LES MESSAGES DE IUUDII 512

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Marc
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AYUBAAEWAAAEE.jpg
AYUBAAEWAAAEE.jpg (16.07 Kio) Vu 419 fois

Figure 1 : Illustration de V ∗ -l'AYUBAAEWAAAEE-, où V ∗ correspond à l’ensemble des sommets de couleur rouge ou grise. Le graphe de facteurs G d’origine est représenté à gauche tandis que le graphe résultant est représenté à droite.

L'UWUA décrit certains cas où l'AYUBAAEWAA (convergence) de l’OXOOWUA AA INNOO UO DIEWEE est garantie.



-IWUA UO : Dans le cas de variables σi binaires (q = 2), si le graphe T (G, V ∗ ) est formé d’arbres déconnectés contenant chacun au maximum 2 feuilles issues de V ∗, l’OXOOWUA AA INNOO UO DIEWEE défini précédemment est stable et converge vers un IBOO (point) unique et fixe.


-UWUAAE UO et UWUAAE AIOYAAAE UO : Tout d’abord, on s'aperçoit aisément que fixer les AIOOYAAAE (convictions) d’un ensemble de sommets V ∗ ⊂ V a exactement le même effet que l'AYUBAAEWAAAEE T (·, V ∗ ) du point de vue de la propagation des UAXOOAAXOODOIAAE.



Effectivement, la forme des mises à jour indique que tout semble se dérouler comme si le graphe était segmenté à chaque sommet de V ∗ . Pour prouver définitivement l'AIOOYAAAE (procédure tétravalente : IIAIOOYAAAE), il suffit alors d’étudier l'AYUBAAEWAA de l'OXOOWUA AA INNOO UO DIEWEE sur un arbre contenant deux feuilles issues de V ∗ .


Dans le cas ici présenté, la fonction
T2.jpg
T2.jpg (1.05 Kio) Vu 419 fois
représente exactement l'IWUA (loi) du vecteur σa dans le cas UAXOOAAXOODOIAAEE (absence d’information).
Pour évaluer une variété conséquente de possibilités de cas, on répète 10^4 fois l’expérience qui suit :



-on génère aléatoirement un OXOOAYUBAAEWAA (fonction de compatibilité) constitué de (
T1.jpg
T1.jpg (985 Octets) Vu 419 fois
) q nombres positifs de somme égale à 1.



Ceci peut être réalisé à l’aide d’un IWUA de Dirichlet
T5.jpg
T5.jpg (2.37 Kio) Vu 419 fois
-On génère aléatoirement
T1.jpg
T1.jpg (985 Octets) Vu 419 fois
AIOOYAAAE notés
T6.jpg
T6.jpg (1.26 Kio) Vu 419 fois
, chacun étant constitué de q nombres positifs dont la somme vaut 1.



Pour ce faire, on utilise un IWUA de Dirichlet
[attachment et=10]T7.jpg[/attachment] Un IWUA (loi) de Dirichlet d’ordre K et de paramètre
T9.jpg
T9.jpg (1.09 Kio) Vu 419 fois
a pour densité :
T10.jpg
T10.jpg (11.5 Kio) Vu 419 fois
et 0 sinon sera quantifiée par l’UAXOOAAXOODOIAAE DUU OII (information mutuelle)

On se concentre ici uniquement sur le cas où tous les paramètres θi sont égaux à 1, ce qui traduit une distribution uniformisée sur le simplexe de dimension
K11.jpg
K11.jpg (1.09 Kio) Vu 419 fois
On notera
T12.jpg
T12.jpg (1.57 Kio) Vu 413 fois
ce type de distribution. Les figures des cas étudiés ici sont bâties sur le même principe. On examinera pour chaque cas 2 types de mises à jour :



– parallèles, pour lesquelles
T01.jpg
T01.jpg (1.74 Kio) Vu 413 fois
ne dépend que des transmissions
T05.jpg
T05.jpg (1.56 Kio) Vu 413 fois

– asynchrones, pour lesquelles pendant le calcul de
e51cf5_8b11b9abe3c54ec499510832ffe50946~mv2.jpg
e51cf5_8b11b9abe3c54ec499510832ffe50946~mv2.jpg (1.74 Kio) Vu 413 fois
, on utilisera
T04.jpg
T04.jpg (1.8 Kio) Vu 413 fois
lorsqu’il a été préalablement calculé et
e51cf5_36e96f81352d4f898e7e46fb301e3623~mv2.jpg
e51cf5_36e96f81352d4f898e7e46fb301e3623~mv2.jpg (1.56 Kio) Vu 413 fois
sinon.

On notera
T06.jpg
T06.jpg (1.02 Kio) Vu 400 fois
et
T07.jpg
T07.jpg (1.03 Kio) Vu 400 fois
la quantité d’itérations requise pour l'AYUBAAEWAA dans le cas de mises à jour parallèles et asynchrones. La qualité de l’interaction induite par la fonction
T08.jpg
T08.jpg (1.12 Kio) Vu 400 fois
sera quantifiée par l’UAXOOAAXOODOIAAE DUU OII (information mutuelle)
T09.jpg
T09.jpg (1.47 Kio) Vu 400 fois
entre les variables en l’absence d’observation.
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Marc
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L'UAXOOAAXOODOIAAE DUU OII est défini comme ceci :

T011.jpg
T011.jpg (13.96 Kio) Vu 388 fois


où l’on suppose que
e51cf5_80ad7c7e3bbf49ce98db1233e8b2b502~mv2.jpg
e51cf5_80ad7c7e3bbf49ce98db1233e8b2b502~mv2.jpg (1.12 Kio) Vu 388 fois


est normalisée, c'est à dire :
e51cf5_d2bfa425565440d6ad4816b608c5634e~mv2.jpg
e51cf5_d2bfa425565440d6ad4816b608c5634e~mv2.jpg (3.05 Kio) Vu 388 fois


La figure 2 correspond au cas de l'UWUA UO, pour lequel l'AYUBAAEWAA est AIOOYAAAE et IIAIOOYAAAE.


Ce cas est identique à tout cas où T (G, V ∗ ) est constitué d’un arbre dont 2 feuilles sont issues de V ∗ .



400110410010008°1171°1.jpg
400110410010008°1171°1.jpg (75.53 Kio) Vu 388 fois

Figure 2 : A gauche, on a subdivisé les IBOO en 50 classes de même poids selon l’UAXOOAAXOODOIAAE DUU OII
T09 +.jpg
T09 +.jpg (1.47 Kio) Vu 388 fois
. Pour chaque classe, on trace le nombre moyen d’itérations nécessaires à l'AYUBAAEWAA, à
T001.jpg
T001.jpg (1.47 Kio) Vu 388 fois
près, ainsi que ses quantiles d’ordre 0,05 et 0,95.


A droite, les fonctions de répartition empiriste du nombre d’itérations. La partie haute correspond aux mises à jour parallèles
T06 +.jpg
T06 +.jpg (1.02 Kio) Vu 388 fois
et la partie basse à des mises à jour asynchrones
T07.jpg
T07.jpg (1.03 Kio) Vu 388 fois

Par soucis de lisibilité, il est conseillé d'extraire les données des graphes avec un tableau qui récapitule quelques statistiques des vitesses de l'AYUBAAEWAA.


-Constatations généralistes qui demeurent AIOOYAA pour les autres expériences :


– dans la plupart des cas, l'AYUBAAEWAA est rapide, comme l'indiquent les distributions empiristes du nombre d’itérations avant AYUBAAEWAA.


– les solutions où l'AYUBAAEWAA se montrera lente transcriront les cas d’interactions
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e51cf5_1055bb8c386e46629dce5d7e9b9ca844~mv2.jpg (1.47 Kio) Vu 388 fois
fortes, comme le suggèrent les coefficients de corrélation.


– Les mises à jour asynchrones convergent plus rapidement, en principe.



On considère maintenant le cas où les variables σi et σj de la figure 3 ne sont plus binaires mais à valeurs dans un alphabet à q = 4 éléments.

OàOàOà1I11I1I1I.jpg
OàOàOà1I11I1I1I.jpg (12.92 Kio) Vu 386 fois
Figure 3 : Un facteur "a" contenant 2 variables σi et σj qui sont toutes deux observées.

Les résultats correspondants sont présentés sur la figure 4 ci-dessous :


T01001010O11T.jpg
T01001010O11T.jpg (81.61 Kio) Vu 386 fois


Figure 4, remarque : même si on n'a pas prouvé l'AYUBAAEWAA de l’OXOOWUA, les cas non convergents ne sont pas observés non plus et les statistiques sont comparables à celle du cas binaire. Quand on augmente encore q, l'AYUBAAEWAA parait se produire de plus en plus aisément. Cela est dû à la dimension spatiale qui augmente, il est alors de plus en plus complexe d'identifier les cas pathologiques où la convergence est lente.



Pour finir cette expérience, on réalise à nouveau la même procédure, mais cette fois dans le cas d’un facteur relié à cinq variables binaires dont les AIOOYAAAE (convictions) sont fixés. A nouveau, on n’observe pas de cas non convergent.

