ALLIANCE GALACTIQUE
Modérateur : Admin
Re: Alliance Galactique
19.02.10
Pyongyang refuse d'échanger son arsenal nucléaire contre une aide alimentaire
La Corée du Nord ne renoncera pas à l'arme nucléaire contre une aide économique, assure vendredi l'agence de presse officielle KCNA. "A moins que les Etats-Unis ne mettent fin à leur politique hostile et à leurs menaces envers notre république, nous n'abandonnerons pas nos armes nucléaires, même si la terre venait à se fendre", ajoute l'agence de presse.
La Corée du Nord a mis au point des armes atomiques pour sa propre défense, et "pas pour menacer quiconque ou pour recevoir des faveurs économiques ou des récompenses", poursuit KCNA. Pour reprendre les négociations sur son désarmement nucléaire, Pyongyang a exigé que Washington s'engage à ouvrir des négociations sur un traité de paix officiel dans la péninsule coréenne.
Pyongyang estime que les Américains sont les seuls à pouvoir offrir au régime un traité de paix, la guerre de Corée (1950-1953) s'étant terminée par un simple armistice, laissant techniquement la péninsule coréenne en état de guerre. Les Nord-Coréens exigent aussi la levée des sanctions imposées par l'ONU à la suite de ses essais nucléaires et de tirs de missiles. La communauté internationale tente depuis plusieurs mois de ramener Pyongyang à la table des négociations sur son programme nucléaire, interrompues en avril 2009 après que l'ONU eut sanctionné un tir de missile nord-coréen.
http://www.lemonde.fr/asie-pacifique/ar ... id=1237544
Pyongyang refuse d'échanger son arsenal nucléaire contre une aide alimentaire
La Corée du Nord ne renoncera pas à l'arme nucléaire contre une aide économique, assure vendredi l'agence de presse officielle KCNA. "A moins que les Etats-Unis ne mettent fin à leur politique hostile et à leurs menaces envers notre république, nous n'abandonnerons pas nos armes nucléaires, même si la terre venait à se fendre", ajoute l'agence de presse.
La Corée du Nord a mis au point des armes atomiques pour sa propre défense, et "pas pour menacer quiconque ou pour recevoir des faveurs économiques ou des récompenses", poursuit KCNA. Pour reprendre les négociations sur son désarmement nucléaire, Pyongyang a exigé que Washington s'engage à ouvrir des négociations sur un traité de paix officiel dans la péninsule coréenne.
Pyongyang estime que les Américains sont les seuls à pouvoir offrir au régime un traité de paix, la guerre de Corée (1950-1953) s'étant terminée par un simple armistice, laissant techniquement la péninsule coréenne en état de guerre. Les Nord-Coréens exigent aussi la levée des sanctions imposées par l'ONU à la suite de ses essais nucléaires et de tirs de missiles. La communauté internationale tente depuis plusieurs mois de ramener Pyongyang à la table des négociations sur son programme nucléaire, interrompues en avril 2009 après que l'ONU eut sanctionné un tir de missile nord-coréen.
http://www.lemonde.fr/asie-pacifique/ar ... id=1237544
Re: Alliance Galactique
07/04/2009
L'ONU craint une famine en Corée du nord
Après plusieurs mauvaises récoltes, le Programme alimentaire mondial (PAM) de l'ONU estime que jusqu'à 40% de la population nord-coréenne, soit 8,7 millions de personnes, pourrait avoir besoin d'une aide alimentaire dans les prochains mois.
Un autre pourvoyeur important, la Corée du Sud, n'a pas livré en 2008 ses cargaisons de centaines de milliers de tonnes de riz et d'engrais en raison des tensions dans la péninsule.
Même la Chine, l'alliée fidèle, semble avoir réduit ses exportations.
Selon les Douanes chinoises, environ 124.000 tonnes de céréales ont été envoyées en Corée du Nord l'année dernière contre des livraisons allant jusqu'à 500.000 tonnes les années précédentes.
Dans une étude publiée en mars, le rapporteur spécial de l'ONU sur la situation des droits de l'homme en Corée du Nord, Vitit Muntarbhorn, a mis en cause la responsabilité du gouvernement nord-coréen.
