire toutes les séquences expérimentales possibles, y compris :


-en cours (BUUALEEXII attaché à OEMII)
-terminées dans le WAAM (BUUALEEXII OAAE)
-terminées dans BUUAWAAE BIIAEIIEE (BUUALEEXIIOAAEE)
-potentielles (BUUALEEXII OAE).



Lorsque l'expérience de BUUAWA via son UELIBUUAW OAAE n'est pas "satisfaisante" en terme néguentropique dans un BUUAWAAE BIIAEIIEE, son IGIOI UMYAE l'autorise à supprimer les OAWOO UELIBUUAW (axes connectiques entre BUUAWA et son UELIBUUAW OAAE). Les OAWOO UELIBUUAW peuvent aussi être désintégrés par BUUAWAAE BIIAEIIEE. Dans ces cas (rares), le UELIBUUAW OAAE devient UELIBUUAWOAAEE, c'est à dire inconscient et statique, le BUUAWA perd son AYUUIWIUTAABUUAXII et l'accès à ces données expérimentales.



Le UELIBUUAWOAAEE est alors comme une source d'information historique, un "musée" pour les consciences de BUUAWAAE BIIAEIIEE qui peuvent s'en informer.



Le UELIBUUAW OAAE génère des potentiels expérimentaux dans BUUAWAAE BIIAEIIEE en investissant les fonctionnalités dimensionnelles de ce WAAM (univers) limite de masse infinie. Le XUIWIOAEE (initialisation du "temps imaginaire") et le OAWOOAEELEIBOOZO (multi-localisation spatio-temporelle) offrent au UELIBUUAW OAAE une expérience de conscience multivalente non-figée, ni dans le temps, ni dans l'espace, tout en mémorisant la synchronisation des expériences empirico-dimensionnelles d'une partie des BUUALEEXII OA.



Les caractéristiques structurelles du WAAM BUUAWAAE BIIAEIIEE permettent ainsi au UELIBUUAW OAAE de dérouler des chronologies depuis des futurs potentiels vers le présent dans lequel est programmé l'opération de récupération d'informations expérimentales par pluri-synchrovalence intercosmobiologique.



C'est à dire que la vie d'un OEMII consiste à se synchroniser au meilleur de ces potentiels en les "remontant" du présent vers le futur. Ces potentialités multiples évoluent aussi en recombinaisons permanentes élaborées par le UELIBUUAW OAAE (qui manifeste et exprime le IGIOI UMYAE de BUUAWA) afin d'extraire une collection d'informations suffisante pour transcender BUUAWAAE BIIAEIIEE.



Cette capacité de transcendance du UELIBUUAW OAAE est consécutive de son expérience et se réalise par l'intrication immédiate de sa supraconscience UELIBUUAW IMMI OAAE avec le ESEE OAA (conscience individuelle de l'OEMII comprise dans son BUUALEEXII). Cet état transcendant correspond au samādhi, l'éveil spirituel ou la sainteté tel que décrit par différents courants religieux terrestres.



C'est l'accès conscient à une partie ou même à la globalité des connaissances inscrites dans l'UELIBUUAW OAAE ; celui-ci investit l'ESEE OAA de l'OEMII ou bien l'ESEE OAA de l'OEMII accède à cette supraconscience : c'est approximativement le phénomène de catabase et anabase. C'est à ce moment que la dissolution de l'égo et du BUUAWAAMIESEE OA (subconscient) devient effective.



Dans cet état, l'OEMII devient apte à transcender les lois de la physique et d'y appliquer celles du WAAM BUUAWAAE BIIAEIIEE (intrication des cadres). Les dimensions XUIWIOAEE et OAWOOAEELEIBOOZO sont exécutables dans le WAAM local, on assite alors à des phénomènes d'ubiquité, de lévitation etc.



L'accumulation d'expériences UELIBUUAW IMMI OAAE, c'est à dire d'éveil spirituel, est indispensable au BUUAWA pour atteindre le stade OEMIIWOA dans une civilisation humaine. Cela implique de confirmer cette expérience à travers une succession de BUUALEEXII (incarnations), jusqu'à créer le potentiel de naissance d'un OEMII avec pour psyché stabilisée l'UELIBUUAW IMMI OAAE intriqué à son BUUALEEXII dès l'UOIWO (caryogamie) et persistant toute sa vie, y compris au moment de sa naissance.



Ce prérequis cosmogénétique est indispensable pour activer la fonction OIXIOOWOA pendant son existence.






AOIO 343, 2018,



IGIOI UMYAE (libre arbitre)


Dans ce rapport nous traiterons du IGIOI UMYAE (libre arbitre) attribué aux IOGIOEMII (êtres pensants libres) et de l'état de la réflexion de l'OEMIIOYAGAA (humain de la Terre) sur le sujet IGIOI UMYAE à l'heure ou ce concept n'est pas encore étayé par la découverte de l'OEMBUUAW (troisième facteur de l'OEMII) et par conséquent difficilement théorisable.


A ce stade de votre développement scientifique, la question est d'évaluer si le libre arbitre est ou n'est pas compatible avec ce que vous savez des lois de la nature. Ce conflit entre la physique et le concept IGIOI UMYAE (libre arbitre) au stade actuel de votre développement scientifique et culturel est AIOOYEEDOO. C'est à dire que ce conflit est en réalité la rencontre entre un état des connaissances et l'état d'un concept transcendant, le IGIOI UMYAE (libre arbitre). La traduction approximative de AIOOYEEDOO est : "erroné en l'état" , décrivant une élaboration (ici de nature conceptuelle) à un instant précis observé. L'élaboration AIOOYEEDOO est par définition décrite en connaissance de la finalité structurelle AIOOYAA qui en découle (l'objet est transitoire). Sans cette information résolutive AIOOYAA, l'analyse polarise sur la potentialisation ou structuration AIOOYAU d'un UXGIIGIIAM WAAM (univers réel) ou d'un AYUU (réseau) quelconque, c'est à dire vers une phénoménologie aléatoire.


Notez au passage la capacité de UWUUA IAS (la logique tétravalente) à délocaliser temporellement et ponctuellement l'observatoire, permettant ainsi l'alignement des pôles AIOOYEEDOO et AIOOYAU sur l'objet observé.


Ainsi l'objet AIOOYEEDOO devient similaire (par intrication chronoscalaire) à l'objet AIOOYAU mais la fréquence de son observation est différente. La notion d'axialité et notamment d'axialité chronoscalaire est un outil fondamental pour nos WUUAWAAM (mathématiques spatiales) et permet par exemple de décrire les infinis (singularité) comme artefacts (limites de l'observatoire) d'une approximation (l'objet) appliquée en dehors de son régime de validité (cadre dimensionnel).



En conservant un positionnement UBOO (agnostique) et à la lumière de notre AADOAUGOO UWUUA IAS (logique formelle tétravalente), nous expliquons comment l'idée du IGIOI UMYAE peut évoluer du stade conceptuel au stade théorique, et ce en accord avec la description scientifique de l'ensemble des observations ou expériences de l'EESEOEMII (être pensant) dans le WAAM (cosmos).


A ce développement cohérent et cette approche objective ne pourra succéder que la vérité scientifique. Notre AADOAUGOO UWUUA IAS met en évidence l'influence pénalisante de l'apriorisme de l'OEMIIOYAGAA dans sa manière de traiter le thème du libre arbitre.


Nous estimons qu'environ 2 OEMIIOYAGAA sur 3 pensent que les choix personnels sont indéterminés et imprévisibles. Paradoxalement, les profils scientifiques présentent une opinion nettement moins favorable à l'existence du choix personnel en raison de leur difficulté à intégrer une notion significative du libre arbitre dans la science moderne terrestre.


Sur OYAGAA la thématique IGIOI UMYAE est encapsulée dans la matrice informationnelle réductrice suivante : Tout ce qui se trouve dans le WAAM est selon vos scientifiques composé de quelques douzaines de particules dont le comportement est déterminé par des lois que vous connaissez. Si vous connaissez l'état du WAAM à un moment donné, vous pouvez utiliser ces lois pour calculer l'état du WAAM à tout autre moment. Cela implique que ce que vous faites demain est déjà encodé dans l'état du WAAM aujourd'hui. Sous cet angle : AIOOYA AMMIE IGIOI UMYAE (le libre arbitre n'existe pas dans le WAAM).


