ALLIANCE GALACTIQUE
Modérateur : Admin
Re: ALLIANCE GALACTIQUE
par l'énergie universelle ,j'appose ma main de façon virtuelle, sur l'honorable poitrine des dignes représentants de l'alliance '(*_*)' main droite sur le cœur
bonjour toutes et tous , ma main sur vos humbles poitrines sœurs et frères en l'esprit '(*_*)' main droite sur le cœur
que la paix en l'énergie nous conduisent a l'harmonie
bonsoir noble frère aimé ÉPYR
______________________________________________________________________________________________________________________________________________
CRISE SOCIALE
L'Espagne à la rue
Victimes du chômage, de la bulle immobilière et des crédits bancaires trop faciles, des milliers de familles doivent abandonner leurs logements. Un syndrome de la crise qui frappe le royaume, mais aussi d’un système de crédit à réformer, raconte El Mundo.
02.12.2011
Ce ne sont ni des mendiants, ni des toxicos, ni des sans papiers. Les "sans foyer" ne cessent de se multiplier en Espagne. Ils ont perdu leur travail, leur domicile, leurs meubles, leurs illusions, leur espoir. Ils sont endettés jusqu’à la fin de leurs jours.
Paradoxalement, le pire n’est pas de rester sans domicile, c’est ce qui vient ensuite. "Je suis condamnée à vie à n’avoir aucun bien à mon nom", se lamente Elena Parronda, flanquée de son mari, dans l’appartement qu’ils sont sur le point de perdre, à Meco, dans la banlieue de Madrid. "Je ne pourrai plus toucher de salaire, ni avoir un abonnement téléphonique, ni m’acheter une voiture, ni payer de loyer".
"Je n'avais plus de quoi acheter le pain"
Le seul délit qu’ait commis ce couple de classe moyenne est de s’être retrouvé au chômage. Le mari de Mme Parronda avait un bon salaire dans le bâtiment, mais il a été licencié en novembre 2010. Et un jour, cette femme de 42 ans n’a plus pu donner à manger à ses quatre enfants. Elle a alors pris une décision difficile : cesser de rembourser le prêt immobilier.
"Le 11 février, je n’avais même plus de quoi acheter le pain. Avec les 1 000 euros du chômage, nous n’allions plus pouvoir payer la traite de l’appartement, qui est de 680 euros par mois. Après avoir bien pesé le pour et le contre, nous avons arrêté de la payer", explique Elena avec aplomb. Depuis lors, Elena et son mari survivent sous la menace de l’ordre d’expulsion.
"Se retrouver à la rue avec deux enfants mineurs n’est pas un partie de plaisir, poursuit-elle. Si on ne rembourse pas le crédit, ce n’est pas par caprice, c’est parce qu’on n’en a plus les moyens. Les banques devraient être plus conscientes de la situation des familles. Elles se retrouvent avec des milliers de logements vides sur les bras".
La Plateforme des victimes du crédit immobilier (PAH) dénonce un système qui condamne des milliers de familles à la marginalité et à l’exclusion sociale. “Les banques ont pratiqué une gestion téméraire du risque”, affirme Rafael Mayoral, conseiller juridique de la PAH. 'Elles ont surévalué les logements, ce qui a donné au débiteur l’illusion que la valeur de son bien pourrait couvrir le prêt".
Quand on cesse de régler ses mensualités, le logement est vendu aux enchères en fonction de l’estimation qui figure sur le titre de propriété. Dans la plupart des cas, ces enchères n’attirent pas d’acheteur, car le prix ne peut pas descendre en-dessous de 70 % de la valeur du bien hypothéqué lors de la première adjudication, ni en-dessous de 60 % lorsque c’est la banque qui se l’adjuge.
L’organisme financier conserve alors le bien et c’est à lui qu’il incombe de garantir le remboursement du prêt immobilier. Bien souvent, la dette finale de l’emprunteur dépasse sa dette initiale, alors même qu’il n’est plus propriétaire du logement.
Des méthodes à la limite de l'escroquerie
"L’emprunteur et ses garants se voient indéfiniment exiger le remboursement, jusqu’à la fin de leurs jours. Cette solvabilité supposée du système financier espagnol s’appuie sur la servitude du débiteur face à l’organisme financier, car nous devons engager nos biens présent et futurs”, s'indigne Mayoral.
Cette situation ne satisfait pas non plus les banques, dans la mesure où leur activité ne consiste pas à conserver les biens immobiliers.
Lino Samuel Moreno a vécu dans sa chair la vente aux enchères de son logement. Son bien s’est envolé en fumée, tout comme son rêve de vivre en Espagne, dans l’“Eldorado européen”. Cet Equatorien a atterri dans notre pays vers 2002. En 2006, ayant tous ses papiers en règle, il décide de faire le grand saut et de s’acheter un logement à Valdemoro, dans la banlieue de Madrid.
Tout est allé comme sur des roulettes jusqu’à ce jour de 2008 où il s’est retrouvé sans emploi. Depuis lors, il n’a plus jamais réussi à travailler plus de 4 mois d’affilée. Il a d’abord cessé de payer une première traite, puis une deuxième, ensuite une troisième… Il a tenté de renégocier les échéances, mais le 7 octobre dernier, il a reçu l’avis de saisie tant redouté, l’invitant à quitter son logement.
"A 10 heures du matin, la police s’est présentée pour nous dire de partir, raconte Lino d’une voix tremblante. Ma femme me serrait dans ses bras. A ce moment même, on nous a appelé du tribunal pour nous dire qu’on nous avait accordé un délai de 3 mois, mais que les meubles allaient être saisis". Aujourd’hui, le couple loue un appartement à Valdemoro grâce à la mairie, pour lequel il paie 450 euros par mois.
Des cas comme ceux-là, il en existe des milliers. La PAH estime qu’on est aujourd’hui dans une situation d’impunité totale et exige que l’on enquête sur les méthodes de souscription des crédits immobiliers, qui seraient souvent à la limite de l’escroquerie.
"Les prêts immobiliers ont servi de levier à l’augmentation artificielle du prix d’un bien de première nécessité, à savoir le logement, et il y a des responsables, assure Rafael Mayoral. Il faut indemniser les victimes, pas les responsables. Nous demandons une modification de la législation sur les prêts afin qu’on ait le droit de céder le bien pour racheter le crédit, pour que la dette soit apurée une bonne fois pour toutes”.
Traduction : Olivier Ragasol.
http://www.presseurop.eu/fr/content/art ... gne-la-rue
bonjour toutes et tous , ma main sur vos humbles poitrines sœurs et frères en l'esprit '(*_*)' main droite sur le cœur
que la paix en l'énergie nous conduisent a l'harmonie
bonsoir noble frère aimé ÉPYR
______________________________________________________________________________________________________________________________________________
CRISE SOCIALE
L'Espagne à la rue
Victimes du chômage, de la bulle immobilière et des crédits bancaires trop faciles, des milliers de familles doivent abandonner leurs logements. Un syndrome de la crise qui frappe le royaume, mais aussi d’un système de crédit à réformer, raconte El Mundo.
02.12.2011
Ce ne sont ni des mendiants, ni des toxicos, ni des sans papiers. Les "sans foyer" ne cessent de se multiplier en Espagne. Ils ont perdu leur travail, leur domicile, leurs meubles, leurs illusions, leur espoir. Ils sont endettés jusqu’à la fin de leurs jours.
Paradoxalement, le pire n’est pas de rester sans domicile, c’est ce qui vient ensuite. "Je suis condamnée à vie à n’avoir aucun bien à mon nom", se lamente Elena Parronda, flanquée de son mari, dans l’appartement qu’ils sont sur le point de perdre, à Meco, dans la banlieue de Madrid. "Je ne pourrai plus toucher de salaire, ni avoir un abonnement téléphonique, ni m’acheter une voiture, ni payer de loyer".
"Je n'avais plus de quoi acheter le pain"
Le seul délit qu’ait commis ce couple de classe moyenne est de s’être retrouvé au chômage. Le mari de Mme Parronda avait un bon salaire dans le bâtiment, mais il a été licencié en novembre 2010. Et un jour, cette femme de 42 ans n’a plus pu donner à manger à ses quatre enfants. Elle a alors pris une décision difficile : cesser de rembourser le prêt immobilier.
"Le 11 février, je n’avais même plus de quoi acheter le pain. Avec les 1 000 euros du chômage, nous n’allions plus pouvoir payer la traite de l’appartement, qui est de 680 euros par mois. Après avoir bien pesé le pour et le contre, nous avons arrêté de la payer", explique Elena avec aplomb. Depuis lors, Elena et son mari survivent sous la menace de l’ordre d’expulsion.
"Se retrouver à la rue avec deux enfants mineurs n’est pas un partie de plaisir, poursuit-elle. Si on ne rembourse pas le crédit, ce n’est pas par caprice, c’est parce qu’on n’en a plus les moyens. Les banques devraient être plus conscientes de la situation des familles. Elles se retrouvent avec des milliers de logements vides sur les bras".