"Au sommet, il y a un régime oppressif qui s'appuie sur un peuple qui survit dans d'intolérables et interminables souffrances", a-t-il commenté. "La tragédie du pays est que ceux qui le dirigent cherchent à survivre au détriment de la majorité de la population", a écrit M. Muntarbhorn.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2009/ ... u-nord.php
L'ONU craint une famine en Corée du nord
Après plusieurs mauvaises récoltes, le Programme alimentaire mondial (PAM) de l'ONU estime que jusqu'à 40% de la population nord-coréenne, soit 8,7 millions de personnes, pourrait avoir besoin d'une aide alimentaire dans les prochains mois.
Un autre pourvoyeur important, la Corée du Sud, n'a pas livré en 2008 ses cargaisons de centaines de milliers de tonnes de riz et d'engrais en raison des tensions dans la péninsule.
Même la Chine, l'alliée fidèle, semble avoir réduit ses exportations.
Selon les Douanes chinoises, environ 124.000 tonnes de céréales ont été envoyées en Corée du Nord l'année dernière contre des livraisons allant jusqu'à 500.000 tonnes les années précédentes.
Dans une étude publiée en mars, le rapporteur spécial de l'ONU sur la situation des droits de l'homme en Corée du Nord, Vitit Muntarbhorn, a mis en cause la responsabilité du gouvernement nord-coréen.
"Au sommet, il y a un régime oppressif qui s'appuie sur un peuple qui survit dans d'intolérables et interminables souffrances", a-t-il commenté. "La tragédie du pays est que ceux qui le dirigent cherchent à survivre au détriment de la majorité de la population", a écrit M. Muntarbhorn.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2009/ ... u-nord.php
Re: Alliance Galactique
17.02.10
La Chine à la rescousse de l'économie nord-coréenne
La récente visite d'un haut responsable politique chinois en Corée du Nord, largement passée sous silence dans les médias, pourrait déboucher sur un vaste plan d'investissement destiné à redresser l'économie du régime de Pyongyang. C'est ce qu'a indiqué, en début de semaine, une dépêche de l'agence de presse sud-coréenne Yonhap sous le titre : "La Corée du Nord attire 10 milliards de dollars (7 milliards d'euros) en investissements étrangers."
Une telle somme, considérable à l'échelle de ce pays puisqu'elle représente environ un quart du PIB estimé, serait à 60 % versée par des banques et des groupes chinois. Tel est en tout cas le projet qu'ont évoqué la semaine dernière le numéro un nord-coréen Kim Jong-il et le responsable du secteur international du Parti communiste chinois, Wang Jiarui.
Les médias chinois avaient mentionné la visite dans la capitale nord-coréenne du dignitaire pékinois mais n'avaient apporté aucune précision sur ce plan. S'il se réalisait, il illustrerait à quel point la Chine entend conserver un lien économique fort avec Pyongyang pour être en mesure de contraindre son voisin de revenir à la table des négociations sur le nucléaire.
Les relations entre les deux capitales se sont en effet dégradées depuis les essais nucléaires nord-coréens de 2008 et 2009, une provocation de son "allié" que la Chine a perçue comme un camouflet, tant cette décision ignorait les pressions de Pékin.
La Chine est prise dans un étau. Les gesticulations de son turbulent "voisin à problème", comme le qualifie Sun Zhe, universitaire chinois spécialiste des questions de politique internationale, embarrassent Pékin, contraint de soutenir la Corée du Nord.
Un éventuel effondrement du régime du "Cher Leader" et la réunification de la péninsule représentent une perspective cauchemardesque pour la Chine, qui devrait alors absorber le choc provoqué par l'arrivée de réfugiés sur son territoire et partagerait désormais une frontière commune avec un pays - la Corée du Sud - où sont stationnés plus de 28 000 soldats américains. D'où la nécessité pour les stratèges chinois de garantir la survie de la Corée du Nord.
