ALLIANCE GALACTIQUE
Modérateur : Admin
Re: Alliance Galactique
La purge du système bancaire se poursuit donc au tout petit trot. On n’en parle plus beaucoup, mais les Etats-Unis viennent de vivre leur centième faillite bancaire depuis le début de l’année 2009. La Warren Bank a disparu du paysage financier américain. Cette petite banque n’a pas eu la même chance que les géants Goldman Sachs, JP Morgan Chase ou US Bancorp, qui ont profité de l’aide de Washington. Plus inquiétant : le rythme des faillites de “petites” banques risque de s’accélérer et 581 d’entre elles pourraient passer à la trappe d’ici 2011 aux USA.La politique qui consiste à sauver les banques jugées “Too big to fail” (”trop grosses pour tomber”) commence à être remise en cause, outre-Atlantique, surtout lorsqu’on voit la promptitude avec laquelle les banques sauvées retrouvent leurs bonnes vieilles habitudes. Bob Herbert, l’éditorialiste du New York Times, n’y va pas par quatre chemins en demandant la fin du sauvetage des institutions bancaires, au vu du gouffre que l’administration actuelle, à la suite évidemment des précédentes, est en train de creuser. Jamais en effet depuis la fin de la Seconde guerre mondiale, le déficit US n’avait atteint un tel niveau.
Il n’est pas inutile de rappeler, à ce stade, les liens étroits qu’entretiennent les hommes de la Maison Blanche avec les grandes banques (Henry Paulson, l’homme du fameux plan de relance qui porte son nom, a été président de Goldman Sachs). Tant que perdurera cette connivence, le marché ne pourra pas purger naturellement les organismes les plus fragiles. L’aventure de DSB et de ces centaines de banques américaines anonymes révèle en tout cas que les petits de ce monde n’ont pas fini de souffrir. Le mythe des capitalistes au gros cigare et aux poches débordant de billets verts n’a pas fini de hanter le monde de la finance. Quant aux petits banquiers trop éloignés du pouvoir pour se faire entendre, il leur reste à méditer la fable des animaux malades de la peste.
Il n’est pas inutile de rappeler, à ce stade, les liens étroits qu’entretiennent les hommes de la Maison Blanche avec les grandes banques (Henry Paulson, l’homme du fameux plan de relance qui porte son nom, a été président de Goldman Sachs). Tant que perdurera cette connivence, le marché ne pourra pas purger naturellement les organismes les plus fragiles. L’aventure de DSB et de ces centaines de banques américaines anonymes révèle en tout cas que les petits de ce monde n’ont pas fini de souffrir. Le mythe des capitalistes au gros cigare et aux poches débordant de billets verts n’a pas fini de hanter le monde de la finance. Quant aux petits banquiers trop éloignés du pouvoir pour se faire entendre, il leur reste à méditer la fable des animaux malades de la peste.
- Fichiers joints
-
- waakhond_afm_legt__1167909b.jpg (35.3 Kio) Vu 2710 fois
Re: Alliance Galactique
La crise en une seule image
...........Cette photo exprime à elle seule l’ampleur de la crise économique que traverse le monde. Cette flotte impressionnante de pétroliers et de navires cargo est figée sur la mer de Chine, au large de Singapour. Vide de tout équipage et de toute cargaison.
La photo a été publiée le 28 septembre par le Daily Mail, qui l’appelle la “flotte fantôme de la récession”. A elle seule, elle est plus grande que les flottes américaine et britannique réunies. Sous l’oeil intrigué des pêcheurs locaux, ce rassemblement de bateaux est sans doute le plus important et le plus secret du monde. Habituellement, ces navires écument les mers et les océans du globe. Aujourd’hui, ils n’ont aucune destination.La crise a figé 12% du trafic maritime mondial. L’année passée, transporter un container d’acier de Chine jusqu’en Grande-Bretagne coûtait 850 £ (912 euros), prix du fuel non compris. Cette année, il n’en coûte plus que 180 £ (193 euros). Un expert prédit qu’en 2011, les chantiers navals n’auront tout simplement plus de navires à construire.