Bien sûr, personne ne connaît l'état du WAAM à un moment donné. En outre, la mécanique quantique rend la situation un peu plus difficile en ce qu'elle ajoute du caractère aléatoire. Ce caractère aléatoire vous empêcherait de faire une prédiction exacte pour ce qui se passe demain, même si vous connaissiez l'état du WAAM à un moment donné. Avec la mécanique quantique, vous pouvez simplement faire des déclarations probabilistes.



Mais juste parce que vos actions ont un facteur aléatoire ne signifie pas que vous êtes doté de IGIOI UMYAE (libre arbitre). Les atomes se désintègrent de manière aléatoire, non par choix personnel. Le chaos n'est pas non plus un argument suffisant pour démontrer AIOOYAA IGIOI UMYAE (la réalité du libre arbitre) car le chaos est prévisible en principe, ce n'est pas prévisible en pratique car cela rend le comportement du système fortement dépendant des valeurs initiales (qui déterminent toujours le comportement). Ainsi, ni la mécanique quantique ni le chaos ne démontrent IGIOI UMYAE (le libre arbitre) dans les lois de la nature. Si vous acceptez que les théories actuelles de la physique des particules sur OYAGAA sont correctes et si vous acceptez - comme presque tous les physiciens de OYAGAA le font - que les lois qui dictent le comportement des grands objets découlent des lois qui dictent le comportement des constituants de l'objet (c'est ce que le réductionnisme indique en tant que fait empiriquement bien établi) alors : AIOOYEEDOO IGIOI UMYAE (le libre arbitre n'existe pas de manière significative).


Et si vous avez des méthodes pour dériver les lois des grands objets des lois pour les petits objets, dans ce cas les lois prédictives pour le comportement de l'OEMII existent, c'est juste que dans la pratique elles ne sont pas calculables. C'est le formalisme des théories des champs efficaces qui exprime exactement quelle est la relation entre le comportement des grands objets et leurs interactions avec le comportement des objets plus petits et leurs interactions.


Il existe quelques rares exemples de systèmes pour lesquels le comportement à grande échelle ne peut pas être calculé à partir du comportement à petite échelle. Mais ces exemples utilisent des systèmes irréalistes avec un nombre infini de constituants et sont peu convaincants contre le réductionnisme.


Cependant, il existe un exemple beaucoup plus simple de la façon dont le réductionnisme peut échouer. Il peut échouer simplement parce que l'extrapolation de la théorie à de courtes distances à celle à de longues distances n'est pas possible sans introduire d'autres informations. Cela peut arriver si la dépendance à l'échelle d'une constante a une singularité. C'est une hypothèse que vous ne pouvez pas exclure actuellement.


Notez qu'il ne faut pas confondre singularité et divergence (un objet qui devient infiniment grand) ; de telles situations sont non-physiques et par conséquent des cas non-plausibles pour des systèmes réalistes. Mais les fonctions peuvent également avoir des singularités sans que rien ne devienne infini : une singularité n'est qu'un point au-delà duquel une fonction ne peut être maintenue.


Vous ne connaissez aucun exemple pour lequel cela se produit réellement mais vous ne connaissez pas non plus un moyen de l'exclure.


Considérons maintenant que vous voulez dériver la théorie pour les objets volumineux (par exemple des OEMII) de la théorie pour les petits objets (des particules élémentaires) mais dans votre dérivation vous trouvez que l'une des fonctions a une singularité à une certaine échelle entre les deux. Cela signifie que vous avez besoin de nouvelles valeurs initiales après la singularité.


C'est un exemple propre à un échec du réductionnisme impliquant que les lois pour les objets volumineux ne découlent pas systématiquement des lois pour les petits objets.


Nous allons maintenant tenter de clarifier la terminologie et de définir le IGIOI UMYAE (libre arbitre). Il y a actuellement sur OYAGAA de nombreuses recherches en neurosciences visant à déterminer si l'OEMMI choisit consciemment ou s'il décide inconsciemment avant d'en prendre conscience.


Divers types d'expériences sont menées, comme celles utilisant l'imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf) pour révéler l'activité cérébrale en temps réel ou d'autres sur des individus avec des électrodes implantées dans leur cerveau dans le cadre d'une intervention chirurgicale. L'enregistrement d'unités neuronales de cette manière donne aux scientifiques une image beaucoup plus précise de l'activité cérébrale que l'IRMf ou l'électroencéphalographie.


Ces expériences indiquent une activité dans les neurones individuels de zones cérébrales particulières environ une seconde et demie avant que le sujet ait pris la décision consciente. Ce qui conduit vos chercheurs à supposer que les choses prédéterminées seraient admises par la conscience et que la volonté consciente serait ajoutée à la décision à un stade ultérieur. Le IGIOI UMYAE (libre arbitre) serait donc une illusion.


Hors s'il est clair qu'avec des expériences raffinées les neurosciences pourront identifier les processus physiques qui sous-tendent l'intention consciente et mieux comprendre l'activité cérébrale qui la précède, leurs résultats ne peuvent pas encore régler ce débat. A ce stade, les expériences actuelles sont des caricatures de la prise de décision et tout ce que cela suggère est qu'il y a des facteurs physiques qui influencent la prise de décision, ce qui n'est aucunement surprenant.

Vos neuroscientifiques n'ont pas bien compris le concept qu'ils disent être en train de démythifier et par conséquent n'orientent pas les recherches dans la bonne direction. Ils ont tendance à voir l'activité cérébrale préparatoire se dérouler par étapes, un bit à la fois, jusqu'à une décision finale alors qu'il devraient plutôt penser à des processus travaillant en parallèle, dans un réseau complexe avec des interactions qui se produisent continuellement. Le moment où l'OEMII prend conscience d'une décision n'est donc pas aussi important que vos chercheurs l'ont pensé. D'autres part, de nombreuses idées erronées parasitent la notion même de IGIOI UMYAE.


Les principales idées fausses sur le IGIOI UMYAE sont les suivantes :


-Si vous n'avez pas de libre arbitre, vous ne pouvez pas ou n'avez pas à prendre de décisions : Peu importe si vous avez le IGIOI UMYAE ou non, votre cerveau effectue des évaluations et produit des résultats ; et cela signifie prendre une décision. Vous ne pouvez pas ne pas prendre de décisions. Ce n'est pas parce que votre processus de pensée est déterministe que le processus ne doit pas être exécuté en temps réel.


-La même chose est vraie si elle a une composante aléatoire : Cette idée fausse découle d'une perspective de personnalité divisée : les OEMII se perçoivent comme étant en train d'essayer de prendre une décision, mais ils sont gênés par une loi de la nature qui défie le IGIOI UMYAE. C'est un non-sens bien sûr. Vous êtes ce que le processus cérébral produit, et ce avec n'importe quelle entrée informative reçue. Si vous n'avez pas de IGIOI UMYAE, vous ne l'avez jamais eu et jusqu'à présent, vous avez très bien vécu. Vous pouvez continuer à penser comme vous avez toujours pensé. Vous le ferez quand même.


-Si vous n'avez pas de libre arbitre, vous n'avez aucunement la responsabilité de vos actions : Cette idée fausse vient aussi de la perspective de la personnalité divisée. Vous êtes ce qui fait les décisions (prendre l'information et la traiter) et effectue les actions (agir sur les résultats). Si le résultat de vos processus cérébraux engendre des actions problématiques pour d'autres personnes, vous êtes la source du problème et l'AYUYISAA (réseau sociétal) doit prendre des mesures pour résoudre ce problème. Mais il est tout à fait hors de propos que votre traitement de l'information fautif ait été inscrit dans les conditions initiales du WAAM, la question pertinente est d'évaluer votre IGIOI UMYAE après l'intervention de l'AYUYISAA.