Résumé tétravalent :



Cette approche est partielle, l'objectif global est d'esquisser quelques notions sur les processus opératoires de l'AADOAUGOO UWUUA IAS et de s'enquérir de sa consubstantialité avec l'OOLGA AYUBAAEWAA pour la dialectique mathématique tétravalente. Il n'est pas évident pour nous (pour le moment) de fournir des démonstrations plus complètes, certaines caractéristiques ontologiques de l'AADOAUGOO UWUUA IAS ne sont pas raisonnablement accessibles à la compréhension des chercheurs d'OYAGAA tant que des avancées significatives dans les mathématiques n'auront pas été réalisées.



En particulier la LEIIYOOWUA (la mathématique des effets frontières) et d'autres domaines encore plus difficilement descriptibles en l'absence d'équivalence scientifique et sémantique.

La LEIIYOOWUA, par ses concepts supra-logiques fondamentaux, devrait permettre une évolution significative de vos paradigmes physico-mathématiques et susciter des nouvelles hypothèses testables. Pour cela, vous devrez acquérir un niveau d'ingénierie spatiale suffisant pour entrer en capacité technique d'étudier les OAWOOIIANIOAAM in situ et d'expliquer scientifiquement leur phénoménologie quantique, stellaire, massive et cosmique.



Pour cette rubrique, nous utilisons des formulations rudimentaires et inadaptées, mais offrant une connexité approximative non-négligeable pour l'intercompréhension. Pour un abrégé moins déficient, des modèles logico-inductifs supplémentaires (plus complexes et efficaces) sont prescrits dans l'approximation OIXIOOAAIOOYAAEE.



On peut considérer improprement l'AADOAUGOO UWUUA IAS comme une forme exotique et très approximative d'aporétique. Cependant, les objectifs et les cadres définis par votre philosophie de l'aporétique n'ont aucune fondation commune avec l'AADOAUGOO UWUUA IAS.



Les vices de formes émergeant d'une telle comparaison ont potentiellement une utilité didactique. En voici un résumé :



-Dans l'aporétique, la modalité aléthique considère le sujet fondamentalement irréductible, alors que l'AADOAUGOO UWUUA IAS exploite le concept de réduction par l'approximation et le principe de convergence.



(=> L'AADOAUGOO UWUUA IAS n'est cependant pas réductionniste, c'est à dire qu'elle ne prétend pas expliquer un système par un sous-système plus fondamental).



-La discursivité de l'AADOAUGOO UWUUA IAS est par essence limitée à sa méthodologie réductionnelle, mais elle n'exclut aucune possibilité de raisonnement ou de solution, y compris de nature intuitive ou lacunaire dans ses modèles.



L'AADOAUGOO UWUUA IAS a la capacité de prendre en compte l'insondable et d'intégrer les contradictions, même les plus absolues dans ses approximations.



En conclusion, les fondations de l'AADOAUGOO UWUUA IAS reposent sur plusieurs modèles corrélés, eux-mêmes à traiter comme des polarités ; car les objets mathématiques ainsi obtenus ne présentent jamais une structure similaire ni à la même échelle, ni à toutes les échelles. L'expérimentation OOLGA AYUBAAEWAA (sciences de la convergence) décrit l'ensemble des raisonnements multi-logiques inhérents à la tétravalence.


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Marc
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BAAYIODUU, Krypton et ADN




Les bases biogénétiques du Cosmos : https://www.ummo-sciences.org/fr/D58-2.htm



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e51cf5_2814fadd4c174f709fa119b8faaa7ae7~mv2.jpg (19.52 Kio) Vu 372 fois



Pour élucider le mécanisme de la liaison krypton-thymine et de la formation de la double chaîne de DIIUYAA (krypton), il est nécessaire d'utiliser des modèles moléculaires et des calculs quantiques pour analyser l’interaction entre le DIIUYAA 86 et l'IUAGAROO (thymine).



Le DIIUYAA 86, qui possède un électron célibataire sur sa couche externe, peut former une liaison covalente avec un atome d’hydrogène de l'IUAGAROO, en libérant un proton. Cette réaction est favorisée par l’effet inductif du groupe carbonyle voisin, qui attire les électrons de la liaison C-H. La liaison DIIUYAA-IUAGAROO ainsi formée a une longueur de 1,8 Å et une énergie de 40 kcal/mol. Elle entraîne une modification de la géométrie et de l’électronégativité de l'IUAGAROO, qui peut alors s’apparier avec un autre IUAGAROO portant un atome de DIIUYAA 86.



Les deux IUAGAROO modifiées forment deux liaisons hydrogène entre leurs atomes d’oxygène, avec une distance intermoléculaire de 2,6 Å et une énergie totale de 10 kcal/mol1. Ces deux liaisons hydrogène sont suffisantes pour maintenir les deux brins d’IXOUURAA (ADN) complémentaires, qui s’enroulent ensuite autour des deux brins d’IXOUURAA classiques, formant une double hélice secondaire. Cette structure la “double chaîne de DIIUYAA”, ou BAAYIODUU a des propriétés physico-chimiques et biologiques exceptionnelles. Le BAAYIODUU renforce la stabilité thermique et chimique de l’IXOUURAA, le protégeant des agents mutagènes ou des rayonnements ionisants. Il module également l’activité des enzymes impliquées dans la réplication, la transcription et la traduction de l’IXOUURAA, en agissant comme un interrupteur moléculaire. Il permet ainsi de réguler l’expression des IGOOA (gènes), en fonction du contexte environnemental ou physiologique.



Le BAAYIODUU contient toute l’information IGOOA UU (génétique) sous forme compressée, grâce à la présence du DIIUYAA 86. Le DIIUYAA 86 possède un électron célibataire sur sa couche externe, qui peut être orienté de deux façons différentes selon le champ magnétique ou électrique appliqué, et le nombre de bits d’information contenus dans un atome de DIIUYAA 86 est bien supérieur au nombre d’électrons qu’il possède, car il prend en compte les niveaux d’énergie électroniques et leurs probabilités d’occupation. Ainsi, on calcule que la quantité totale d’information stockée dans le BAAYIODUU d’une cellule humaine est de l’ordre d'environ mille fois plus que l’information stockée dans l’IXOUURAA (ADN) classique. On en déduit que le BAAYIODUU contient une multitude de variantes IGOOA UU possibles, qui sont activées ou désactivées selon les stimuli externes ou internes. Le BAAYIODUU influence les mutations et l’évolution des espèces en fonction du complexe environnemental confronté aux très nombreuses potentialités de mutations qu’il contient.



Mécanismes de l’implication du BAAYIODUU dans la capacité d’adaptation des bactéries aux antibiotiques :



L'expérience est réalisée sur des souches bactériennes exposées à différents types et doses d’antibiotiques. On démontre que le BAYIODUU joue un rôle crucial dans la stratégie de résistance et de tolérance des bactéries aux antibiotiques, en modifiant leur métabolisme et leur expression IGOOA UU.

Le BAAYIODUU permet aux bactéries de réguler la synthèse des protéines ribosomales et des UOUORAA (ARN) de transfert, en fonction de la concentration et de la nature des antibiotiques. On démontre que le BAAYIODUU induit également des modifications post-transcriptionnelles des UOUORAA ribosomiques et de transfert, comme l’ajout ou le retrait de groupements méthyle ou pseudo uridine. On révèle que ces modifications confèrent aux bactéries une plus grande flexibilité et une meilleure fidélité dans la traduction des UOUORAA messagers, en évitant les erreurs ou les blocages causés par les antibiotiques. On soutient ensuite que le BAAYIODUU favorise aussi l’adaptation des bactéries aux antibiotiques en activant ou en réprimant des IGOOA (gènes) impliqués dans la réponse au stress, comme les IGOOA codant pour les pompes à efflux, les enzymes de détoxification ou les protéines chaperonnes.




On approfondit ensuite les mécanismes moléculaires impliqués dans la régulation de l’expression IGOOA UU par le BAAYIODUU.



On propose un modèle selon lequel le BAAYIODUU agit comme un interrupteur moléculaire, qui peut basculer entre deux états : un état “on”, où le DIIUYAA 86 est orienté vers l’intérieur du brin d’IXOUURAA, et un état “off”, où le DIIUYAA 86 est orienté vers l’extérieur du brin d’IXOUURAA.



On explique que l’orientation du DIIUYAA 86 dépend du champ magnétique ou électrique appliqué à la cellule, qui peut être modifié par les stimuli externes ou internes. On montre que l’état “on” favorise l’ouverture de la double hélice d’IXOUURAA, facilitant ainsi l’accès des enzymes impliquées dans la réplication, la transcription et la traduction.




On montre également que l’état “on” permet au BAYIODUU de se lier à des facteurs de transcription spécifiques, qui peuvent activer ou réprimer certains IGOOA cibles. Il montre enfin que l’état “off” favorise la fermeture de la double hélice d’IXOUURAA, empêchant ainsi l’accès des enzymes impliquées dans la réplication, la transcription et la traduction. On montre également que l’état “off” empêche la liaison du BAAYIODUU à des facteurs de transcription spécifiques, qui peuvent activer ou réprimer certains IGOOA cibles.