La Plateforme des victimes du crédit immobilier (PAH) dénonce un système qui condamne des milliers de familles à la marginalité et à l’exclusion sociale. “Les banques ont pratiqué une gestion téméraire du risque”, affirme Rafael Mayoral, conseiller juridique de la PAH. 'Elles ont surévalué les logements, ce qui a donné au débiteur l’illusion que la valeur de son bien pourrait couvrir le prêt".
Quand on cesse de régler ses mensualités, le logement est vendu aux enchères en fonction de l’estimation qui figure sur le titre de propriété. Dans la plupart des cas, ces enchères n’attirent pas d’acheteur, car le prix ne peut pas descendre en-dessous de 70 % de la valeur du bien hypothéqué lors de la première adjudication, ni en-dessous de 60 % lorsque c’est la banque qui se l’adjuge.
L’organisme financier conserve alors le bien et c’est à lui qu’il incombe de garantir le remboursement du prêt immobilier. Bien souvent, la dette finale de l’emprunteur dépasse sa dette initiale, alors même qu’il n’est plus propriétaire du logement.
Des méthodes à la limite de l'escroquerie
"L’emprunteur et ses garants se voient indéfiniment exiger le remboursement, jusqu’à la fin de leurs jours. Cette solvabilité supposée du système financier espagnol s’appuie sur la servitude du débiteur face à l’organisme financier, car nous devons engager nos biens présent et futurs”, s'indigne Mayoral.
Cette situation ne satisfait pas non plus les banques, dans la mesure où leur activité ne consiste pas à conserver les biens immobiliers.
Lino Samuel Moreno a vécu dans sa chair la vente aux enchères de son logement. Son bien s’est envolé en fumée, tout comme son rêve de vivre en Espagne, dans l’“Eldorado européen”. Cet Equatorien a atterri dans notre pays vers 2002. En 2006, ayant tous ses papiers en règle, il décide de faire le grand saut et de s’acheter un logement à Valdemoro, dans la banlieue de Madrid.
Tout est allé comme sur des roulettes jusqu’à ce jour de 2008 où il s’est retrouvé sans emploi. Depuis lors, il n’a plus jamais réussi à travailler plus de 4 mois d’affilée. Il a d’abord cessé de payer une première traite, puis une deuxième, ensuite une troisième… Il a tenté de renégocier les échéances, mais le 7 octobre dernier, il a reçu l’avis de saisie tant redouté, l’invitant à quitter son logement.
"A 10 heures du matin, la police s’est présentée pour nous dire de partir, raconte Lino d’une voix tremblante. Ma femme me serrait dans ses bras. A ce moment même, on nous a appelé du tribunal pour nous dire qu’on nous avait accordé un délai de 3 mois, mais que les meubles allaient être saisis". Aujourd’hui, le couple loue un appartement à Valdemoro grâce à la mairie, pour lequel il paie 450 euros par mois.
Des cas comme ceux-là, il en existe des milliers. La PAH estime qu’on est aujourd’hui dans une situation d’impunité totale et exige que l’on enquête sur les méthodes de souscription des crédits immobiliers, qui seraient souvent à la limite de l’escroquerie.
"Les prêts immobiliers ont servi de levier à l’augmentation artificielle du prix d’un bien de première nécessité, à savoir le logement, et il y a des responsables, assure Rafael Mayoral. Il faut indemniser les victimes, pas les responsables. Nous demandons une modification de la législation sur les prêts afin qu’on ait le droit de céder le bien pour racheter le crédit, pour que la dette soit apurée une bonne fois pour toutes”.
Traduction : Olivier Ragasol.
http://www.presseurop.eu/fr/content/art ... gne-la-rue
la création est une symphonie dont nous sommes les musiciens , mais que signifie-t-elle sans son compositeur source de toute Vie ?
Re: ALLIANCE GALACTIQUE
par l'énergie universelle ,j'appose ma main de façon virtuelle, sur l'honorable poitrine des dignes représentants de l'alliance '(*_*)' main droite sur le cœur
bonjour toutes et tous , ma main sur vos humbles poitrines sœurs et frères en l'esprit '(*_*)' main droite sur le cœur
que la paix en l'énergie nous conduisent a l'harmonie
______________________________________________________________________________________________________________________________________________________
Actualité >
Société
Fil RSS
Terrées dans une grotte, elles fuient les ondes
3% de la population française serait électro-hypersensible, une intolérance grave aux téléphones portables ou au wi-fi. Pour se protéger, deux femmes se sont réfugiées dans une grotte du Vercors «
Certains pensent que nous sommes des marginales, des originales, pour ne pas dire des folles. » Depuis deux ans, Anne, 55 ans, et Bernadette, 66 ans, ont élu domicile au fond d’une grotte, nichée dans les montagnes du Vercors, près de Beaumugne, un hameau de la petite commune rurale de Saint-Julien-en-Beauchêne
C’est ici, au cœur d’un boyau humide et sombre, dépourvu de chauffage et d’électricité, qu’elles se sentent étrangement revivre.
Dans ces 15 m2 matelassés de planches de bois, éclairés seulement de bougies, où le thermomètre affiche 10 oC, aucun téléphone portable ne passe. Encore moins le wi-fi. Car Anne et Bernadette sont électro-hypersensibles, une intolérance aux champs électromagnétiques artificiels, notamment ceux produits par les
antennes relais de téléphonie mobile.
Bernadette, hôtesse de l’air à la retraite, raconte que ces douleurs qui l’ont poussée à se terrer dans cette montagne étaient devenues un enfer quotidien. « Cela ressemblait à des spasmes, des picotements remontant le long des jambes jusqu’au cœur, la nuque et la tête », décrit-elle. « Impossible de dormir, de marcher, de vivre, quoi », reprend Anne. Pour cette mère de famille, ex-femme de ménage à Nice, les troubles se manifestent dans la tête. « J’ai souvent eu l’impression que mon cerveau allait exploser. Mes joues me brûlaient. Au pire moment, j’avais du mal à parler, à articuler et même à comprendre ce que ma fille disait. »
Elles rêvent de zones blanches
Anne et Bernadette réclament aujourd’hui la création urgente de zones blanches — ces espaces exempts de réseaux sans fil — où elles pourraient vivre au grand jour avec toutes les personnes atteintes, comme elles, d’hypersensibilité. Un rêve pour elles, un combat pour les Robin des toits. L’association, qui milite pour la reconnaissance de ce handicap et la création de zones blanches sur le territoire français, estime que « 3% de la population française » souffre d’électro-hypersensibilité (EHS).
Malgré les campagnes de sensibilisation déjà menées, le gouvernement, lui, fait la sourde oreille. Dans un courrier du 10 août 2011, adressé à des députés verts, inquiets de l’impact des ondes sur la santé, la ministre de l’Ecologie, Nathalie Kosciusko-Morizet, est formelle : « Il est bien trop prématuré d’envisager de recréer de nouvelles zones blanches avant qu’un lien soit fait entre ces symptômes et l’exposition aux radiofréquences. »
Pendant des mois, Anne comme Bernadette ont à peu près tout expérimenté. Des caves, des voitures bâchées de couvertures de survie… Bernadette avait même pris l’habitude de prendre ses repas dans le cimetière du Montparnasse, « parce qu’au moins, là-bas, les morts n’ont pas de téléphone sur eux ! ».
En août 2009, Anne tombe par hasard sur la grotte, lors d’un rassemblement d’électrosensibles à Beaumugne. Elle la teste et décide de s’y installer. Un an plus tard, aiguillée par Robin des toits, Bernadette la rejoint. Les deux femmes, qui ne se connaissaient pas, vivent désormais ensemble depuis plus d’un an, dans cet espace réduit.
Isolées, mais pas seules, elles se font aider par des voisins du hameau. Henri, qui vit dans la maison la plus proche, leur met des sanitaires et une salle d’eau à disposition. C’est lui, aussi, qui les ravitaille en vivres.