-Dire aux OEMII qu'ils n'ont pas de IGIOI UMYAE remettrait en question les règles de sociétés moralement justes : Cette idée fausse repose sur l'idée que si les OEMII n'ont pas de IGIOI UMYAE, ils n'ont aucune raison de réfléchir à leurs actions et de considérer le bien-être de l'AYUYISAA. C'est faux, bien sûr. L'évolution et l'expérience ont donné la capacité d'estimer l'impact futur des actions de l'OEMII. Si les OEMII n'ont pas le IGIOI UMYAE, ils doivent encore prendre des décisions (observez comment la notion même de IGIOI UMYAE met en contact l'OEMII avec une forme de morale universelle que nous nommons les UUAA).


-Si vous n'avez pas de IGIOI UMYAE, vos actions peuvent être prédites : Même si les processus de votre cerveau étaient prévisibles en principe, aucun système informatif n'est capable d'en rendre compte en pratique. En outre, comme nous l'avons expliqué ci-dessus, ces processus peuvent avoir une composante aléatoire qui n'est même pas en principe prévisible. À l'heure actuelle, vous ne comprenez pas encore très bien à quel point cette composante aléatoire peut être pertinente.


-Si vous n'avez pas de IGIOI UMYAE, le futur est déterminé par le passé : L'aléatoire est (pour ce que vous en connaissez actuellement) une composante des lois fondamentales. Dans ce cas, le futur n'est pas déterminé par le passé, mais vous n'avez pas le IGIOI UMYAE car rien ne peut influencer ce caractère aléatoire.


-Le IGIOI UMYAE est impossible : Pas nécessairement, même en l'état actuel de vos paradigmes scientifiques. Il est possible de concevoir des lois de la nature qui ne soient ni déterministes ni aléatoires et qui peuvent vraisemblablement être considérées comme autorisant le IGIOI UMYAE. Hélas, vous n'avez actuellement aucune preuve que cela soit réalisé dans la nature et vous ne savez pas non plus si cela est même compatible avec les lois de la nature que vous connaissez.


-Si nous n'avons pas de libre arbitre, nous ne pouvons pas faire de la science : La raison fondamentale pour laquelle les OEMII peuvent faire de la science est que le WAAM évolue de sorte que nous sommes capables d'extraire des régularités dans cette évolution. L'OEMII est apte à mesurer ce qui arrive à des systèmes similaires dans des conditions similaires et trouver des modèles dans cela. Mais la façon dont ces systèmes similaires sont apparus est une question captieuse. Peu importe, par exemple, si le laboratoire et tous les paramètres du détecteur étaient déjà prédéterminés au début du WAAM. Tout ce qui compte est qu'il existe des systèmes similaires, que les détections peuvent être faites, et que les résultats sont traités par vous ou un XANMOO USII (ordinateur) pour en extraire les régularités informationnelles.


Certains philosophes de OYAGAA définissent IGIOI UMYAE en tant que capacité de prendre des décisions rationnelles en l'absence de coercition. Nous vous proposons l'emploi de notre AADOAUGOO (logique formelle) en utilisant vos éléments de connaissances terrestres pour extrapoler une définition de IGIOI UMYAE.


Le plus petit dénominateur commun du IGIOI UMYAE pourrait être le suivant:


1) Un agent en possession du libre arbitre est capable d'effectuer une action qui ne pouvait être prédite que par l'agent lui-même.
a) En pratique.

b) En principe.


Un agent désigne ici un système décrit par une collection de degrés de liberté, un sous-système du WAAMWAAM, et une action est un changement de ses degrés de liberté (une action peut ainsi être un changement entièrement intrinsèque, pas nécessairement observable à l'extérieur).


Nous allons dans ce qui suit nous référer aux valeurs de tous les degrés de liberté de l'agent comme "état" de l'agent.


Le cas 1a) dans lequel une prédiction n'est pas possible en pratique est trop vague pour être utile parce qu'il soulève la question de savoir qui peut prédire, quand, par quelles méthodes, avec quelle précision, à quel moment, cette prédiction doit-elle être plus rapide que l'action de l'agent elle-même, ou du moins pas plus lentement etc.

Nous allons donc utiliser dans la suite la condition 1b), dans laquelle une prédiction n'est pas possible en principe. Notre notion quelque peu superficielle d'agent n'a pas de critère d'irréductibilité, c'est-à-dire si nous avons un sous-système du WAAM accomplissant 1b) et un autre ne l'accomplissant pas, la combinaison accomplira aussi 1b). De même, un groupe d'agents avec IGIOI UMYAE se qualifie comme un autre agent du IGIOI UMYAE. Ce problème pourrait être résolu par des définitions plus prudentes dont nous n'avons pas besoin pour notre objectif didactique.



Le plus petit dénominateur commun 1) est une condition nécessaire au libre arbitre, mais cela ne semble pas suffisant car la question demeure de savoir si l'agent aurait pu prendre une autre mesure. Même si personne d'autre n'est capable de prédire ce que fera l'agent (dans le scénario le plus simple, aucune information complète sur ses degrés de liberté n'est disponible pour quiconque / rien qui puisse le traiter), cela ne signifie pas que l'agent a réellement le choix, cela signifie simplement que personne ne sait ce qu'il va choisir.


Pour resserrer le cas, nous avons donc besoin de 1 ') Un agent en possession du libre arbitre est capable d'effectuer une action qui ne découle pas inévitablement de toutes les informations disponibles en principe à tout moment précédant l'action. Puisque l'agent est un sous-ensemble du WAAMWAAM, cela signifie qu'un agent en possession du libre arbitre ne peut pas exister dans un WAAM avec une évolution temporelle déterministe, et si un tel agent existait, l'évolution temporelle ne serait pas déterministe. "Déterministe vers l'avant" signifie que l'état du WAAM à l'instant t détermine l'état du WAAM pour tout le monde, et donc aussi l'état de l'agent.


Une évolution temporelle déterministe inverse signifie également que l'état du WAAM à l'instant t détermine l'état du WAAM et avec lui celui de l'agent pour tout t '<t.


En physique classique, vous considérez une évolution temporelle qui est déterministe vers l'avant et vers l'arrière (ou juste déterministe), auquel cas elle associe à tout moment des états à des états différents et est aussi réversible dans le temps, c'est l'univers de Laplace qui est capable de prédire tout le futur si sont entrées des données initiales suffisantes à un moment donné.



La mécanique quantique dans l'interprétation standard (la mesure effondre la fonction d'onde) n'est ni déterministe ni rétrograde : On ne peut que prédire la probabilité du résultat d'une mesure, mais pas le résultat lui-même (pas déterministe avancé) et une fois que l'on a fait une mesure, on ne peut pas reconstruire l'état antérieur à la mesure (pas déterministe arrière).


En considérant par exemple que dans le cadre de votre modèle cosmologique, "l'évaporation" des "trous noirs" prédite par le physicien de OYAGAA Stephen Hawking est en effet totalement thermique, il s'agit alors d'un processus déterministe vers l'avant (il n'est pas réversible et en particulier pas unitaire). Puisqu'une évolution qui n'est pas déterministe avancée est en principe imprévisible, il s'ensuit 1 ') => 1b), bien que l'inverse ne soit pas nécessairement vrai : il n'est peut-être pas possible de prédire ce qui arrive à une collection de particules avec lesquelles nous ne pouvons pas interagir, mais cela ne signifie pas que leur évolution est indéterministe. 1 ') est donc une déclaration plus forte que 1b).