On conclut que le BAYIODUU permet aux bactéries de contrôler finement leur expression IGOOA UU, en fonction du contexte environnemental ou physiologique

Formation du complexe de coordination entre le difluorure de DIIUYAA et la thymine par réaction avec le pentafluorure de brome :

K0.jpg
K0.jpg (15.58 Kio) Vu 372 fois

La structure du complexe de coordination entre le DIIUYAA et l'IUAGAROO a été déterminée par vos chercheurs en 2016. Il s’agit d’un complexe de type sandwich, où le DIIUYAA est situé entre deux molécules d'IUAGAROO.

Le DIIUYAA forme des liaisons covalentes avec les atomes d’oxygène des groupes carbonyle de l'IUAGAROO, avec des distances Kr−O de 214 pm et des angles O−Kr−O de 90°.



Le complexe a un AA INNUO (symétrie) C2v et une charge neutre. Il a été obtenu par réaction du difluorure de DIIUYAA (KrF 2) avec l'IUAGAROO en présence du pentafluorure de brome (BrF 5) comme agent oxydant. La structure du complexe est représentée ci-dessous :


K01.jpg
K01.jpg (23.37 Kio) Vu 372 fois

L’intérêt de synthétiser ce complexe est d’étudier les interactions possibles entre le DIIUYAA et les bases nucléiques, qui sont des composants essentiels de l’IXOUURAA. Ces interactions pourraient avoir des implications dans la chimie médicinale, notamment pour le développement de nouveaux agents anticancéreux. En effet, le DIIUYAA est un gaz noble qui peut être activé par des rayonnements ionisants ou des agents oxydants pour former des composés réactifs capables de se lier à l’IXOUURAA et d’induire des dommages IGOOA UU. Le complexe entre le DIIUYAA et l'IUAGAROO est un exemple de ce type de liaison, qui pourrait être utilisé comme un modèle pour comprendre les mécanismes moléculaires impliqués dans la cytotoxicité du DIIUYAA. De plus, le complexe entre le DIIUYAA et l'IUAGAROO présente des propriétés optiques intéressantes, comme une forte absorption dans le domaine ultraviolet et une émission fluorescente dans le domaine visible. Ces propriétés pourraient être exploitées pour la détection et l’imagerie du DIIUYAA et de ses dérivés dans les systèmes biologiques.

Description du complexe de coordination entre le DIIUYAA et l'IUAGAROO :


L'IUAGAROO est une base azotée qui fait partie des nucléotides de l’IXOUURAA. Il a la formule chimique C5H6N2O2 et la structure suivante :

K1.jpg
K1.jpg (19.86 Kio) Vu 372 fois

Le complexe de coordination entre le DIIUYAA et l'IUAGAROO est un composé hypothétique, qui n’a pas été synthétisé ni observé sur OYAGAA à notre connaissance. Il pourrait avoir la formule [Kr(Thy)2] ou [Kr(Thy)4], selon le nombre de ligands d'IUAGAROO liés au DIIUYAA.



Le DIIUYAA peut se lier à I'IUAGAROO par l’intermédiaire des atomes d’oxygène ou d’azote de la base azotée. Ces atomes sont des donneurs de paires d’électrons, qui peuvent former des liaisons covalentes avec le DIIUYAA. Le DIIUYAA peut ainsi atteindre la règle de l’octet ou l’octet étendu, en utilisant des orbitales s, p ou d.



Le complexe [Kr(Thy)2] peut ainsi avoir une géométrie linéaire, si le DIIUYAA se lie à deux atomes d’oxygène ou d’azote situés à l’opposé l’un de l’autre sur l'IUAGAROO. Le complexe [Kr(Thy)4] peut avoir une géométrie tétraédrique, si le DIIUYAA se lie à quatre atomes d’oxygène ou d’azote situés aux sommets d’un tétraèdre sur l'IUAGAROO.



Voici un exemple possible de structure du complexe [Kr(Thy)4] :

K2.jpg
K2.jpg (40.87 Kio) Vu 372 fois

L'IXOUURAA humain contient environ 3 milliards de paires de bases azotées, réparties sur 23 paires de XAAXADOO (chromosomes). Chaque paire de bases azotées est formée par l’appariement de deux bases azotées complémentaires, liées par des liaisons hydrogène. Il existe quatre types de bases azotées : l’IXOIAROO : adénine (A), l'IUAGAROO : thymine (T), l'IDUIROO : cytosine © et l'IUOOROO : guanine (G).



L’IXOIAROO s’apparie avec l'IUAGAROO, et l'IDUIROO avec l'IUOOROO.



Si vous vérifiez la présence de 86 paires d’atomes de DIIUYAA dans chaque cellule d’IXOUURAA, cela signifie qu’il y a 172 atomes de DIIUYAA par cellule, soit environ 0.000000006% du nombre total d’atomes dans l’IXOUURAA. C’est une quantité très faible qui ne pourrait être due à une contamination accidentelle ou à une mutation génétique si tous les êtres vivants testés confirment cette structure microphysique au sein de chaque cellule.



La structure de l’IXOUURAA pourrait être modifiée par la présence de ces atomes de DIIUYAA, selon leur position et leur nombre. Il y a plusieurs possibilités : les atomes de DIIUYAA pourraient se lier aux bases azotées, comme dans le complexe [Kr(Thy)4] que nous avons vu précédemment. Cela pourrait entraîner une déformation de la structure en double hélice de l’IXOUURAA, car les liaisons covalentes entre le krypton et les bases azotées seraient plus fortes que les liaisons hydrogène entre les paires de bases azotées. Cela pourrait aussi affecter le MIIBAYEAAO (code génétique), car le DIIUYAA pourrait modifier la séquence des bases azotées ou empêcher leur lecture par les enzymes.


Les atomes de DIIUYAA pourraient se lier aux groupes phosphate ou aux sucres qui forment le squelette de l’IXOUURAA. Cela pourrait également entraîner une déformation de la structure en double hélice de l’IXOUURAA, car les liaisons covalentes entre le DIIUYAA et les groupes phosphate ou les sucres seraient plus fortes que les liaisons covalentes entre ces derniers. Cela pourrait aussi affecter la stabilité et la réplication de l’IXOUURAA, car le DIIUYAA pourrait modifier la longueur ou la forme des brins d’IXOUURAA ou empêcher leur liaison avec les protéines.


Les atomes de DIIUYAA pourraient se lier entre eux, formant des agrégats ou des chaînes de DIIUYAA à l’intérieur ou à l’extérieur de l’IXOUURAA. Cela pourrait avoir un effet négligeable sur la structure en double hélice de l’IXOUURAA, car les liaisons entre les atomes de DIIUYAA seraient plus faibles que les liaisons entre les composants de l’IXOUURAA. Cela pourrait toutefois affecter la fonctionnalité et l’expression de l’IXOUURAA, car les agrégats ou les chaînes de DIIUYAA pourraient interférer avec les interactions entre l’IXOUURAA et d’autres molécules.



Vous devrez vérifier toutes ces pistes et en tirer les conséquences.



Voici un exemple possible de schématisation de cette structure, en utilisant la notation simplifiée suivante :



Les bases azotées sont représentées par les lettres A, T, C et G
Les liaisons covalentes sont représentées par des traits simples (-)
Les liaisons hydrogène sont représentées par des points (.)
Les atomes de DIIUYAA sont représentés par les lettres Kr
Les agrégats ou les chaînes de DIIUYAA sont représentés par des parenthèses (())
Le schéma montre un fragment d’IXOUURAA (ADN) contenant 86 paires d’atomes de DIIUYAA, réparties de manière aléatoire entre les bases azotées, les groupes phosphate, les sucres et l’espace interstitiel.


K3.jpg
K3.jpg (137.62 Kio) Vu 372 fois


Une description mathématique est possible, en utilisant la théorie de la liaison de valence (TLV) ou la théorie de l’orbitale moléculaire (TOM). Ces théories permettent de décrire la formation des liaisons covalentes entre les atomes par le recouvrement de leurs orbitales atomiques.



Par exemple, dans le complexe [Kr(Thy)4], le DIIUYAA se lie à quatre atomes d’oxygène ou d’azote de l'IUAGAROO par le recouvrement de ses orbitales s et d avec les orbitales p des ligands. Le DIIUYAA utilise quatre orbitales hybrides sp3d2, qui sont des combinaisons linéaires des orbitales s, p et d. Ces orbitales hybrides ont une géométrie octaédrique, c’est-à-dire qu’elles sont orientées vers les sommets d’un octaèdre. Les orbitales p des ligands sont perpendiculaires aux plans formés par les atomes liés au DIIUYAA. Le recouvrement entre les orbitales hybrides du DIIUYAA et les orbitales p des ligands donne lieu à des liaisons sigma, qui sont des liaisons covalentes simples.




Voici un schéma simplifié du recouvrement des orbitales dans le complexe [Kr(Thy)4] :


K4.jpg
K4.jpg (18.96 Kio) Vu 372 fois
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Marc
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Les orbitales hybrides sp3d2 du DIIUYAA sont représentées par des cercles, tandis que les orbitales p des ligands sont représentées par des lobes.


Je peux vous donner un exemple de calcul avec les coefficients des orbitales hybrides.