Le maire (divers gauche) de Saint-Julien, propriétaire de la grotte, les soutient. Jean-Claude Gast assume son choix. « Ces personnes étaient en grande détresse. J’ignore si cet état est physique ou juste psychologique, mais je ne pouvais pas les mettre dehors. Où seraient-elles allées sinon? » s’interroge l’élu. Mais, il le sait, la grotte est loin d’être une solution définitive. Faute de mieux, Anne et Bernadette se préparent, elles, à y passer un troisième hiver…
http://www.leparisien.fr/societe/terree ... 751824.php
bonjour toutes et tous , ma main sur vos humbles poitrines sœurs et frères en l'esprit '(*_*)' main droite sur le cœur
que la paix en l'énergie nous conduisent a l'harmonie
______________________________________________________________________________________________________________________________________________________
Actualité >
Société
Fil RSS
Terrées dans une grotte, elles fuient les ondes
3% de la population française serait électro-hypersensible, une intolérance grave aux téléphones portables ou au wi-fi. Pour se protéger, deux femmes se sont réfugiées dans une grotte du Vercors «
Certains pensent que nous sommes des marginales, des originales, pour ne pas dire des folles. » Depuis deux ans, Anne, 55 ans, et Bernadette, 66 ans, ont élu domicile au fond d’une grotte, nichée dans les montagnes du Vercors, près de Beaumugne, un hameau de la petite commune rurale de Saint-Julien-en-Beauchêne
C’est ici, au cœur d’un boyau humide et sombre, dépourvu de chauffage et d’électricité, qu’elles se sentent étrangement revivre.
Dans ces 15 m2 matelassés de planches de bois, éclairés seulement de bougies, où le thermomètre affiche 10 oC, aucun téléphone portable ne passe. Encore moins le wi-fi. Car Anne et Bernadette sont électro-hypersensibles, une intolérance aux champs électromagnétiques artificiels, notamment ceux produits par les
antennes relais de téléphonie mobile.
Bernadette, hôtesse de l’air à la retraite, raconte que ces douleurs qui l’ont poussée à se terrer dans cette montagne étaient devenues un enfer quotidien. « Cela ressemblait à des spasmes, des picotements remontant le long des jambes jusqu’au cœur, la nuque et la tête », décrit-elle. « Impossible de dormir, de marcher, de vivre, quoi », reprend Anne. Pour cette mère de famille, ex-femme de ménage à Nice, les troubles se manifestent dans la tête. « J’ai souvent eu l’impression que mon cerveau allait exploser. Mes joues me brûlaient. Au pire moment, j’avais du mal à parler, à articuler et même à comprendre ce que ma fille disait. »
Elles rêvent de zones blanches
Anne et Bernadette réclament aujourd’hui la création urgente de zones blanches — ces espaces exempts de réseaux sans fil — où elles pourraient vivre au grand jour avec toutes les personnes atteintes, comme elles, d’hypersensibilité. Un rêve pour elles, un combat pour les Robin des toits. L’association, qui milite pour la reconnaissance de ce handicap et la création de zones blanches sur le territoire français, estime que « 3% de la population française » souffre d’électro-hypersensibilité (EHS).
Malgré les campagnes de sensibilisation déjà menées, le gouvernement, lui, fait la sourde oreille. Dans un courrier du 10 août 2011, adressé à des députés verts, inquiets de l’impact des ondes sur la santé, la ministre de l’Ecologie, Nathalie Kosciusko-Morizet, est formelle : « Il est bien trop prématuré d’envisager de recréer de nouvelles zones blanches avant qu’un lien soit fait entre ces symptômes et l’exposition aux radiofréquences. »
Pendant des mois, Anne comme Bernadette ont à peu près tout expérimenté. Des caves, des voitures bâchées de couvertures de survie… Bernadette avait même pris l’habitude de prendre ses repas dans le cimetière du Montparnasse, « parce qu’au moins, là-bas, les morts n’ont pas de téléphone sur eux ! ».
En août 2009, Anne tombe par hasard sur la grotte, lors d’un rassemblement d’électrosensibles à Beaumugne. Elle la teste et décide de s’y installer. Un an plus tard, aiguillée par Robin des toits, Bernadette la rejoint. Les deux femmes, qui ne se connaissaient pas, vivent désormais ensemble depuis plus d’un an, dans cet espace réduit.
Isolées, mais pas seules, elles se font aider par des voisins du hameau. Henri, qui vit dans la maison la plus proche, leur met des sanitaires et une salle d’eau à disposition. C’est lui, aussi, qui les ravitaille en vivres.
Le maire (divers gauche) de Saint-Julien, propriétaire de la grotte, les soutient. Jean-Claude Gast assume son choix. « Ces personnes étaient en grande détresse. J’ignore si cet état est physique ou juste psychologique, mais je ne pouvais pas les mettre dehors. Où seraient-elles allées sinon? » s’interroge l’élu. Mais, il le sait, la grotte est loin d’être une solution définitive. Faute de mieux, Anne et Bernadette se préparent, elles, à y passer un troisième hiver…
http://www.leparisien.fr/societe/terree ... 751824.php
la création est une symphonie dont nous sommes les musiciens , mais que signifie-t-elle sans son compositeur source de toute Vie ?
Re: ALLIANCE GALACTIQUE
Bonsoir tous les mondes
Bonsoir toutes et tous
Bonsoir Noble AJA
--------------------
Le 14/05/2011 à 10:34 par amie
N'oubliez pas l'essentiel: vous vivez dans un environnement falsifié .Ce que vos scientifiques prennent pour de l'obscurité est la plus éclatante des lumières.
------------
4 déc 2011
Ils ont créé de la lumière à partir du vide
Des scientifiques de l’université de Technologie de Chalmers en Suède ont réussi à créer de la lumière à partir du vide… OK ça parait magique mais la physique quantique y est certainement pour quelque chose là dedans…
Des scientifiques de l’université de Technologie de Chalmers en Suède ont réussi à créer de la lumière à partir du vide… OK ça parait magique mais la physique quantique y est certainement pour quelque chose là dedans…
Créer quelque chose à partir de rien devrait être impossible, non ? Donc, créer de la lumière, c’est à dire des particules élémentaires appelées « photons », à partir de rien devrait également être impossible. C’est comme vouloir éclairer une pièce sans avoir d’ampoules installées dans les lustres.
Cet état de fait est sans compter sur la mécanique quantique. La mécanique quantique se base notamment sur un principe contre-intuitif : le vide n’est pas le néant qui est lui l’absence absolue, l’exact opposé de l’existence. Prenons une boîte, vidons là de ce qu’elle contient. Que reste t-il ? La boîte est vide oui, mais ce n’est pas le néant. En effet selon la mécanique quantique les champs, en particulier le champ électromagnétique, oscillent constamment et ces oscillations subsistent même si un espace est dépourvu de toute matière. Selon la théorie quantique, le vide correspond à une sorte de bouillonnement de particules virtuelles, un niveau d’énergie minimal mais absolument pas nul. Cette force dégagée a été baptisée l’ »effet Casimir ». Ces particules ne subsistent généralement pas assez longtemps pour créer quoi que ce soit mais elles sont là. Elles apparaissent un bref instant avant de disparaître à nouveau.
L’idée de ces chercheurs suédois est de prendre ces particules virtuelles et de les transformer en particules réelles, créant ainsi quelque chose à partir du vide. Ainsi, ils ont réussi à obtenir des photons bien réels à partir de photons virtuels. Selon de plus anciennes théories, le passage de l’état de photon virtuel à celui de véritable particule devrait être possible si il rebondissent sur une sorte de miroir qui oscille à une vitesse proche de la vitesse de la lumière.
Impossible de créer un miroir qui oscillerait à la vitesse de la lumière donc les chercheurs ont trouvé une méthode alternative qui permet d’obtenir le même effet. Ils ont créer un miroir alternatif qui consiste en un composant électronique quantique appelé SQUID (Superconducting quantique Interference Device) extrêmement sensible aux champs magnétiques. En faisant varier des milliards de fois par seconde la direction du champ magnétique, les scientifiques ont créé une sorte de miroir vibrant à une vitesse équivalente à 25% de la vitesse de la lumière.
Ce miroir a transféré une partie de son énergie cinétique aux photons virtuels qui se sont alors matérialisés en particules bien réelles et mesurables.
Cette expérience nous permet de mieux comprendre les principes de la physique comme la fluctuation du vide, l’apparition et la disparition perpétuelle de particules virtuelles dans le vide. Ces oscillations du vide pourraient avoir un lien direct avec la fameuse énergie noire qui entraîne l’expansion accélérée de l’univers.
http://www.neotrouve.com/?p=1604

Bonsoir toutes et tous

Bonsoir Noble AJA

--------------------
Le 14/05/2011 à 10:34 par amie
N'oubliez pas l'essentiel: vous vivez dans un environnement falsifié .Ce que vos scientifiques prennent pour de l'obscurité est la plus éclatante des lumières.
------------
4 déc 2011
Ils ont créé de la lumière à partir du vide
Des scientifiques de l’université de Technologie de Chalmers en Suède ont réussi à créer de la lumière à partir du vide… OK ça parait magique mais la physique quantique y est certainement pour quelque chose là dedans…
Des scientifiques de l’université de Technologie de Chalmers en Suède ont réussi à créer de la lumière à partir du vide… OK ça parait magique mais la physique quantique y est certainement pour quelque chose là dedans…
Créer quelque chose à partir de rien devrait être impossible, non ? Donc, créer de la lumière, c’est à dire des particules élémentaires appelées « photons », à partir de rien devrait également être impossible. C’est comme vouloir éclairer une pièce sans avoir d’ampoules installées dans les lustres.
