ALLIANCE GALACTIQUE

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Marc
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Message par Marc »

Bonjour Gaga, pour ma part, pas besoin de footing avec le dernier jour de repos samedi dernier, parce que c'était férié, et le prochain dans 15 jours ou 3 semaines, en bossant debout avec beaucoup d'allées et venues... :cry:
suis un esclave des temps "modernes"... :mrgreen:
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Marc
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31/12/2010

Les prix de l'essence au plus haut depuis deux ans

Les prix des carburants à la pompe ont encore augmenté la semaine dernière, atteignant de nouveaux plus hauts depuis l'automne 2008, portés par la flambée des cours du pétrole brut, selon les chiffres publiés par la Direction générale de l'Énergie et du Climat (DGEC).

Le gazole s'est vendu la semaine dernière au prix moyen de 1,2325 euro par litre toutes taxes comprises, soit son plus haut niveau depuis la semaine du 10 octobre 2008, selon le site internet de la DGEC.

Le super sans-plomb 95 s'est lui vendu à 1,4134 euro/litre, un sommet depuis la semaine terminée le 12 septembre 2008.

Quant au super sans-plomb 98, il coûtait 1,4497 euro/litre en moyenne et n'a jamais été aussi cher depuis la semaine terminée le 12 septembre 2008.

Les prix à la pompe sont soutenus par l'envolée des cours du brut qui ont atteint un plus haut niveau depuis le 2 octobre 2008 vendredi dernier à Londres, avec un baril de Brent à 94,74 dollars.

Les prix à la pompe se rapprochent peu à peu de leurs records historiques, de 1,4541 euro/litre pour le gazole (atteint en mai 2008) et de 1,4971 euro/litre (en juin 2008) pour le SP 95, et de 1,5326 pour le SP 98 (en juin 2008).

Les prix de la DGEC sont des prix moyens calculés sur le territoire national, qui peuvent donc varier d'un jour à l'autre ou d'une station-service à l'autre.

http://www.lexpansion.com/entreprise/le ... 46161.html
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Marc
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Message par Marc »

31/12/2010

2010, année record pour les matières premières

Métaux, sucre, coton, caoutchouc, or, pétrole... les records n'ont cessé de se bousculer au second semestre, et jusque dans les derniers jours de décembre.


Des denrées alimentaires aux métaux de base, les cours des matières premières terminent 2010 sur une série de records, après s'être envolés cette année, dopés par la faiblesse du dollar, la croissance chinoise, l'appétit des spéculateurs et une raréfaction de l'offre.

Métaux, sucre, coton, caoutchouc, or... les records n'ont cessé de se bousculer au second semestre, et jusque dans les derniers jours de décembre.

Le cuivre est grimpé cette semaine jusqu'à plus de 9.600 dollars la tonne, un sommet historique. A l'image des cours du métal rouge, qui ont triplé en deux ans, d'autres métaux industriels ont décollé cette année: le nickel a progressé de 30% et l'étain -- monté en novembre à un prix jamais vu -- de 60%.

A la demande industrielle des pays émergents et de la Chine, premier consommateur mondial de métaux de base, s'ajoute un appétit accru des investisseurs spéculatifs, qui anticipent l'introduction de produits boursiers (les ETF) adossés à des stocks physiques de métaux. En face, la production est à la peine: ainsi, les déboires au Chili de la troisième plus grosse mine de cuivre du monde, paralysée par une grève puis la fermeture d'un port, ont exacerbé les tensions. De plus, l'affaiblissement du dollar rend plus attractives les matières premières libellées dans cette devise.

Voracité chinoise et production en berne, pénalisée par des pluies en Asie du sud-est : voilà encore le cocktail qui explique l'envolée des cours du caoutchouc, très prisé dans l'automobile, à des niveaux historiques.