Pyongyang a beau être dépendant de la Chine à 80 % pour ses biens de consommation et à 40 % pour la nourriture, les autorités de Pékin savent qu'à l'égard de la Corée du Nord "la carotte économique" est sans doute plus efficace comme arme de pression.
http://www.lemonde.fr/asie-pacifique/ar ... id=1303826
La Chine à la rescousse de l'économie nord-coréenne
La récente visite d'un haut responsable politique chinois en Corée du Nord, largement passée sous silence dans les médias, pourrait déboucher sur un vaste plan d'investissement destiné à redresser l'économie du régime de Pyongyang. C'est ce qu'a indiqué, en début de semaine, une dépêche de l'agence de presse sud-coréenne Yonhap sous le titre : "La Corée du Nord attire 10 milliards de dollars (7 milliards d'euros) en investissements étrangers."
Une telle somme, considérable à l'échelle de ce pays puisqu'elle représente environ un quart du PIB estimé, serait à 60 % versée par des banques et des groupes chinois. Tel est en tout cas le projet qu'ont évoqué la semaine dernière le numéro un nord-coréen Kim Jong-il et le responsable du secteur international du Parti communiste chinois, Wang Jiarui.
Les médias chinois avaient mentionné la visite dans la capitale nord-coréenne du dignitaire pékinois mais n'avaient apporté aucune précision sur ce plan. S'il se réalisait, il illustrerait à quel point la Chine entend conserver un lien économique fort avec Pyongyang pour être en mesure de contraindre son voisin de revenir à la table des négociations sur le nucléaire.
Les relations entre les deux capitales se sont en effet dégradées depuis les essais nucléaires nord-coréens de 2008 et 2009, une provocation de son "allié" que la Chine a perçue comme un camouflet, tant cette décision ignorait les pressions de Pékin.
La Chine est prise dans un étau. Les gesticulations de son turbulent "voisin à problème", comme le qualifie Sun Zhe, universitaire chinois spécialiste des questions de politique internationale, embarrassent Pékin, contraint de soutenir la Corée du Nord.
Un éventuel effondrement du régime du "Cher Leader" et la réunification de la péninsule représentent une perspective cauchemardesque pour la Chine, qui devrait alors absorber le choc provoqué par l'arrivée de réfugiés sur son territoire et partagerait désormais une frontière commune avec un pays - la Corée du Sud - où sont stationnés plus de 28 000 soldats américains. D'où la nécessité pour les stratèges chinois de garantir la survie de la Corée du Nord.
Pyongyang a beau être dépendant de la Chine à 80 % pour ses biens de consommation et à 40 % pour la nourriture, les autorités de Pékin savent qu'à l'égard de la Corée du Nord "la carotte économique" est sans doute plus efficace comme arme de pression.
http://www.lemonde.fr/asie-pacifique/ar ... id=1303826
Re: Alliance Galactique
Nul homme qui aime son pays ne peut l'aider à progresser s'il ose négliger le moindre de ses compatriotes.Gandhi.
Re: Alliance Galactique
http://www.tree2share.org/article-665-c ... -monde.-nl
En mai 2007, la série d’entretiens avec Noam Chomsky a été un succès.
De Paris à Boston de Montréal à Toronto, Olivier AZAM a filmé ce reportage.
À l’heure où impuissance et résignation l’emportent, le travail de Chomsky est un antidote radical.
"Le pouvoir ne souhaite pas que les gens comprennent qu’ils peuvent provoquer des changements" dit Noam Chomsky.
Avec des dizaines de livres, des milliers d’articles et de conférences, à bientôt 80 ans
« l’auteur le plus cité au monde » poursuit la mise à nu des mécanismes de domination.
Un intellectuel, c’est quelqu’un qui veut que nous pensions comme lui.
Chomsky veut que nous pensions par nous-même.
Il ne veut pas nous amener à le croire, il veut nous amener à nous emparer par nous mêmes des connaissances et des informations qui nous permettent d’agir pour que cesse la domination de quelques-uns qui monopolisent le pouvoir de décision sur l’immense masse des autres. Longtemps occultées en France par une série de penseurs médiatiques, les idées de Chomsky intéressent aujourd’hui tout un nouveau public.
Pour celles et ceux qui refusent de baisser les bras, Chomsky est une ressource fondamentale...