L’image de ces navires à l’arrêt est sans doute plus spectaculaire que n’importe quel graphique. Avec elle, la récession porte un visage.
...........Cette photo exprime à elle seule l’ampleur de la crise économique que traverse le monde. Cette flotte impressionnante de pétroliers et de navires cargo est figée sur la mer de Chine, au large de Singapour. Vide de tout équipage et de toute cargaison.
La photo a été publiée le 28 septembre par le Daily Mail, qui l’appelle la “flotte fantôme de la récession”. A elle seule, elle est plus grande que les flottes américaine et britannique réunies. Sous l’oeil intrigué des pêcheurs locaux, ce rassemblement de bateaux est sans doute le plus important et le plus secret du monde. Habituellement, ces navires écument les mers et les océans du globe. Aujourd’hui, ils n’ont aucune destination.La crise a figé 12% du trafic maritime mondial. L’année passée, transporter un container d’acier de Chine jusqu’en Grande-Bretagne coûtait 850 £ (912 euros), prix du fuel non compris. Cette année, il n’en coûte plus que 180 £ (193 euros). Un expert prédit qu’en 2011, les chantiers navals n’auront tout simplement plus de navires à construire.
L’image de ces navires à l’arrêt est sans doute plus spectaculaire que n’importe quel graphique. Avec elle, la récession porte un visage.
- Fichiers joints
-
- article-1212013-06435781000005dc-710_634x403.jpg (35.15 Kio) Vu 2706 fois
Re: Alliance Galactique
Incident nucléaire au CEA : «une affaire sérieuse»
Les quantités de poudre de plutonium déposées à l'intérieur de l'ATPu étaient cinq fois plus importantes que celles initialement calculées par ses ingénieurs avant le démantèlement (ATPu) basé à Cadarache continue de faire des vagues. «C'est une affaire sérieuse que l'ASN (l'Autorité de sûreté nucléaire) a traité avec sérieux», a souligné Marie-Pierre Comets, commissaire de l'ASN, lors de son audition par la commission du développement durable et de l'aménagement du territoire de l'Assemblée nationale.
Le 5 octobre dernier, le Commissariat à l'énergie atomique (CEA) et Areva ont informé l'ASN que les quantités de poudre de plutonium déposées à l'intérieur de l'ATPu étaient cinq fois plus importantes que celles initialement calculées par ses ingénieurs avant le démantèlement (39 kg au lieu de 8 kg). Le CEA avait fait ce constat dès le mois de juillet dernier, mais, contrairement à la réglementation, il a attendu trois mois et demi avant d'en avertir l'ASN.
L'ASN a classé cet incident au niveau 2 de l'échelle Ines, qui en compte 8, et a immédiatement décidé de stopper toute opération de démantèlement. En effet, le plutonium est une matière radioactive qui présente un risque de réaction en chaîne en présence d'eau ou de produits hydrogénés (risque de criticité). Un risque imprévisible et difficile à contrôler, sans impact sur l'environnement mais qui, en revanche, peut mettre en danger la vie du personnel. Or, dans l'une des boîtes à gants de l'ATPu avec lesquels les employés du CEA mélangeaient les poudres d'uranium et de plutonium pour fabriquer du Mox, les inspecteurs de l'ASN et les experts de l'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) ont évalué la masse de plutonium à près de 10 kg. Il aurait suffi de 11 kg pour qu'un accident de criticité puisse se produire.
Mercredi, l'ASN a été auditionnée à l'Assemblée nationale. Les députés, qui ont fait part de leur inquiétude, devraient entendre prochainement les industriels mis en cause - le CEA et Areva. Ils pourraient lancer une commission d'enquête parlementaire. «Cette affaire révèle une erreur d'appréciation, une série de dysfonctionnements et un manque de réactivité de la part du CEA qui aurait pu entraîner une réaction catastrophique», a estimé Serge Grouard, député UMP du Loiret.