Les prix des denrées alimentaires ont quant à eux été stimulés par des conditions météorologiques très défavorables aux récoltes. Outre la canicule estivale en Russie, le phénomène climatique "la Niña" est montré du doigt: on lui attribue des inondations en Australie et au Pakistan, des pluies désastreuses dans le nord de l'Amérique latine, et un temps excessivement sec au Brésil et en Argentine, tous d'importants producteurs.

Après un embargo de la Russie sur ses exportations, les prix du blé ont bondi d'environ 80% entre juin et début août, au plus haut depuis deux ans, avant de refluer. Sur l'année, ils ont doublé. Dans leur sillage, maïs et soja ont terminé 2010 à leur meilleur niveau depuis août 2008.

Le sucre n'est pas en reste : les récoltes au Brésil et en Australie attisent les inquiétudes des acheteurs, suspendus à d'éventuelles exportations de l'Inde, deuxième producteur de la planète. Résultat, le sucre brut a grimpé de 140% depuis juin à New York pour atteindre cette semaine un pic depuis trente ans.

Quelques jours auparavant, le prix de la livre d'arabica bondissait à un sommet en 13 ans, après un gain de plus de 80% en six mois, porté par des craintes sur la production d'Amérique centrale et de Colombie.

Victime aussi d'aléas météorologiques, le jus d'orange a atteint son plus haut niveau en plus de trois ans mi-décembre à New York, alors que le gel menace les cultures d'agrumes de Floride.

La spéculation joue par ailleurs un rôle croissant: un fonds britannique a ainsi accaparé en juillet la quasi-totalité du cacao disponible à Londres, poussant les prix à un niveau record en 33 ans.

De son côté, le coton, pâtissant de perspectives de récoltes médiocres aux Etats-Unis, premier pays exportateur, est monté avant Noël à un prix jamais vu depuis la Guerre de Sécession américaine, il y a un siècle et demi.

Les prix du pétrole, là encore dopés par la consommation chinoise, achèvent de même l'année en grande forme, le baril ayant franchi en décembre le seuil des 90 dollars à Londres comme à New-York pour la première fois depuis octobre 2008, avec en ligne de mire la barre des 100 dollars en 2011.

Enfin, l'or brille plus que jamais: son rôle de valeur refuge l'a fait voler de record en record, engrangeant 25% sur l'année, tandis que l'argent, au plus haut depuis trente ans, a progressé de 83%.

http://www.lexpansion.com/economie/2010 ... 46178.html

On ne sais pas trop où on va, mais on y va... :?

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Marc
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Message par Marc »

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Re: ALLIANCE GALACTIQUE

Message par Marc »

Constitution de l’An I - Première République - France, 24 juin 1793

Déclaration des droits de l'homme et du citoyen


Article 35. Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l'insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs.

------------------------
2010

Combien gagnent les plus grands chefs d’État de la planète ?


Celui qui pense que l’homme d’État le plus puissant du monde est celui qui gagne le plus d’argent, a tout faux !

En effet, Barack Obama gagne un gros 4 millions € par an soit à peine le cinquième de ce que reçoit chaque année le premier ministre et magnat des médias italiens, Silvio Berlusconi, leader aussi dans ce domaine. Mais pour combien de temps encore ?

1. Silvio Berlusconi: 23.000.000 €/an
2. Barack Obama: 4.267.836 €/an
3. Herman Van Rompuy: 385.542 €/an
4. Nicolas Sarkozy: 253.600 €/an
5. David Cameron: 238.180 €/an
6. Angela Merkel: 220.000 €/an
7. Yury Luzhkov: 201.639 €/an
8. Yves Leterme: 200.000 €/an
9. Ban Ki-Moon: 176.165 €/an
10. Désiré Delano Bouterse: 112.890 €/an
11. Vladimir Poutine: 98.277 €/an
12. Geert Wilders: 94.757 €/an
13. José Luis Rodríguez Zapatero: 91.982 €/an
14. Dimitri Medvedev: 84.267 €/an
15. Susilo Bambang Yudhoyono: 64.825 €/an
16. Recep Tayyip Erdoğan: 56.977 €/an
17. Robert Mugabe: 13.953 €/an
18. Hamid Karzai: 4.884 €/an

Source : loonwijzer.nl

http://content.jobat.be/fr/articles/com ... la-planete

"Quand le dernier arbre sera abattu,
La dernière rivière empoisonnée,
Le dernier poisson pêché,
Alors vous découvrirez
Que l’argent ne se mange pas."

