Re: ALLIANCE GALACTIQUE
Posté : 13 oct. 2010, 14:34
au nom de l'énergie j'appose ma main sur l'honorable poitrine des douze représentants de la confrérie '(*_*)' main droite sur le cœur
bonjour sœurs et frères en la voie '(*_*)' main droite sur le cœur
en effet noble frère aimé les nanotechnologies sembles prometteuses ,encore faut il les utiliser avec sagesse et discernement , mais ce principe parait intéressant ,a suivre suis pas spécialiste
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Le papillon monarque soigne sa progéniture aux plantes médicinales"" il porte bien son nom ce combattant"" '(*_*)'
Les plantes médicinales, à l’origine de beaucoup de nos médicaments, sont aussi utilisées par les animaux. Le papillon monarque, par exemple, préfère pondre ses œufs sur une plante toxique pour un parasite, offrant plus de chances de survie aux futures chenilles.
Le papillon monarque (Danaus plexippus) est autant connu pour sa beauté que pour ses migrations en essaims de millions d’individus, parcourant des milliers de kilomètres vers la chaleur hivernale du Mexique. Des couleurs vives l’ornent toute sa vie, aussi bien au stade larvaire où la chenille est jaune voire verte, qu’au stade adulte où les ailes portent des couleurs orange, noires et blanches. Ces couleurs intenses sont, la plupart du temps, un signal destiné à repousser les prédateurs qui savent alors que leur proie est probablement toxique.
Le papillon monarque ne déroge pas à la règle : sa chenille se nourrit effectivement d’un genre de plante, les asclépiades, qui rendent ses tissus toxiques, même lorsqu’elle passe au stade adulte. Ces plantes, dont une douzaine d’espèces servent de repas aux chenilles monarques, contiennent plus ou moins de cardénolides, des molécules de la famille des stérols, qui peuvent provoquer un arrêt du cœur (d’où leur nom provenant du grec cardia pour cœur).
Les chenilles se sont adaptées et sont devenues insensibles à ce poison. Cette évolution n’est pas dénuée d’intérêt, loin de là : non seulement les chenilles deviennent immangeables pour les prédateurs, mais en plus les cardénolides les protègeraient contre des parasites internes.
Ophryocystis elektroscirrha est un protozoaire qui infecte spécifiquement le système digestif de l’insecte rampant et persiste jusqu’au stade papillon. Une infection sévère est une menace pour le papillon, qui vole moins bien et meurt précocement des suites de pertes de fluides corporels. Il n’y a aucun moyen de se débarrasser du parasite, ni pour la chenille, ni pour le papillon et les femelles papillon infectées transmettent le parasite à leur progéniture.
http://www.futura-sciences.com/fr/news/ ... xtor=RSS-8
http://www.cropcircleconnector.com/2010/2010.html
bonjour sœurs et frères en la voie '(*_*)' main droite sur le cœur
en effet noble frère aimé les nanotechnologies sembles prometteuses ,encore faut il les utiliser avec sagesse et discernement , mais ce principe parait intéressant ,a suivre suis pas spécialiste
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Le papillon monarque soigne sa progéniture aux plantes médicinales"" il porte bien son nom ce combattant"" '(*_*)'
Les plantes médicinales, à l’origine de beaucoup de nos médicaments, sont aussi utilisées par les animaux. Le papillon monarque, par exemple, préfère pondre ses œufs sur une plante toxique pour un parasite, offrant plus de chances de survie aux futures chenilles.
Le papillon monarque (Danaus plexippus) est autant connu pour sa beauté que pour ses migrations en essaims de millions d’individus, parcourant des milliers de kilomètres vers la chaleur hivernale du Mexique. Des couleurs vives l’ornent toute sa vie, aussi bien au stade larvaire où la chenille est jaune voire verte, qu’au stade adulte où les ailes portent des couleurs orange, noires et blanches. Ces couleurs intenses sont, la plupart du temps, un signal destiné à repousser les prédateurs qui savent alors que leur proie est probablement toxique.
Le papillon monarque ne déroge pas à la règle : sa chenille se nourrit effectivement d’un genre de plante, les asclépiades, qui rendent ses tissus toxiques, même lorsqu’elle passe au stade adulte. Ces plantes, dont une douzaine d’espèces servent de repas aux chenilles monarques, contiennent plus ou moins de cardénolides, des molécules de la famille des stérols, qui peuvent provoquer un arrêt du cœur (d’où leur nom provenant du grec cardia pour cœur).
Les chenilles se sont adaptées et sont devenues insensibles à ce poison. Cette évolution n’est pas dénuée d’intérêt, loin de là : non seulement les chenilles deviennent immangeables pour les prédateurs, mais en plus les cardénolides les protègeraient contre des parasites internes.
Ophryocystis elektroscirrha est un protozoaire qui infecte spécifiquement le système digestif de l’insecte rampant et persiste jusqu’au stade papillon. Une infection sévère est une menace pour le papillon, qui vole moins bien et meurt précocement des suites de pertes de fluides corporels. Il n’y a aucun moyen de se débarrasser du parasite, ni pour la chenille, ni pour le papillon et les femelles papillon infectées transmettent le parasite à leur progéniture.
http://www.futura-sciences.com/fr/news/ ... xtor=RSS-8
http://www.cropcircleconnector.com/2010/2010.html