En mai 2007, la série d’entretiens avec Noam Chomsky a été un succès.
De Paris à Boston de Montréal à Toronto, Olivier AZAM a filmé ce reportage.
À l’heure où impuissance et résignation l’emportent, le travail de Chomsky est un antidote radical.
"Le pouvoir ne souhaite pas que les gens comprennent qu’ils peuvent provoquer des changements" dit Noam Chomsky.
Avec des dizaines de livres, des milliers d’articles et de conférences, à bientôt 80 ans
« l’auteur le plus cité au monde » poursuit la mise à nu des mécanismes de domination.
Un intellectuel, c’est quelqu’un qui veut que nous pensions comme lui.
Chomsky veut que nous pensions par nous-même.
Il ne veut pas nous amener à le croire, il veut nous amener à nous emparer par nous mêmes des connaissances et des informations qui nous permettent d’agir pour que cesse la domination de quelques-uns qui monopolisent le pouvoir de décision sur l’immense masse des autres. Longtemps occultées en France par une série de penseurs médiatiques, les idées de Chomsky intéressent aujourd’hui tout un nouveau public.
Pour celles et ceux qui refusent de baisser les bras, Chomsky est une ressource fondamentale...
la plainte de la Chine
Le dalaï-lama à la Maison Blanche, la plainte de la Chine
Par TF1 News (d'après agence), le 19 février 2010 à 06h26, mis à jour le 19 février 2010 à 06:36
Les autorités chinoises ont convoqué vendredi l'ambassadeur des Etats-Unis pour lui faire part officiellement de leur mécontentement après la rencontre entre le président Barack Obama et le dalaï-lama.
La rencontre entre le président américain Barack Obama et le dalaï lama, jeudi matin à la Maison Blanche rend Pékin furieuse. Pour le ministère chinois des Affaires étrangères, elle porte "gravement préjudice" aux relations sino-américaines. "L'action américaine est une sérieuse ingérence dans les affaires intérieures chinoises, blesse sérieusement les sentiments du peuple chinois et porte gravement préjudice aux liens sino-américains", a-t-il déclaré.La Chine a annoncé qu'elle convoquait vendredi l'ambassadeur des Etats-Unis pour lui faire part officiellement de son mécontentement après cette rencontre qui s'était pourtant voulu discrète, à l'abri des caméras et loin du Bureau ovale, dans la salle des cartes. Malgré cette retenue de Washington, un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères a jugé que cette entrevue constituait "une violation de la reconnaissance répétée par le gouvernement américain que le Tibet faisait partie de la Chine".A l'issue de l'entretien entre Barack Obama et le dalaï-lama, qui a duré un peu moins d'une heure, le leader bouddhiste a donné -chose rare- une mini-conférence de presse (découvrez un extrait ci-contre) à l'extérieur du palais. "Le président a fait part de son soutien", a-t-il déclaré. De son côté, la Maison-Blanche publiait un communiqué sur le contenu des discussions. Selon elle, Barack Obama a exprimé son "fort soutien" à la cause des droits de l'homme et à l'identité culturelle et religieuse "unique" du Tibet.
Le dalaï lama, exilé en Inde depuis 1959, n'avait pas été reçu par Barack Obama lors de son précédent passage aux Etats-Unis en octobre dernier. Le président américain souhaitait alors ménager Pékin avant sa première visite en Chine un mois plus tard. Cette concession lui avait valu à les critiques des défenseurs des droits de l'homme
http://lci.tf1.fr/monde/amerique/2010-0 ... 99543.html
Par TF1 News (d'après agence), le 19 février 2010 à 06h26, mis à jour le 19 février 2010 à 06:36
Les autorités chinoises ont convoqué vendredi l'ambassadeur des Etats-Unis pour lui faire part officiellement de leur mécontentement après la rencontre entre le président Barack Obama et le dalaï-lama.
