ALLIANCE GALACTIQUE
Modérateur : Admin
Re: ALLIANCE GALACTIQUE
22.10.10
L'homme, un singe comme les autres
L'homme descend-il du singe ? Non ! nous répond Pascal Picq, l'homme fait partie des singes. Le paléoanthropologue s'attaque avec vigueur et humour aux idées reçues, armé de son feutre bleu et de son tableau blanc.
http://www.lemonde.fr/planete/video/201 ... _3244.html
L'homme, un singe comme les autres
L'homme descend-il du singe ? Non ! nous répond Pascal Picq, l'homme fait partie des singes. Le paléoanthropologue s'attaque avec vigueur et humour aux idées reçues, armé de son feutre bleu et de son tableau blanc.
http://www.lemonde.fr/planete/video/201 ... _3244.html
Re: ALLIANCE GALACTIQUE
NOTRE COMBAT N'EST PAS RÉCENT , '(*_*)'
ET CE N"EST PAS QUELQUES SERVITEURS DES FORCES ENTROPIQUES , QUI VONT NOUS EMPÊCHER DE REJOINDRE LA GRANDE FAMILLE , A LAQUELLE NOUS APPARTENONS DANS LES RÉELLES VALEURS DE LA VIE
ET CE N"EST PAS QUELQUES SERVITEURS DES FORCES ENTROPIQUES , QUI VONT NOUS EMPÊCHER DE REJOINDRE LA GRANDE FAMILLE , A LAQUELLE NOUS APPARTENONS DANS LES RÉELLES VALEURS DE LA VIE
la création est une symphonie dont nous sommes les musiciens , mais que signifie-t-elle sans son compositeur source de toute Vie ?
Re: ALLIANCE GALACTIQUE
la création est une symphonie dont nous sommes les musiciens , mais que signifie-t-elle sans son compositeur source de toute Vie ?
Re: ALLIANCE GALACTIQUE
24 octobre 2010
La faille d'Haïti encore capable de provoquer un violent séisme
Le séisme qui a frappé Haïti le 12 janvier 2010 a certes été dévastateur mais n'a pas relâché toutes les tensions accumulées au fil des ans le long d'une faille sismique bien connue, qui présente toujours un danger important pour la capitale, Port-au-Prince, selon une étude américaine.
Ce puissant tremblement de terre, d'une magnitude de 7 et dont l'épicentre a été localisé à seulement 25 km de la capitale, a fait plus de 250.000 morts.
Son origine a été attribuée à la faille de l'Enriquillo-Plantain Garden (EPGF), bien identifiée mais dont le fonctionnement est encore mal compris, qui avait déjà provoqué deux séismes de magnitude similaire en 1751 et 1770.
Cette faille complexe, longue de 270 km, court le long de l'étroite péninsule occidentale de l'île d'Hispaniola, deuxième plus grande île des Antilles, qu'Haïti partage avec la République dominicaine.
Mais selon une équipe de géologues dirigée par Carole Prentice, de l'US Geological Survey de Menlo Park, en Californie, le rôle de l'EPGF dans ce séisme est plus compliqué qu'il y paraît.
Relevés terrestres, photos aériennes, observations satellites: les chercheurs ont examiné en détail la surface de l'île au-dessus de cette faille, à la recherche de traces laissées par le séisme. Mais s'ils ont trouvé de multiples preuves laissées par les secousses du 18e siècle (failles, soulèvement de terrain, cours d'eau détournés...), aucune n'a pu être attribuée au séisme du 12 janvier 2010.
Ce cas de figure n'est pas unique dans l'histoire de la sismologie, mais il est d'autant plus rare et surprenant que le tremblement de terre était puissant et proche de la surface.
Le séisme a pu être causé par une autre faille proche, non identifiée, ou alors par l'EPGF mais à une grande profondeur.
Quelle que soit l'explication, les observations et les modélisations informatiques réalisées par les géologues pour tenter d'expliquer ce phénomène laissent penser que le séisme de janvier n'a pas suffi à évacuer toutes les tensions telluriques qui se sont accumulées à la surface de cette faille depuis les précédentes secousses, il y a 250 ans.
La faille l'Enriquillo-Plantain Garden «reste un grave danger sismique pour Haïti, en particulier pour la région de Port-au-Prince», met en garde l'étude, publiée par le journal Nature Geoscience.
L'inquiétude est particulièrement vive concernant une bande de 110 km qui passe juste au sud de la capitale, entre le lac Miragoane, à l'ouest, et Dumay à l'est.
Ces sections de la faille sont capables de générer un séisme qui pourrait créer dans cette zone urbanisée des secousses encore plus violentes en surface que lors du 12 janvier, avertissent les auteurs.
http://www.cyberpresse.ca/sciences/2010 ... seisme.php
Les photos sont dures, il y a pire,
reconstruire oui, mais de grâce, surtout pas comme avant !
Vivre tous simplement, pour que tous puissent simplement vivre. Gandhi.
