Re: ALLIANCE GALACTIQUE
Posté : 03 oct. 2010, 13:37
Bonjour tous les mondes
Bonjour toutes et tous, ma main sur vos honorables poitrine nobles Aja et Navié
Au sujet des thermiques scélérats, tu l'explique bien Gaga, dans l'expression "coup aux fesses", l'air a parfois la consistance de l'eau, comme une rivière qui coule vers le haut, où l'on risque de se "noyer" par manque d'oxygène et geler. On s'imagine mal que un peu plus haut des nuages les températures approchent les -20 degrés, -60 à l'altitude des avions de ligne. Il suffit de s'éloigner un peu dans un sens, l'eau (pratiqué aussi la plongée), ou dans l'autre, l'air, pour sortir très vite des conditions viables. Nous vivons dans un très fragile équilibre où si l'on altère le bas et le haut, risque fort d'avoir des problèmes au milieu...
Vers 1985, des personnes m'ont parlées entre autre des dangers de l'exploitation pétrolière en mer. Me rappelle avoir plaisanté en répondant que ce serait une marée noire silencieuse en cas d'accident. Ce jour là ils m'avaient laissés l'impression de savoir un accident statistiquement inéluctable.
En aérologie, de même que l'on recherche un champs de blé ensoleillé pour reprendre de l'altitude, faut savoir que les simples différences de réflexions solaires sur la mer, dues au pétrole ou aux micro-algues qui prolifèrent a un taux très alarmant, photo explicite de ton lien, changent des réglages très précis qui auront forcément des répercussions au milieu.
Quelques gouttes d'essence sur le filtre a air d'un moteur peut provoquer son emballement et sa destruction, même si l'on a coupé le contact.
Nos grands frères cosmiques se montreront peut-être le 13 octobre pour nous rappeler, au moins implicitement, que notre monde joue avec le feu dans tous les sens du terme, âmes incluses.
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1er/03/2007
Parapentiste miraculée après avoir été aspirée par un orage
La parapentiste est ainsi passée de 760m à 9.950m en l’espace d’une quinzaine de minutes, ce qui lui a valu de perdre connaissance et de rester inconsciente une demi-heure, accrochée à une aile en perdition.
Ewa Wisnierska est revenue à elle à environ 500m du sol et a pu se poser sans encombres. Son visage portait quelques traces de gelures et sa combinaison était recouverte de glace.
http://www.decouv-air.com/parapente/art ... rticle=337

Bonjour toutes et tous, ma main sur vos honorables poitrine nobles Aja et Navié

Au sujet des thermiques scélérats, tu l'explique bien Gaga, dans l'expression "coup aux fesses", l'air a parfois la consistance de l'eau, comme une rivière qui coule vers le haut, où l'on risque de se "noyer" par manque d'oxygène et geler. On s'imagine mal que un peu plus haut des nuages les températures approchent les -20 degrés, -60 à l'altitude des avions de ligne. Il suffit de s'éloigner un peu dans un sens, l'eau (pratiqué aussi la plongée), ou dans l'autre, l'air, pour sortir très vite des conditions viables. Nous vivons dans un très fragile équilibre où si l'on altère le bas et le haut, risque fort d'avoir des problèmes au milieu...
Vers 1985, des personnes m'ont parlées entre autre des dangers de l'exploitation pétrolière en mer. Me rappelle avoir plaisanté en répondant que ce serait une marée noire silencieuse en cas d'accident. Ce jour là ils m'avaient laissés l'impression de savoir un accident statistiquement inéluctable.
En aérologie, de même que l'on recherche un champs de blé ensoleillé pour reprendre de l'altitude, faut savoir que les simples différences de réflexions solaires sur la mer, dues au pétrole ou aux micro-algues qui prolifèrent a un taux très alarmant, photo explicite de ton lien, changent des réglages très précis qui auront forcément des répercussions au milieu.
Quelques gouttes d'essence sur le filtre a air d'un moteur peut provoquer son emballement et sa destruction, même si l'on a coupé le contact.
Nos grands frères cosmiques se montreront peut-être le 13 octobre pour nous rappeler, au moins implicitement, que notre monde joue avec le feu dans tous les sens du terme, âmes incluses.
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1er/03/2007
Parapentiste miraculée après avoir été aspirée par un orage
La parapentiste est ainsi passée de 760m à 9.950m en l’espace d’une quinzaine de minutes, ce qui lui a valu de perdre connaissance et de rester inconsciente une demi-heure, accrochée à une aile en perdition.
Ewa Wisnierska est revenue à elle à environ 500m du sol et a pu se poser sans encombres. Son visage portait quelques traces de gelures et sa combinaison était recouverte de glace.
http://www.decouv-air.com/parapente/art ... rticle=337