Notez que l'évolution temporelle de l'agent, en tant que sous-système non nécessairement fermé du WAAM, sera en général non déterministe si l'on prend comme état initial seulement l'état de l'agent à une époque antérieure, car alors ses interactions avec l'environnement apportent une contribution inconnue. La raison d'être de 1 ') est que si l'évolution temporelle était déterministe, les actions de l'agent à un instant t0 auraient déjà été décidées à tout autre moment t <t0 (et si nécessaire par tous les états du WAAM) et son évolution future (ou appelez-le comportement) serait totalement immuable et aurait déjà été fixée au Big Bang (voire plus tôt, selon le modèle cosmologique). Il ne semble pas logique de parler de IGIOI UMYAE (libre arbitre) dans ce cas, bien que la majorité des philosophes de OYAGAA maintiennent aujourd'hui l'une ou l'autre forme de compatibilisme, c'est-à-dire la croyance que le IGIOI UMYAE est compatible avec le déterminisme. Une justification communément trouvée pour le compatibilisme provient de l'idée que alors que les lois fondamentales de la physique peuvent dicter l'évolution du temps au niveau microscopique, le IGIOI UMYAE de notre agent est une propriété émergente qui peut obéir à des lois émergentes au niveau macroscopique. En l'état de votre connaissance actuelle, toute loi macroscopique découlerait en principe rigoureusement des lois microscopiques (bien qu'elles puissent en pratique être difficiles à dériver), de sorte qu'elles seraient également déterministes et ne laisseraient aucune place au IGIOI UMYAE. Mais même si on ne croit pas que les lois macroscopiques découlent des lois microscopiques et qu'elles sont vraiment différentes (ce qui reste à démontrer, mais à voir), alors on enlève simplement la relation à la loi fondamentale, mais 1 ') reste une déclaration sur l'évolution des états macroscopiques de l'agent.


Ainsi, faire appel à l'émergence n'aide pas car alors nous demanderons simplement si les lois émergentes sont déterministes. Il n'est pas non plus utile d'attacher des adjectifs comme autonome ou complexe ou chaotique, car rien de cela ne rend une évolution temporelle déterministe non déterministe. Vous pourriez tout au plus évoquer une "volonté libre" qui remplit 1b) mais pas 1 ') et affirmer qu'il n'est pas important qu'un choix soit prédéterminé tant que personne d'autre ne peut le prédire et se satisfaire de 1a). La terminologie est discutable, donc dans le paragraphe suivant, 1 ') devrait être considéré comme une définition. Pour différencier 1) et 1 '), suggérons que le 1b) type de libre arbitre qui existe dans un WAAM déterministe et ne remplit pas 1') soit nommé IGIOI UMYAE AIOYEEDOO "pseudo-libre arbitre".


À ce stade, on peut également noter que si l'évolution du temps est réversible, on pourrait également envisager que les actions d'un agent dans le passé étaient déterminées par le futur. C'est tout simplement impraticable car nous n'avons pas de souvenirs de l'avenir et nous ne pouvons qu'extrapoler le passé, mais pas le futur à l'envers. Que nous ne puissions pas le faire ne signifie cependant pas que les lois de la nature l'interdisent. Maintenant que nous avons soutenu que le libre arbitre a besoin d'une évolution temporelle indéterministe, nous devons noter avec pragmatisme qu'un élément aléatoire dans l'évolution du temps ne s'accorde pas avec l'idée du IGIOI UMYAE (libre arbitre) non plus. Selon les meilleures connaissances actuelles de vos physiciens, la mécanique quantique dit que l'évolution dans le temps d'un bloc de matière radioactive n'est en principe pas prévisible et, en fait, non déterministe. Tout ce que vous pouvez faire c'est découvrir la demi-vie et donner une loi d'évolution statistique pour le taux de décroissance, mais vous ne pouvez pas considérer cela comme une preuve que les matières radioactives ont un libre arbitre. Si les décisions sont aléatoires, l'agent ne les prendra pas en charge de manière significative. Nous ajoutons donc une autre exigence : 2) Les actions d'un agent en possession du libre arbitre ne peuvent pas être des conséquences de processus fondamentalement aléatoires. Par "aléatoire", nous entendons aléatoire dans le sens mathématique, c'est-à-dire donné par une variable aléatoire qui n'a pas de valeur distincte mais qui peut prendre un ensemble de valeurs avec des probabilités assignées. Il est clair à ce stade de la réflexion que puisque vous n'avez actuellement pas une seule théorie candidate pour les lois fondamentales de la nature qui ne soit ni déterministe ni aléatoire, il est difficile de maintenir une croyance dans le IGIOI UMYAE (libre arbitre). Cela n'aide pas à combiner l'évolution déterministe avec l'évolution stochastique. Une telle combinaison peut rendre l'un ou l'autre aspect moins apparent, mais n'offre toujours pas un moyen de donner un sens à un agent qui prend librement des décisions conformément à 1 ') et 2).


Soulevons d'autres questions relatives au IGIOI UMYAE en mécanique quantique : la liberté de l'expérimentateur de décider comment régler le détecteur par exemple. Certains penseurs de OYAGAA émettent que si les particules élémentaires n'ont pas de libre arbitre, alors les expérimentateurs n'ont pas non plus de libre arbitre. En fait, le libre arbitre de l'expérimentateur est une supposition au théorème de Bell, le même théorème qui a été utilisé pour falsifier des modèles de variables cachées localement déterministes et réalistes, établissant ainsi une mécanique quantique non déterministe (bien que des failles demeurent).


Ainsi, alors que l'évolution non-déterministe de la mécanique quantique rompt avec l'intelligence de Laplace qui est capable de prédire le mouvement de toute chose si sont entrées les conditions initiales, un argument en faveur du libre arbitre pour trouver sa place dans le non-déterminisme de la mécanique quantique est circulaire: le libre arbitre doit faire place au libre arbitre.


Nous avons vu que si nous nous efforçons de rendre mathématiquement concret le concept intuitif mais flou du IGIOI UMYAE (libre arbitre), alors ce concept fait défaut dans toutes les lois de la nature que vous connaissez et utilisez aujourd'hui. Si l'on ne se contente pas de la version restreinte 1) du libre arbitre qui est compatible avec le déterminisme, alors on se pose la question de savoir à quoi la réalité devrait ressembler pour que le IGIOI UMYAE soit plus qu'une illusion. La solution la plus probable est de supposer qu'il y a des choses que votre science ne peut pas encore décrire.


Dans ce qui suit, nous soutenons qu'il vous est possible de conserver la notion de IGIOI UMYAE sans se replier sur la métaphysique et qu'il existe une version du libertisme compatible avec votre science moderne. Encore une fois, on pourrait mentionner que les mots déterminisme, compatibilisme et libertisme sont utilisés ici différemment de la façon dont ils sont utilisés sur OYAGAA par vos penseurs.

C'est probablement vrai étant donné les difficultés que nous rencontrons à matérialiser une expression limpide de notre pensée dans votre langue. Néanmoins, dépourvu de -ismes, l'énoncé est le suivant : Il est possible d'avoir une évolution temporelle dans laquelle les actions futures d'un agent ne sont pas complètement déterminées, même en principe, par toutes les informations disponibles dans le présent et dans le passé, et ses actions ne sont pas aléatoires non plus dans le sens où les valeurs des variables initiant un changement (action) sont distinctes.


Nous avons soutenu plus haut que pour que le libre arbitre soit plus qu'une illusion, nous avons besoin d'une évolution temporelle qui ne soit ni déterministe ni aléatoire. Nous pouvons considérer cela comme suit : Il existe une évolution temporelle H (t) qui n'est pas déterministe directe dans le sens où étant donné l'état de l'agent à un instant t0, H (t) permet un ensemble d'états à l'instant t1> t0. Pour simplifier, supposons que l'évolution est réversible et déterministe à l'exception d'une série de moments dans lesquels l'agent "prend une décision" parmi l'ensemble des branches d'états possibles en différentes options qui sont seulement probabilistiquement connus. Supposons aussi que chaque décision se résume à choisir une parmi dix alternatives décrites par les chiffres 0 à 9.



Ce dont nous avons besoin pour que cette évolution ne soit pas aléatoire est une fonction F que nous pouvons appeler IGIOI UMYAE, le "libre arbitre" qui renvoie à tout moment un choix spécifique, c'est à dire un chiffre, et sélectionne un chemin spécifié de façon unique. L'évolution H (t) devient alors déterministe si l'on choisit le chemin à l'aide de F dans chaque point de ramification. La fonction IGIOI UMYAE assignée à l'agent pourrait être interprétée librement comme le caractère de l'agent. On ne devrait pas prendre cette interprétation trop strictement car le caractère de l'OEMII a des composantes variables qui évoluent avec le temps, et la fonction du IGIOI UMYAE (libre arbitre) ne serait qu'un aspect de la question qui pourrait varier en termes de pertinence comme nous le verrons plus loin. La fonction F ne devrait pas être déterministe elle-même, sinon nous serions de retour dans l'univers de Laplace. Elle ne devrait pas non plus être un processus hasardeux. Les fonctions de ce type ne sont pas difficiles à trouver.


