Re: ALLIANCE GALACTIQUE
Posté : 18 juin 2011, 13:31
au nom de l'énergie universelle ,j'appose ma main sur l'honorable poitrine des dignes représentants de l'alliance '(*_*)' main droite sur le cœur
bonjour toutes et tous , ma main sur vos humbles poitrines sœurs et frères en l'esprit '(*_*)' main droite sur le cœur
que la paix et l'énergie nous conduisent a l'harmonie
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Monde
L'armée ratisse le nord de la Syrie
L'armée appuyée par des chars a étendu, samedi, ses opérations dans le Nord-Ouest syrien, proche de la Turquie, avec l'objectif d'étouffer toute contestation du régime, la Grande-Bretagne appelant ses ressortissants à quitter immédiatement la Syrie de crainte d'une escalade. Entre-temps, les Syriens enterraient leurs morts au lendemain de la répression par le régime du président Bachar el-Assad d'imposantes manifestations à travers le pays durant lesquelles 19 civils ont péri, selon des militants des droits de l'homme.
Face à la persistance du régime à ignorer depuis plus de trois mois les appels internationaux à cesser d'écraser la contestation, Londres a appelé ses ressortissants à quitter la Syrie, avertissant que l'ambassade à Damas pourrait ne pas être en mesure d'organiser leur évacuation si la situation se dégradait. "Les ressortissants britanniques devraient partir immédiatement par des vols commerciaux tant qu'ils fonctionnent encore normalement", estiment les Affaires étrangères dans un communiqué à Londres. Et les États-Unis et l'Union européenne poursuivent leurs efforts pour tenter d'accroître la pression sur le président syrien, la secrétaire d'État américaine Hillary Clinton jugeant inéluctable le changement en Syrie malgré la "brutalité" du pouvoir.
Six chars à Bdama
Cherchant à étendre leur contrôle sur la région nord-ouest, les soldats syriens, appuyés par des chars, ont pénétré le matin dans le village de Bdama, dans le gouvernorat d'Idleb, tout près de la frontière turque. Au moins six chars et quinze transports de troupes ont pénétré dans le village, a indiqué le chef de l'Observatoire syrien des droits de l'homme, Rami Abdel Rahmane, basé à Londres. Des jeeps militaires, qui, selon lui, transportent généralement des officiers, faisaient également partie du convoi. Des "tirs nourris ont été entendus dans le village" à l'entrée des troupes, a-t-il dit.
Selon Rami Abdel Rahmane, Bdama assure l'approvisionnement en produits de première nécessité - notamment la nourriture - des déplacés syriens ayant fui leurs villages et installés provisoirement du côté syrien de la frontière. Le village est situé à quelques kilomètres au nord de la ville de Jisr al-Choughour meurtrie par la répression et désertée par ses habitants qui ont pris la fuite pour la Turquie après l'intervention de l'armée la semaine dernière dans leur localité qui fut le théâtre de manifestations anti-régime.
Dans le même gouvernorat, sept véhicules militaires ont pénétré dans la ville de Khan Cheikhoune, assiégée depuis plusieurs jours par l'armée, selon Rami Abdel Rahmane. Devant l'avancée des troupes, les Syriens continuent de fuir vers la frontière turque, racontant leur terreur face aux "exactions" des soldats. Ils sont plus de 10 000 à s'être réfugiés en Turquie, mais des milliers d'autres se sont installés du côté syrien de la frontière.
Manifestations
Malgré la répression, des dizaines de milliers de Syriens ont manifesté vendredi à l'appel de militants pro-démocratie qui, comme tous les vendredis, demandent à la population de descendre dans les rues après la prière musulmane hebdomadaire pour protester contre le régime. L'un des plus gros rassemblements a eu lieu à Hama (nord) où 100 000 personnes ont manifesté, selon Rami Abdel Rahmane. Cependant, les forces de sécurité étaient, comme d'habitude, prêtes à intervenir. Selon les Comités locaux de coordination, une ONG syrienne qui chapeaute les militants organisant les manifestations, dix-neuf manifestants ont été tués par les forces qui ont ouvert le feu sur les contestataires. L'ONG a fourni une liste nominative de douze et dit s'enquérir des noms des autres victimes.
La "brutalité" du régime pourrait permettre à Bachar el-Assad "de repousser le changement en cours en Syrie, mais pas de l'inverser", écrit Hillary Clinton dans une tribune publiée par le quotidien arabe Asharq Al Awsat. "Il n'y a pas de marche arrière possible", a-t-elle dit. Hillary Clinton s'est entretenue par téléphone avec son homologue russe Sergueï Lavrov au sujet de sanctions contre le régime, la Russie, comme la Chine, rejetant pour le moment toute ingérence internationale en Syrie.