Cet état de fait est sans compter sur la mécanique quantique. La mécanique quantique se base notamment sur un principe contre-intuitif : le vide n’est pas le néant qui est lui l’absence absolue, l’exact opposé de l’existence. Prenons une boîte, vidons là de ce qu’elle contient. Que reste t-il ? La boîte est vide oui, mais ce n’est pas le néant. En effet selon la mécanique quantique les champs, en particulier le champ électromagnétique, oscillent constamment et ces oscillations subsistent même si un espace est dépourvu de toute matière. Selon la théorie quantique, le vide correspond à une sorte de bouillonnement de particules virtuelles, un niveau d’énergie minimal mais absolument pas nul. Cette force dégagée a été baptisée l’ »effet Casimir ». Ces particules ne subsistent généralement pas assez longtemps pour créer quoi que ce soit mais elles sont là. Elles apparaissent un bref instant avant de disparaître à nouveau.
L’idée de ces chercheurs suédois est de prendre ces particules virtuelles et de les transformer en particules réelles, créant ainsi quelque chose à partir du vide. Ainsi, ils ont réussi à obtenir des photons bien réels à partir de photons virtuels. Selon de plus anciennes théories, le passage de l’état de photon virtuel à celui de véritable particule devrait être possible si il rebondissent sur une sorte de miroir qui oscille à une vitesse proche de la vitesse de la lumière.
Impossible de créer un miroir qui oscillerait à la vitesse de la lumière donc les chercheurs ont trouvé une méthode alternative qui permet d’obtenir le même effet. Ils ont créer un miroir alternatif qui consiste en un composant électronique quantique appelé SQUID (Superconducting quantique Interference Device) extrêmement sensible aux champs magnétiques. En faisant varier des milliards de fois par seconde la direction du champ magnétique, les scientifiques ont créé une sorte de miroir vibrant à une vitesse équivalente à 25% de la vitesse de la lumière.
Ce miroir a transféré une partie de son énergie cinétique aux photons virtuels qui se sont alors matérialisés en particules bien réelles et mesurables.
Cette expérience nous permet de mieux comprendre les principes de la physique comme la fluctuation du vide, l’apparition et la disparition perpétuelle de particules virtuelles dans le vide. Ces oscillations du vide pourraient avoir un lien direct avec la fameuse énergie noire qui entraîne l’expansion accélérée de l’univers.
http://www.neotrouve.com/?p=1604
- Fichiers joints
-
- photons_lumiere_vide-600x286.jpg (32.19 Kio) Vu 6208 fois
-
- 68626763.jpg (56.27 Kio) Vu 6208 fois
Re: ALLIANCE GALACTIQUE
3 déc. 2011
New Images Mars published by Nasa
New Images Mars published by Nasa
Re: ALLIANCE GALACTIQUE
Bonjour tous les mondes
Bonjour toutes et tous
Le titre suivant aurait bien mérité : Une position très réaliste sur la Crise de la Dette
Extrait
--------------------------
lundi 5 décembre 2011
Une position originale sur la Crise de la Dette
Lorsque vous allez voir votre banquier pour contracter un emprunt pour acheter votre appartement ou votre maison, vous apportez des garanties de paiement des échéances : souvent une hypothèque, parfois un nantissement. Ces garanties sont concrètes : si vous ne payez pas, on vous retire votre appartement ou votre maison. La banque, de son côté, s’engage à vous prêter de l’argent maintenant, contre des remboursements futurs. Mais, ce que peu de monde sait, c’est que jusqu’à ce que vous signiez l’emprunt, la banque ne dispose pas de cet argent. Ce dernier sera créé au moment où vous signez le document, par une écriture sur votre compte bancaire. La banque crédite votre compte dans son passif et inscrit une créance sur vous-même dans son actif. Autrement dit, dans les comptes de la banque, le montant prêté est balancé par votre obligation de remboursement. Somme toute, il s’agit d’une fraude monumentale, puisque dans le contrat que vous passez, la banque vous propose quelque chose qu’elle n’a pas, qu’elle va créer ultérieurement ! Liée à votre emprunt, la banque possède juste une fraction (environ 8%) de l’emprunt en dépôt. Vous allez donc devoir suer jusqu’à la retraite pour rembourser de l’argent qui n’existait pas ! Une dette fantôme contractée par un mécanisme frauduleux !
Il en va de même pour les Etats ! Ils vendent des obligations souveraines, des promesses de remboursement, contre de l’argent inexistant qui, juste avant la transaction, n’avait pas la moindre existence. Il s’agit donc d’un échange d’une promesse contre de l’inexistant. Je me refuse à rembourser de l’inexistant, même si nos gouvernants en ont fait la promesse. Et vous ?
Depuis 1973, le Traité de Lisbonne interdit à la BCE et aux diverses banques nationales d’acheter des obligations d’organismes publics. Les Etats, lorsqu’ils ont besoin de financement, doivent donc contracter des emprunts auprès des banques privées à taux largement positif, plutôt que d’emprunter auprès, mettons, de la Banque de France à taux nul.
Si la France avait été autorisée à emprunter à la Banque de France à taux de 0% plutôt qu’auprès des banques privées, la dette actuelle de la France serait quasi nulle. Autrement dit, la dette totale française correspond plus ou moins au montant des intérêts versés depuis les années 70.
Les pays européens vendent des obligations d’Etat aux banques privées à des taux pouvant facilement dépasser les 10-15% (emprunts structurés voire toxiques). Quand ces banques privées n’ont plus assez de dépôts, elles achètent de l’argent aux banques nationales ou à la BCE à tout petit taux (inférieure à 2%). Où passe la différence ? Il est amusant de nous expliquer que si la BCE ne créé pas d’argent, c’est pour éviter l’inflation. Mais est-on prêt à tirer un trait sur des centaines de milliards d’euros que représente chaque année le fait d’utiliser des banques privées comme intermédiaire entre la BCE et l’Etat ?
http://www.agoravox.fr/actualites/econo ... -la-105445

Bonjour toutes et tous

Le titre suivant aurait bien mérité : Une position très réaliste sur la Crise de la Dette
Extrait
--------------------------
lundi 5 décembre 2011
Une position originale sur la Crise de la Dette
Lorsque vous allez voir votre banquier pour contracter un emprunt pour acheter votre appartement ou votre maison, vous apportez des garanties de paiement des échéances : souvent une hypothèque, parfois un nantissement. Ces garanties sont concrètes : si vous ne payez pas, on vous retire votre appartement ou votre maison. La banque, de son côté, s’engage à vous prêter de l’argent maintenant, contre des remboursements futurs. Mais, ce que peu de monde sait, c’est que jusqu’à ce que vous signiez l’emprunt, la banque ne dispose pas de cet argent. Ce dernier sera créé au moment où vous signez le document, par une écriture sur votre compte bancaire. La banque crédite votre compte dans son passif et inscrit une créance sur vous-même dans son actif. Autrement dit, dans les comptes de la banque, le montant prêté est balancé par votre obligation de remboursement. Somme toute, il s’agit d’une fraude monumentale, puisque dans le contrat que vous passez, la banque vous propose quelque chose qu’elle n’a pas, qu’elle va créer ultérieurement ! Liée à votre emprunt, la banque possède juste une fraction (environ 8%) de l’emprunt en dépôt. Vous allez donc devoir suer jusqu’à la retraite pour rembourser de l’argent qui n’existait pas ! Une dette fantôme contractée par un mécanisme frauduleux !
Il en va de même pour les Etats ! Ils vendent des obligations souveraines, des promesses de remboursement, contre de l’argent inexistant qui, juste avant la transaction, n’avait pas la moindre existence. Il s’agit donc d’un échange d’une promesse contre de l’inexistant. Je me refuse à rembourser de l’inexistant, même si nos gouvernants en ont fait la promesse. Et vous ?
Depuis 1973, le Traité de Lisbonne interdit à la BCE et aux diverses banques nationales d’acheter des obligations d’organismes publics. Les Etats, lorsqu’ils ont besoin de financement, doivent donc contracter des emprunts auprès des banques privées à taux largement positif, plutôt que d’emprunter auprès, mettons, de la Banque de France à taux nul.
Si la France avait été autorisée à emprunter à la Banque de France à taux de 0% plutôt qu’auprès des banques privées, la dette actuelle de la France serait quasi nulle. Autrement dit, la dette totale française correspond plus ou moins au montant des intérêts versés depuis les années 70.