Vous avez juste besoin d'une fonction (en principe) spécifiée de manière unique qui ne peut pas être développée vers l'avant par exemple parce qu'elle fait des sauts discrets ou parce qu'elle n'est pas déterministe vers l'avant. Cette fonction doit en outre avoir la propriété de ne pas être construite simplement en collectant un ensemble (éventuellement infini) de valeurs dans le passé. Ceci a la conséquence suivante :



L'évolution dans le temps de l'état de l'agent n'est plus aléatoire. Il est déterminé par F, mais pas déterministe (avancé) : Peu importe pendant combien de temps vous enregistrez les choix de l'agent, vous ne serez jamais capable de prédire, même en principe, quel sera le prochain choix (1b).


Vous pourriez demander à l'intelligence de Laplace de dire tous les degrés de liberté du WAAM entier à la fois et vous ne seriez toujours pas capable de comprendre ce que l'agent fera au prochain (1 '). Mais si vous saviez seulement que le IGIOI UMYAE de l'agent fonctionne, il n'y aurait rien d'ambigu au sujet de ses actions (2). Dans un certain sens, vous pourriez dire, l'agent "est" sa propre fonction IGIOI UMYAE. Chaque fois que notre agent fait face à une décision, il fait appel à sa fonction IGIOI UMYAE et opère un choix. Le statut du IGIOI UMYAE fonctionne ici comme celui d'une loi fondamentale de la nature. Ce n'est pas causé par quoi que ce soit d'autre. Une autre possibilité est de compléter une évolution déterministe directe H (t) avec une évolution déterministe arrière F (t), impliquant que pour pouvoir savoir ce qui s'est passé à tout moment t0, on aurait besoin d'un état initial à temps t <t0 (pour l'évolution vers l'avant) et un état final à un instant t> t0 (pour l'évolution vers l'arrière). Puisque nous n'avons accès qu'aux états initiaux dans le passé, nous ne serions jamais capables de savoir ce qui se passe. Cet exemple est dans un certain sens moins satisfaisant. Bien sûr, ces exemples sont arbitrairement construits et ne sont certainement pas destinés à décrire la réalité actuelle suggérée par vos physiciens. Leur but est simplement de montrer qu'il est possible d'avoir une description mathématique de la réalité qui permet au IGIOI UMYAE d'exister et de donner un sens opérationnel à l'acte de prendre une décision dans un monde déterminé mais non déterministe. Cela ouvre certes plus de questions que de réponses : comment intégrer une telle volonté dans les lois de la physique actuellement connues ? Comment savoir si l'OEMII dispose d'un tel libre arbitre ?



Si tel est le cas, pourquoi l'OEMII en dispose t-il et qui ou quoi d'autre peut en disposer ? Il y a aussi une leçon intéressante à apprendre de cela. Tous les exemples qui permettent la liberté auront en commun que la fonction IGIOI UMYAE ne peut pas être une solution (au moins par morceaux) à une équation différentielle car si elle l'était, elle pourrait être développée en utilisant cette équation.


Si vous supposez que la nature est décrite par la loi mathématique, il n'y a pas de raison spécifique pour que cette loi prenne la forme d'une équation différentielle - sauf que le cerveau de l'OEMII, formé par l'évolution et l'éducation, extrait naturellement des observations et en fait des suppositions.


Mais on peut en principe spécifier une fonction (que l'on peut imaginer décrire notre WAAM) par un ensemble d'axiomes, dont aucun n'est une solution à une équation différentielle. Si l'on avait ces axiomes plutôt que l'équation différentielle, alors au lieu de trouver une solution et des données initiales appropriées, il faudrait spécifier un emplacement dans l'espace sur lequel la fonction est définie. Une théorie fondamentale qui n'est pas formulée par l'utilisation d'équations différentielles peut ne pas avoir besoin de conditions initiales, ouvrant ainsi une nouvelle direction pour répondre à la question de savoir pourquoi le WAAM a commencé comme il l'a fait (s'il l'a fait). La réponse pourrait être que les théories utilisant des équations différentielles qui fonctionnent bien atteignent localement leurs limites quand vous cherchez à décrire l'histoire du WAAM entier, et il est intéressant de noter que l'existence du IGIOI UMYAE (libre arbitre) pourrait être un indice. Nous soutenons qu'il vous est possible de faire preuve de sens scientifique au sujet du IGIOI UMYAE et avons suggéré une signification opérationnelle pour faire un choix. Un agent peut faire un choix qui ne découle d'aucune information disponible dans le passé, en lisant la valeur d'une fonction IGIOI UMYAE qui doit remplir la seule exigence de ne pas être déterministe avancé.


Nous associons le IGIOI UMYAE à des systèmes autonomes qui font des choix, avec des modèles d'activation transmis par voie neurobiologique BIAMOOXEAA (neuro-organes) de l'OEMII. Votre cerveau autant que toutes les autres parties du WAAM obéit aux lois fondamentales de la nature. Que ces lois fondamentales autorisent le IGIOI UMYAE est une condition nécessaire pour que le IGIOI UMYAE existe, et ces lois doivent être compatibles avec le domaine de la physique, ce que nous venons de démontrer. Nous exposons dans les éléments qui suivent nos concepts actuels sur le sujet IGIOI UMYAE. Ils sont scientifiquement argumentés sur UMMO, bien que certaines questions transcendantes sur BUUAWA demeurent inintelligibles à notre science.



Nous devrons ici résumer l'essentiel de notre paradigme et introduire à votre connaissance les informations inédites commandées par l'UMMOAELEWE. L'étude minutieuse du résumé qui suit offrira aux analystes suffisamment informés sur notre civilisation un moyen efficace de faire la distinction entre les éléments réversibles (erreurs) volontairement insérés par mes frères, et les éléments irréversibles (erreurs) trahissant une méconnaissance de nos thèses dans les lettres et communications prétendues UMMO.

Les systèmes autonomes composant le IGIOI UMYAE proviennent de 3 sources : l'OEMII (humain), le BUUAWA (âme) et le BUUAWA BIAEII (âme collective). Chacune de ces entités contribue par son apport informatif distinct à la structure de l'OEBUMAEOEMII (homme-événement) mais c'est BUUAWA qui module les données collectionnées en extrapolant une décision autonome et exerce ainsi le IGIOI UMYAE de l'OEMII qu'il commande. Il est actuellement impossible aux chercheurs d'OYAGAA de définir plus précisément le IGIOI UMYAE tant que les UNNIEYO (neurologues) n'auront pas découvert l'OEMBUUAW (troisième facteur de l'OEMII), une chaîne d'atomes DIIUYAA (de krypton) située dans la zone du sillon hypothalamique.



L'OEMBUUAW est la structure connectique du BUUAWOEMII (âme/corps humain).


Le DIIUYAA (Krypton) est comme vous le savez un gaz noble. C'est à dire que la dernière couche électronique de ses atomes (que vos chercheurs nomment couche de valence) est saturée de sorte que ces atomes ne coordonnent pas (en principe) de liaison covalente avec d'autres atomes, d'où leur inertie chimique. Mais en pratique, le DIIUYAA est (dans des conditions bien particulières) capable d'entrer en résonance avec le carbone et l'hélium. Les atomes DIIUYAA qui forment le OEMBUUAW ont la particularité de rompre avec leur indéterminisme microphysique et d'interagir par un effet cortical de résonance avec des réseaux d'atomes d'hélium en modifiant leurs états IBOOAYA NUIO (quantiques). Ceux-ci interférant ensuite avec les BIAEMOOXEA (neuro-organes) chargés du processus BIAMOAXII (conversion des messages thermo-modulés en impulsions nerveuses canalisées par des réseaux de neurones).