Le voile n'est pas levé
L'affaire est aussi entre les mains de la justice. L'ASN a adressé le procès-verbal du retard d'information du CEA au procureur de la République d'Aix-en-Provence qui a ouvert une enquête préliminaire. Le dossier est complexe et les explications de l'ASN n'ont pas levé le voile. Beaucoup de questions restent en suspens. Comment le CEA a-t-il pu sous-évaluer les dépôts de plutonium dans de telles proportions ? Pourquoi n'a-t-il pas averti immédiatement l'ASN ?
Autre question essentielle : le risque de criticité était-il réel ? Difficile à savoir pour l'heure. Le CEA assure que non. Comme l'exige la réglementation, en effet, toutes les modalités de démantèlement de l'ATPu prévoient de nombreuses marges de sécurité. L'ASN et l'IRSN s'accordent pourtant pour dire que ces marges ont été dangereusement grignotées à l'ATPu. L'autorisation de démantèlement d'une installation nucléaire suit toujours le même parcours. Les procédures sont proposées par l'industriel lui-même, vérifiées ensuite par les experts de l'IRSN et autorisées au final par l'ASN. Elles sont calculées par le logiciel Cristal mis au point conjointement par l'IRSN, le CEA et Areva, qui intègre toute une série de données sur le risque de criticité et des expériences internationales.
Les quantités de poudre de plutonium déposées à l'intérieur de l'ATPu étaient cinq fois plus importantes que celles initialement calculées par ses ingénieurs avant le démantèlement (ATPu) basé à Cadarache continue de faire des vagues. «C'est une affaire sérieuse que l'ASN (l'Autorité de sûreté nucléaire) a traité avec sérieux», a souligné Marie-Pierre Comets, commissaire de l'ASN, lors de son audition par la commission du développement durable et de l'aménagement du territoire de l'Assemblée nationale.
Le 5 octobre dernier, le Commissariat à l'énergie atomique (CEA) et Areva ont informé l'ASN que les quantités de poudre de plutonium déposées à l'intérieur de l'ATPu étaient cinq fois plus importantes que celles initialement calculées par ses ingénieurs avant le démantèlement (39 kg au lieu de 8 kg). Le CEA avait fait ce constat dès le mois de juillet dernier, mais, contrairement à la réglementation, il a attendu trois mois et demi avant d'en avertir l'ASN.
L'ASN a classé cet incident au niveau 2 de l'échelle Ines, qui en compte 8, et a immédiatement décidé de stopper toute opération de démantèlement. En effet, le plutonium est une matière radioactive qui présente un risque de réaction en chaîne en présence d'eau ou de produits hydrogénés (risque de criticité). Un risque imprévisible et difficile à contrôler, sans impact sur l'environnement mais qui, en revanche, peut mettre en danger la vie du personnel. Or, dans l'une des boîtes à gants de l'ATPu avec lesquels les employés du CEA mélangeaient les poudres d'uranium et de plutonium pour fabriquer du Mox, les inspecteurs de l'ASN et les experts de l'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) ont évalué la masse de plutonium à près de 10 kg. Il aurait suffi de 11 kg pour qu'un accident de criticité puisse se produire.
Mercredi, l'ASN a été auditionnée à l'Assemblée nationale. Les députés, qui ont fait part de leur inquiétude, devraient entendre prochainement les industriels mis en cause - le CEA et Areva. Ils pourraient lancer une commission d'enquête parlementaire. «Cette affaire révèle une erreur d'appréciation, une série de dysfonctionnements et un manque de réactivité de la part du CEA qui aurait pu entraîner une réaction catastrophique», a estimé Serge Grouard, député UMP du Loiret.