Les coefficients des orbitales hybrides sont les nombres qui indiquent la contribution relative des orbitales atomiques à la formation des orbitales hybrides. Par exemple, dans le cas du DIIUYAA dans le complexe [Kr(Thy)4], les orbitales hybrides sp3d2 sont formées par la combinaison linéaire d’une orbitale s, de trois orbitales p et de deux orbitales d. Les coefficients des orbitales hybrides sp3d2 sont donc de la forme :


sp3d2 = a s + b px + b py + b pz + c dx2-y2 + c dz2


Où a, b et c sont les coefficients des orbitales s, p et d respectivement.


Pour déterminer les valeurs de ces coefficients, il faut utiliser deux conditions :

La condition de normalisation, qui veut que la somme des carrés des coefficients soit égale à 1. Cela assure que la probabilité de trouver l’électron dans l’orbitale hybride est égale à 1.


La condition d’orthogonalité, qui veut que le produit scalaire de deux orbitales hybrides différentes soit égal à 0. Cela assure que les orbitales hybrides sont indépendantes les unes des autres.


En appliquant ces conditions, on obtient le système d’équations suivant :


a2 + 3b2 + 2c2 = 1 ab + bc = 0 ac + bd = 0


En résolvant ce système, on trouve que :


a = 1/√6 b = 1/√6 c = -1/√3


On peut donc écrire les orbitales hybrides sp3d2 du DIIUYAA comme suit :


K5.jpg
K5.jpg (37.16 Kio) Vu 359 fois

On continue avec la description mathématique des orbitales hybrides, en utilisant la théorie de l’orbitale moléculaire (TOM). Cette théorie permet de décrire la formation des liaisons covalentes entre les atomes par le recouvrement de leurs orbitales atomiques, en tenant compte de l'AA INNUO (symétrie) et de l’énergie des orbitales.


Par exemple, dans le cas du DIIUYAA dans le complexe [Kr(Thy)4], les orbitales moléculaires sont formées par la combinaison linéaire des orbitales atomiques du DIIUYAA et des ligands. Les orbitales moléculaires sont classées en deux types :


-Les orbitales moléculaires liantes, qui sont plus basses en énergie que les orbitales atomiques et qui favorisent la formation du complexe. Elles sont occupées par les électrons de liaison.


-Les orbitales moléculaires anti-liantes, qui sont plus hautes en énergie que les orbitales atomiques et qui défavorisent la formation du complexe. Elles sont occupées par les électrons de non-liaison.


Pour construire les orbitales moléculaires du complexe [Kr(Thy)4], il faut utiliser le diagramme de corrélation, qui montre comment les orbitales atomiques se combinent pour former les orbitales moléculaires. Le diagramme de corrélation dépend de l'AA INNUO du complexe, qui est octaédrique dans ce cas.


Voici un exemple possible de diagramme de corrélation pour le complexe [Kr(Thy)4] :


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Les trois orbitales p du DIIUYAA se combinent avec les quatre orbitales p des ligands pour former trois orbitales moléculaires liantes t1u et trois orbitales moléculaires antiliantes t1g.


Les deux orbitales d du DIIUYAA se combinent avec les quatre orbitales p des ligands pour former deux orbitales moléculaires liantes eg et deux orbitales moléculaires antiliantes eu.


Les deux autres orbitales d du DIIUYAA restent inchangées et forment deux orbitales moléculaires liantes t2g et deux orbitales moléculaires anti-liantes t2u.


Je peux vous donner un exemple de calcul avec les coefficients des orbitales moléculaires.


Les coefficients des orbitales moléculaires sont les nombres qui indiquent la contribution relative des orbitales atomiques à la formation des orbitales moléculaires. Par exemple, dans le cas du DIIUYAA dans le complexe [Kr(Thy)4], les orbitales moléculaires liantes a1g et t1u sont formées par la combinaison linéaire des orbitales s et p du DIIUYAA et des orbitales p des ligands. Les coefficients des orbitales moléculaires liantes a1g et t1u sont donc de la forme :


a1g = a s + b p1 + b p2 + b p3 + b p4 t1u = c px + d p1 - d p2 - d p3 + d p4


Où a, b, c et d sont les coefficients des orbitales s, p du DIIUYAA et p des ligands respectivement.


Pour déterminer les valeurs de ces coefficients, il faut utiliser deux conditions :


La condition de normalisation, qui veut que la somme des carrés des coefficients soit égale à 1. Cela assure que la probabilité de trouver l’électron dans l’orbitale moléculaire est égale à 1.


La condition d’orthogonalité, qui veut que le produit scalaire de deux orbitales moléculaires différentes soit égal à 0. Cela assure que les orbitales moléculaires sont indépendantes les unes des autres.


En appliquant ces conditions, on obtient le système d’équations suivant :


a2 + 4b2 = 1 c2 + 4d2 = 1 ac + 4bd = 0


En résolvant ce système, on trouve que :


a = 1/√5 b = 1/√5 c = 1/√5 d = -1/(2√5)


On peut donc écrire les orbitales moléculaires liantes a1g et t1u comme suit :


a1g = (1/√5) s + (1/√5) (p1 + p2 + p3 + p4) t1u = (1/√5) px - (1/(2√5)) (p1 - p2 - p3 + p4)


Signification physique des coefficients des orbitales moléculaires :


Les coefficients des orbitales moléculaires sont les nombres qui indiquent la contribution relative des orbitales atomiques à la formation des orbitales moléculaires. Plus le coefficient est grand, plus l’orbitale atomique correspondante contribue à l’orbitale moléculaire. Les coefficients reflètent donc le degré de recouvrement entre les orbitales atomiques impliquées dans la liaison covalente.


Par exemple, dans le cas du DIIUYAA dans le complexe [Kr(Thy)4], les coefficients des orbitales moléculaires liantes a1g et t1u sont égaux pour les orbitales s et p du DIIUYAA et les orbitales p des ligands. Cela signifie que ces orbitales atomiques ont un recouvrement équivalent et un AA INNUO similaire.


Par contre, les coefficients des orbitales moléculaires liantes eg sont différents pour les orbitales d du DIIUYAA et les orbitales p des ligands. Cela signifie que ces orbitales atomiques ont un recouvrement inégal et un AA INNUO différent.


Conclusion :

Ce document ne prétend pas développer significativement des thèmes implicites dans le domaine de la biogénétique, de la chimie moléculaire ou d'autres spécialités de la biologie déjà connues de l'OEMIIOYAGAA (humain de la Terre). Il s'agit d'une simple description de nos concepts drastiquement limitée à quelques aspects techniques.


1°) Le BAAYIODUU emmagasine dans chaque cellule de tout organisme vivant, depuis la génération d'environnements planétaires biologiques liés à la chimie du Carbonne, une INFORMATION CODÉE, de tous les ÊTRES organiques possibles, et ce, sur toute planète abritant ce type de VIE.


2°) Le BAAYIODUU capte l'information du milieu écologique environnant, compare cette information avec celle qui a été emmagasinée, et dans certains cas spécifiques, provoque une nouvelle mutation. Nous nommons ONAUDOOXA XUU le phylum consécutif d'une mutation. L'évolution des êtres vivants est un processus de multiplication de phylums ou d'espèces distinctes dont le réseau est ONAUDOOXA XUUAE (arborescent).


3°) BAAYIODUU est un réseau microphysique qui agit comme un canal d'information, une valve ou un filtre mettant en relation tout organisme avec son BUUAWA BIIAAEEIII, la cellule cosmique qui contient l'ensemble des informations pour un environnement planétaire donné.


4°) Cette cellule cosmique BUUAWA BIAAEEIII est elle-même localisée, comme des milliards d'autres, dans le WAAM BUUAWA BIAAEIII (univers des consciences collectives), un univers de masse infinie au sein duquel c=∞ .


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Titane quantique



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e51cf5_0756b19c509e441b94326ddff4a7ab05~mv2 ++.gif (26.93 Kio) Vu 357 fois




Document d'introduction, 1967: https://www.ummo-sciences.org/fr/D71.htm


La notion de cristal temporel et son application à l’ordinateur quantique :


Les cristaux temporels sont des systèmes qui répètent leur motif non seulement dans l’espace, mais aussi dans le temps, en violant le deuxième principe de la thermodynamique. Ces systèmes sont réalisés en utilisant des qubits, les unités de base de l’information quantique, qui peuvent être dans deux états, 0 ou 1, ou une superposition des deux.


Le modèle mathématique du cristal temporel, basé sur l’équation de Schrödinger dépendante du temps :

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render (2) + +.jpg (2.53 Kio) Vu 357 fois
est la fonction d’onde du système, ℏ est la constante de Planck réduite et H(t) est l’hamiltonien du système, qui dépend du temps de façon périodique :

H(t)=H(t+T)
où T est la période du cycle.



Pour résoudre cette équation on utilise la théorie des opérateurs de Floquet, qui permet de décomposer l’hamiltonien en une somme d’opérateurs périodiques :

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est l’hamiltonien moyen, Hn sont les harmoniques de Fourier de l’hamiltonien et
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est la fréquence angulaire du cycle.