Proverbe Crees (Indiens du Canada)

Vivre tous simplement pour que tous puissent simplement vivre. Gandhi.
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AJA
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Message par AJA »

la création est une symphonie dont nous sommes les musiciens , mais que signifie-t-elle sans son compositeur source de toute Vie ?
hypercube

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Message par hypercube »

Bonne année a tous :D
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Marc
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Re: ALLIANCE GALACTIQUE

Message par Marc »

12/12/2010

2010 : rechute du capitalisme, émergence des contre-pouvoirs

Après une année 2008 cataclysmique, une année 2009 où l'on crut la maladie stabilisée, le système flageolant claironna que l'année 2010 consacrerait son lent rétablissement. C'est le contraire qui se passa : une rechute grave pour un capitalisme à l'agonie. Tandis que dans l'ombre, la résistance…

Union européenne en berne, reprise rachitique, social sacrifié

Le symptôme le plus frappant en fut la désagrégation inexorable de l'Union Européenne (UE). Car il n'y a plus d'UE que dans l'imagination fiévreuse de ses dirigeants déboussolés.

Incapables de prendre la moindre mesure collective sérieuse, recroquevillés sur leurs intérêts particuliers, serrant les fesses et fermant les yeux, tous espèrent échapper au gadin général qui frappe déjà la Grèce, l'Irlande, le Portugal, l'Espagne…Pendant ce temps-là, un peu partout :

* reprise rachitique achetée à prix d'or par encore plus d'endettement public ;

* retour de bâton marquant la fin des plans de relance (cf. les effets de l'arrêt des primes à la casse dans les filières automobiles) ;

* chômage toujours galopant, quoi qu'ils en disent (France, octobre 2010 : 20 300 chômeurs officiellement inscrits en moins… mais 36 400 personnes radiées de Pôle emploi le même mois ! )

Naufrage des sommets internationaux et de l'espoir Obama

Ce n'est pourtant pas faute, pour nos maîtres du monde, de se réunir à qui mieux mieux. De conciliabules deauvillais intimistes en G20 de Séoul foireux, de Copenhague désastreux en Cancun désolant, ils n'ont pas lésiné sur les pince-fesse médiatiques placebos.

Pour quoi ? Pour rien, encore du vent ! A peine foutus de pondre de vagues déclarations communes d'intention a minima, c'est-à-dire repoussant systématiquement aux calendes grecques toute décision concrète.

Un d'entre eux se sera fichtrement distingué dans la grande débandade de 2010 : Obama « we can », proprement mouché lors d'élections intermédiaires. Que reste-t-il de l'espoir que notre beau parleur avait suscité ? Des mots oubliés, des réformes vidées de tout contenues, quelques futures nouvelles colonies israéliennes au Proche-Orient, du vent !

Doivent bien se marrer, là-haut, les martiens, à contempler l'agitation affolée de nos tout petits puissants. Mais d'ici bas, c'est beaucoup moins rigolo : la planète court à l'« écocide », s'alarme le bolivien Morales devant l'enlisement du dernier sommet de Cancun.

Pays en marge contre machineries mondialisées

Avec quelques autres pays latino-américains, la Bolivie fait partie de ces quelques lueurs d'espoirs qui viennent éclairer notre horizon si chargé. Le président Morales ne s'est-il pas offert le luxe de ramener l'âge de la retraite de 65 à 58 ans, quand nous nous déchirions à rallonger l'échéance de la nôtre ?

D'autres pays se tiennent résolument à l'écart du tohu-bohu général et de cette illusion d'optique qui voudrait que toute solution à la Grande Crise ne puisse être que mondialisée.

