Es-tu sûr de ne pas te disputer seul Gaga ?
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19.05.2011
ISS: le spectromètre Alpha 2 en quête des secrets de l'univers
Le spectromètre magnétique Alpha 2 (AMS), un détecteur unique de particules, a été attaché avec succès à la Station Spatiale Internationale (ISS) jeudi et est aussitôt entré en fonction. Il vise à percer les grands énigmes de la formation de l'univers.
Cette expérience scientifique de deux milliards de dollars pourrait bouleverser les fondement de la physique des particules, jugent les scientifiques.
La délicate chorégraphie pour transférer l'AMS de 7,5 tonnes de la soute de la navette Endeavour à son point d'attache à sur le côté droit de l'ISS, a duré quatre heures.
AMS tout de suite en fonction
La collecte des données produites par le détecteur a débuté quasiment aussitôt, a précisé la NASA. Les équipes scientifiques de l'AMS travailleront 24 heures sur 24 pour collecter la masse de données aussi longtemps que l'ISS sera sur orbite, soit au moins jusqu'à 2020.
L'AMS "sonde vraiment les fondations de la physique moderne", avait déclaré avant le lancement d'Endeavour le professeur Samuel Ting, du Massachusetts Institute of Technology, prix Nobel de physique et initiateur du projet.
"Mais l'objectif le plus exaltant de l'AMS est d'explorer l'inconnu à la recherche de phénomènes qui existent dans la nature mais que nous ne pouvons pas saisir faute d'instruments ou d'imagination", avait-il ajouté.
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mai 1966
D 21
DISTANCE DE IUMMA, au SOLEIL.
La distance apparente, c'est-à-dire celle que suivrait un faisceau cohérent d'ondes dans l'espace à trois dimensions était le 4 Janvier 1955 de: 14,437 années-lumière.
La distance réelle (distance droite dans l'espace décadimensionnel) était à cette même date, suivant notre mesure: 3,685 années lumières
La première distance est celle utilisée par les astronomes terrestres pour leurs calculs (en dédaignant les courbures de la lumière quand elle traverse des Champs de forte intensité gravitationnelle), une telle distance est "constante" pour deux corps fixes dans l'espace. La seconde distance est une fonction de temps qui se mesure dans un espace de N. dimensions et qui présente une certaine périodicité. Sa mesure est très importante car elle est en relation avec nos voyages galactiques.
25/07/67
D 63
Nous commençons aujourd'hui par les IAGIAAIAOO .
Il s'agit de nébuleuses que vous n'avez pas répertoriées et dont la forme, dans les cas que nous connaissons est annulaire (en réalité toroïde) . Ceux d'entre vous qui ne seraient pas spécialisés dans les thèmes touchant à l'astrophysique auront peut-être une vague idée des diverses nébuleuses étudiées jusqu'ici par les Terriens .
Dans ce cas concret, vous ne devez pas inclure ce type de nébuleuses parmi celles que vous appelez NÉBULEUSES EXTRAGALACTIQUES. Bon nombre de celles-ci sont, comme vous le savez, de véritables Galaxies formées par un nombre élevé d'astres chauds de température élevée. Il existe aussi une multitude immense de nébuleuses beaucoup plus petites que celles qui sont répertoriées et dont la composition, la structure, la température et le rayonnement diffèrent notablement de l'une à l'autre. Dans certains cas il s'agit de conglomérats immenses de petites particules solides, dont le diamètre moyen est de l'ordre de trente centimètres. (Dans ce genre d'étude nous établissons un profil densitométrique qui donne les abondances de ces micrométéorites en fonction de leur calibre).
Dans d'autres cas décelés et analysés par vous, les Nébuleuses sont formées de poussières cosmiques (nous utilisons la terminologie qui vous est familière). Nous sommes persuadés qu'une telle terminologie, utilisée par les scientifiques terrestres, ne s'adapte pas réellement dans certains cas à la réalité.
Ainsi, par exemple, à quelques mille parsecs de la Terre, dans l'axe qui unit votre planète à la constellation du Sagittaire (axe qui passe très près du centre de notre galaxie) existe une nébuleuse dont la plus grande dimension est 0,00017 année-lumière, composée de cristaux d'hélium et d'hydrogène; la dimension moyenne des éléments étant de 0.43 mm.
Dans d'autres cas la structure raréfiée de telles nébuleuses est simplement moléculaire. Le gaz peut-être si raréfié que dans un centimètre cube peut seulement être localisé la valeur moyenne de 26 molécules .
Dans le cas le plus fréquent, les nébuleuses sont des conglomérats de particules solides dont la composition granulométrique s'étend de 0.00003 ENMOO à 0,08 ENMOO (Un ENMOO équivaut à 1,87 mètre terrestre) . (N.D.T : De 0,0581 mm à 14,96 cm ).
Un type de nébuleuse dont les astronomes terrestres subodorent l'existence, tout en ignorant la composition, est formé de grandes masses raréfiées d'ammoniaque à si basse température que les particules sont cristallisées en formant des petits filaments prismatiques. Ces nuages polarisent fortement la lumière.