Pour leur part, deux hauts responsables américains ont annoncé sous le couvert de l'anonymat que les États-Unis cherchaient à faire poursuivre les responsables syriens pour "crimes de guerre". Depuis le début, le 15 mars, du mouvement de contestation sans précédent, 1 640 personnes ont été tuées - 1 300 civils et 340 membres des forces de sécurité - et quelque 10 000 autres arrêtées, selon des ONG et l'ONU.
http://www.lepoint.fr/monde/l-armee-rat ... 385_24.php
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Monde
L'armée ratisse le nord de la Syrie
L'armée appuyée par des chars a étendu, samedi, ses opérations dans le Nord-Ouest syrien, proche de la Turquie, avec l'objectif d'étouffer toute contestation du régime, la Grande-Bretagne appelant ses ressortissants à quitter immédiatement la Syrie de crainte d'une escalade. Entre-temps, les Syriens enterraient leurs morts au lendemain de la répression par le régime du président Bachar el-Assad d'imposantes manifestations à travers le pays durant lesquelles 19 civils ont péri, selon des militants des droits de l'homme.
Face à la persistance du régime à ignorer depuis plus de trois mois les appels internationaux à cesser d'écraser la contestation, Londres a appelé ses ressortissants à quitter la Syrie, avertissant que l'ambassade à Damas pourrait ne pas être en mesure d'organiser leur évacuation si la situation se dégradait. "Les ressortissants britanniques devraient partir immédiatement par des vols commerciaux tant qu'ils fonctionnent encore normalement", estiment les Affaires étrangères dans un communiqué à Londres. Et les États-Unis et l'Union européenne poursuivent leurs efforts pour tenter d'accroître la pression sur le président syrien, la secrétaire d'État américaine Hillary Clinton jugeant inéluctable le changement en Syrie malgré la "brutalité" du pouvoir.
Six chars à Bdama
Cherchant à étendre leur contrôle sur la région nord-ouest, les soldats syriens, appuyés par des chars, ont pénétré le matin dans le village de Bdama, dans le gouvernorat d'Idleb, tout près de la frontière turque. Au moins six chars et quinze transports de troupes ont pénétré dans le village, a indiqué le chef de l'Observatoire syrien des droits de l'homme, Rami Abdel Rahmane, basé à Londres. Des jeeps militaires, qui, selon lui, transportent généralement des officiers, faisaient également partie du convoi. Des "tirs nourris ont été entendus dans le village" à l'entrée des troupes, a-t-il dit.
Selon Rami Abdel Rahmane, Bdama assure l'approvisionnement en produits de première nécessité - notamment la nourriture - des déplacés syriens ayant fui leurs villages et installés provisoirement du côté syrien de la frontière. Le village est situé à quelques kilomètres au nord de la ville de Jisr al-Choughour meurtrie par la répression et désertée par ses habitants qui ont pris la fuite pour la Turquie après l'intervention de l'armée la semaine dernière dans leur localité qui fut le théâtre de manifestations anti-régime.
Dans le même gouvernorat, sept véhicules militaires ont pénétré dans la ville de Khan Cheikhoune, assiégée depuis plusieurs jours par l'armée, selon Rami Abdel Rahmane. Devant l'avancée des troupes, les Syriens continuent de fuir vers la frontière turque, racontant leur terreur face aux "exactions" des soldats. Ils sont plus de 10 000 à s'être réfugiés en Turquie, mais des milliers d'autres se sont installés du côté syrien de la frontière.
Manifestations
Malgré la répression, des dizaines de milliers de Syriens ont manifesté vendredi à l'appel de militants pro-démocratie qui, comme tous les vendredis, demandent à la population de descendre dans les rues après la prière musulmane hebdomadaire pour protester contre le régime. L'un des plus gros rassemblements a eu lieu à Hama (nord) où 100 000 personnes ont manifesté, selon Rami Abdel Rahmane. Cependant, les forces de sécurité étaient, comme d'habitude, prêtes à intervenir. Selon les Comités locaux de coordination, une ONG syrienne qui chapeaute les militants organisant les manifestations, dix-neuf manifestants ont été tués par les forces qui ont ouvert le feu sur les contestataires. L'ONG a fourni une liste nominative de douze et dit s'enquérir des noms des autres victimes.
La "brutalité" du régime pourrait permettre à Bachar el-Assad "de repousser le changement en cours en Syrie, mais pas de l'inverser", écrit Hillary Clinton dans une tribune publiée par le quotidien arabe Asharq Al Awsat. "Il n'y a pas de marche arrière possible", a-t-elle dit. Hillary Clinton s'est entretenue par téléphone avec son homologue russe Sergueï Lavrov au sujet de sanctions contre le régime, la Russie, comme la Chine, rejetant pour le moment toute ingérence internationale en Syrie.
Pour leur part, deux hauts responsables américains ont annoncé sous le couvert de l'anonymat que les États-Unis cherchaient à faire poursuivre les responsables syriens pour "crimes de guerre". Depuis le début, le 15 mars, du mouvement de contestation sans précédent, 1 640 personnes ont été tuées - 1 300 civils et 340 membres des forces de sécurité - et quelque 10 000 autres arrêtées, selon des ONG et l'ONU.
http://www.lepoint.fr/monde/l-armee-rat ... 385_24.php