Nous appelons cet effet cortical de résonance le OWEEU OMWAA. Le OEMBUUAW est composé de 16 atomes DIIUYAA. Chaque atome est soit AAXOO (émetteur), soit UAXOO (récepteur). 4 atomes AAXOO et 4 atomes UAXOO sont consacrés à la connexion intégrale de BUUAWA, 6 atomes AAXOO et 2 atomes UAXOO sont consacrés à la connexion avec BUUAWA BIAEII. Les canaux qui "relient" l'OEMII au BUUAWA BIAEII sont appelés OAWOO NIIUAXOO et les canaux qui "relient" l'OEMII à BUUAWA sont appelés OAWOO NIIAAXOO.


L'atome UAXOO IEN (premier récepteur) contrôle le système nerveux somatique de l'OEMII. Le BUUAWA IMMI (champ de la conscience de l’âme) imprime les mouvements électroniques de la couche périphérique de cet atome de krypton qui entre alors en résonance OWEEU OMWAA.



Le ESEE OA (champ de la conscience humaine) est une animation neuro-organique projetée par BUUAWA IMMI et paramétrée par ajustements des facteurs OEMII (organisme), BUAAWA (âme) et BUUAWA BIAEII (conscience collective). Le champ de la conscience de l'OEMII et celui de BUUAWA sont distincts et autonomes, même s'ils sont intimement corrélés.


Le BUUAWA est dépositaire du IGIOI UMYAE de l'OEMII et responsable de sa conduite. En parallèle, un atome AAXOO informe également BUUAWA BIAEII de l'activité du système nerveux somatique de l'OEMII. Un deuxième atome
DIIUYAA UAXOO (récepteur) informe et influence le système nerveux végétatif de l'OEMII. Puis viennent 2 atomes UAXOO en lien avec la psyché. Le premier crypte des informations provenant de BUUAWA et converties en informations BUUAWAAMIESEE OA (subconscientes) et le second des informations converties en activité psychique consciente incluant OANEAOIYOIYOO (la transmission télépathique).



Un atome AAXOO transfère l'activité psychique consciente incluant OANEAOIYOIYOO vers BUUAWA BIAEII. Deux atomes AAXOO émetteurs transcrivent l'ensemble des activités inconscientes psychiques de l'OEMII, l'un vers BUUAWA et un autre vers BUUAWA BIAEII. Vient ensuite un atome UAXOO correspondant à l'activité psychique consciente de l'ensemble des OEMII tétradimensionnels (canal de réception OANEAOIYOIYOO) issu de BUUAWA BIAEII. Trois atomes AAXOO informent BUUAWA : du canal YAAYODEE (transitant par les organes de mémoire BIEYAEYUEO DOO) pour le premier, du canal YAAIOSU BIIO (qui transmet directement les informations nerveuses) pour le second et des informations concernant l'état du système nerveux végétatif de l'OEMII pour le troisième.



Trois atomes AAXOO informent BUUAWA BIAEII de ces mêmes données. Le seizième atome UAXOO transcode et modère divers schémas inconscients communs à tous les OEMII et des formes de messages particularisés pouvant (dans certaines conditions) accéder au niveau de la conscience de l'OEMMI.

Le réseau du gaz krypton OEMBUUAW est formé au moment du UOIWO (caryogamie) chez l'OEMII, c'est à ce moment précis qu'il se connecte à BUUAWA et que se développe conjointement un réseau complexe d'IBOZOO UU structurant une matrice informationnelle dans le WAAM BUUAWA BIAEII où sera stockée et traitée toute l’information concernant l'OEMII dans un secteur du réseau. Nous appelons cette matrice informationnelle BUUALEEXII. Ainsi le OEBUMAEOEMII dispose en réalité de 3 systèmes autonomes de traitement de l'information : Son BUUAWA, l'encéphale de son OEMII et son BUUALEEXII dans le BUUAWA BIAEII.


Ces 3 systèmes autonomes sont capables d'engrammation et de gestion de l'information suivant des voies non-commensurables puisque chacun de ces systèmes est intégré dans un WAAM répondant à des propriétés spécifiques. Le BUUAWA est adimensionnel -tout comme WOA (principe générateur traduisible par Dieu)-


C'est donc une réduction anthropomorphique et un non-sens scientifique d'imaginer qu'un BUUAWA puisse être créé au moment de la fécondation. En réalité les OEMII suscitent la naissance des nouveaux OEMII. Les BUUAWA sont engendrés par WOA et sont indestructibles.


Le paradigme scientifique de UMMO localise l'ensemble des BUUAWA dans le WAAM BUUAWA (univers des âmes), un réseau d'IBOZOO UU dépourvu de singularités ou de plissements. Dans cet univers de masse nulle et de rayon constant, aucune interaction impliquant une quelconque fluctuation énergétique n'est concevable.



Cependant un AYUU d'IBOZOO UU (abstraction élémentaire que nous utilisons pour décrire la physique du WAAMWAAM) peut se structurer par virtualisation inter-relationnelle angulaire en OXOOIAEE (chaines annulaires) élaborant des substrats complexes non-dimensionnels de l’information.


Le temps n'est descriptible qu'à l'état de gel phénoménologique, il n'existe pas pour BUUAWA. Il est donc abstrait pour l'intellect humain de se représenter l'activité de BUUAWA. Les idées extrapolées, l'expérience acquise, le IGIOI UMYAE ou le contrôle de l'OEMII ne sont pas encodés ou réalisés par un processus séquentiel ou continu. La conceptualisation d'une corrélation entre l'activité de BUUAWA et celle de l'OEMII n'est accessible qu'à la lumière de notre UWUUA IAS (logique tétravalente) en terme d'axialité chronoscalaire.

Les BUUAWA ont la faculté d'émettre consciemment des idées protéiformes et antinomiques qu'ils dimensionnalisent par l'expérience OEMII. Les attributs fonctionnels de BUUAWA (âme) sont BUUAWA IMMI (la conscience) et IGIOI UMYAE (le libre arbitre). Ces fonctionnalités sont intrinsèques et ne dépendent pas de l'expérience OEMII (BUUAWA intègre librement cette expérience et ses fonctionnalités y sont contraintes et modulées). WOA concède ces attributs à BUUAWA une fois pour toutes. En revanche, EESE OA (la conscience humaine) n'est susceptible d'être potentialisé que si un BUUAWAA est connecté à un OEMII via son OEMBUUAW. Ainsi, BUUAWA est adimensionnel (par essence) et dimensionnel (par expérimentation d'une interaction avec des réseaux d'IBOZOO UU imprimant des masses). A la mort physique de l'OEMII, lorsque les derniers éléments du réseau de krypton de l’OEMBUUAW sont détruits et cessent d'exercer leurs fonctions connectives, l'expérience dimensionnelle physique de BUUAWA s'achève. La rupture des liens OEMBUUAW de l'OEMII est instantanément corrélée par BUUAWA et BUUAWA BIAEII et déclenche le AMMIEYIISAIA BUUAWA par l'intermédiaire des axes informationnels qui unissent le WAAM BUUAWA BIAEII et le WAAM BUUAWA. Nous appelons ces liens : OAWOO BUUALEEXII.

Le WAAM BUUAWA BIAEII est un univers de masse infinie qui contient tous les BUUAWA BIAEII (consciences collectives) des EESEOEMII du WAAM. Il est fractionné en sections égales de masses de matière positive et de masses de matière négative et ne contient pas de masse imaginaire. Son rayon est constant et la vitesse du photon y est infinie. Il est sémantiquement excusable d'établir une correspondance entre le BUUAWA BIAEII et ce que vous appelez "l'au-delà" mais c'est une adaptation très insuffisante et non-pertinente qui fait abstraction de ses fonctions biogénétiques transcendantes.