Ainsi de la Hongrie qui baffe le FMI. Et de cette Islande qui renaît doucement de ses cendres volcaniques et financières, après avoir renvoyé balader, sous pression d'un référendum populaire, les instances financières internationales éberluées.
Robin des bois du web

On ne saurait terminer ce tour d'horizon sans mentionner la montée en puissance des réseaux Internet. Nouveaux contre-pouvoirs redoutables contre le joug désastreux du capitalisme aux abois, seuls supports d'informations dignes de ce nom, lieux en devenir d'échange d'idées et de trocs que l'argent des gredins ne parvient pas à mettre sous sa coulpe.

Les esprits étriqués, les à-quoi-bonistes vaincus d'avance et les panicarts invétérés gloseront à l'infini sur les limites supposées de l'outil face au rouleau-compresseur du système.

Mais les réactions convulsives de celui-ci montrent que les coups portés par les WikiLeaks and co ont été suffisamment rudes pour ébranler ses certitudes et mettre à nu son insigne fragilité.

Rappelons-nous aussi que ce n'est pas le cupide roi Jean d'Angleterre (1166-1216) qui marqua l'Histoire. Mais bel et bien Robin des bois. Lequel sut mettre les seigneurs du moment face à ce qu'ils craignent le plus : la perte de crédibilité, le ridicule, la risée plébéienne…

-------------------------------------------------

"Doivent bien se marrer, là-haut, les martiens [ les Oummains, et ils ne se marrent pas, ils sont tristes pour nous ], à contempler l'agitation affolée de nos tout petits puissants. Mais d'ici bas, c'est beaucoup moins rigolo : la planète court à
l'« écocide », s'alarme le bolivien Morales devant l'enlisement du dernier sommet de Cancun."

Et parlons aussi "éconocide"
------------------------------------------------

Dette publique de la France :

Paramètres du compteur (estimations mises à jour 2010-02-06) :
Dette française à fin 2004 : 1 076,9 milliards d'euros, soit 64,9 % du PIB (INSEE)
Dette française à fin 2005 : 1 145,4 milliards d'euros, soit 66,4 % du PIB (INSEE)
Dette française à fin 2006 : 1 149,9 milliards d'euros, soit 63,6 % du PIB (INSEE)
Dette française à fin 2007 : 1 209,5 milliards d'euros, soit 63,9 % du PIB (INSEE)
Dette française à fin 2008 : 1 327,1 milliards d'euros, soit 68 % du PIB (INSEE)
Dette française à fin 2009 : 1 500,8 milliards d'euros, soit 77,9 % du PIB
Déficit public français 2010 : 173,7 milliards d'euros (soit 5508 euros par seconde)
Population fin 2009 : 64 667 000 (INSEE)
Population fin 2010 : 65 013 000

http://www.rue89.com/yeti-voyageur/2010 ... irs-180280

http://cluaran.free.fr/dette.html
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Marc
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Message par Marc »

2010

La dette publique française

À cet instant, la dette publique française est de [ compteur ] € (estimation basée sur les chiffres des dernières années)

Et non, ce n'est malheureusement pas un gag. C'est bien une dette de plus de 1000 milliards d'euros que la France, à l'instar de beaucoup d'autres pays, a accumulé au cours des années. Ce chiffre est tellement hallucinant qu'il faut le comparer à d'autres pour en prendre la mesure:

De nos jours, les experts de tous bords préfèrent le comparer au PIB, le produit intérieur brut: Fin 2004, la dette publique était l'équivalent de 2/3 des ressources produites en France (Non, il n'y a toujours pas de coquille dans ce document). Si on regarde les valeurs brutes, sans en déduire les augmentations du PIB, c'est pire. La dette représente aujourd'hui 4 fois le buget annuel de l'état!