Les pays européens vendent des obligations d’Etat aux banques privées à des taux pouvant facilement dépasser les 10-15% (emprunts structurés voire toxiques). Quand ces banques privées n’ont plus assez de dépôts, elles achètent de l’argent aux banques nationales ou à la BCE à tout petit taux (inférieure à 2%). Où passe la différence ? Il est amusant de nous expliquer que si la BCE ne créé pas d’argent, c’est pour éviter l’inflation. Mais est-on prêt à tirer un trait sur des centaines de milliards d’euros que représente chaque année le fait d’utiliser des banques privées comme intermédiaire entre la BCE et l’Etat ?
http://www.agoravox.fr/actualites/econo ... -la-105445
- Fichiers joints
-
- fig8-27879.PNG (128.34 Kio) Vu 6185 fois
-
- fig1-b6ad2.png (237.67 Kio) Vu 6185 fois
-
- fig2-510b2.png (83.43 Kio) Vu 6185 fois
-
- Copie de Gros_Banquier.gif (31.12 Kio) Vu 6185 fois
Re: ALLIANCE GALACTIQUE
Lundi 5 décembre 2011
Les Espagnols qui ne payent pas à temps les frais de cimetière de leur défunt verront ces derniers déterrés et expulsés
Crise Espagne - Les morts expulsés
Vidéo : " Même les morts n'échappent pas a la crise économique "
http://www.wikistrike.com/article-les-e ... 00355.html
Les Espagnols qui ne payent pas à temps les frais de cimetière de leur défunt verront ces derniers déterrés et expulsés
Crise Espagne - Les morts expulsés
Vidéo : " Même les morts n'échappent pas a la crise économique "
http://www.wikistrike.com/article-les-e ... 00355.html
Re: ALLIANCE GALACTIQUE
Lundi 5 décembre 2011
Suicide collectif de 1500 fermiers indiens ruinés à cause des OGM
Ces dernières semaines, 1500 fermiers se sont suicidés collectivement en Inde, dans la province de Chattisgarh. Un phénomène récurrent, puisque les chiffres officiels font état de 1000 suicides mensuels... depuis plus de quinze ans. En cause, l'endettement des paysans lié à l'achat de semences OGM miraculeuses... qui se révèlent catastrophiques.
Depuis le milieu des années 80, l'Inde a accepté d'ouvrir totalement son marché en contrepartie de l'aide du Fonds Monétaire International. Une révolution économique s'en suivit, qui en fit un terrain d'expérimentation mondial en matière agricole. Depuis lors, les paysans sont livrés aux promesses des vendeurs de semences magiques : les rendements devaient être exceptionnels, et les insectes et parasites rangés dans les tiroirs de l'histoire. Les variétés traditionnelles ont même été interdites dans de nombreuses banques de semences gouvernementales. Mais pour toucher le Graal, il fallait débourser 10 fois plus pour la même quantité de semences. Le prix de la gloire. Et les paysans se sont massivement endettés.
What a wonderfull world (Company)...
Sauf que les semences OGM de coton Bt (de Monsanto, faut-il le préciser) sont tombées malades, infestées par le vers (vorace) de la capsule. Les semenciers avaient juste oublié de préciser que les plantes n'étaient pas résistantes aux maladies locales et qu'il fallait donc épandre des tonnes de pesticides en plus. Ils avaient aussi omis d'indiquer que les variétés en question buvaient deux plus d'eau et dégradaient les sols à grande vitesse. Du coup, les sécheresses ont été amplifiées et les rendements réduits à peau de chagrin. Les paysans se retrouvent à sec, paralysés par leurs dettes et sans le sou pour acheter les semences de l'année suivante, puisque les plantes OGM - dotés d'une technologie révolutionnaire affectueusement nommée "Terminator" - sont calculées pour que les grains ne puissent pas se replanter... D'où de nouvelles dettes. Etc.
Disparition des variétés traditionnelles
"Certains des fermiers qui se sont suicidés avaient réalisé jusqu'à cinquante pulvérisations d'herbicide et de pesticide sur leurs champs de coton, mais cela n'a pas empêché leur récolte de dépérir", affirme le professeur Nanjundaswamy, fondateur du Mouvement pour la Défense des Fermiers du Karnataka (Karnataka Rajya Ryota Sangha - KRRS). Autre conséquence, l'utilisation de ce coton génétiquement modifié aurait "éliminé par pollinisation nombre de nos plantes indigènes qui possédaient par exemple des qualités de résistance à la sécheresse et à certains parasites propres à l'Inde, résistance que n'ont pas les plantes hybrides" affirme le même spécialiste. Pour les défenseurs des OGM, les vraies raisons de cette catastrophe sont la pauvreté rurale, l’alcoolisme, les sécheresses et le "désespoir agraire".
En 2006, le ministère indien de l'agriculture déclarait que la moitié des foyers paysans étaient endettés. Selon les ONG, le taux de suicide parmi les fermiers pauvres atteint actuellement des records. 150 000 d'entre eux se seraient donnés la mort depuis 1993. Entre 60% et 75% de la population indienne (contre 10% pour la France et 2% pour les États-Unis), qui compte plus d'un milliard d'habitants, vit de l'agriculture, qui représente un quart du Produit intérieur brut indien.
http://www.wikistrike.com/article-suici ... 16545.html
Suicide collectif de 1500 fermiers indiens ruinés à cause des OGM
Ces dernières semaines, 1500 fermiers se sont suicidés collectivement en Inde, dans la province de Chattisgarh. Un phénomène récurrent, puisque les chiffres officiels font état de 1000 suicides mensuels... depuis plus de quinze ans. En cause, l'endettement des paysans lié à l'achat de semences OGM miraculeuses... qui se révèlent catastrophiques.
Depuis le milieu des années 80, l'Inde a accepté d'ouvrir totalement son marché en contrepartie de l'aide du Fonds Monétaire International. Une révolution économique s'en suivit, qui en fit un terrain d'expérimentation mondial en matière agricole. Depuis lors, les paysans sont livrés aux promesses des vendeurs de semences magiques : les rendements devaient être exceptionnels, et les insectes et parasites rangés dans les tiroirs de l'histoire. Les variétés traditionnelles ont même été interdites dans de nombreuses banques de semences gouvernementales. Mais pour toucher le Graal, il fallait débourser 10 fois plus pour la même quantité de semences. Le prix de la gloire. Et les paysans se sont massivement endettés.
What a wonderfull world (Company)...
Sauf que les semences OGM de coton Bt (de Monsanto, faut-il le préciser) sont tombées malades, infestées par le vers (vorace) de la capsule. Les semenciers avaient juste oublié de préciser que les plantes n'étaient pas résistantes aux maladies locales et qu'il fallait donc épandre des tonnes de pesticides en plus. Ils avaient aussi omis d'indiquer que les variétés en question buvaient deux plus d'eau et dégradaient les sols à grande vitesse. Du coup, les sécheresses ont été amplifiées et les rendements réduits à peau de chagrin. Les paysans se retrouvent à sec, paralysés par leurs dettes et sans le sou pour acheter les semences de l'année suivante, puisque les plantes OGM - dotés d'une technologie révolutionnaire affectueusement nommée "Terminator" - sont calculées pour que les grains ne puissent pas se replanter... D'où de nouvelles dettes. Etc.
Disparition des variétés traditionnelles
"Certains des fermiers qui se sont suicidés avaient réalisé jusqu'à cinquante pulvérisations d'herbicide et de pesticide sur leurs champs de coton, mais cela n'a pas empêché leur récolte de dépérir", affirme le professeur Nanjundaswamy, fondateur du Mouvement pour la Défense des Fermiers du Karnataka (Karnataka Rajya Ryota Sangha - KRRS). Autre conséquence, l'utilisation de ce coton génétiquement modifié aurait "éliminé par pollinisation nombre de nos plantes indigènes qui possédaient par exemple des qualités de résistance à la sécheresse et à certains parasites propres à l'Inde, résistance que n'ont pas les plantes hybrides" affirme le même spécialiste. Pour les défenseurs des OGM, les vraies raisons de cette catastrophe sont la pauvreté rurale, l’alcoolisme, les sécheresses et le "désespoir agraire".
En 2006, le ministère indien de l'agriculture déclarait que la moitié des foyers paysans étaient endettés. Selon les ONG, le taux de suicide parmi les fermiers pauvres atteint actuellement des records. 150 000 d'entre eux se seraient donnés la mort depuis 1993. Entre 60% et 75% de la population indienne (contre 10% pour la France et 2% pour les États-Unis), qui compte plus d'un milliard d'habitants, vit de l'agriculture, qui représente un quart du Produit intérieur brut indien.
http://www.wikistrike.com/article-suici ... 16545.html
Re: ALLIANCE GALACTIQUE
02 décembre 2011
A partir de combien de morts une pilule est-elle dangereuse ?
Selon les autorités de santé, la pilule contraceptive de 3e génération tuerait de 20 à 40 femmes par an. Mais elle présenterait davantage de bénéfices que de risques...
Une proposition de loi a été déposée le 14 novembre pour l'accès anonyme et gratuit à la pilule chez les mineures. Au même moment, de nouvelles études prouvent que la pilule de 3e génération augmente le risque d'accidents vasculaires cérébraux et d'embolie pulmonaire.