La rencontre entre le président américain Barack Obama et le dalaï lama, jeudi matin à la Maison Blanche rend Pékin furieuse. Pour le ministère chinois des Affaires étrangères, elle porte "gravement préjudice" aux relations sino-américaines. "L'action américaine est une sérieuse ingérence dans les affaires intérieures chinoises, blesse sérieusement les sentiments du peuple chinois et porte gravement préjudice aux liens sino-américains", a-t-il déclaré.La Chine a annoncé qu'elle convoquait vendredi l'ambassadeur des Etats-Unis pour lui faire part officiellement de son mécontentement après cette rencontre qui s'était pourtant voulu discrète, à l'abri des caméras et loin du Bureau ovale, dans la salle des cartes. Malgré cette retenue de Washington, un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères a jugé que cette entrevue constituait "une violation de la reconnaissance répétée par le gouvernement américain que le Tibet faisait partie de la Chine".A l'issue de l'entretien entre Barack Obama et le dalaï-lama, qui a duré un peu moins d'une heure, le leader bouddhiste a donné -chose rare- une mini-conférence de presse (découvrez un extrait ci-contre) à l'extérieur du palais. "Le président a fait part de son soutien", a-t-il déclaré. De son côté, la Maison-Blanche publiait un communiqué sur le contenu des discussions. Selon elle, Barack Obama a exprimé son "fort soutien" à la cause des droits de l'homme et à l'identité culturelle et religieuse "unique" du Tibet.
Le dalaï lama, exilé en Inde depuis 1959, n'avait pas été reçu par Barack Obama lors de son précédent passage aux Etats-Unis en octobre dernier. Le président américain souhaitait alors ménager Pékin avant sa première visite en Chine un mois plus tard. Cette concession lui avait valu à les critiques des défenseurs des droits de l'homme
http://lci.tf1.fr/monde/amerique/2010-0 ... 99543.html
Pour les Américains, Obama ne mérite pas d'être réélu
Déjà en baisse en termes de popularité, le président américain ne serait pas réélu aujourd'hui selon un sondage CNN
L'alerte rouge se confirme pour Barack Obama. En un an, sa cote de popularité est passée de presque 70% d'opinions positives à seulement 50%, voire moins, aujourd'hui
Et voici le premier sondage qui le donnerait battu en cas de nouvelle élection. L'enquête CNN/Opinion research n'était pas centrée sur le prochain scrutin de 2012 mais sur la situation actuelle avec la question suivante : "Estimez-vous que Barack Obama mérite d'être réélu ou non ?". La réponse est cinglante pour le locataire de la Maison-Blanche : 52% des sondés estiment qu'il ne mérite pas d'être réélu, contre 44% (4% de sans opinion). Pour rappel, en novembre 2008, Barack Obama avait obtenu 53% des voix au niveau national, contre 46% à John McCain -le reste se dispersant sur les "petits" candidats.
Tout ceci n'est pas de bon augure avant les élections parlementaires de mi-mandat qui se dérouleront à l'automne. Pour l'instant, la bataille est serrée puisque les républicains disposent de deux points d'avance (47 contre 45) sur l'ensemble des électeurs enregistrés -les démocrates font encore jeu égal sur l'ensemble des sondés
L'alerte rouge se confirme pour Barack Obama. En un an, sa cote de popularité est passée de presque 70% d'opinions positives à seulement 50%, voire moins, aujourd'hui
Et voici le premier sondage qui le donnerait battu en cas de nouvelle élection. L'enquête CNN/Opinion research n'était pas centrée sur le prochain scrutin de 2012 mais sur la situation actuelle avec la question suivante : "Estimez-vous que Barack Obama mérite d'être réélu ou non ?". La réponse est cinglante pour le locataire de la Maison-Blanche : 52% des sondés estiment qu'il ne mérite pas d'être réélu, contre 44% (4% de sans opinion). Pour rappel, en novembre 2008, Barack Obama avait obtenu 53% des voix au niveau national, contre 46% à John McCain -le reste se dispersant sur les "petits" candidats.