Le voile n'est pas levé
L'affaire est aussi entre les mains de la justice. L'ASN a adressé le procès-verbal du retard d'information du CEA au procureur de la République d'Aix-en-Provence qui a ouvert une enquête préliminaire. Le dossier est complexe et les explications de l'ASN n'ont pas levé le voile. Beaucoup de questions restent en suspens. Comment le CEA a-t-il pu sous-évaluer les dépôts de plutonium dans de telles proportions ? Pourquoi n'a-t-il pas averti immédiatement l'ASN ?
Autre question essentielle : le risque de criticité était-il réel ? Difficile à savoir pour l'heure. Le CEA assure que non. Comme l'exige la réglementation, en effet, toutes les modalités de démantèlement de l'ATPu prévoient de nombreuses marges de sécurité. L'ASN et l'IRSN s'accordent pourtant pour dire que ces marges ont été dangereusement grignotées à l'ATPu. L'autorisation de démantèlement d'une installation nucléaire suit toujours le même parcours. Les procédures sont proposées par l'industriel lui-même, vérifiées ensuite par les experts de l'IRSN et autorisées au final par l'ASN. Elles sont calculées par le logiciel Cristal mis au point conjointement par l'IRSN, le CEA et Areva, qui intègre toute une série de données sur le risque de criticité et des expériences internationales.
- Fichiers joints
-
- 3a2743bc-becd-11de-ac7d-909c07b01213.jpg (32.52 Kio) Vu 2701 fois
Re: Alliance Galactique
Des arbres artificiels contre le réchauffement climatique
Les scientifiques affirment que 100.000 arbres artificiels suffiraient pour capturer la plupart des émissions de CO2 de la Grande-Bretagne. Crédit : Institution of mechanical engineers Les éoliennes vont-elles bientôt avoir de nouveaux voisins ? Dans un rapport de l'Institut britannique de mécanique avancée (IMechE), des scientifiques préconisent la mise en place d'arbres artificiels pour enrayer les émissions de gaz à effet de serre. Actuellement au stade de «prototypes très avancés», ces machines réaliseraient un mécanisme relativement simple. A travers un filtre, elles capteraient le dioxyde de carbone qui, une fois retraité, pourrait ensuite être stocké au fond des océans, où sa densité plus importante que l'eau lui permettrait de rester bloqué. Seuls 5% du gaz capté serviraient à alimenter la machine.
Inventeur de ce projet, le professeur Klaus Lackner, éminent professeur de l'université de Columbia, affirme qu'un seul arbre synthétique ferait disparaître bien plus de dioxyde de carbone qu'un arbre végétal. Selon des estimations, la quantité de CO2 éliminée serait de 90.000 tonnes par an, soit l'équivalent des émissions de plus de 20.000 voitures. Et d'après le rapport de l'IMechE, 100.000 arbres artificiels suffiraient pour capturer toutes les émissions de logements, de transports et d'industries légères de la Grande-Bretagne. Les arbres pourraient être déployés à proximité de réserves de gaz ou de champs pétroliers pour utiliser les réseaux de circulation de gaz existants, ainsi qu'au bord des axes routiers pour faciliter la capture de CO2 provenant du trafic.
...............Coût évoqué : 13.600 euros par arbre
Les scientifiques affirment que 100.000 arbres artificiels suffiraient pour capturer la plupart des émissions de CO2 de la Grande-Bretagne. Crédit : Institution of mechanical engineers Les éoliennes vont-elles bientôt avoir de nouveaux voisins ? Dans un rapport de l'Institut britannique de mécanique avancée (IMechE), des scientifiques préconisent la mise en place d'arbres artificiels pour enrayer les émissions de gaz à effet de serre. Actuellement au stade de «prototypes très avancés», ces machines réaliseraient un mécanisme relativement simple. A travers un filtre, elles capteraient le dioxyde de carbone qui, une fois retraité, pourrait ensuite être stocké au fond des océans, où sa densité plus importante que l'eau lui permettrait de rester bloqué. Seuls 5% du gaz capté serviraient à alimenter la machine.