Mis au point dans les années 1980, ce type de pilule était censé limiter les effets indésirables des pilules des générations précédentes: acné, douleurs mammaires, nausées...
Mais, selon l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (l'Afssaps), ce nouveau contraceptif provoquerait le décès de 20 à 40 femmes par an.
1. Risque d'infarctus et d'embolie pulmonaire
Dès 1995, l'Agence européenne du médicament (Emea) parle d'un risque d'accident thromboembolique veineux (formation d'un caillot sanguin dans les vaisseaux) plus élevé avec ce type de pilule, par rapport aux femmes qui ne prennent aucune contraception.
Un avertissement répété en 2002.
Un accident thromboembolique peut entraîner un infarctus ou une embolie pulmonaire (formation d'un caillot dans les poumons).
En 2007, l'avis de la Commission de transparence de la Haute autorité de santé (HAS) est sans appel: "les contraceptifs de 3e génération n'apportent pas d'amélioration par rapport aux contraceptifs de 2e génération". Selon la Commission, le risque de formation d'un caillot sanguin dans les vaisseaux est 1,5 à 2 fois plus élevé que pour les pilules de 2e génération.
L'accident est plus susceptible de se produire dans les six mois suivants la première prise de ce contraceptif oral. Gilles Bouvenot, président de la Commission de transparence de la HAS, est formel: "il ne faut en aucun cas prescrire une pilule de 3e génération à une jeune fille qui prend pour la première fois la pilule."
Ces risques ont été confirmés par une étude danoise, publiée dans le British Medical Journal fin octobre 2011.
2. Des cas mortels
Théodora est morte à 17 ans d'une embolie pulmonaire deux mois et dix jours après avoir pris la pilule Mercilon, une contraception orale de 3e génération. Le médicament lui avait été donné dans un planning familial.
Elle était porteuse de plusieurs anomalies génétiques du sang entraînant une hypercoagulabilité (épaississement du sang) . Une contre-indication à la prise de pilule. Mais aucun examen n'est demandé auparavant pour déceler cette maladie. Pierre Markarian, son père, s'indigne: "Quand j'ai demandé pourquoi ils avaient donné cette pilule, contre indiquée pour une première prise, on m'a répondu qu'il n'avaient que ça sous la main!"
Selon l'Afssaps, il y aurait de 20 à 40 décès par an sous pilule de 3e génération, dont "14 à 28 par embolie pulmonaire", précise un responsable. Mais l'Association des victimes d'embolie pulmonaires (Avep), créée par le père de Théodora, estime que le nombre de décès serait de 589 à 1 596 par an.
Pour la HAS, les risques touchent plus particulièrement les femmes de plus de 35 ans et les fumeuses.
3. Pourquoi ce type de pilule est toujours en vente?
Seule l'Afssaps a le pouvoir de retirer ce type de médicament du marché. Elle a décidé de ne pas le faire car "le bénéfice/risque reste maintenu, précise un responsable de l'agence. Le nombre d'accidents reste limité par rapport aux bénéfices en terme de tolérance: moins de perte de poids,moins d'acné, moins de problèmes de pilosité..."
Selon la HAS, "il n'y a pas assez de preuves pour demander le non-remboursement de ces pilules au gouvernement".
Cinq millions de femmes prennent la pilule en France. Quarante pour cent utilisent des contraceptifs oraux de 3e génération.
http://quoi.info/actualite-sante/2011/1 ... se-119854/
A partir de combien de morts une pilule est-elle dangereuse ?
Selon les autorités de santé, la pilule contraceptive de 3e génération tuerait de 20 à 40 femmes par an. Mais elle présenterait davantage de bénéfices que de risques...
Une proposition de loi a été déposée le 14 novembre pour l'accès anonyme et gratuit à la pilule chez les mineures. Au même moment, de nouvelles études prouvent que la pilule de 3e génération augmente le risque d'accidents vasculaires cérébraux et d'embolie pulmonaire.
Mis au point dans les années 1980, ce type de pilule était censé limiter les effets indésirables des pilules des générations précédentes: acné, douleurs mammaires, nausées...
Mais, selon l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (l'Afssaps), ce nouveau contraceptif provoquerait le décès de 20 à 40 femmes par an.
1. Risque d'infarctus et d'embolie pulmonaire
Dès 1995, l'Agence européenne du médicament (Emea) parle d'un risque d'accident thromboembolique veineux (formation d'un caillot sanguin dans les vaisseaux) plus élevé avec ce type de pilule, par rapport aux femmes qui ne prennent aucune contraception.
Un avertissement répété en 2002.
Un accident thromboembolique peut entraîner un infarctus ou une embolie pulmonaire (formation d'un caillot dans les poumons).
En 2007, l'avis de la Commission de transparence de la Haute autorité de santé (HAS) est sans appel: "les contraceptifs de 3e génération n'apportent pas d'amélioration par rapport aux contraceptifs de 2e génération". Selon la Commission, le risque de formation d'un caillot sanguin dans les vaisseaux est 1,5 à 2 fois plus élevé que pour les pilules de 2e génération.
L'accident est plus susceptible de se produire dans les six mois suivants la première prise de ce contraceptif oral. Gilles Bouvenot, président de la Commission de transparence de la HAS, est formel: "il ne faut en aucun cas prescrire une pilule de 3e génération à une jeune fille qui prend pour la première fois la pilule."
Ces risques ont été confirmés par une étude danoise, publiée dans le British Medical Journal fin octobre 2011.
2. Des cas mortels
Théodora est morte à 17 ans d'une embolie pulmonaire deux mois et dix jours après avoir pris la pilule Mercilon, une contraception orale de 3e génération. Le médicament lui avait été donné dans un planning familial.
Elle était porteuse de plusieurs anomalies génétiques du sang entraînant une hypercoagulabilité (épaississement du sang) . Une contre-indication à la prise de pilule. Mais aucun examen n'est demandé auparavant pour déceler cette maladie. Pierre Markarian, son père, s'indigne: "Quand j'ai demandé pourquoi ils avaient donné cette pilule, contre indiquée pour une première prise, on m'a répondu qu'il n'avaient que ça sous la main!"
Selon l'Afssaps, il y aurait de 20 à 40 décès par an sous pilule de 3e génération, dont "14 à 28 par embolie pulmonaire", précise un responsable. Mais l'Association des victimes d'embolie pulmonaires (Avep), créée par le père de Théodora, estime que le nombre de décès serait de 589 à 1 596 par an.
Pour la HAS, les risques touchent plus particulièrement les femmes de plus de 35 ans et les fumeuses.
3. Pourquoi ce type de pilule est toujours en vente?
Seule l'Afssaps a le pouvoir de retirer ce type de médicament du marché. Elle a décidé de ne pas le faire car "le bénéfice/risque reste maintenu, précise un responsable de l'agence. Le nombre d'accidents reste limité par rapport aux bénéfices en terme de tolérance: moins de perte de poids,moins d'acné, moins de problèmes de pilosité..."
Selon la HAS, "il n'y a pas assez de preuves pour demander le non-remboursement de ces pilules au gouvernement".
Cinq millions de femmes prennent la pilule en France. Quarante pour cent utilisent des contraceptifs oraux de 3e génération.
http://quoi.info/actualite-sante/2011/1 ... se-119854/
- Fichiers joints
-
- pillule-604-280-564x261.jpg (45.84 Kio) Vu 6160 fois
Re: ALLIANCE GALACTIQUE
02 décembre 2011
Quels sont les pays les plus corrompus ?
L'édition 2011 de l'index de corruption établi par Transparency International vient de sortir. Les pays autoritaires décrochent les premières places du classement des pays les plus corrompus, mais certains pays européens ont du souci à se faire.
Tous les ans depuis 1995, Transparency International, une organisation non-gouvernementale (ONG) basée à Berlin, publie un classement des États selon leur niveau de corruption.
Les résultats 2011 ont été publiés le 1er décembre 2011, sur le site Internet du quotidien anglais The Guardian.
L'index de corruption mis au point repose sur des déclarations d'experts et les données de treize institutions indépendantes.
Pour chacun des 182 États classés, sont notamment pris en compte : l'accès à l'information, la corruption des fonctionnaires, le montant des pots-de-vin dans le domaine public ou le bilan d'application des lois anti-corruption.
Le pays obtient alors une note entre 0 (très corrompu) à 10 (corruption extrêmement rare). Les premiers du classement sont les États les moins corrompus (scores élevés), les derniers les pires (scores faibles).
Que nous réserve le cru 2011 de ce classement ? Des évidences, mais également des surprises de taille.
Les pays aux gouvernements instables et ayant une tradition de conflits internes occupent le bas de la liste. La Somalie et la Corée du Nord se partagent la dernière place, avec un score de 1. En avant-dernière position, on retrouve l'Afghanistan et la Birmanie (Myanmar), dont la note est de 1,5.