La faille d'Haïti encore capable de provoquer un violent séisme
Le séisme qui a frappé Haïti le 12 janvier 2010 a certes été dévastateur mais n'a pas relâché toutes les tensions accumulées au fil des ans le long d'une faille sismique bien connue, qui présente toujours un danger important pour la capitale, Port-au-Prince, selon une étude américaine.
Ce puissant tremblement de terre, d'une magnitude de 7 et dont l'épicentre a été localisé à seulement 25 km de la capitale, a fait plus de 250.000 morts.
Son origine a été attribuée à la faille de l'Enriquillo-Plantain Garden (EPGF), bien identifiée mais dont le fonctionnement est encore mal compris, qui avait déjà provoqué deux séismes de magnitude similaire en 1751 et 1770.
Cette faille complexe, longue de 270 km, court le long de l'étroite péninsule occidentale de l'île d'Hispaniola, deuxième plus grande île des Antilles, qu'Haïti partage avec la République dominicaine.
Mais selon une équipe de géologues dirigée par Carole Prentice, de l'US Geological Survey de Menlo Park, en Californie, le rôle de l'EPGF dans ce séisme est plus compliqué qu'il y paraît.
Relevés terrestres, photos aériennes, observations satellites: les chercheurs ont examiné en détail la surface de l'île au-dessus de cette faille, à la recherche de traces laissées par le séisme. Mais s'ils ont trouvé de multiples preuves laissées par les secousses du 18e siècle (failles, soulèvement de terrain, cours d'eau détournés...), aucune n'a pu être attribuée au séisme du 12 janvier 2010.
Ce cas de figure n'est pas unique dans l'histoire de la sismologie, mais il est d'autant plus rare et surprenant que le tremblement de terre était puissant et proche de la surface.
Le séisme a pu être causé par une autre faille proche, non identifiée, ou alors par l'EPGF mais à une grande profondeur.
Quelle que soit l'explication, les observations et les modélisations informatiques réalisées par les géologues pour tenter d'expliquer ce phénomène laissent penser que le séisme de janvier n'a pas suffi à évacuer toutes les tensions telluriques qui se sont accumulées à la surface de cette faille depuis les précédentes secousses, il y a 250 ans.
La faille l'Enriquillo-Plantain Garden «reste un grave danger sismique pour Haïti, en particulier pour la région de Port-au-Prince», met en garde l'étude, publiée par le journal Nature Geoscience.
L'inquiétude est particulièrement vive concernant une bande de 110 km qui passe juste au sud de la capitale, entre le lac Miragoane, à l'ouest, et Dumay à l'est.
Ces sections de la faille sont capables de générer un séisme qui pourrait créer dans cette zone urbanisée des secousses encore plus violentes en surface que lors du 12 janvier, avertissent les auteurs.
http://www.cyberpresse.ca/sciences/2010 ... seisme.php
Les photos sont dures, il y a pire,
reconstruire oui, mais de grâce, surtout pas comme avant !
Vivre tous simplement, pour que tous puissent simplement vivre. Gandhi.
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Re: ALLIANCE GALACTIQUE
Modifié en dernier par AJA le 25 oct. 2010, 21:45, modifié 1 fois.
la création est une symphonie dont nous sommes les musiciens , mais que signifie-t-elle sans son compositeur source de toute Vie ?
Re: ALLIANCE GALACTIQUE
17 août 2010
L'accès à l'eau potable et à l'assainissement, un nouveau droit de l'homme ?
Premières analyses
L’Assemblée Générale des Nations-Unies a adopté en date du mercredi 28 juillet 2010 une résolution reconnaissant l’accès à l’eau potable et à l’assainissement comme un droit humain.
Cette résolution adoptée par 122 voix pour, 0 voix contre et 41 abstentions, (émanant de pays développés pour la plupart, à l’exception de l’Allemagne et l’Espagne) marque une étape importante dans le combat que mène de nombreuses organisations et certains Etats depuis une quinzaine d’années afin que l’accès à l’eau soit considéré comme un droit fondamental de l’homme.
S’il est vrai, comme nous le verrons, que de nombreux textes relatifs aux droits de l’homme soulignent déjà implicitement l’importance de l’eau potable, force est cependant d’affirmer que la résolution A/64/L.63/Rev.1 est le premier instrument juridique international qui reconnait explicitement « le droit à une eau potable salubre et propre [comme étant] un droit fondamental, essentiel au plein exercice du droit à la vie et de tous les droits de l’homme ».
Pour asseoir la pertinence de ce texte et justifier son adoption, de nombreux Etats sous la houlette du Nicaragua, ont à juste titre rappelé « qu’environ 884 millions de personnes n’ont pas accès à une eau potable salubre et que plus de 2,6 milliards de personnes n’ont pas accès à des services d’assainissement de base ». Bien plus, les Etats signataires ont noté « avec inquiétude que près de 1,5 million d’enfants âgés de moins de 5 ans meurent et 443 millions de jours d’école sont perdus chaque année du fait de maladies d’origine hydrique ou liées à l’absence de services d’assainissement ».