Chaque année, la dette coûte environ 50 milliards d'euros: C'est l'équivalent de 20% du budget de l'état, soit 89% de l'impôt sur le revenu ou encore 140% de l'impôt sur les sociétés qui sert à payer les intérêts de la dette nationale. Pas la dette, hein! Juste les intérêts. Malgré les avertissements répétés de Bruxelles, et des taux d'intérêts qui ont rarement été aussi bas, les choses empirent chaque année. Mais selon la formule consacrée, jusque là, tout va bien…[madame la Marquise... :mrgreen: ]

Si on ramène ce chiffre à la population française, à la naissance, un petit français doit donc déjà 18 000 € [ bientôt 26 000 actuellement :? ] à différents "investisseurs"! Ça commence mal pour lui, mais on ne va pas lui confisquer sa tétine… enfin, pour le moment… Après tout, je m'en fous, j'ai pas de mômes. Ça m'est égal que les futures générations passent leurs vies à rembourser les délires de leurs ancêtres. J'espère que vous aussi, vous en profitez bien, hein! Par ce que ça serait quand même assez comique de leur imposer ça pour des prunes.


28/12/2010

La dette publique recule…
en trompe-l'œil


Si le gouvernement prévoit de réduire de manière drastique le déficit public l'an prochain, le reflux de la dette n'est pas pour tout de suite.

La dette de l'Hexagone qui reflue au troisième trimestre ? C'est ce que l'on pourrait croire de prime abord à la lecture des chiffres d'endettement publiés hier par l'Insee. La dette publique (État, Sécurité sociale et collectivités locales) a reculé de 17 milliards au troisième trimestre et représentait 1 574,6 milliards d'euros fin septembre. Elle atteignait ainsi, selon les critères de Maastricht, environ 81,5 % du PIB - un chiffre amélioré de 1,4 point par rapport au deuxième trimestre, où le record de 82,9 % avait été établi.

Mais à y regarder de plus près, la France n'est pas soudainement devenue vertueuse en un trimestre sur le plan des finances publiques. Les chiffres publiés hier résultent d'«un effet purement technique de trésorerie», admet-on à Bercy.

La dette de l'État a diminué de 14,1 milliards au troisième trimestre, «en raison d'une forte baisse (- 34,4 milliards) de la trésorerie qui avait été accumulée au cours de la première moitié de l'année : celle-ci permet des remboursements importants de titres de créances», indique l'Insee.

«Le chiffre de fin septembre est un mouvement qui correspond simplement au fait que les nouvelles émissions de dette par l'Agence France Trésor ont été plus faibles que les remboursements effectués», précise l'entourage de la ministre de l'Économie, Christine Lagarde.

Un pic à 87,4 % du PIB en 2012

En dehors de ce mouvement en trompe-l'œil de la situation financière de l'État, aucune amélioration n'est à constater. L'endettement des administrations de Sécurité sociale continue d'augmenter, progressant de 7,4 milliards - dont 5,6 milliards pour le régime général. Celui de l'Unedic et celui des hôpitaux augmentent tous les deux de 800 millions. Et la dette des régimes agricoles s'accroît de 200 millions. Quant à la contribution des administrations publiques locales, elle se stabilise.

Si le gouvernement prévoit de réduire de manière drastique le déficit public l'an prochain, le reflux de la dette n'est pas pour tout de suite. Selon le programme pluriannuel de Bercy, celle-ci devrait continuer de grimper à 86,2 % en 2011 avant d'atteindre un pic historique à 87,4 % en 2012 puis de refluer à 86,8 % en 2013 et 85,3 % en 2014.

http://www.nirgal.com/wakeup/dette

http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2010 ... -339il.php

Bonne année Hypercube, a condition de ne pas trop réfléchir :geek: :mrgreen:
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AJA
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Re: ALLIANCE GALACTIQUE

Message par AJA »

douce nuit noble frère aimé '(*_*)'
la création est une symphonie dont nous sommes les musiciens , mais que signifie-t-elle sans son compositeur source de toute Vie ?
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