Re: ALLIANCE GALACTIQUE
Posté : 21 nov. 2011, 00:11
Bonsoir tous les mondes
Bonsoir toutes et tous
Bonsoir Noble WOOKI, patience, patience, le moment tant attendu semble proche...
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20 nov 2011
Effet psi décidé par de la matière inanimée
Il peut nous paraitre plus incongru de trouver un phénomène psi dans la matière inanimée, c’est à dire imaginer que la matière puisse décider d’orienter un phénomène contre les lois du hasard. C’est pourtant ce que dit avoir mis en évidence un chercheur.
Johannes hagel du CERN a modifié un petit train électrique afin qu’il puisse au hasard sur un aiguillage passer sur une voie ou l’autre. L’ordinateur chargé de la fonction aléatoire était distant et connecté optiquement à l’aiguillage sur le système du train. Les deux voies étaient pour l’une des deux la voie favorable au train : la piste étant circulaire, c’est le cercle extérieur ; alors que l’autre voie bifurquant plus vers l’intérieur est la voie plus contraignante. Mais sur la voie favorable, il a placé un dispositif qui freine le train assez vivement et le fait repartir en arrière puis refait partir en avant, mettant des contraintes mécaniques au train. En faisant faire 10 000 tours au petit train il a pu s’apercevoir que le train passait préférentiellement par la voie ne comprenant pas le système de freinage et d’inversion qui était assimilable à une « souffrance » pour le système mécanique du train.
On peut de ceci comprendre que le phénomène psi est un phénomène de la matière elle-même ; une forme d’intelligence-désir de chaque particule voulant naturellement choisir le chemin de moindre souffrance (moindre tension, moindre oppression) et qu’à chaque niveau d’assemblage, un système donné constitué de briques de matières émet un champ d’ensemble propre au système qui aura le désir de poursuivre dans son état de moins grande difficulté ; émettant une information pouvant être perçue par la matière du système informatique permettant de décider de l’aléa sur l’aiguillage et agir en conséquence.
Chaque particule de matière a une forme d’intelligence, capable de répondre au désir ou à la pensée émis par un autre système matériel. En tant qu’humain nous faisons partie de cet ensemble.
On peut se référer directement aux informations de Walter Russel qui indique bien la même chose : il indique que la matière est vivante au sein de chaque particule, douée de désir, que la vie est partout et pas limitée aux systèmes organiques classés comme « vivants » par l’homme. Il indique bien que cette matière vivante est douée de pensée élémentaire et que la pensée de l’homme peut agir dessus, communiquer avec elle pour la modifier et la restructurer.
On a l’hypothèse actuelle en cosmologie que l’univers est né d’un big-bang, une explosion gigantesque provenant d’une singularité énergétique qui est la source de toute matière. Cela signifie donc en terme quantique que l’ensemble des particules de l’univers entier sont décrites par une unique fonction d’onde commune et que toute action sur l’une des particules modifie la fonction commune donc a un impact sur toutes les autres. C’est déjà admettre que chaque partie de l’univers est en connexion instantanée et permanente depuis la création de l’univers avec toute autre. Une vue certainement limitée, mais finalement on a même en science contemporaine un point d’entrée montrant que la matière agit sur la matière à distance et partout dans l’univers. Comment se traduit cette action (comment percevoir la modification de la fonction d’onde globale commune) est encore une question sans réponse de ce côté-là.
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LA NON-SEPARABILITE QUANTIQUE
La non-séparabilité encore appelé effet EPR (pour Einstein Podolski Rosen) est un phénomène quantique qui heurte le sens commun. Si ce phénomène est désormais solidement établi sur le plan expérimental (notamment par l'équipe française d'Alain Aspect en 1983), ses conséquences demeurent obscures. La non-séparabilité remet en cause l'idée de localité des objets, qui semble pourtant aller de soi.
Les expériences d'Alain Aspect en 1983 tranchent nettement en faveur de l'interprétation quantique. Cela a des conséquences révolutionnaires sur notre vision du monde:
Deux particules corrélées forment un tout quelque soit leur distance de séparation
La connaissance de l'une influe sur l'autre instantanément, sans transmission d'information résultant d'une action physique.
L'interprétation de la non-séparabilité est très délicate pour le moment et les hypothèses les plus folles ont été émises par les physiciens:
La première particule mesurée remonte-t-elle le temps pour prévenir sa jumelle de l'état qu'elle doit adopter?
Existe-t-il une sorte de télépathie instantanée entre particules?
Y a-t-il une "totalité indivisible" de l'Univers?
http://www.neotrouve.com/?p=1538
http://molaire1.perso.sfr.fr/quantic4.html

Bonsoir toutes et tous

Bonsoir Noble WOOKI, patience, patience, le moment tant attendu semble proche...

