Re: ALLIANCE GALACTIQUE
Posté : 18 juil. 2011, 21:48
au nom de l'énergie universelle ,j'appose ma main de façon virtuelle, sur l'honorable poitrine des dignes représentants de l'alliance '(*_*)' main droite sur le cœur
bonjour toutes et tous , ma main sur vos humbles poitrines sœurs et frères en l'esprit '(*_*)' main droite sur le cœur
que la paix et l'énergie nous conduisent a l'harmonie
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Le 18 juillet 2011 à 15h41
Des champignons luminescents… hallucinants !
Une espèce de champignons luminescents, oubliée pendant cent soixante-dix ans, a été retrouvée et vient d’être étudiée par des chercheurs de l’université de San Francisco.
Vila de Natividade, Brésil, un soir de 1840. Dans les rues de la ville, des enfants jouent avec un étrange objet d’où émane une lueur inquiétante... Kryptonite ? Extraterrestres ? Assistant à la scène, le fameux botaniste britanique George Gardner doit lui aussi se poser des questions, avant de s’apercevoir qu’il ne s’agit en réalité que d’un drôle de champignon, luminescent !
Intrigué (et peut-être un peu rassuré), il reprend ses habitudes de naturaliste et se renseigne sur l’espèce : les locaux l’appellent « flor-de-coco » et lui montrent l’endroit où il pousse, sous les feuilles mortes au pied d’un palmier nain. Le scientifique fait son devoir. Il envoie consciencieusement un exemplaire aux jardins royaux de Kew (Londres), où le champignon lumineux est étudié et nommé Agaricus gardneri en son honneur. L’espèce ne sera plus observée avant 2009.
Sur les traces de Gardner
Il y a deux ans en effet, le professeur Dennis Desjardin et ses collègues de l’université d’État de San Francisco sont repartis sur la piste de l’étrange organisme. Pour capturer la faible émission de certains sujets, le recours à des appareils photo numériques plus sensibles que les pellicules traditionnelles, a été d’un grand secours. Les chercheurs racontent que les Neonothopanus gardneri éclairent presque assez pour servir de liseuse ! © Cassius V. Stevani, IQ-USP Brazil
Après de longues et périlleuses chasses nocturnes, Desjardin et son compère, le docteur Cassius Stevani, ont récolté de nouveaux spécimens. Ils les ont étudiés à leur tour et modifié la classification de l’espèce, renommée Neonothopanus gardneri. La description et l’identification complète est disponible en ligne et sera publiée en novembre dans le journal Mycology. Prochaine étape : comprendre comment et pourquoi certains champignons sont bioluminescents. Ça n’est pas une mince affaire...
Luminescence mystérieuse
Des pistes existent pour comprendre le mécanisme chimique sous-jacent. La bioluminescence existe chez de nombreux organismes, de la luciole à la bactérie en passant par la méduse et donc, le champignon. Le plus souvent, la lumière est émise lorsqu’une molécule, la luciférine, est oxydée par une enzyme, la luciférase. Mais les chercheurs n’ont pas identifié ici de trace de luciférine. D’autre part, les animaux n’émettent de la lumière généralement que par flashs ou courtes périodes, alors que ces champignons brillent sans interruption tant qu’ils trouvent à leur disposition eau et oxygène.
La substance chimique à l’origine de ce phénomène doit donc être facilement disponible et abondante pour que les enzymes puissent catalyser la réaction en continu. Quant à découvrir les avantages évolutifs du phénomène, la question semble épineuse… Sans organe de détection de la lumière connu, sans possibilité de se déplacer, quel besoin ont-ils de développer une telle aptitude ? Le mystère demeure. Et les différentes espèces de « champignons fantômes » continueront donc, pour l’instant, à effrayer ou faire rêver...
http://www.futura-sciences.com/fr/news/ ... xtor=RSS-8
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que la paix et l'énergie nous conduisent a l'harmonie
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Le 18 juillet 2011 à 15h41
Des champignons luminescents… hallucinants !
Une espèce de champignons luminescents, oubliée pendant cent soixante-dix ans, a été retrouvée et vient d’être étudiée par des chercheurs de l’université de San Francisco.
Vila de Natividade, Brésil, un soir de 1840. Dans les rues de la ville, des enfants jouent avec un étrange objet d’où émane une lueur inquiétante... Kryptonite ? Extraterrestres ? Assistant à la scène, le fameux botaniste britanique George Gardner doit lui aussi se poser des questions, avant de s’apercevoir qu’il ne s’agit en réalité que d’un drôle de champignon, luminescent !
Intrigué (et peut-être un peu rassuré), il reprend ses habitudes de naturaliste et se renseigne sur l’espèce : les locaux l’appellent « flor-de-coco » et lui montrent l’endroit où il pousse, sous les feuilles mortes au pied d’un palmier nain. Le scientifique fait son devoir. Il envoie consciencieusement un exemplaire aux jardins royaux de Kew (Londres), où le champignon lumineux est étudié et nommé Agaricus gardneri en son honneur. L’espèce ne sera plus observée avant 2009.
Sur les traces de Gardner
Il y a deux ans en effet, le professeur Dennis Desjardin et ses collègues de l’université d’État de San Francisco sont repartis sur la piste de l’étrange organisme. Pour capturer la faible émission de certains sujets, le recours à des appareils photo numériques plus sensibles que les pellicules traditionnelles, a été d’un grand secours. Les chercheurs racontent que les Neonothopanus gardneri éclairent presque assez pour servir de liseuse ! © Cassius V. Stevani, IQ-USP Brazil
Après de longues et périlleuses chasses nocturnes, Desjardin et son compère, le docteur Cassius Stevani, ont récolté de nouveaux spécimens. Ils les ont étudiés à leur tour et modifié la classification de l’espèce, renommée Neonothopanus gardneri. La description et l’identification complète est disponible en ligne et sera publiée en novembre dans le journal Mycology. Prochaine étape : comprendre comment et pourquoi certains champignons sont bioluminescents. Ça n’est pas une mince affaire...
Luminescence mystérieuse
Des pistes existent pour comprendre le mécanisme chimique sous-jacent. La bioluminescence existe chez de nombreux organismes, de la luciole à la bactérie en passant par la méduse et donc, le champignon. Le plus souvent, la lumière est émise lorsqu’une molécule, la luciférine, est oxydée par une enzyme, la luciférase. Mais les chercheurs n’ont pas identifié ici de trace de luciférine. D’autre part, les animaux n’émettent de la lumière généralement que par flashs ou courtes périodes, alors que ces champignons brillent sans interruption tant qu’ils trouvent à leur disposition eau et oxygène.
La substance chimique à l’origine de ce phénomène doit donc être facilement disponible et abondante pour que les enzymes puissent catalyser la réaction en continu. Quant à découvrir les avantages évolutifs du phénomène, la question semble épineuse… Sans organe de détection de la lumière connu, sans possibilité de se déplacer, quel besoin ont-ils de développer une telle aptitude ? Le mystère demeure. Et les différentes espèces de « champignons fantômes » continueront donc, pour l’instant, à effrayer ou faire rêver...
http://www.futura-sciences.com/fr/news/ ... xtor=RSS-8