Re: ALLIANCE GALACTIQUE
Posté : 09 nov. 2010, 12:37
Bonjour tous les mondes
Bonjour toutes et tous, et nobles frères en cette vie comme dans les autres
Très sympa le poème Gaga...
-----------
09/11/10
Les Français de plus en plus pauvres
Près d'1,5 million de personnes ont eu recours à l'aide du Secours catholique en 2009, un nombre en augmentation compte tenu de la crise économique.
C'est un groupe bigarré, composé de chômeurs, d'étrangers sans ressources mais aussi de salariés, environ 1,5 million de personnes qui ont eu recours à l'aide du Secours catholique en 2009. Le rapport annuel de l'association publié mardi relève un point commun à toutes ces personnes : l'extrême faiblesse de leurs ressources, insuffisantes pour faire face aux dépenses courantes, encore plus aux dépenses imprévues.
En 2009, pour la seconde année consécutive, le nombre de personnes accueillies par les 63.000 bénévoles du Secours catholique a progressé et atteint 1,48 million, soit 80.000 personnes de plus qu'en 2008. « Toutes ces personnes en difficultés ne sont pas de mauvais gestionnaires », souligne Pierre Levené, secrétaire général du Secours catholique: c'est « l'insuffisance de leurs ressources, absolument criante », qui est en cause.
Un revenu mensuel médian à 759 euros
Même si les prix se sont stabilisés en 2009, « l'augmentation des revenus n'a pas compensé les hausses de prix intervenues précédemment », poursuit le rapport.
En décortiquant les budgets de 1.163 ménages vivant non pas dans la grande exclusion mais dans une « pauvreté ordinaire », le Secours catholique évalue le revenu mensuel médian à 759 euros hors aides au logement. Les dépenses incompressibles -loyers, énergie, eau, mutuelles et assurances, impôts, transports, scolarité- représentent 515 euros, soit 68% du budget, les dépenses de la vie courante (alimentation et habillement) 265 euros. A la fin du mois les comptes sont déjà dans le rouge (-21 euros). Mais il reste encore à financer, souvent par le crédit, les dépenses imprévues (pannes, problème de santé) et les dépenses « souples » (entretien du logement, du véhicule, loisirs), que l'on peut retarder. Le solde plonge alors à -141 euros. « Beaucoup de ces ménages sont dans des situations de surendettement. Ensuite c'est l'accumulation et un cercle vicieux duquel ils ne peuvent jamais sortir complètement », explique Pierre Levené.
http://www.francesoir.fr/social/les-fra ... vres.51550

Bonjour toutes et tous, et nobles frères en cette vie comme dans les autres

Très sympa le poème Gaga...

-----------
09/11/10
Les Français de plus en plus pauvres
Près d'1,5 million de personnes ont eu recours à l'aide du Secours catholique en 2009, un nombre en augmentation compte tenu de la crise économique.
C'est un groupe bigarré, composé de chômeurs, d'étrangers sans ressources mais aussi de salariés, environ 1,5 million de personnes qui ont eu recours à l'aide du Secours catholique en 2009. Le rapport annuel de l'association publié mardi relève un point commun à toutes ces personnes : l'extrême faiblesse de leurs ressources, insuffisantes pour faire face aux dépenses courantes, encore plus aux dépenses imprévues.
En 2009, pour la seconde année consécutive, le nombre de personnes accueillies par les 63.000 bénévoles du Secours catholique a progressé et atteint 1,48 million, soit 80.000 personnes de plus qu'en 2008. « Toutes ces personnes en difficultés ne sont pas de mauvais gestionnaires », souligne Pierre Levené, secrétaire général du Secours catholique: c'est « l'insuffisance de leurs ressources, absolument criante », qui est en cause.
Un revenu mensuel médian à 759 euros
Même si les prix se sont stabilisés en 2009, « l'augmentation des revenus n'a pas compensé les hausses de prix intervenues précédemment », poursuit le rapport.
En décortiquant les budgets de 1.163 ménages vivant non pas dans la grande exclusion mais dans une « pauvreté ordinaire », le Secours catholique évalue le revenu mensuel médian à 759 euros hors aides au logement. Les dépenses incompressibles -loyers, énergie, eau, mutuelles et assurances, impôts, transports, scolarité- représentent 515 euros, soit 68% du budget, les dépenses de la vie courante (alimentation et habillement) 265 euros. A la fin du mois les comptes sont déjà dans le rouge (-21 euros). Mais il reste encore à financer, souvent par le crédit, les dépenses imprévues (pannes, problème de santé) et les dépenses « souples » (entretien du logement, du véhicule, loisirs), que l'on peut retarder. Le solde plonge alors à -141 euros. « Beaucoup de ces ménages sont dans des situations de surendettement. Ensuite c'est l'accumulation et un cercle vicieux duquel ils ne peuvent jamais sortir complètement », explique Pierre Levené.
http://www.francesoir.fr/social/les-fra ... vres.51550