Tout ceci n'est pas de bon augure avant les élections parlementaires de mi-mandat qui se dérouleront à l'automne. Pour l'instant, la bataille est serrée puisque les républicains disposent de deux points d'avance (47 contre 45) sur l'ensemble des électeurs enregistrés -les démocrates font encore jeu égal sur l'ensemble des sondés
Niger : le gouvernement "dissous" après le coup d'Etat
Le Conseil suprême pour la restauration de la démocratie (CSDR), dont je suis le porte-parole, a décidé de suspendre la Constitution de la sixième république et de dissoudre toutes les institutions qui en sont issues", a annoncé jeudi soir sur la radio d'Etat nigériane le colonel Goukoye Abdoulkarim. Le Conseil s'est doté d'un président, selon un communiqué. Il s'agit du chef d'escadron Salou Djibo. Il commande la compagnie d'appui de Niamey, qui dispose d'armements lourds, tels les blindés. Le CSDR, qui avait mis en place un couvre-feu et fermé les frontières terrestres et aériennes, appelant la population à garder son calme, a levé vendredi ces restrictions. Se voulant rassurante, la junte a assuré contrôler Niamey dans le calme et assuré que le président renversé, détenu dans une caserne, était sain et sauf.Dans la journée, des ministres ont affirmé avoir été séquestrés lors d'une réunion du cabinet. "Nous ne savons pas ce qui se passe (...) mais nous avons nos portables et nous sommes là où devait se dérouler le Conseil des ministres. Ils ont emmené le président", a confirmé un autre membre du gouvernement, sous couvert d'anonymat.
Le président de la Commission de l'Union africaine (UA), Jean Ping, a "condamné la prise du pouvoir par la force au Niger" et demandé un "retour rapide à l'ordre constitutionnel", selon un communiqué transmis vendredi à l'AFP.
Combats à l'arme lourde
Le président Tandja, 71 ans, et son aide de camp "seraient retenus" dans la garnison de Tondibia", à une vingtaine de kilomètres de la capitale, ont indiqué auparavant à l'AFP des responsables sous couvert d'anonymat. Plusieurs ministres, selon ces sources, seraient quant à eux retenus dans les locaux du Conseil supérieur de la communication, près du palais présidentiel. Le CSDR a annoncé dans la nuit de jeudi à vendredi que le gouvernement était "dissous".
Le Niger, pays pauvre du Sahel mais troisième producteur mondial d'uranium, est confronté à une grave crise politique née de la volonté du président de se maintenir au pouvoir coûte que coûte au delà de son mandat. Des témoins ont fait état de tirs nourris dans la journée, notamment autour de la présidence, avec des combats à l'arme lourde dans les rues de la capitale et autour de la présidence. Aucun bilan officiel sur d'éventuelles victimes n'avait été communiqué jeudi soir mais selon des témoins et une source médicale, au moins trois ou quatre soldats ont été tués - dans un blindé visé par un obus - et "une dizaine" de militaires ont été blessés jeudi à Niamey.
Air France suspend ses vols
Dans ce contexte, Paris a demandé à ses ressortissants présents au Niger de "rester confinés" chez eux et "vivement déconseillé de se rendre actuellement au Niger ou d'y effectuer un transit". Environ 1.500 Français vivent au Niger. Air France a de son côté décidé de suspendre ses vols vers Niamey "et ce jusqu'à nouvel avis". Le vol AF 732 Paris-Niamey-Ouagadougou, exploité en Airbus A340-300, est bien parti jeudi matin, mais n'a pas fait escale au Niger et a rejoint directement sa destination finale au Burkina Faso. La compagnie a proposé des solutions d'hébergement à Ouagadougou aux passagers qui auraient normalement dû débarquer à Niamey. Air France assure normalement 4 vols hebdomadaires à destination de Niamey (les mardi, jeudi, vendredi et dimanche).
Coiffé de son éternel bonnet rouge sombre, Mamadou Tandja promène sa longiligne silhouette sur la vie politique nationale depuis 35 ans. Après plus de dix ans de pouvoir, il devait initialement se retirer en décembre 2009, mais la nouvelle constitution adoptée en août, malgré les protestations de l'opposition, lui a assuré en principe encore au moins trois ans à la tête du pays.