A contrario, les pays réputés paisibles sont en tête du classement. La Nouvelle-Zélande décroche la première place (score de 9,5). Viennent ensuite trois pays scandinaves : le Danemark (9,4), la Finlande (9,4) et la Suède (9,3).
Le classement montre que pauvreté et corruption ne vont pas forcément de pair. La Russie, pays relativement riche, est 143ème sur 182. Certains des États les plus pauvres du globe, comme le Botswana, le Bhoutan ou le Rwanda, comptent en revanche parmi les 50 pays les moins corrompus.
Certains évènements d'actualité ont impacté le classement.
Les pays dits du "Printemps arabe" (notamment la Tunisie, l'Égypte et la Libye) ont chuté depuis 2010 et leurs révolutions : leurs scores tournent maintenant autour de 3.
La crise financière touchant les États européens a également eu une influence. L'Italie et la Grèce, les deux pays les plus touchés par la crise de la dette, ont par exemple perdu 0,4 point entre 2009 et 2011. Ce sont les deux pays de la zone euro les moins bien classés.
Et la France, dans tout ça ? Elle est à la 25ème place, ex-æquo avec l'Uruguay et Sainte-Lucie. Mais elle s'est améliorée depuis l'année dernière, en passant d'un score de 6,8 à 7.
A retrouver en intégralité sur le site du Guardian : l'article (en anglais) présentant les données et la carte interactive de la corruption dans le monde.
http://quoi.info/actualite-internationa ... s-1110005/
http://www.guardian.co.uk/news/datablog ... ernational
http://www.guardian.co.uk/news/datablog ... CMP=twt_gu
Quels sont les pays les plus corrompus ?
L'édition 2011 de l'index de corruption établi par Transparency International vient de sortir. Les pays autoritaires décrochent les premières places du classement des pays les plus corrompus, mais certains pays européens ont du souci à se faire.
Tous les ans depuis 1995, Transparency International, une organisation non-gouvernementale (ONG) basée à Berlin, publie un classement des États selon leur niveau de corruption.
Les résultats 2011 ont été publiés le 1er décembre 2011, sur le site Internet du quotidien anglais The Guardian.
L'index de corruption mis au point repose sur des déclarations d'experts et les données de treize institutions indépendantes.
Pour chacun des 182 États classés, sont notamment pris en compte : l'accès à l'information, la corruption des fonctionnaires, le montant des pots-de-vin dans le domaine public ou le bilan d'application des lois anti-corruption.
Le pays obtient alors une note entre 0 (très corrompu) à 10 (corruption extrêmement rare). Les premiers du classement sont les États les moins corrompus (scores élevés), les derniers les pires (scores faibles).
Que nous réserve le cru 2011 de ce classement ? Des évidences, mais également des surprises de taille.
Les pays aux gouvernements instables et ayant une tradition de conflits internes occupent le bas de la liste. La Somalie et la Corée du Nord se partagent la dernière place, avec un score de 1. En avant-dernière position, on retrouve l'Afghanistan et la Birmanie (Myanmar), dont la note est de 1,5.
A contrario, les pays réputés paisibles sont en tête du classement. La Nouvelle-Zélande décroche la première place (score de 9,5). Viennent ensuite trois pays scandinaves : le Danemark (9,4), la Finlande (9,4) et la Suède (9,3).
Le classement montre que pauvreté et corruption ne vont pas forcément de pair. La Russie, pays relativement riche, est 143ème sur 182. Certains des États les plus pauvres du globe, comme le Botswana, le Bhoutan ou le Rwanda, comptent en revanche parmi les 50 pays les moins corrompus.
Certains évènements d'actualité ont impacté le classement.
Les pays dits du "Printemps arabe" (notamment la Tunisie, l'Égypte et la Libye) ont chuté depuis 2010 et leurs révolutions : leurs scores tournent maintenant autour de 3.
La crise financière touchant les États européens a également eu une influence. L'Italie et la Grèce, les deux pays les plus touchés par la crise de la dette, ont par exemple perdu 0,4 point entre 2009 et 2011. Ce sont les deux pays de la zone euro les moins bien classés.
Et la France, dans tout ça ? Elle est à la 25ème place, ex-æquo avec l'Uruguay et Sainte-Lucie. Mais elle s'est améliorée depuis l'année dernière, en passant d'un score de 6,8 à 7.
A retrouver en intégralité sur le site du Guardian : l'article (en anglais) présentant les données et la carte interactive de la corruption dans le monde.
http://quoi.info/actualite-internationa ... s-1110005/
http://www.guardian.co.uk/news/datablog ... ernational
http://www.guardian.co.uk/news/datablog ... CMP=twt_gu
- Fichiers joints
-
- 381349_177131565710849_100002420202256_330365_51314711_n.jpg (10.57 Kio) Vu 6157 fois
Re: ALLIANCE GALACTIQUE
Bonsoir tous les mondes
Bonsoir toutes et tous
------------------------
5 décembre 2011
Téléthon, la grande escroquerie
Chaque année avant Noël, la France est prise d’une fièvre de générosité dont les médias font une kermesse, un concours du plus généreux (pas du plus modeste) en montrant de pitoyables images d’enfants atteints des maladies dites “orphelines” (belle trouvaille publicitaire pour faire pleurer dans les chaumières).
Depuis 15 ans, un milliard d’euros collecté en général chez des personnes pas riches, est tombé dans la cagnotte de l’AFM [ Association Française contre les Myopathies ] qui s’entête à reverser les dons à une thérapie génique pourtant de plus en plus reconnue comme illusoire. B. Jordan directeur de recherches au CNRS dit :
“La communauté médico-scientifique, dont les gènes sont le fonds de commerce, nourrit le grand public d’illusion”.
Malgré les annonces claironnantes, amplifiées par la presse, les manipulations génétiques ne sont pas maîtrisées par les chercheurs : par exemple les conséquences d’une seule manip peuvent se montrer après plusieurs générations et en variant selon les gènes alors rencontrés donc au plus grand hasard.
Qui peut donc prétendre prévoir les conséquences pour l’avenir des hommes ? Même Ian Wilmut, le “père” de la brebis Dolly (morte de vieillesse à 6 ans, ne l’oublions pas) avoue : “Le plus incroyable, c’est notre incompréhension des mécanismes moléculaires”.
Les laboratoires du “génie” génétique – publics ou privés – sont esclaves des impératifs économiques et tendent tous à breveter, donc à s’approprier le vivant : plantes, animaux, hommes sont dans la main de savants fous.
Les savoir n’est plus accessible au public mais dans leurs mains, et ils nous disent ce qu’ils veulent, ne reculant pas devant les mensonges les plus révoltants : la thérapie génique qu’ils nous présentent comme un miracle, la guérison et même la prévention de tous les maux du futur, n’est qu’un Bluff.
L’expert Marc Péchanski écrit dans “Thérapie génique du rêve à la dure réalité scientifique” (dans Médecine/Sciences 5 Mai 99) : “Il nous faut comprendre pourquoi… ça ne marche pas”.
Des chercheurs bouffis d’orgueil refusent de l’avouer et continuent à présenter le gène non seulement comme la clé de toute la médecine de l’avenir mais, pire, le promoteur du Généthon, Alain Cohen se réjouit : “Je crois en la possibilité d’une nouvelle évolution biologique humaine consciente et provoquée”. C’est-à-dire qu’Hilter serait content et Dieu va avoir honte, lui qui avait fait naître des noirs, des handicapés, et toutes ces erreurs…
Le grand public, conditionné par une propagande médiatique accueille béatement la thérapie génique, comme le montre le succès grandissant du Téléthon.
Quel bénéfice peut-on en espérer raisonnablement aujourd’hui ? A l’hôpital Necker deux des neuf nourrissons traités par une thérapie génétique que les docteurs ont déclaré “réussie” ont développé une leucémie peu de temps après. Nos grands savants ont oublié de nous le dire ! Entêtés, ils disent que ça va bien “finir par marcher” et cet engouement de nos contemporains devient une fois mystique dans le gène, bloquant les autres recherches en biologie car le lobby de l’ADN reçoit presque tous les crédits à lui seul.
Les enfants frappés par la “myopathie de Duchenne” – seulement des garçons- ne parviennent pas à fixer une enzyme qui permet la maturation des muscles. Comme tous les nouveaux-nés ont des muscles lents, on pourrait dire qu’ils sont tous myopathes à ce stade mais il arrive que la testostérone (hormone mâle) libérée après la naissance, bloque cette maturation d’où la tragique tare. L’application d’un gel progestérone dans les premières heures empêcherait cette tragédie mais il ne coûte que 2 euros donc il n’intéresse aucun laboratoire. Il vaut mieux battre le tambour du Téléthon et gaspiller chaque année des millions d’euros !