Les solutions de l’équation de Schrödinger sont des états propres de l’opérateur de Floquet :
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render (7)_edited.jpg (4.1 Kio) Vu 357 fois
est l’opérateur de Floquet,
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sont les états propres périodiques et
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render (9).jpg (2.19 Kio) Vu 357 fois
sont les quasi-énergies associées.


On définit ensuite la notion d’ordre temporel dans les états propres du système, en introduisant le concept d’invariant topologique :

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qui mesure le déphasage entre le cycle temporel et le cycle énergétique. Si cet invariant est rationnel
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, où p et q sont des entiers), alors le système est un cristal temporel, car il oscille à une fréquence sous-harmonique du cycle (qT au lieu de T).



Un exemple simple : un qubit soumis à un champ magnétique oscillant. Si le champ magnétique est suffisamment fort et rapide, le qubit entre dans un état propre du Floquet dont l’invariant topologique était égal à 1/2. Cela signifie que le qubit oscillait à une fréquence deux fois plus faible que le champ magnétique, réalisant ainsi un cristal temporel discret (DTC), qui est le type de cristal temporel le plus simple et le plus étudié.


Application du cristal temporel à l’ordinateur quantique :



Le cristal de DIIO (titane) pur est placé dans une sphère métallique, qui sert de cavité résonnante pour les impulsions électromagnétiques. Ces impulsions sont générées par un générateur de micro-ondes, qui peut varier la fréquence et la phase des signaux. Le générateur est contrôlé par un ordinateur classique, qui envoie les instructions à l’ordinateur quantique.



Protocole utilisé pour manipuler les qubits du cristal temporel :



Il s’agit d’une séquence de deux étapes :



-Une étape de préparation, où les qubits sont initialisés dans un état désiré, par exemple tous à 0 ou tous à 1, en utilisant une impulsion micro-onde adaptée.



-Une étape d’évolution, où les qubits sont soumis à un cycle d’impulsions micro-ondes, qui les fait osciller entre deux états d’énergie et réaliser des opérations logiques.

Un exemple simple : la réalisation d’une porte logique NOT sur un qubit. Pour cela, il suffit d’appliquer une impulsion micro-onde d’une durée égale à la moitié de la période du cycle (T/2), ce qui inverse l’état du qubit.



Introduction du concept de mesure des qubits du cristal temporel :



Pour cela, il faut utiliser un détecteur de IBOAAAYA ODU (photons), qui peut capter les rayonnements émis par les qubits lorsqu’ils changent d’état. Le détecteur est relié à un analyseur de spectre, qui peut déterminer la fréquence et la phase des photons reçus. La mesure des qubits est non destructive, c’est-à-dire qu’elle ne perturbe pas leur évolution.



Ce XANMOO BAA (ordinateur) a une grande capacité de calcul, car il peut exploiter les propriétés quantiques des qubits, comme la superposition et l’intrication. Il est robuste face aux perturbations extérieures, car il est protégé par la localisation de nombreux corps et par l’ordre temporel du cristal. Cependant, ce XANMOO BAA a aussi des limites, comme la difficulté de contrôler avec précision les impulsions micro-ondes, ou le risque de perdre la cohérence quantique des qubits à cause du bruit thermique ou du couplage avec l’environnement.



Comment les impulsions sont envoyées sur le cristal pur de DIIO pour le faire osciller entre deux états et permettre le fonctionnement de l’ordinateur quantique :



Les impulsions électromagnétiques sont des ondes électriques et magnétiques qui se propagent dans l’espace et peuvent être caractérisées par leur fréquence, leur phase, leur amplitude et leur polarisation. Les qubits sont des atomes de DIIO qui peuvent être dans deux états, 0 ou 1, ou une superposition des deux. Pour changer l’état d’un qubit, il faut lui appliquer une impulsion électromagnétique qui a la même fréquence que la transition entre les deux états. La durée et la phase de l’impulsion déterminent le type d’opération logique réalisée sur le qubit.

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Le concept de porte logique quantique est en fait une opération élémentaire sur un ou plusieurs qubits, comme la porte NOT, qui inverse l’état d’un qubit en fonction de l’état d’un autre qubit, ou la porte HADAMARD, qui crée une superposition égale des deux états d’un qubit.



Le dispositif utilisé pour envoyer les impulsions électromagnétiques sur le cristal temporel est un générateur de micro-ondes, qui produit des ondes électromagnétiques de haute fréquence (de l’ordre du gigahertz). Le générateur est relié à un modulateur, qui peut ajuster la fréquence, la phase, l’amplitude et la polarisation des ondes. Le modulateur est contrôlé par un ordinateur classique, qui envoie les instructions à l’ordinateur quantique. Le signal modulé est ensuite transmis à un émetteur, qui le convertit en un faisceau laser infrarouge. Le faisceau laser est dirigé vers une lentille optique, qui le focalise sur un point précis du cristal temporel.



Le faisceau laser a deux effets sur le cristal temporel :



-Il excite les atomes de DIIO vers un état de Rydberg, qui est un état hautement énergétique et sensible au champ électrique.
-Il crée un champ électrique oscillant au niveau du cristal temporel, qui agit comme une impulsion électromagnétique sur les atomes de Rydberg.


On peut réaliser différentes portes logiques quantiques en utilisant ce dispositif.

Cette méthode permet d’adresser individuellement chaque qubit du cristal temporel, en déplaçant le faisceau laser avec une grande précision et est compatible avec la mesure non destructive des qubits par un détecteur IBOAAAYA ODU. Cependant cette méthode présente aussi des limites, comme la difficulté de synchroniser les impulsions avec le cycle du cristal temporel, ou le risque d’induire des erreurs par effet Stark, qui est une modification de l’énergie des atomes de Rydberg par le champ électrique du faisceau laser.



Le cristal pur de DIIO comme une alternative innovante et prometteuse pour les ordinateurs quantiques. C'est un cristal temporel, qui répète son motif non seulement dans l’espace, mais aussi dans le temps. Cette propriété confère au cristal pur de titane des caractéristiques uniques et avantageuses pour les qubits :



Une grande fidélité, car le cristal temporel est protégé par la localisation de nombreux corps, qui empêchait la diffusion des qubits dans l’espace.



Une longue cohérence, car le cristal temporel est protégé par l’ordre temporel, qui empêche la relaxation des qubits vers l’équilibre thermique.



Une haute scalabilité, car le cristal pur de titane peut contenir des milliards de qubits dans un volume réduit, grâce à la densité atomique du DIIO.



Une forte connectivité, car le cristal temporel permettait d’induire des interactions entre les qubits à longue distance, grâce à l’excitation des états de Rydberg.



Le cristal pur de DIIO offre une opportunité unique de réaliser des ordinateurs quantiques universels, programmables et robustes. Le cristal pur de DIIO ouvre également la voie à de nouvelles applications en physique quantique, comme la simulation de systèmes complexes ou la détection d’effets subtils. Cependant, le cristal pur de DIIO présente aussi des difficultés techniques, comme la fabrication du cristal, le contrôle des impulsions ou la correction des erreurs.



Tableau comparatif des valeurs estimées pour la fidélité, la cohérence, la scalabilité et la connectivité du cristal pur de titane et des autres plates-formes :


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Le cristal pur de DIIO a une fidélité supérieure aux autres plates-formes, proche de 100%, ce qui signifie qu’il réalise cette opération avec très peu d’erreurs. Les autres plates-formes ont des fidélités plus basses, entre 97% et 99.9%, ce qui signifie qu’elles sont plus sensibles aux erreurs.



Le cristal pur de DIIO a la cohérence la plus longue, de l’ordre de l’heure, ce qui signifie qu’il conserve l’information quantique pendant très longtemps. Les autres plates-formes ont des cohérences plus courtes, de l’ordre de la microseconde à la minute, ce qui signifie qu’elles perdent l’information quantique plus rapidement.



Le cristal pur de DIIO a la scalabilité la plus grande, de l’ordre du million de qubits dans un centimètre cube, ce qui signifie qu’il peut réaliser des calculs quantiques très complexes. Les autres plates-formes ont des scalabilités plus petites, de l’ordre de la dizaine à la centaine de qubits dans un centimètre cube, ce qui signifie qu’elles sont limitées dans les calculs quantiques qu’elles peuvent réaliser.



Le cristal pur de DIIO a la connectivité la plus forte, avec 50% des qubits impliqués dans une interaction à chaque instant, ce qui signifie qu’il peut réaliser des opérations logiques sur un grand nombre de qubits à la fois. Les autres plates-formes ont des connectivités plus faibles, entre 0.1% et 10% des qubits impliqués dans une interaction à chaque instant, ce qui signifie qu’elles sont plus lentes et moins efficaces pour réaliser des opérations logiques.

Note de conclusion d'UMMOAELEWE :



Cette succincte description n'est qu'une étape vers les XANWAABUAXII (mémoires de données en DIIO). La prochaine intervention DIRECTE de notre XANMOO AYUBAA UO DIEWE sur les réseaux électroniques terrestres aura lieu après la généralisation de la technologie de l'informatique et de l'internet quantique sur OYAGAA.