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20 nov 2011
Effet psi décidé par de la matière inanimée
Il peut nous paraitre plus incongru de trouver un phénomène psi dans la matière inanimée, c’est à dire imaginer que la matière puisse décider d’orienter un phénomène contre les lois du hasard. C’est pourtant ce que dit avoir mis en évidence un chercheur.
Johannes hagel du CERN a modifié un petit train électrique afin qu’il puisse au hasard sur un aiguillage passer sur une voie ou l’autre. L’ordinateur chargé de la fonction aléatoire était distant et connecté optiquement à l’aiguillage sur le système du train. Les deux voies étaient pour l’une des deux la voie favorable au train : la piste étant circulaire, c’est le cercle extérieur ; alors que l’autre voie bifurquant plus vers l’intérieur est la voie plus contraignante. Mais sur la voie favorable, il a placé un dispositif qui freine le train assez vivement et le fait repartir en arrière puis refait partir en avant, mettant des contraintes mécaniques au train. En faisant faire 10 000 tours au petit train il a pu s’apercevoir que le train passait préférentiellement par la voie ne comprenant pas le système de freinage et d’inversion qui était assimilable à une « souffrance » pour le système mécanique du train.
On peut de ceci comprendre que le phénomène psi est un phénomène de la matière elle-même ; une forme d’intelligence-désir de chaque particule voulant naturellement choisir le chemin de moindre souffrance (moindre tension, moindre oppression) et qu’à chaque niveau d’assemblage, un système donné constitué de briques de matières émet un champ d’ensemble propre au système qui aura le désir de poursuivre dans son état de moins grande difficulté ; émettant une information pouvant être perçue par la matière du système informatique permettant de décider de l’aléa sur l’aiguillage et agir en conséquence.
Chaque particule de matière a une forme d’intelligence, capable de répondre au désir ou à la pensée émis par un autre système matériel. En tant qu’humain nous faisons partie de cet ensemble.
On peut se référer directement aux informations de Walter Russel qui indique bien la même chose : il indique que la matière est vivante au sein de chaque particule, douée de désir, que la vie est partout et pas limitée aux systèmes organiques classés comme « vivants » par l’homme. Il indique bien que cette matière vivante est douée de pensée élémentaire et que la pensée de l’homme peut agir dessus, communiquer avec elle pour la modifier et la restructurer.
On a l’hypothèse actuelle en cosmologie que l’univers est né d’un big-bang, une explosion gigantesque provenant d’une singularité énergétique qui est la source de toute matière. Cela signifie donc en terme quantique que l’ensemble des particules de l’univers entier sont décrites par une unique fonction d’onde commune et que toute action sur l’une des particules modifie la fonction commune donc a un impact sur toutes les autres. C’est déjà admettre que chaque partie de l’univers est en connexion instantanée et permanente depuis la création de l’univers avec toute autre. Une vue certainement limitée, mais finalement on a même en science contemporaine un point d’entrée montrant que la matière agit sur la matière à distance et partout dans l’univers. Comment se traduit cette action (comment percevoir la modification de la fonction d’onde globale commune) est encore une question sans réponse de ce côté-là.
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LA NON-SEPARABILITE QUANTIQUE
La non-séparabilité encore appelé effet EPR (pour Einstein Podolski Rosen) est un phénomène quantique qui heurte le sens commun. Si ce phénomène est désormais solidement établi sur le plan expérimental (notamment par l'équipe française d'Alain Aspect en 1983), ses conséquences demeurent obscures. La non-séparabilité remet en cause l'idée de localité des objets, qui semble pourtant aller de soi.
Les expériences d'Alain Aspect en 1983 tranchent nettement en faveur de l'interprétation quantique. Cela a des conséquences révolutionnaires sur notre vision du monde:
Deux particules corrélées forment un tout quelque soit leur distance de séparation
La connaissance de l'une influe sur l'autre instantanément, sans transmission d'information résultant d'une action physique.
L'interprétation de la non-séparabilité est très délicate pour le moment et les hypothèses les plus folles ont été émises par les physiciens:
La première particule mesurée remonte-t-elle le temps pour prévenir sa jumelle de l'état qu'elle doit adopter?
Existe-t-il une sorte de télépathie instantanée entre particules?
Y a-t-il une "totalité indivisible" de l'Univers?
http://www.neotrouve.com/?p=1538
http://molaire1.perso.sfr.fr/quantic4.html