Le Niger, pays stratégique pour le champion français du nucléaire
Présent depuis 40 ans au Niger, où il extrait près de la moitié de son uranium, le groupe nucléaire français Areva a récemment enterré la hache de guerre avec les autorités de Niamey, qui l'avaient un temps accusé de soutenir la rébellion touareg. La présence d'uranium dans le pays avait été mise en évidence dès la fin des années 50 par les équipes du Commissariat à l'Energie Atomique (CEA), alors que le Niger était encore une colonie française.
http://lci.tf1.fr/monde/afrique/2010-02 ... 99546.html
Le président de la Commission de l'Union africaine (UA), Jean Ping, a "condamné la prise du pouvoir par la force au Niger" et demandé un "retour rapide à l'ordre constitutionnel", selon un communiqué transmis vendredi à l'AFP.
Combats à l'arme lourde
Le président Tandja, 71 ans, et son aide de camp "seraient retenus" dans la garnison de Tondibia", à une vingtaine de kilomètres de la capitale, ont indiqué auparavant à l'AFP des responsables sous couvert d'anonymat. Plusieurs ministres, selon ces sources, seraient quant à eux retenus dans les locaux du Conseil supérieur de la communication, près du palais présidentiel. Le CSDR a annoncé dans la nuit de jeudi à vendredi que le gouvernement était "dissous".
Le Niger, pays pauvre du Sahel mais troisième producteur mondial d'uranium, est confronté à une grave crise politique née de la volonté du président de se maintenir au pouvoir coûte que coûte au delà de son mandat. Des témoins ont fait état de tirs nourris dans la journée, notamment autour de la présidence, avec des combats à l'arme lourde dans les rues de la capitale et autour de la présidence. Aucun bilan officiel sur d'éventuelles victimes n'avait été communiqué jeudi soir mais selon des témoins et une source médicale, au moins trois ou quatre soldats ont été tués - dans un blindé visé par un obus - et "une dizaine" de militaires ont été blessés jeudi à Niamey.
Air France suspend ses vols
Dans ce contexte, Paris a demandé à ses ressortissants présents au Niger de "rester confinés" chez eux et "vivement déconseillé de se rendre actuellement au Niger ou d'y effectuer un transit". Environ 1.500 Français vivent au Niger. Air France a de son côté décidé de suspendre ses vols vers Niamey "et ce jusqu'à nouvel avis". Le vol AF 732 Paris-Niamey-Ouagadougou, exploité en Airbus A340-300, est bien parti jeudi matin, mais n'a pas fait escale au Niger et a rejoint directement sa destination finale au Burkina Faso. La compagnie a proposé des solutions d'hébergement à Ouagadougou aux passagers qui auraient normalement dû débarquer à Niamey. Air France assure normalement 4 vols hebdomadaires à destination de Niamey (les mardi, jeudi, vendredi et dimanche).
Coiffé de son éternel bonnet rouge sombre, Mamadou Tandja promène sa longiligne silhouette sur la vie politique nationale depuis 35 ans. Après plus de dix ans de pouvoir, il devait initialement se retirer en décembre 2009, mais la nouvelle constitution adoptée en août, malgré les protestations de l'opposition, lui a assuré en principe encore au moins trois ans à la tête du pays.
Le Niger, pays stratégique pour le champion français du nucléaire
Présent depuis 40 ans au Niger, où il extrait près de la moitié de son uranium, le groupe nucléaire français Areva a récemment enterré la hache de guerre avec les autorités de Niamey, qui l'avaient un temps accusé de soutenir la rébellion touareg. La présence d'uranium dans le pays avait été mise en évidence dès la fin des années 50 par les équipes du Commissariat à l'Energie Atomique (CEA), alors que le Niger était encore une colonie française.
http://lci.tf1.fr/monde/afrique/2010-02 ... 99546.html
Re: Alliance Galactique
EOOH ! Vous autres là-bas !...z'en finissez quand avec vos enfantillages !...parce qu'il est avéré que nous sommes juste là pour faire un clin d'œil a la vie matérielle, afin de mesurer ce dont nos âmes sont capables ! 

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Re: Alliance Galactique
Un croquis venant d'un site de nos frères musulmans, des relevés effectués avec la dernière génération de radar... 
ps : Sphynx

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