Re: ALLIANCE GALACTIQUE
Posté : 24 oct. 2010, 20:28
Bonsoir tous les mondes
Bonsoir toutes et tous, nobles Aja, Gaga, Pin Pon, et autres frères bienveillants
Bien agréable, noble AJA, de lire des extraits de lettres Oummaines sans avoir a se demander s'ils sont authentiques ou non. Précieux discernement pour trier le bon grain de l'ivraie...merci de l'offrir au menu de notre table, nous sommes affamés de vérité.
P'tit peu d'sel ?
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23/10/10
Qu’ils soient nutritionnistes, endocrinologues, cardiologues, épidémiologues ou pharmacologues, les membres du Salt vont lutter efficacement contre un ennemi commun : le sel.
La nouvelle brigade choc contre le sel
La consommation trop importante de sel est mauvaise pour la santé. On le sait depuis longtemps mais nos habitudes dans ce domaine n’ont pas beaucoup évolué. Pour la première fois une association scientifique réunit sous la bannière du Salt – pour Sodium alimentaire : limitons les taux – va peser de tout son poids pour inverser la tendance et inciter le public comme les industriels à réduire la quantité de sel dans les aliments.
Les membres fondateurs de Salt sont essentiellement nutritionnistes, endocrinologues, ou encore cardiologues, néphrologues, épidémiologues, pharmacologues. Tous rappellent qu’on en consomme trop, avec un impact majeur sur la santé et même un risque de morbidité. Une étude publiée en 2007 sur les Etats-Unis notait que 3 grammes de sel de moins par jour permettraient d’éviter jusqu’à 59.000 AVC par an et 92.000 infarctus. Selon une autre étude, il serait possible d’éviter 9 millions de morts en dix ans en réduisant de 15 % la consommation de sel dans le monde.
Des aliments avec des odeurs de produits salés
Selon le professeur Eric Bruckert, spécialiste de la prévention des maladies cardio-vasculaires, « il y a une relation mathématique entre la quantité de sel absorbée et la pression artérielle. Quand on diminue la quantité de sel, on diminue d’autant le risque d’accident vasculaire ». Les risques d’ostéoporose, de maladies rénales, voire d’obésité et de fragilité osseuse chez les enfants diminuent également. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) préconise une consommation maximum de 6 g de sel par jour soit une cuillère à café, mais on en consomme nettement plus dans les pays développés, avec par exemple quelque 9 g/j en France, alors que 2 g suffiraient pour combler les besoins d’un adulte.
L’industrie agroalimentaire a commencé à jouer le jeu en diminuant le sel dans le pain et « personne ne s’en est aperçu », note avec satisfaction le Pr Bruckert, mais aujourd’hui les choses se tassent et « peu de progrès sont faits », ajoute-t-il. Il suggère déjà aux consommateurs de réduire la consommation d’aliments riches en sel, tels que les fromages, la charcuterie ou les conserves et de ne pas resaler à table. Pour les industriels, il faudrait « réfléchir avec les autorités sur une législation imposant des règles plus strictes aux industriels », poursuit de son côté le Pr Krempf, nutritionniste au CHU de Nantes, également membre du Salt. Récemment des chercheurs de l’Institut de la recherche agronomique de Dijon avaient constaté qu’on pouvait remplacer du sel des aliments par des odeurs de produits salés, et que le consommateur n’y voyait que du feu. Une piste prometteuse.
http://www.francesoir.fr/sante/la-nouve ... -sel.42745
Pas d'sel ? P'tit peu d'piment alors ?

Bonsoir toutes et tous, nobles Aja, Gaga, Pin Pon, et autres frères bienveillants

Bien agréable, noble AJA, de lire des extraits de lettres Oummaines sans avoir a se demander s'ils sont authentiques ou non. Précieux discernement pour trier le bon grain de l'ivraie...merci de l'offrir au menu de notre table, nous sommes affamés de vérité.

P'tit peu d'sel ?
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23/10/10
Qu’ils soient nutritionnistes, endocrinologues, cardiologues, épidémiologues ou pharmacologues, les membres du Salt vont lutter efficacement contre un ennemi commun : le sel.
La nouvelle brigade choc contre le sel
La consommation trop importante de sel est mauvaise pour la santé. On le sait depuis longtemps mais nos habitudes dans ce domaine n’ont pas beaucoup évolué. Pour la première fois une association scientifique réunit sous la bannière du Salt – pour Sodium alimentaire : limitons les taux – va peser de tout son poids pour inverser la tendance et inciter le public comme les industriels à réduire la quantité de sel dans les aliments.
Les membres fondateurs de Salt sont essentiellement nutritionnistes, endocrinologues, ou encore cardiologues, néphrologues, épidémiologues, pharmacologues. Tous rappellent qu’on en consomme trop, avec un impact majeur sur la santé et même un risque de morbidité. Une étude publiée en 2007 sur les Etats-Unis notait que 3 grammes de sel de moins par jour permettraient d’éviter jusqu’à 59.000 AVC par an et 92.000 infarctus. Selon une autre étude, il serait possible d’éviter 9 millions de morts en dix ans en réduisant de 15 % la consommation de sel dans le monde.
Des aliments avec des odeurs de produits salés
Selon le professeur Eric Bruckert, spécialiste de la prévention des maladies cardio-vasculaires, « il y a une relation mathématique entre la quantité de sel absorbée et la pression artérielle. Quand on diminue la quantité de sel, on diminue d’autant le risque d’accident vasculaire ». Les risques d’ostéoporose, de maladies rénales, voire d’obésité et de fragilité osseuse chez les enfants diminuent également. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) préconise une consommation maximum de 6 g de sel par jour soit une cuillère à café, mais on en consomme nettement plus dans les pays développés, avec par exemple quelque 9 g/j en France, alors que 2 g suffiraient pour combler les besoins d’un adulte.
L’industrie agroalimentaire a commencé à jouer le jeu en diminuant le sel dans le pain et « personne ne s’en est aperçu », note avec satisfaction le Pr Bruckert, mais aujourd’hui les choses se tassent et « peu de progrès sont faits », ajoute-t-il. Il suggère déjà aux consommateurs de réduire la consommation d’aliments riches en sel, tels que les fromages, la charcuterie ou les conserves et de ne pas resaler à table. Pour les industriels, il faudrait « réfléchir avec les autorités sur une législation imposant des règles plus strictes aux industriels », poursuit de son côté le Pr Krempf, nutritionniste au CHU de Nantes, également membre du Salt. Récemment des chercheurs de l’Institut de la recherche agronomique de Dijon avaient constaté qu’on pouvait remplacer du sel des aliments par des odeurs de produits salés, et que le consommateur n’y voyait que du feu. Une piste prometteuse.
http://www.francesoir.fr/sante/la-nouve ... -sel.42745
Pas d'sel ? P'tit peu d'piment alors ?