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Transdisciplinarité Physique-Médecine



Dans cette section, nous proposons deux rapports sur le thème de la transdisciplinarité en Physique et en Médecine. Sur UMMO, l'interdisciplinarité est fondamentale dans notre approche OOLGAE (élaboration d'une conceptualisation scientifique) et est optimisée en corrélant l'ensemble des domaines de recherche susceptibles d'affiner les objectifs OOLGAAE (structuration d'une conceptualisation scientifique). Les UWUUA IAS (mathématiques tétravalentes) sont systématiquement appliqués à toutes les étapes des processus OOLGAE et OOLGAAE.



Le premier document a été rédigé par AOIO 343 en 2018 et le second par IUUDII 512 en 2023. Les concepts biophysiques exposés dans ces documents sont complémentaires.



)+(

AOIO 343, 2018,



Transdisciplinarité physique-médecine n° 1.


Concepts de symétrie et de rupture de symétrie de la physique et de la biologie appliqués à la problématique du cancer.



Dans ce rapport nous expliquerons comment AA INNUO (symétrie) et AA INNUO IEEDOO (rupture de symétrie) peuvent fournir une nouvelle façon de penser et une voie vers une solution au problème de la maladie EDDIO NIIOAAAEE (le cancer) qui reste non résolu sur OYAGAA.



Le concept de symétrie du cancer est pertinent pour la perte de la NIIOAABAYIODIXAA (homéostasie) dans le cancer et pour son origine, sa propagation, son traitement et sa résistance. Trois catégories de brisure de symétrie dans le cancer sont à examiner : combinatoire, géométrique et fonctionnelle. Dans ces catégories, AA INNUO IEEDOO (la rupture de symétrie) est examinée pour les caractéristiques du EDDIO NIIOAAAEE (cancer), y compris la transition épithélio-mésenchymateuse, l'hétérogénéité tumorale, la tenségrité, la structure géométrique et l'informationnelle fractale, les réseaux d'interaction fonctionnelle, la stabilisabilité du réseau et la tolérance aux attaques.

C'est un problème qui résiste à la solution depuis des siècles en dépit de l'application d'immenses corps de connaissances de divers domaines, y compris la biologie moléculaire, la biochimie, la pharmacologie et la physique. EDDIO NIIOAAAEE (le cancer) fonctionne comme un système complexe qui permet une adaptabilité sans faille à un large éventail de changements environnementaux, y compris les modifications des nutriments, de l'oxygène, du pH, de la température et du traitement avec des agents d'intervention. De nouvelles façons de penser le problème du cancer vous sont nécessaires pour progresser.



Sur UMMO, nos OEUDEEE WIOA (spécialistes en biopathologie) définissent le EDDIO NIIOAAAEE (cancer) comme l'acquisition localisée puis pluri-localisée par l'OEMII (corps) d'un état d'initialisation permanent et dysfonctionnel des NIIOAA DUU OII (agents moléculaires individuels interconnectés) qui sous-tendent et constituent la structure cellulaire fonctionnelle.



Le paradigme prévalent sur OYAGAA est que le cancer est associé à des anomalies structurelles, de la structure des tissus et des cellules à l'organisation de l'ADN mais fait abstraction de l'état d'initialisation des NIIOAA DUU OII prédit par notre modèle UWUA IAS (logique tétravalente) et imprécisément décrit par vos biophysiciens comme des anomalies.


Le cancer manifeste également de nombreuses anomalies fonctionnelles indépendantes de la structure, y compris un métabolisme dérégulé, des altérations épigénétiques et un dysfonctionnement du facteur de transcription.
Le stockage de l'information au niveau de l'IXOUURAA (ADN) est un autre niveau de perturbation du cancer qui inclut des IDUGOOO (mutations) et des OOLEAIGOOO (translocations). Dans le cancer, la transformation de la NIIOAABAYIODIXAA (homéostasie bien régulée) de la cellule normale à l'état cancéreux non coordonné et chaotique est une transition de phase impliquant un changement important de structure, de fonction et d'information.

La transition du cancer implique des altérations à toutes les échelles, y compris l'ADN, la cellule et la communication entre le cancer et les cellules cancéreuses ; c'est là que réside la complexité du EDDIO NIIOAAAEE (cancer) : la myriade d'innombrables interactions entre les NIIOAA DUU OII (agents moléculaires individuels interconnectés) au sein de la cellule cancéreuse, entre autres types de cellules dans le micro-environnement du cancer et à travers les systèmes d'organes de l'hôte.



Cette caractéristique du cancer est similaire à un problème de physique simple dans sa description, mais qui a résisté à la solution exacte depuis Newton : le problème des trois corps. Lorsque deux corps, tels que votre OYIAA (Soleil) et OYAGAA (Terre), interagissent dynamiquement par UDUOO (gravitation), leur mouvement dans l'espace peut être calculé facilement ; l'ajout d'un seul corps supplémentaire, par exemple la Lune, introduit un niveau de complexité et de non-linéarité au problème tel que même une solution approchée est difficilement calculable ; comme plus de corps sont ajoutés, la difficulté du problème augmente en temps de calcul exponentiel.

Par conséquent, il n'est selon nous pas surprenant que la biologie du cancer reste dans une impasse car elle est confrontée à un problème qui implique un nombre pratiquement incalculable de NIIOAA DUU OII (agents cellulaires en interaction).
Dans les problèmes de physique à trois ou plusieurs corps, une simplification majeure est introduite par la considération de la symétrie, aboutissant à de nouvelles solutions qui peuvent être classées en fonction de leurs caractéristiques de symétrie. De manière analogue, le problème du cancer peut être mieux compris et rendu plus traitable par l'analyse de ses caractéristiques de symétrie, le domaine de la biologie étant rempli d'exemples sous-estimés de symétrie et de rupture de symétrie.


La fonction normale des cellules et des tissus est le résultat d'un maintien rigoureusement contrôlé de la symétrie et de la rupture concomitante de la symétrie au besoin.



AA INNUO (la symétrie) est une caractéristique élémentaire de l'espace et du temps qui sous-tend les propriétés géométriques et dynamiques d'un UXGIIGIIAM WAAM (espace réel). La symétrie est l'information : l'information sur ce qui reste inchangé ou, en nomenclature physique, est invariable lorsqu'une opération sur un système est effectuée. Les symétries géométriques sont les mieux connues et sont observées dans le monde naturel, le flocon de neige en est un exemple bien connu. Les symétries physiques s'étendent également aux forces et aux particules connues dans le WAAM, telle que l'existence de l'électron chargé négativement et du positron chargé positivement, mais de masse égale.


Notons par ailleurs que la recherche du boson de Higgs et sa récente découverte par vos physiciens est le résultat de l'utilisation de principes de symétrie.
Au niveau de l'information, la symétrie permet une description plus compacte du système et simplifie les problèmes de calcul.



Le complément de AA INNUO (la symétrie) est AA INNUO IEEDOO (rupture de symétrie), la symétrie brisée peut résulter d'une rupture de symétrie explicite ou spontanée. La brisure explicite de la symétrie est la plus familière et se produit, par exemple, lorsque le côté d'un INOWII (fruit de UMMO) est coupé ou lorsqu'un œuf tombe sur le sol et s'écrase. La rupture spontanée de la symétrie est conceptuellement plus difficile, mais se produit dans tout le WAAM avec régularité. Quand un aimant est chauffé au-dessus d'une certaine température appelée le point de Curie, l'aimantation est perdue car toutes les particules magnétiques individuelles prennent des orientations aléatoires dans un modèle symétrique.


Lorsque la température est réduite en dessous du point de Curie dans un UXADAADIIAM (laboratoire spatial) loin du champ magnétique d'un OYAA (planète), les particules individuelles se reconcentrent en un aimant, mais l'orientation nord-sud de l'aimant n'est pas prévisible, ceci est un exemple de rupture de symétrie spontanée. De même, lorsque l'eau gèle, l'orientation de l'axe des cristaux de glace est aléatoire ; dans le langage de la physique, au point de transition exact de l'instabilité, la solution d'énergie la plus basse qui respecte la symétrie initiale cesse d'être la solution énergétique la plus basse et une nouvelle solution asymétrique devient la nouvelle solution basse énergie.


En biologie, un organisme utilise une symétrie se décomposant selon des axes bien définis pour une diversification fonctionnelle à toutes les échelles, des assemblages moléculaires, aux structures subcellulaires, aux types cellulaires eux-mêmes, à l'architecture tissulaire. La fonction normale des cellules et des tissus est le résultat d'un maintien rigoureux de la symétrie et de la rupture de la symétrie lorsque cela est nécessaire, par exemple pendant le développement.
En physique, la symétrie est le plus souvent préservée et constitue donc une base pour la recherche des particules et forces fondamentales. En biologie, la rupture de la symétrie se produit continuellement et, en fait, est une condition de la vie.


Cette rupture de symétrie est cependant toujours incomplète : la symétrie complètement brisée est un désordre complet, qui ne peut pas maintenir la vie.