Inventeur de ce projet, le professeur Klaus Lackner, éminent professeur de l'université de Columbia, affirme qu'un seul arbre synthétique ferait disparaître bien plus de dioxyde de carbone qu'un arbre végétal. Selon des estimations, la quantité de CO2 éliminée serait de 90.000 tonnes par an, soit l'équivalent des émissions de plus de 20.000 voitures. Et d'après le rapport de l'IMechE, 100.000 arbres artificiels suffiraient pour capturer toutes les émissions de logements, de transports et d'industries légères de la Grande-Bretagne. Les arbres pourraient être déployés à proximité de réserves de gaz ou de champs pétroliers pour utiliser les réseaux de circulation de gaz existants, ainsi qu'au bord des axes routiers pour faciliter la capture de CO2 provenant du trafic.
...............Coût évoqué : 13.600 euros par arbre
- Fichiers joints
-
- ee4f14da-92fb-11de-aa12-1adfeffbfa2c.jpg (30.84 Kio) Vu 2700 fois
Re: Alliance Galactique
Israël veut se prémunir des attaques de missiles : Deux F 16 israéliens en configuration de combat, en juillet dernier, durant un exercice«Red Flag» conjoint avec des pilotes américains au-dessus de la base de Nellis, dans le Nevada Les plus importantes manœuvres antiaériennes israélo-américaines ont débuté mercredi Israël et les États-Unis ne lésinent pas sur les moyens lorsqu'il s'agit de lancer un avertissement sans frais à l'Iran. Quelque 2 000 militaires des deux pays participent depuis mercredi au plus important exercice antimissile jamais organisé en Israël. L'objectif est de tester les capacités d'interception en vol de missiles tirés à partir de l'Iran, de la Syrie ou du Liban. Détail important : le scénario retenu prévoit que ces engins pourraient être équipés de têtes nucléaires, chimiques ou bactériologiques Pour mener à bien leur mission, les responsables israéliens et américains vont mettre à l'épreuve pas moins de quatre systèmes de défense antimissiles, dont trois américains et un israélien plus sophistiqués les uns que les autres, mais qui n'ont pas encore subi un véritable baptême du feu. Ces équipements se présentent sous forme de batteries antimissiles installées à terre ou à bord de certains des dix-sept navires américains qui vont patrouiller le long des côtes méditerranéennes.L'exercice est censé permettre de coordonner l'action de ces systèmes afin de sanctuariser autant que possible l'ensemble du territoire israélien. Une tâche qui s'annonce ardue. Les Iraniens mettent en effet les bouchées doubles pour développer des missiles à longue portée Une course-poursuite sans fin
À la fin du mois dernier, ils ont ainsi présenté le Shihab 3, d'une portée de plus de 2 000 km capable d'atteindre Israël ainsi que les bases américaines dans le Golfe. Bref, une course-poursuite sans fin est engagée : les ingénieurs américains et israéliens tentant de trouver la parade à chaque fois que des Iraniens réussissent à franchir une nouvelle étape technologique Pour identifier le plus vite possible une menace, les États-Unis ont également installé à la fin de l'an dernier une station radar qui permet de détecter des missiles pratiquement dès leur mise à feu en Iran. Cette installation présentée comme le «cadeau d'adieu» de George Bush, constitue la première base permanente américaine sur le territoire israélien. Elle permet aux systèmes d'interception de missiles de disposer de plusieurs minutes supplémentaires pour capter et détruire en vol des missiles tout en permettant de déclencher l'alerte afin que la population civile ait le temps de se précipiter dans les abris.
Histoire de bien faire comprendre le message, Barack Obama a également fait parvenir une vidéo au président Shimon Pérès, qui patronne une conférence internationale à son nom, dans laquelle le président américain affirme que les relations entre les deux pays «vont plus loin qu'une alliance stratégique». Ce soutien s'est également exprimé par la présence à Jérusalem de Susan Rice, l'ambassadrice des États-Unis à l'ONU.