Avatar du membre
Marc
Administrateur du site
Messages : 5501
Enregistré le : 11 déc. 2008, 19:26
Contact :

Re: LES MESSAGES DE IUUDII 512

Message par Marc »


C'est donc en BUUAWA BIAEII que se produit le AMMIEYIISAIA BUUAWA (que nous traduisons approximativement par "reconformation") qui est en réalité un processus complexe qui comprend 3 phases :


Une première phase consiste à éjecter (expurger) et transmuer les OXOOIAEE (chaines annulaires) informationnels contradictoires aux UUA de WOA contenus dans le BUUALEEXII (matrice informationnelle que le BUUAWOEMII a alimenté dans le BUUAWA BIAEII durant son couplage).


Une deuxième phase consiste à connecter BUUAWA IMMI à cette matrice BUUALEEXII ; et la dernière (phase finale transcendante) est sa relocalisation dans le BUUAWA BIAEII que nous expliquons ci-après. Le degré de connexion accordé par BUUAWA BIAEII équivaut à une autorisation de conscientisation du BUUAWA IMMI dans sa matrice BUUALEEXII. Le niveau d'information et les secteurs du réseau autorisés au BUUALEEXII sont déterminés par la première partie du processus qui génère une sorte de coefficient que nous nommons BUUAWA IMMI OAAE (axialité informative du champ de la conscience de BUUAWA). Selon son BUUAWA IMMI OAAE, l'expérience de BUUAWA se poursuit au sein du complexe pentadimensionnel
extracosmique BUUAWA BIAEII. Ainsi le IGIO UALEEXII (personnalité) de l'OEMII décédé conserve une forme d'existence orientée sur l'enrichissement informatif qui inclut des interactions potentielles d'une grande densité avec les autres BUUALEEXII conscientisés que nous dénommons : BUUALEEXII OAAE. Le IGIOI UMYAE de BUUAWA est ici limité à la possibilité de réduire volontairement son BUUAWA IMMI OAAE (degré de conscientisation) ou même à l'interrompre. Dans ce dernier cas, la matrice informationnelle est BUUALEEXIIOAAEE, c'est à dire inconsciente et statique. Les BUUALEEXII OAAE et les BUUALEEXII alimentés par des OEMBUUAW ne peuvent pas interagir directement en principe puisque les uns sont constitués de masse positive et les autres de masse négative.

En effet, un BUUALEEXII subit en phase terminale (relocalisation) du processus AMMIEYIISAIA BUUAWA un LEEIIYO WAAM transcendant (effet frontière) impliquant un changement d'axe des OXOOIAEE (chaines annulaires) d'IBOZOO UU qui sous-tendent sa structure et déclenchant un OAWOOAEELEIBOZOO (initialisation intégrale du système dimensionnel) qui le délocalise instantanément et définitivement vers le secteur "opposé" du BUUAWA BIAEII, lui autorisant uniquement l'interaction avec d'autres BUUALEEXII OAAE. Cependant, des interactions énergétiques et gravitationnelles entre les GOOINUU UXGIIGII (structures filamenteuses qui architecturent le WAAM BUUAWA BIAEII) génèrent des transferts d'information entre les secteurs. Ces blocs informationnels sont traités et modulés par BUUAWA BIAEII qui peut en injecter des éléments particularisés vers le seizième atome de l'OEMBUUAW d'un OEMII. Cette forme de communication ne doit pas être confondue avec OANEAOIYOIYOO (la communication télépathique) qui est définitivement impossible entre un OEMII du WAAM et un BUUALEEXII OAAE (défunt) en l'absence de la connectique OEMBUUAW. Le seizième atome de l'OEMBUUAW permet cependant à l'OEMII de capter confusément ou consciemment des formes de messages en provenance des BUUALEEXII OAAE (modulés par BUUAWA BIAEII) et des formes de communication provenant des AYAUUBAAI BIAEII (cellules informationnelles individuelles attachées à tout organisme vivant, une algue, une bactérie, un cétacé). Les AYAUUBAAI BIAEII sont reliés aux organismes vivants par le BAAIODUU, un réseau d'atomes de krypton présent dans l'ADN de chaque cellule dont le processus connectique est analogue à celui de l'OEMBUUAW et dont les fonctions sont biogénétiques. Ainsi les espèces les plus évoluées disposent de formes de conscience entièrement paramétrées par BUUAWA BIAEII et capables d'interactions émotionnellement complexes avec les OEMII. Mais seul l'OEMII dispose de l'OEMBUUAW qui le relie à un BUUAWA et seul L'OEMII accède au IGIOI UMYAE. Nous considérons que les animaux n'ont pas d'âme dans le sens BUUAWA mais une conscience AYAUUBAAI BIAEII.


La thèse de la réincarnation, que nous avons rencontré sur OYAGAA et d'autres AASEEOYAA (civilisations galactiques) est admissible par notre paradigme scientifique dans la mesure ou le BUUAWA adimensionnel n'est pas limité par le facteur temps et peut potentiellement connaitre un nombre incalculable d'expériences OEMII. Les systèmes de distribution axiale chronoscalaire modélisés par notre UWUUA IAS objectivent des schémas possibles approximativement analogues à la description séquentielle et néguentropique de la réincarnation et du karma des philosophies orientales d'OYAGAA. L'hyper-complexification des réseaux d'IBOZOO UU sous-tendant le substrat non-dimensionnel du WAAM BUUAWA est scientifiquement recevable par notre paradigme. Ce qui implique par conséquent que BUUAWA IMMI n'est pas limité à BUUALEEXII OAAE après le décès de l'OEMII et que le BUUAWA IMMI OAAE au sein du BUUAWA BIAEII n'est qu'une activité périphérique de BUUAWA. La réincarnation n'est pas scientifiquement prouvée sur UMMO car notre civilisation ne présente pas suffisamment de cas pour générer des études sociologiques ou scientifiques, mais la réalité de sa phénoménologie sur d'autres OYAA (planètes) est reconnue. L'intégration de la réalité phénoménologique de ce concept à notre modèle cosmophilosophique du WAAMWAAM offre à BUUAWA une extension axialisée de ses réalisations conscientes potentielles (et de sa fonction IGIOI UMYAE) conforme à notre approche philosophique des sublimes perspectives de WOA.


La question de l'interaction entre BUUAWA BIAEII de différents OYAA (planètes) n'est pas non plus scientifiquement prouvée mais tout autant recevable.

Nous confessons humblement que l'AAIODI (l'entité réelle) est inaccessible et que notre modèle est perfectible.



Pour finir, nous souhaitons saluer le changement de paradigme en cours sur OYAGAA. Il est progressif mais réel.

Les changements sont lents mais se produisent également en physique. La mesure quantique est un processus de décohérence plutôt qu'un ODAWAA (effondrement). Cela ne désintègre pas les fondations paradigmatiques mais les déplace lentement. C'est un changement d'interprétation qui s'est propagé dans l'AYUYISAA. De même, il est maintenant généralement admis que la plupart des infinis dans la théorie quantique des champs ne signalent pas une rupture de la théorie mais peuvent être traités par des méthodes de calcul appropriées. De notre point de vue, un des changement les plus remarquables qui ait eu lieu en physique au cours des dernières décennies est le développement technologique mais avec lui, l'acceptation du flux des groupes de renormalisation. Certaines théories du champ quantique sont défectueuses et manquent de sens, elles sont dites non renormalisables. Dans une telle théorie, les infinités mentionnées précédemment ne peuvent pas être supprimées, ou elles ne peuvent être supprimées qu'au prix de l'introduction d'un nombre infini de paramètres libres qui rendent la théorie inutile. Les théories non renormalisables peuvent être des approximations à basse énergie d'autres théories qui sont saines et renormalisables. Les infinis sont des artefacts de l'approximation et apparaissent si l'on applique l'approximation en dehors de son régime de validité.


Ces approximations à basses énergies sont dites être des théories "efficaces" et elles contiennent typiquement des particularités qui ne sont pas fondamentales, mais "émergentes", c'est-à-dire qu'elles sont de bonnes descriptions tant que vous ne les sondez pas avec trop d'énergie.