Dès lors, on comprend mieux l’espoir que fait naître l’adoption d’une telle résolution. L’ancienne conseillère des Nations-Unies pour les questions relatives à l’eau, Maude Barlow n’a d’ailleurs pas hésité à déclarer à l’AFP que c’était « un jour historique pour le monde, un grand pas » dans la perspective d’un traité portant sur l’eau. Dans la même lancée, la secrétaire d’Etat à l’écologie Chantal Jouanno (France) s’est réjouie de cette décision qu’elle considère comme une « avancée historique » qui permettra espère-t-elle, de replacer le droit à l’eau potable et à l’assainissement en tête des priorités des Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD).
Il convient cependant, au-delà de ce florilège de satisfactions, de soumettre cette résolution au crible d’une analyse sans concession, afin de dégager sa portée.
1. Du prétendu nouveau droit humain
Si l’importance que constitue l’eau pour l’être humain n’est plus à demontrer , sa reconnaissance juridique et partant sa justiciabilité demeurent sujettes à débat.
A l’analyse, l’accès à l’eau potable comme droit est –implicitement- enchâssé dans plusieurs droits humains canonisés par de nombreux textes internationaux. Analysons quelques uns.
[...
La mise en application des obligations contractées par les États demeure donc tributaire d’une réelle volonté politique qui ne faut cesser d’aiguillonner. D’où l’urgence de maintenir la pression et les actions de lobbying sur les gouvernants et les organisations onusiennes.
http://www.alternatives.ca/fra/journal- ... ble-et-a-l
L'accès à l'eau potable et à l'assainissement, un nouveau droit de l'homme ?
Premières analyses
L’Assemblée Générale des Nations-Unies a adopté en date du mercredi 28 juillet 2010 une résolution reconnaissant l’accès à l’eau potable et à l’assainissement comme un droit humain.
Cette résolution adoptée par 122 voix pour, 0 voix contre et 41 abstentions, (émanant de pays développés pour la plupart, à l’exception de l’Allemagne et l’Espagne) marque une étape importante dans le combat que mène de nombreuses organisations et certains Etats depuis une quinzaine d’années afin que l’accès à l’eau soit considéré comme un droit fondamental de l’homme.
S’il est vrai, comme nous le verrons, que de nombreux textes relatifs aux droits de l’homme soulignent déjà implicitement l’importance de l’eau potable, force est cependant d’affirmer que la résolution A/64/L.63/Rev.1 est le premier instrument juridique international qui reconnait explicitement « le droit à une eau potable salubre et propre [comme étant] un droit fondamental, essentiel au plein exercice du droit à la vie et de tous les droits de l’homme ».
Pour asseoir la pertinence de ce texte et justifier son adoption, de nombreux Etats sous la houlette du Nicaragua, ont à juste titre rappelé « qu’environ 884 millions de personnes n’ont pas accès à une eau potable salubre et que plus de 2,6 milliards de personnes n’ont pas accès à des services d’assainissement de base ». Bien plus, les Etats signataires ont noté « avec inquiétude que près de 1,5 million d’enfants âgés de moins de 5 ans meurent et 443 millions de jours d’école sont perdus chaque année du fait de maladies d’origine hydrique ou liées à l’absence de services d’assainissement ».
Dès lors, on comprend mieux l’espoir que fait naître l’adoption d’une telle résolution. L’ancienne conseillère des Nations-Unies pour les questions relatives à l’eau, Maude Barlow n’a d’ailleurs pas hésité à déclarer à l’AFP que c’était « un jour historique pour le monde, un grand pas » dans la perspective d’un traité portant sur l’eau. Dans la même lancée, la secrétaire d’Etat à l’écologie Chantal Jouanno (France) s’est réjouie de cette décision qu’elle considère comme une « avancée historique » qui permettra espère-t-elle, de replacer le droit à l’eau potable et à l’assainissement en tête des priorités des Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD).
Il convient cependant, au-delà de ce florilège de satisfactions, de soumettre cette résolution au crible d’une analyse sans concession, afin de dégager sa portée.
1. Du prétendu nouveau droit humain
Si l’importance que constitue l’eau pour l’être humain n’est plus à demontrer , sa reconnaissance juridique et partant sa justiciabilité demeurent sujettes à débat.
A l’analyse, l’accès à l’eau potable comme droit est –implicitement- enchâssé dans plusieurs droits humains canonisés par de nombreux textes internationaux. Analysons quelques uns.
[...
La mise en application des obligations contractées par les États demeure donc tributaire d’une réelle volonté politique qui ne faut cesser d’aiguillonner. D’où l’urgence de maintenir la pression et les actions de lobbying sur les gouvernants et les organisations onusiennes.
http://www.alternatives.ca/fra/journal- ... ble-et-a-l
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Re: ALLIANCE GALACTIQUE
[quote="gaga"
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Euh...suis pas sûr d'avoir bien compris...

Pouvez répéter siou plé

Euh...suis pas sûr d'avoir bien compris...



Pouvez répéter siou plé