Certains responsables israéliens ne manquent toutefois pas d'expliquer en privé que ce déploiement de force américain pourrait être à double tranchant. Barack Obama veut rassurer Israël mais aussi convaincre Benyamin Nétanyahou de ne pas le mettre devant un fait accompli en lançant sans le feu vert explicite de Washington une attaque israélienne contre les installations nucléaires iraniennes
À la fin du mois dernier, ils ont ainsi présenté le Shihab 3, d'une portée de plus de 2 000 km capable d'atteindre Israël ainsi que les bases américaines dans le Golfe. Bref, une course-poursuite sans fin est engagée : les ingénieurs américains et israéliens tentant de trouver la parade à chaque fois que des Iraniens réussissent à franchir une nouvelle étape technologique Pour identifier le plus vite possible une menace, les États-Unis ont également installé à la fin de l'an dernier une station radar qui permet de détecter des missiles pratiquement dès leur mise à feu en Iran. Cette installation présentée comme le «cadeau d'adieu» de George Bush, constitue la première base permanente américaine sur le territoire israélien. Elle permet aux systèmes d'interception de missiles de disposer de plusieurs minutes supplémentaires pour capter et détruire en vol des missiles tout en permettant de déclencher l'alerte afin que la population civile ait le temps de se précipiter dans les abris.
Histoire de bien faire comprendre le message, Barack Obama a également fait parvenir une vidéo au président Shimon Pérès, qui patronne une conférence internationale à son nom, dans laquelle le président américain affirme que les relations entre les deux pays «vont plus loin qu'une alliance stratégique». Ce soutien s'est également exprimé par la présence à Jérusalem de Susan Rice, l'ambassadrice des États-Unis à l'ONU.
Certains responsables israéliens ne manquent toutefois pas d'expliquer en privé que ce déploiement de force américain pourrait être à double tranchant. Barack Obama veut rassurer Israël mais aussi convaincre Benyamin Nétanyahou de ne pas le mettre devant un fait accompli en lançant sans le feu vert explicite de Washington une attaque israélienne contre les installations nucléaires iraniennes
- Fichiers joints
-
- f4069bc2-be7b-11de-ae22-0dfae99a5dc9.jpg (20.98 Kio) Vu 2708 fois
Re: Alliance Galactique
Pas de chiens renifleurs de drogue français en Iran Petites mesquineries franco-iraniennes : la liste s’allonge ! Cette fois-ci, c’est Paris qui est à la manœuvre.
En représailles à la « mauvaise volonté » de Téhéran sur le dossier nucléaire, la France vient de reporter à une date indéterminée la livraison de dix chiens renifleurs de drogue, promise à la police iranienne en charge de la lutte contre les stupéfiants, un véritable fléau en République islamique.
Dans une lettre en date du 5 octobre, le représentant à Téhéran de l’agence des Nations unies contre la Drogue et le Crime (UNODC), Antonino De Leo, a informé Téhéran d’un courrier qu’il venait de recevoir de CIVIPOL, la société de conseils et de services du ministère de l’Intérieur français.
Que disait ce courrier ? Qu’en raison « de la récente tension politique entre la France et l’Iran, l’ambassade de France à Téhéran en coordination avec le ministère des Affaires étrangères (à Paris) avait donné instruction à CIVIPOL », donc au ministère français de l’Intérieur, de reporter cette livraison, promise pourtant depuis un certain temps.
Les Iraniens sont furieux. Les trafiquants de drogue pénètrent sur leur territoire à partir de l’Afghanistan voisine. Ils participent à la déstabilisation de la région limitrophe du Sistan-Balouchistan, où les rebelles sunnites sont puissants. Dimanche, ils ont perpétré un attentat extrêmement meurtrier contre les Gardiens de la révolution, tuant plusieurs d’entre eux, dont un de leurs hauts responsables.
Mais depuis des mois, sur fond de tension nucléaire, la relation entre Paris et Téhéran est exécrable. Le président Nicolas Sarkozy critique sévèrement l’Iran, en particulier depuis l’ élection « truquée » du 12 juin, qui a vu Mahmoud Ahmadinejad se succéder à lui-même à la Présidence de la république.