Dans le cas qui nous intéresse aujourd'hui, et dont nous allons vous parler, il s'agit d'un des corps galactiques qui nous a le plus intrigué dans le temps et à qui nous accordons maintenant une importance transcendantale car son étude nous permet de mesurer ( bien que malheureusement avec une marge d'erreur considérable) les altérations de l'Espace de notre WAAM (cosmos) provoquée par notre UWAAM (cosmos jumeau).
Depuis de nombreux XEE nos experts en Cosmologie avaient localisé une série de
conglomérats nébuleux dont la structure topologique correspondait à la forme d'un anneau ou tore de section elliptique, et très turbulent .
Ces nébuleuses (comme vous les nommez) furent dénommées par nos spécialistes sous le nom de IAGIAAIAOO .
On put rapidement en préciser la composition : Hydrogène à si basse température, proche de l'état d'entropie minimale (que vous appelez le ZÉRO ABSOLU DE LA TEMPÉRATURE). Nos scientifiques, sans être à même de déterminer la température, avaient de bonnes raisons de penser que l'HYDROGENE était à l'état solide sous forme de très petits cristaux. Ceci était déterminé par l'analyse de la lumière qui traversait le milieu; quelques XEE plus tard, YOOGOO 75, fils de YOOGOO 72, découvre la présence d'un faible champ magnétique dont les lignes de force se trouvaient sur des plans perpendiculaires à la Section toroïdale.
Naturellement, l'hypothèse émise immédiatement consistait à considérer que ces particules d'Hydrogène cristallisé étaient ionisées et se déplaçaient en régime laminaire ou en régime turbulent au sein de la Nébuleuse . Dans ces conditions ces particules constituent un flux de particules chargées électriquement, un véritable Courant Électrique créateur de ce Champ Magnétique . Cependant les analyses soigneuses (faites à distance car la plus proche IAGIAAIAOO évaluée en unités terrestres se trouve à quelques 7,884 années-lumière de UMMO) déterminèrent qu'un tel flux de particules n'existait pas. Par contre une série d'étrange phénomènes furent successivement révélés. Par exemple :
le plan de polarisation de la raie D du Sodium était polarisé d'un angle de 0,8 radians et par contre toute autre longueur d'onde lumineuse n'était pas polarisée. De plus, au sein de la nébuleuse furent localisés des conglomérats lenticulaires de grande densité qui irradiaient fortement des trains d'ondes gravitationnelles de fréquence /5833 Kilocycles par seconde (Ndt: il y a bien un "/" devant 5833). En échange, il ne fut pas possible de détecter à aucun niveau d'intensité le moindre signal d'émission radioélectrique. Tout ce que nous savions sur de telles nébuleuses était dû au passage en leur sein d'émissions lumineuses et Électromagnétiques provenant d'autres Astres et Conglomérats galactiques. Même si le comportement de ces IAGIAAIAOO était finalement peu surprenant, on découvrit vite que le champ magnétique, qui d'ordinaire se maintenait en plans perpendiculaires au Toroïde même, se modifiait brusquement, son plan se mettant à osciller sans que son intensité varie, sous une forme apériodique et apparemment anarchique. Ensuite, l'oscillation diminuait jusqu'à disparaître définitivement.
Ce fut UDII 24, fils de UDII 28, qui découvrit avec surprise que ces variations dans le plan du champ magnétique apparaissaient quelques mois après que se soient produites une de ces énormes courbures de l'espace tridimensionnel qui sont provoquées par le UUWAAM (COSMOS JUMEAU), et qui, comme vous le savez par diverses informations antérieures, sont utilisées par nos Vaisseaux pour se déplacer dans d'autres points de notre Galaxie avec des durées qui, sous une autre forme ou en utilisant la ligne droite dans l'Espace Tridimensionnel, nécessiteraient de si grandes durées qu'il ne nous serait pas possible de songer à les franchir. Régulièrement, de telles altérations magnétiques se succédaient tous les deux XEE (0, 42 années approximativement) après que nous ayons enregistré de telles distorsions tétradimensionnelles.
A ce moment là notre technologie commençait à initier les premiers balbutiements (après la sensationnelle découverte qui nous permit d'inverser l'orientation des IBOZOO UU) en ce qui concerne les voyages galactiques à de grandes distances.
Ces Nébuleuses comme on dit constituent de véritables organes qui entrent en RÉSONANCE syntonisante avec les premiers symptômes de torsion spatiale.
Comment ces Nébuleuses sont-elles capables d'être sensibles à un phénomène qui affecte rien moins que la trame de l'espace pluridimensionnel ? Dans un prochain rapport nous apporterons plus d'informations sur ce problème. Il nous reste seulement à vous exhorter maintenant à ce que les Spécialistes en astrophysique prêtent une attention spécialissime à ces nébuleuses qui, bien que petites dans la grande échelle de notre cosmos et d'impossible localisation par vos Instruments Optiques et Radiotélescopiques actuels sur Terre, ne tarderont pas à être localisées par vous.
http://www.romandie.com/news/n/ISS_le_s ... 112105.asp
http://www.ummo-sciences.org/fr/index-o.htm