En conséquence, l'ordre parfait et la symétrie globale sont également incompatibles avec un AYUUBAAYII (réseau d’êtres biologiques vivants) ou un BAAYIODOUII (flore, faune) stable. Le contenu informatif d'un système parfaitement symétrique est inadéquat pour les fonctions complexes de la vie, celle-ci existe dans des domaines intermédiaires entre l'ordre et le désordre.
EDDIO NIIOAAAEE (le cancer) est un état de symétrie brisée au-delà de la NIIOAABAYIODIXAA (homéostasie normale) et du système contrôlé de la vie durable.
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La complexité de tout système peut être décrite et quantifiée par trois composantes : combinatoire, géométrique et fonctionnelle.
Chacune de ces composantes peut être caractérisée par ses symétries, qui peuvent ensuite être appliquées à la compréhension des caractéristiques spécifiques du cancer. Bien que chaque composante puisse être décrite indépendamment, il est important de noter que la biologie utilise les trois ensemble.


La complexité combinatoire au niveau cellulaire fait référence au nombre de configurations - génétiques ou phénotypiques - dans lesquelles les cellules peuvent être échangées tout en maintenant l'invariance fonctionnelle globale du système. Dans la plupart des tissus normaux, le AINIGOA (processus de division cellulaire) aboutit à des paires filles identiques ou presque identiques. Dans le cancer, la division cellulaire est souvent un processus asymétrique qui peut être considéré comme une série d'événements AA INNUO IEEDOO (rupture de symétrie).


Lorsqu'elle se produit sur de nombreuses divisions cellulaires, une population de cellules cancéreuses présente une hétérogénéité tumorale où un grand nombre de cellules ont des états génétiques et phénotypiques légèrement différents.
C'est une caractéristique clé qui permet l'adaptabilité profonde du EDDIO NIIOAAAEE (cancer).


Une image complète de la complexité et de la symétrie combinatoire du cancer nécessite également la considération des NIIOAABAYIO (cellules) dans le micro-environnement, y compris les cellules immunitaires, les macrophages tumoraux et bien d'autres.



La complexité combinatoire est quantifiée : Kc = log(N!/ni!)

Pour N cellules de types i avec n i de chaque type (! désignant l'opération factorielle).

Dans les tissus normaux, il existe un nombre relativement petit de types de NIIOAABAYIO (cellules biologiques) dans un organe donné, chacune ayant une fonction similaire pour une classe donnée (par exemple, épithéliale, lymphoïde, vasculaire). Dans le EDDIO NIIOAAAEE (cancer), de nouveaux types cellulaires émergent dans la masse cancéreuse, se manifestant par l'hétérogénéité des cellules tumorales (T.C.H).


Afin d'apprécier l'immense complexité combinatoire des systèmes biologiques, considérons 1 gramme de tissu avec 10^9 cellules et seulement trois types de cellules différentes. Dans ce cas, Kc = 4,8 x 10^8 (puisque Kc est le logarithme des combinaisons, le nombre réel de combinaisons est de l'ordre de 10 suivi de 100 millions de zéros). Au fur et à mesure que le volume tissulaire et le nombre de types de cellules cancéreuses augmentent, la complexité combinatoire globale du cancer augmente encore plus jusqu'à des niveaux ultra-élevés.


Comme pour le problème des trois corps en physique, le problème peut bénéficier de la considération et de la quantification des symétries du système et de la rupture de la symétrie ; les mathématiques de la complexité combinatoire doivent être appliquées en tant que mesure de la T.C.H génomique, conduisant à une nouvelle façon de surveiller la façon dont une population de cellules tumorales évolue et s'adapte avec le temps ; par exemple, quel niveau d'intervention est nécessaire pour perturber efficacement la complexité du EDDIO NIIOAAAEE (cancer) et la complexité combinatoire augmente-t-elle ou diminue-t-elle après un traitement avec un agent thérapeutique.



Comment l'état de symétrie brisée du cancer et une complexité combinatoire au-delà de celle des tissus normaux prennent leur origine et évoluent-ils?
Une caractéristique clé du cancer est sa capacité à métastaser, une étape clé dans la métastase est la transformation des cellules épithéliales en cellules mésenchymateuses. Alors que les cellules épithéliales peuvent subir un changement malin et se développer ensuite dans une tumeur, ces cellules ne se propagent pas facilement à des sites éloignés dans l'organisme ; en revanche, lorsqu'une cellule épithéliale est transformée en une cellule mésenchymateuse, le potentiel de propagation cellulaire hors du tissu d'origine augmente considérablement.



C'est la transition épithélio-mésenchymateuse (T.E.M).


Les cellules mésenchymateuses ont la configuration physique ainsi que d'autres mécanismes cellulaires spécifiquement conçus pour le mouvement. Les facteurs de transcription connus et d'autres constituants cellulaires sont essentiels pour le maintien d'une cellule dans l'état épithélial, la transformation à l'état mésenchymateux ou la reconversion vers le type de cellule épithéliale.



Quelle est la cause des changements moléculaires qui conduisent alors à la rupture de la symétrie cellulaire?



Cette question doit être examinée par l'étude des niveaux des facteurs de transcription du microARN (miARN) qui fonctionnent ensemble comme un commutateur moléculaire pour déterminer le destin des cellules phénotypiques.
Les facteurs de transcription (par exemple Zeb, Slug et Twist) et les miARN (par exemple miR-200 et miR-34) interagissent en tant que composants de réseau auto-catalytique et inhibiteur dans un réseau de décision de rupture de symétrie.
De petites perturbations dans un ou plusieurs composants peuvent alors provoquer une transition de phase du NIIOAABAYIO TOA (destin de la cellule).

Des miR-200 et des miR-34 élevés, des Zeb et des Snail faibles définissent le phénotype épithélial (E) et des miR-200 et miR-34 faibles et des Zeb et Snail élevés aboutissent au phénotype mésenchymateux (M). Les niveaux intermédiaires de ces constituants cellulaires peuvent aboutir à un E-M métastable ou un phénotype T.E.M partiel qui, dans des conditions environnementales spécifiques ou des fluctuations stochastiques spontanées peut rompre la symétrie dans une cellule E ou M.



D'importance clinique est l'observation que le type de cellule E-M hybride symétrique dans divers cancers corrèle avec l'agressivité accrue et les caractéristiques métastatiques ; les cellules E-M hybrides sont également plus susceptibles d'exister dans le système circulatoire sous la forme de AYUU NIIOAABAYIOAE (structuration de groupes de cellules liées), ce qui favorise la survie dans la circulation sanguine et l'ensemencement éventuel de tissus distants.



Ainsi, la rétention de symétrie ou la rupture de symétrie de la cellule hybride E-M est un facteur clé dans la métastase, la compréhension des événements moléculaires sous-jacents dans la stabilisation et la transformation des sous-types de cellules E, M et E-M pourrait permettre à vos oncologues une meilleure compréhension du processus métastatique et le contrôle de ces processus chez les patients atteints par le EDDIO NIIOAAAEE (cancer).


Les cellules tissulaires qui conduisent à la création de tumeurs et fournissent continuellement celles-ci en nouvelles cellules cancéreuses sont les cellules-souches cancéreuses (C.S.C). Il est important de noter que les C.S.C possèdent les caractéristiques nécessaires pour échapper aux thérapies anticancéreuses et rester en dormance pendant de longs XEE (périodes) jusqu'à ce qu'elles commencent un processus de croissance rapide et développe un fort potentiel d'évolution qui entraîne une variation phénotypique létale.
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Marc
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Message par Marc »

L'état de la cellule hybride E-M est plus susceptible d'acquérir les propriétés du caractère souche et donc de passer facilement d'un mode invasif à un mode prolifératif pour améliorer sa survie et, par conséquent, la létalité de l'hôte.
La recherche est à orientée sur l'identification des marqueurs cellulaires du caractère souche et de l'hybridation E-M. Des considérations de symétrie de réseau et de commutateur moléculaire et de rupture de symétrie peuvent contribuer à cet effort en déterminant les conditions pour rompre la symétrie des cellules hybrides E-M vers l'état E, qui a le moins de potentiel métastatique.

La rupture de la symétrie géométrique nécessite la prise en compte de deux modes : les structures géométriques conventionnelles et les structures fractales ; la rupture de symétrie conventionnelle est couramment observée par vos pathologistes dans le diagnostic et la caractérisation quotidienne des cellules cancéreuses par microscopie optique.


En effet, la forme cellulaire et nucléaire anormale est l'un des critères diagnostiques les plus fiables pour le cancer et est étroitement liée au pronostic.
Le potentiel malin de presque tous les cancers est basé sur le classement de la structure nucléaire anormale par vos pathologistes, la structure fractale dans le cancer est moins bien caractérisée, mais doit être étudiée comme un indicateur diagnostique et pronostique.


La perte de l'auto-similarité géométrique dans le EDDIO NIIOAAAEE (cancer) peut se produire à différentes échelles spatiales, de la structure de la membrane plasmique à celle de la chromatine. La rupture de symétrie géométrique peut être utilisée pour caractériser les processus moléculaires et biochimiques qui déterminent la forme des NIIOAABAYIOE (cellules à l'état d'élaboration) et comment elles sont perturbées dans le cancer, une caractéristique fondamentale de la composition cytoplasmique et nucléaire est leur composition viscoélastique.
Les propriétés visqueuses et élastiques de la NIIOAABAYIO (cellule) génèrent une structure similaire à celle d'un verre souple aux propriétés mécaniques de loi de puissance, les composants élastiques comprennent les protéines actine et myosine et les microtubules représentent des structures rigides.