L’Iran, de son côté, n’a pas hésité à détenir pendant 40 jours la chercheuse Clotilde Reiss, qui est actuellement confinée à l’ambassade de France à Téhéran, dans l’attente de son jugement. Et la petite histoire de ces mesquineries n’est sans doute pas finie.
En représailles à la « mauvaise volonté » de Téhéran sur le dossier nucléaire, la France vient de reporter à une date indéterminée la livraison de dix chiens renifleurs de drogue, promise à la police iranienne en charge de la lutte contre les stupéfiants, un véritable fléau en République islamique.
Dans une lettre en date du 5 octobre, le représentant à Téhéran de l’agence des Nations unies contre la Drogue et le Crime (UNODC), Antonino De Leo, a informé Téhéran d’un courrier qu’il venait de recevoir de CIVIPOL, la société de conseils et de services du ministère de l’Intérieur français.
Que disait ce courrier ? Qu’en raison « de la récente tension politique entre la France et l’Iran, l’ambassade de France à Téhéran en coordination avec le ministère des Affaires étrangères (à Paris) avait donné instruction à CIVIPOL », donc au ministère français de l’Intérieur, de reporter cette livraison, promise pourtant depuis un certain temps.
Les Iraniens sont furieux. Les trafiquants de drogue pénètrent sur leur territoire à partir de l’Afghanistan voisine. Ils participent à la déstabilisation de la région limitrophe du Sistan-Balouchistan, où les rebelles sunnites sont puissants. Dimanche, ils ont perpétré un attentat extrêmement meurtrier contre les Gardiens de la révolution, tuant plusieurs d’entre eux, dont un de leurs hauts responsables.
Mais depuis des mois, sur fond de tension nucléaire, la relation entre Paris et Téhéran est exécrable. Le président Nicolas Sarkozy critique sévèrement l’Iran, en particulier depuis l’ élection « truquée » du 12 juin, qui a vu Mahmoud Ahmadinejad se succéder à lui-même à la Présidence de la république.
L’Iran, de son côté, n’a pas hésité à détenir pendant 40 jours la chercheuse Clotilde Reiss, qui est actuellement confinée à l’ambassade de France à Téhéran, dans l’attente de son jugement. Et la petite histoire de ces mesquineries n’est sans doute pas finie.
Re: Alliance Galactique
L'Iran isole la France et préserve son projet nucléaire Téhéran a demandé mardi à Paris de quitter les négociations de Vienne. Qui, de ce fait, ont été suspendues Les frictions entre Paris et Téhéran ont «plombé» mardi les négociations de Vienne censées organiser l'enrichissement de l'uranium iranien hors des frontières du pays. À la reprise des pourparlers, entamés la veille, l'ambassadeur iranien à l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Ali Asghar Soltanieh, a notifié aux représentants des États-Unis et de la Russie son refus de poursuivre les discussions avec la délégation française, dirigée par le gouverneur auprès de l'Agence, Frédéric Mondoloni. Français et Iraniens ont ensuite quitté ensemble la salle de réunion, sans faire le moindre commentaire. Avec toutefois à la main le texte d'une ébauche d'accord que les uns et les autres sont allés peaufiner dans leur quartier général respectif, des pièces contiguës donnant sur un long couloir.
«Y a-t-il un problème français ?» Interpellé sur le seuil de la salle de réunion par une meute de journalistes, l'Iranien Ali Asghar Soltanieh esquisse un léger sourire, mais reste muet. À Téhéran, un peu plus tôt, le chef de la diplomatie iranienne a jeté un froid en officialisant les propos peu amènes visant la France et répercutés la veille par des médias arabes. Il n'y a «aucune raison pour la France d'être présente» à la réunion, a déclaré hier Manouchehr Mottaki. Selon ces critiques, Paris n'aurait pas tenu ses engagements avec l'Iran en matière de collaboration nucléaire, une allusion au vieux différend concernant le consortium Eurodif créé à l'époque du chah dans les années 1970.