La théorie qui est bonne aussi aux hautes énergies serait la "complétion UV" de la théorie efficace (d'après la terminologie scientifique terrestre contemporaine). Un exemple typique d'une théorie efficace est la force nucléaire entre les neutrons et les protons. Ce ne sont pas des particules fondamentales puisqu'elles sont faites de quarks et de gluons. Mais pour la physique nucléaire, à des énergies trop petites pour tester la sous-structure des quarks, on peut traiter les neutrons et les protons
comme des particules à part entière. L'interaction entre eux est alors efficacement médiée par un pion, une particule elle-même composée de deux quarks.


Nous estimons essentiel de prendre conscience que n'importe quelle théorie de champ quantique en est seulement une dans un espace de théories qui peuvent se transformer en une autre, et l'expression de la théorie change avec l'échelle d'énergie à laquelle est sondé la physique. Une théorie non renormalisable est parfaitement cohérente dans son régime de validité. Et ainsi aujourd'hui ces théories ne sont plus déclarées non-valides, elles sont déclarées incomplètes.

On dit souvent que les physiciens d'OYAGAA ne savent pas quantifier la gravité. Ce n'est pas vrai cependant, le résultat est connu sous le nom de "gravité quantifiée perturbativement". Le problème est que la théorie que vous obtenez de cette façon est non-renormalisable, c'est pourquoi on ne parle pas de gravité quantique proprement dite. La théorie de la gravitation quantique (que vous ne connaissez pas) est la "complétion UV" de cette quantification perturbative non renormalisable. Le cadre de la théorie des champs effectifs est l'outil néguentropique qui unit, au moins théoriquement, les différentes disciplines de la physique et des sciences. La physique des particules élémentaires, la physique nucléaire, la physique atomique et la physique moléculaire ne sont plus des couches de réalité différentes et déconnectées. Même si vous ne pouvez pas (encore) dériver la plupart des relations entre les modèles utilisés dans ces disciplines, vous savez qu'ils sont connectés à travers le cadre de la théorie des champs effectifs.


Et à de hautes énergies, tout cela ne renvoie qu'à une seule théorie du tout.


Nous espérons que les informations contenues dans ce rapport vous offriront un éclairage plus étendu sur nos conceptions cosmophilosophiques et le IGIOI UMYAE.


AOIO 343, 2018,



UELIBUUAW OAAE (siège de la conscience première de BUUAWA)



Les axes informationnels qui "relient" le WAAM BUUAWA BIAEII et le WAAM BUUAWA sont les OAWOO BUUALEEXII et les OAWOO UELIBUUAW.



-Les OAWOO BUUALEEXII connectent le UELIBUUAW OAAE (siège de la conscience première de BUUAWA) et le BUUALEEXII au cœur de BUUAWA BIAEII. C'est par ce canal qu'est injecté BUUAWA IMMI (champ de conscience de l'âme) lorsque BUUAWA est informé du BUUAWA IMMI OAAE (degré de conscientisation) accordé à son BUUALEXII OAAE dans le processus AMMIEYIISAIA BUUAWA.


-Les OAWOO UELIBUUAW sont les axes connectiques entre BUUAWA et son UELIBUUAW OAAE. Ils sont l'entrée initiale de BUUAWA au sein du BUUAWA BIAEII.


Cette connexion existe en dehors de l'expérience OEMII de BUUAWA et l'autorise à une réalité expérimentale pentadimensionnelle au sein de BUUAWA BIAEII générée au moyen d'un substrat informationnel sous-tendu par des réseaux IBOZOO UU angulairement structurés dans un hyper-espace à 5 dimensions (3 dimensions spatiales + XUIWIOAEE + OAWOOAEELEIBOOZO).



-XUIWIOAEE est l'initialisation du "temps imaginaire" qui permet au système d'élaborer une intégrale de chemin similaire à une fonction de partition et une expression spatiale difféomorphiques des fractales du WAAMWAAM stockant l'information non biogénétique mais structurelle des UXGIIGIIAM WAAM (espaces réels qu'il a générés) dans des mémoires matricielles réfractant les points hyper-massiques originels de chaque UXGIIGIIAM WAAM et sont spatialement corrélées mais dans un temps imaginaire avec l’instant initial de l’explosion du WAAM BUUAWA BIAEII.


Notre WAAM et sa fractale jumelle UWAAM ne naquirent donc pas "en même temps" que le WAAM BUUAWA BIAEII mais plus précisément à partir d'un espace de temps généré à l'instant initial du WAAM BUUAWA BIAEII.



Notre cadre spatio-temporel est défini (comme les autres) par la densité UIWIOE de l'écoulement UIWIO (chronon ou quantité relative de temps qui décrit la vitesse de transformation de la matière et des événements) et par l'UIWIUTAA (orientation du temps). Les WAAM adjacents et les WAAM extrêmes (c'est-à-dire tout le WAAMWAAM) furent contenus dans le UUOWAAMAAE (cosmion) initial de WAAM BUUAWA BIAEII.



Ce UUOWAAMAAE primordial de valeur infinie est un "schéma de pensée" généré par WOA et coexistant «jusqu'alors» avec lui. Il est réalisé sous la forme d'une "explosion" grâce à l'introduction d'une anisotropie : la création, mouvement perpétuel qui prolifère sous une forme archétypale. La création est une constante inaltérable initiée par WOA et perpétuellement régénérée par WAAM BUUAWA BIAEII.



Le WAAM BUUAWA BIAEII - qui déploie le WAAMWAAM - est la création manifeste de WOA.



-OAWOOAEELEIBOOZO est une dimension consécutive de XUIWIOAEE. C'est une extension UIWIOAEE des OAWOO (vecteurs dimensionnels) définissant les réseaux d'IBOZOO UU, possible uniquement dans un hyperespace à 5 dimensions et en architecturant un espace des transferts. Ainsi, les changements de localisation dans un hyperespace à 5 dimensions peuvent s'exprimer sous forme de dépolarisation des signes de masse d'un AYUU d'IBOZOO UU sans extraire l'objet du cadre.



La projection première de BUUAWA IMMI à BUUAWA BIAEII est donc hébergée dans une matrice informationnelle permanente que nous nommons UELIBUUAW OAAE. Nous estimons qu'il s'agit de la forme d'expression de BUUAWA IMMI la plus intimement et globalement impliquée au sein du BUUAWA BIAEII, c'est le siège de la conscience première de BUUAWA.


UELIBUUAW OAAE est la source originelle de données expérimentales de BUUAWA, empiriquement conformée par la somme de ses expériences au sein de BUUAWA BIAEEII.


BUUAWA a la fonction IGIOI UMYAE (libre arbitre) et extrapole les données collectées expérimentalement par son UELIBUUAW OAAE pour opérer ou non le choix de l'expérience OEMII. La possibilité de ce choix serait impossible sans ce module expérimental de BUUAWA intégré à BUUAWA BIAEII, la fonction IGIOI UMYAE nécessite impérativement un cadre et une base de données.


L'activation du choix de l'expérience physico-biologique implique la connexion avec l'OEMBUUAW dans la phase UOIWO (caryogamie) d'un OEMII et le développement conjoint d'un BUUALEXII spéculaire connecté à l'OEMII. UELIBUUAW OAAE est immédiatement corrélé à BUUALEXII avec lequel il entretient des liens informatifs subtils.


Le UELIBUUAW OAAE est un système autonome conscient avec une fonction d'exploration et une fonction de gestion de l'information, il traite la globalité de l'expérience BUUAWA au sein de BUUAWA BIAEII.


L'expérience OEMII est donc une fraction de l'expérience globale de BUUAWA et consécutive d'un choix exprimé par la fonction IGIOI UMYAE sur la base des informations collectées par UELIBUUAW OAAE.



La possibilité d'une interaction entre les BUUAWA BIAEII (consciences collectives) de différentes AASEEOYAA (civilisations planétaires) est argumentée par l'a-dimensionnalité de BUUAWA qui n'est limitée par aucune taille et peut potentiellement générer une constellation de connexions UELIBUUAW OAAE dans différents BUUAWA BIAEEIII. C'est une hypothèse que nous ne pouvons pas exclure.

Verrouillé