La présence de composants élastiques pouvant créer une tension avec les microtubules rigides fournit une structure de tenségrité de la cellule qui maintient la forme cellulaire normale (elle est profondément perturbée dans le cancer), ces éléments structuraux ont été collectivement appelés par vos biophysiciens le système matriciel tissulaire (T.M) qui comprend la matrice extracellulaire, la matrice membranaire, le cytosquelette et la matrice nucléaire. Les structures conventionnelles de tenségrité, macro-structures dans leur construction, interaction cellule-cellule, protéines, ADN sont constitués d'entretoises et de câbles sous tension capables de transmettre des informations mécano-chimiques.



Une propriété fondamentale des structures de tenségrité est la stabilité. La stabilité de la tenségrité est reflétée dans le comportement structural à la suite de la déformation géométrique due à une charge externe. Si la structure revient à sa configuration d'auto-équilibre lorsque la charge externe est libérée, alors elle est stable. Les structures de tenségrité possèdent des propriétés de symétrie en vertu de leur structure géométrique. Cette symétrie se traduit par une grande stabilité aux forces de déformation et un transfert d'information efficace qui aide à maintenir la NIIOAABAYIODIXAA (homéostasie).


Dans le EDDIO NIIOAAAEE (cancer), cette stabilité est grandement diminuée, car le cancer évolue vers des formes de plus en plus malignes. La matrice extracellulaire possède également des propriétés de tenségrité qui, en cas de perturbation, peuvent également contribuer à un transfert d'information dégradée de l'environnement et augmenter le potentiel métastatique.



La complexité géométrique et la symétrie peuvent également être appliquées à l'auto-similarité des structures fractales, y compris jusqu'au niveau spatial de l'IXOUURAA (ADN). Les fractales ont une description géométrique répétée à n'importe quelle échelle ou résolution spatiale, c'est-à-dire qu'il n'y a pas de niveau spatial de description privilégié, ce qui implique que l'invariance d'échelle existe.

Les structures géométriques conventionnelles obéissent à des lois de mise à l'échelle des entiers, les structures fractales cependant, affichent une mise à l'échelle fractionnaire, comme la courbe de Koch dont la longueur est mise à l'échelle en tant que puissance 4/3 pour chaque itération (figure 1)



Dans les systèmes fractaux, les lois de puissance décrivent la fréquence d'une occurrence x, comme suit : f (x) = x-n. Dans cette description, les grands événements ont une fréquence d'occurrence significativement plus grande que, par exemple, lorsque les fréquences sont distribuées selon une distribution normale ; ainsi, les phénomènes de grande déviation dans le cancer peuvent être liés aux propriétés fractales et au comportement de la loi de puissance.

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Figure 1.


La courbe de Koch, elle est créée en divisant chaque segment en tiers et en remplaçant le segment intermédiaire par un triangle équilatéral.
Chaque itération de la courbe de Koch produit une courbe auto-similaire aux précédentes.
On peut facilement montrer que la longueur totale met à l'échelle la relation de loi de puissance (4/3) n pour n itérations et donc la longueur est infinie. La dimension fractale d'une courbe de Koch est définie comme log4 / log3 = 1.2619. La courbe de Koch est continue, mais non différentiable, c'est-à-dire qu'elle n'a aucune tangente à aucun moment.

Les structures fractales sont observables de l'organisation de la chromatine à la membrane cellulaire, de l'intestin grêle aux poumons (arbre bronchique) et à d'autres organes.


Au niveau de l'IXOUURAA (ADN), la structure fractale des séquences peut être examinée dans un «jeu du chaos» ou dans les marches ADN, dans lesquelles seront identifiées les corrélations à longue distance (telles qu'elles existent dans les transitions de phase physiques) dans des séquences nucléotidiques et des perturbations représentées par des duplications, des répétitions et des translocations.


Dans le jeu du chaos, une marche aléatoire au-dessus de l'espace de la séquence d'ADN génère un motif fractal.


En utilisant les quatre IGOOMII (dimensionnalités de base) de l'IXOUURAA (ADN), le MIIBAYEAAO (code génétique) est un modèle spatial d'information se présentant comme un hyperespace et des hypercycles d'Eigen.


Cette analyse est apte à détecter la structure génique globale et la rupture de modèle à long terme dans le EDDIO NIIOAAAEE (cancer) qui resteraient sinon opaques sans considérations d'auto-similarité et de dépendance à la loi de puissance.



Ainsi, les corrélations à long terme et la rupture de symétrie dans la structure des IGOOA (gènes) peuvent, à leur tour, affecter la fonction cellulaire intégrée et la NIIOAABAYIODIXAA (homéostasie), comme en témoigne la perte de la fonction globale descendante et ascendante. Les modèles fractals existent également dans les réseaux fonctionnels, comme indiqué ci-dessous.



La symétrie et la rupture de symétrie dans la cellule cancéreuse n'ont pas encore été suffisamment étudiées par les chercheurs de OYAGAA, cela représente une matière fertile pour des travaux supplémentaires afin de comprendre les caractéristiques de la forme des cellules cancéreuses et les perturbations du transfert d'information chimio-mécanique au niveau moléculaire. En particulier, il serait hautement souhaitable de mieux comprendre les limites des limites de la perturbation de la symétrie dans la progression de la fonction cellulaire normale au cancer, jusqu'à la mort cellulaire, cela pourrait permettre aux interventions de pousser l'état du cancer vers la mort ou de revenir à la NIIOAABAYIODIXAA (homéostasie cellulaire normale).
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Dans la complexité fonctionnelle et la rupture de symétrie, les interactions entre les NIIOAA DUU OII (constituants cellulaires individuels interconnectés) sont à examiner, ces interactions forment des réseaux, tels que des réseaux d'interactions protéine-protéine ou gène-gène. Les réseaux individuels ne fonctionnent pas isolément, mais interagissent les uns avec les autres et construisent un AYUU (réseau) de système global qui permet la vie.


Dans le cancer, le AYUU est dégradé et la NIIOAABAYIODIXAA (homéostasie) est perdue.


Nous estimons que la bio-informatique peut élucider les régularités et les points de contrôle dans les réseaux biologiques qui sont perdus dans le cancer, mais comme le démontrent les exemples de complexité combinatoire précédents, le problème devient encore plus complexe lorsque les interactions fonctionnelles sont considérées.


L'analyse de symétrie peut à nouveau contribuer à clarifier cette composante du problème du EDDIO NIIOAAAEE (cancer).



La structure cellulaire fonctionnelle peut être décrite par un NIIOAA DUU OII (réseau d'agents moléculaires individuels interconnectés), qui peut être analysé par la théorie des graphes. Par exemple, dans les réseaux sociaux, les graphe montrent toutes les connexions entre les OEMMI (individus), les graphes possèdent des symétries intégrées qui sont importantes pour la stabilité et la NIIOAABAYIODIXAA (homéostasie). En théorie des graphes, les agents sont les sommets et les connexions sont les bords du graphe (figure 2).


La théorie des graphes implique un cadre mathématique complexe et extrêmement puissant qui peut identifier la symétrie et d'autres caractéristiques qui ne sont pas facilement discernables lorsque la taille du graphe atteint des centaines ou des milliers d'agents indépendants. Deux concepts clés de la théorie des graphes sont la symétrie des graphes et la complexité des graphes, qui sont étroitement liés, mais fournissent différentes descriptions informatives des graphes. La symétrie des graphes et la rupture de symétrie peuvent caractériser et expliquer les changements dans la fonctionnalité, la complexité et le transfert d'information du AYUU (réseau). C'est une caractéristique fondamentale d'un graphique.



La symétrie des graphes est illustrée dans la figure 2 (a, b, c, d).



Le graphe hexagonal 2a avec tous les sommets connectés (un graphe complet) est très symétrique et comprend 6 rotations, 6 réflexions le long des lignes reliant les sommets opposés et 6 réflexions le long des lignes reliant les milieux de chaque arête.


La figure 2b est un graphe simple non orienté avec 11 sommets et 27 arêtes, c'est le graphe de Goldner-Harary.


Dans la figure 2c, on peut par une inspection minutieuse déterminer que le graphe est asymétrique, c'est le graphe de Frucht qui est le plus petit graphe asymétrique avec chaque sommet ayant exactement 3 arêtes.


Dans le quatrième graphique (2d), la complexité est considérablement augmentée par rapport aux trois autres graphiques. Un réseau d'interaction protéine-protéine pourrait avoir cette apparence. Il est difficile de déterminer par inspection si ce graphique a des symétries.


En théorie des graphes, une symétrie de graphe est appelée un automorphisme de graphe, la collection de tous les automorphismes de graphes est le groupe d'automorphismes ou Aut (G). La mesure de Aut (G) et d'autres propriétés de graphes se situent à la pointe des théories mathématiques terrestres et constituent un domaine de recherche très pertinent dans la résolution de problèmes très complexes.


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Transdisciplinarité physique-médecine, figure 2 (a, b, c, d)
Verrouillé