On trompe : les cœurs généreux qui donnent leur tikatsou, souvent de petits retraités anonymes alors que des enseignes connues font savoir à grand bruit le nombre admirable de zéros écrits sur leurs chèques (jamais de leurs poches). On trompe : les dévoués bénévoles qui se fatiguent à organiser manifestations et collectes : ils sont loin de se douter qu’ils donnent leur fatigue à de grands labos qui n’ont jamais rien pu pour un seul myopathe.
On trompe les familles qui se raccrochent à l’espoir.
Où va votre argent ?
A ces labos qui prétendent tester produits et médicaments en torturant longuement des chiens, chats volés à leurs maîtres, des labradors spécialement élevés pour la torture, des singes spécialement importés, alors qu’on sait que les résultats sur un animal ne veulent rien dire pour l’humain, alors qu’on peut aujourd’hui expérimenter sur des cellules-souches, à moindres frais et sans torture. A moindre frais, c’est un avantage pour nous, ignorants, pas pour ces labos qui “justifient leurs gros frais” de fonctionnement en répétant indéfiniment les mêmes tortures depuis 40 ans.
Où va votre argent ?
Il semblerait qu’il alimente en grande partie les “progrès” de l’arme bactériologique et l’arme au laser : il n’est pas perdu ! Et la recherche sur la cryo : conservation dans la glace des cadavres (de millionnaires uniquement) en attendant la découverte d’un traitement pour leur maladie, ça c’est une recherche qui marche bien.
D’où vient l’argent ? Quand vous aurez vu clair, vous donnerez vos sous à d’autres souffrances, la Terre n’en manque pas.
---------------------------------------
Téléthon 2011 : une escroquerie très rentable démasquée
TELETHON VIVISECTION ! Un rapport qui fait mal : la Cour des comptes épingle l'utilisation des dons par l'AFM Association Française contre les Myopathies...
SES METHODES DE RECHERCHE SONT PERIMEES ET INUTILES !
De quoi faire pleurer à chaudes larmes les donateurs mais surtout les malades et leurs familles qui attendent si désespérément des solutions de la science et aussi les TROIS MILLIONS d'animaux innocents cruellement massacrés chaque année pour rien !
"Téléthon : La directrice s'achète une maison et des rémunérations à 100 000 euros (avec vos dons)"
http://lesmoutonsenrages.fr/2011/12/05/ ... more-17410
http://philum.info/60711

Bonsoir toutes et tous

------------------------
5 décembre 2011
Téléthon, la grande escroquerie
Chaque année avant Noël, la France est prise d’une fièvre de générosité dont les médias font une kermesse, un concours du plus généreux (pas du plus modeste) en montrant de pitoyables images d’enfants atteints des maladies dites “orphelines” (belle trouvaille publicitaire pour faire pleurer dans les chaumières).
Depuis 15 ans, un milliard d’euros collecté en général chez des personnes pas riches, est tombé dans la cagnotte de l’AFM [ Association Française contre les Myopathies ] qui s’entête à reverser les dons à une thérapie génique pourtant de plus en plus reconnue comme illusoire. B. Jordan directeur de recherches au CNRS dit :
“La communauté médico-scientifique, dont les gènes sont le fonds de commerce, nourrit le grand public d’illusion”.
Malgré les annonces claironnantes, amplifiées par la presse, les manipulations génétiques ne sont pas maîtrisées par les chercheurs : par exemple les conséquences d’une seule manip peuvent se montrer après plusieurs générations et en variant selon les gènes alors rencontrés donc au plus grand hasard.
Qui peut donc prétendre prévoir les conséquences pour l’avenir des hommes ? Même Ian Wilmut, le “père” de la brebis Dolly (morte de vieillesse à 6 ans, ne l’oublions pas) avoue : “Le plus incroyable, c’est notre incompréhension des mécanismes moléculaires”.
Les laboratoires du “génie” génétique – publics ou privés – sont esclaves des impératifs économiques et tendent tous à breveter, donc à s’approprier le vivant : plantes, animaux, hommes sont dans la main de savants fous.
Les savoir n’est plus accessible au public mais dans leurs mains, et ils nous disent ce qu’ils veulent, ne reculant pas devant les mensonges les plus révoltants : la thérapie génique qu’ils nous présentent comme un miracle, la guérison et même la prévention de tous les maux du futur, n’est qu’un Bluff.
L’expert Marc Péchanski écrit dans “Thérapie génique du rêve à la dure réalité scientifique” (dans Médecine/Sciences 5 Mai 99) : “Il nous faut comprendre pourquoi… ça ne marche pas”.
Des chercheurs bouffis d’orgueil refusent de l’avouer et continuent à présenter le gène non seulement comme la clé de toute la médecine de l’avenir mais, pire, le promoteur du Généthon, Alain Cohen se réjouit : “Je crois en la possibilité d’une nouvelle évolution biologique humaine consciente et provoquée”. C’est-à-dire qu’Hilter serait content et Dieu va avoir honte, lui qui avait fait naître des noirs, des handicapés, et toutes ces erreurs…
Le grand public, conditionné par une propagande médiatique accueille béatement la thérapie génique, comme le montre le succès grandissant du Téléthon.
Quel bénéfice peut-on en espérer raisonnablement aujourd’hui ? A l’hôpital Necker deux des neuf nourrissons traités par une thérapie génétique que les docteurs ont déclaré “réussie” ont développé une leucémie peu de temps après. Nos grands savants ont oublié de nous le dire ! Entêtés, ils disent que ça va bien “finir par marcher” et cet engouement de nos contemporains devient une fois mystique dans le gène, bloquant les autres recherches en biologie car le lobby de l’ADN reçoit presque tous les crédits à lui seul.
Les enfants frappés par la “myopathie de Duchenne” – seulement des garçons- ne parviennent pas à fixer une enzyme qui permet la maturation des muscles. Comme tous les nouveaux-nés ont des muscles lents, on pourrait dire qu’ils sont tous myopathes à ce stade mais il arrive que la testostérone (hormone mâle) libérée après la naissance, bloque cette maturation d’où la tragique tare. L’application d’un gel progestérone dans les premières heures empêcherait cette tragédie mais il ne coûte que 2 euros donc il n’intéresse aucun laboratoire. Il vaut mieux battre le tambour du Téléthon et gaspiller chaque année des millions d’euros !
On trompe : les cœurs généreux qui donnent leur tikatsou, souvent de petits retraités anonymes alors que des enseignes connues font savoir à grand bruit le nombre admirable de zéros écrits sur leurs chèques (jamais de leurs poches). On trompe : les dévoués bénévoles qui se fatiguent à organiser manifestations et collectes : ils sont loin de se douter qu’ils donnent leur fatigue à de grands labos qui n’ont jamais rien pu pour un seul myopathe.
On trompe les familles qui se raccrochent à l’espoir.
Où va votre argent ?
A ces labos qui prétendent tester produits et médicaments en torturant longuement des chiens, chats volés à leurs maîtres, des labradors spécialement élevés pour la torture, des singes spécialement importés, alors qu’on sait que les résultats sur un animal ne veulent rien dire pour l’humain, alors qu’on peut aujourd’hui expérimenter sur des cellules-souches, à moindres frais et sans torture. A moindre frais, c’est un avantage pour nous, ignorants, pas pour ces labos qui “justifient leurs gros frais” de fonctionnement en répétant indéfiniment les mêmes tortures depuis 40 ans.
Où va votre argent ?
Il semblerait qu’il alimente en grande partie les “progrès” de l’arme bactériologique et l’arme au laser : il n’est pas perdu ! Et la recherche sur la cryo : conservation dans la glace des cadavres (de millionnaires uniquement) en attendant la découverte d’un traitement pour leur maladie, ça c’est une recherche qui marche bien.
D’où vient l’argent ? Quand vous aurez vu clair, vous donnerez vos sous à d’autres souffrances, la Terre n’en manque pas.
---------------------------------------
Téléthon 2011 : une escroquerie très rentable démasquée
TELETHON VIVISECTION ! Un rapport qui fait mal : la Cour des comptes épingle l'utilisation des dons par l'AFM Association Française contre les Myopathies...
SES METHODES DE RECHERCHE SONT PERIMEES ET INUTILES !
De quoi faire pleurer à chaudes larmes les donateurs mais surtout les malades et leurs familles qui attendent si désespérément des solutions de la science et aussi les TROIS MILLIONS d'animaux innocents cruellement massacrés chaque année pour rien !
"Téléthon : La directrice s'achète une maison et des rémunérations à 100 000 euros (avec vos dons)"
http://lesmoutonsenrages.fr/2011/12/05/ ... more-17410
http://philum.info/60711
- Fichiers joints
-
- newsnet_60711_h-4-2652695-1322982249-copie-3.jpg (90.5 Kio) Vu 6060 fois