Un «droit inaliénable»
Au-delà de ce prétexte, l'Iran fait de toute évidence payer à la France son intransigeance. Les déclarations de Nicolas Sarkozy, en septembre, enjoignant l'Iran à collaborer sur son programme nucléaire avant la fin de l'année, sous peine de nouvelles sanctions, incitent manifestement Téhéran à viser la France pour semer la division parmi les puissances. Selon l'«accord de principe» passé le 1er octobre à Genève entre la communauté internationale et l'Iran, celui-ci était censé exporter une large partie de son stock enrichi à 3,5 %, soit 1 200 kg, en Russie pour y être réenrichi à 20 %, puis en France pour la fabrication de combustible nucléaire destiné au réacteur expérimental de Téhéran à des fins médicales. Mais accord ou pas, ont répété les Iraniens hier pour accentuer la pression, cela ne remettrait pas en question leur «droit inaliénable» à enrichir l'uranium.
«C'est une réunion d'experts, à laquelle nous participons, les discussions se poursuivent», a déclaré hier le porte-parole du Quai d'Orsay, Bernard Valeron, en se refusant de répondre aux «commentaires» iraniens. Côté français, on s'est efforcé de banaliser les saillies de Téhéran, jugées par un diplomate comme ressortant du «jeu habituel du chat et de la souris» dans lequel les Iraniens sont passés maîtres. À Paris, on indiquait également que Téhéran «a besoin de la France» pour la fabrication du combustible nucléaire destiné à son réacteur de recherche, les Américains étant contraints par les restrictions votées, ces dernières années, par le Congrès pour limiter les échanges avec l'Iran.
Mardi après-midi à Vienne, les négociations à quatre (France, États-Unis, Russie, AIEA) n'avaient pas repris. Vers 17 heures, les diplomates français et américains se sont enfermés dans une pièce. Rien n'a filtré de leurs discussions. Il est toutefois envisageable que l'objectif iranien était, mardi à Vienne, de tenter d'amener vers eux les représentants des États-Unis pour un dialogue privilégié, au détriment de leurs homologues français. Un pas que Washington n'est pas diplomatiquement en mesure de franchir, même si certains, au sein de l'Administration Obama, commencent à s'agacer de voir la France en pointe pour contrer l'Iran.
«Y a-t-il un problème français ?» Interpellé sur le seuil de la salle de réunion par une meute de journalistes, l'Iranien Ali Asghar Soltanieh esquisse un léger sourire, mais reste muet. À Téhéran, un peu plus tôt, le chef de la diplomatie iranienne a jeté un froid en officialisant les propos peu amènes visant la France et répercutés la veille par des médias arabes. Il n'y a «aucune raison pour la France d'être présente» à la réunion, a déclaré hier Manouchehr Mottaki. Selon ces critiques, Paris n'aurait pas tenu ses engagements avec l'Iran en matière de collaboration nucléaire, une allusion au vieux différend concernant le consortium Eurodif créé à l'époque du chah dans les années 1970.
Un «droit inaliénable»
Au-delà de ce prétexte, l'Iran fait de toute évidence payer à la France son intransigeance. Les déclarations de Nicolas Sarkozy, en septembre, enjoignant l'Iran à collaborer sur son programme nucléaire avant la fin de l'année, sous peine de nouvelles sanctions, incitent manifestement Téhéran à viser la France pour semer la division parmi les puissances. Selon l'«accord de principe» passé le 1er octobre à Genève entre la communauté internationale et l'Iran, celui-ci était censé exporter une large partie de son stock enrichi à 3,5 %, soit 1 200 kg, en Russie pour y être réenrichi à 20 %, puis en France pour la fabrication de combustible nucléaire destiné au réacteur expérimental de Téhéran à des fins médicales. Mais accord ou pas, ont répété les Iraniens hier pour accentuer la pression, cela ne remettrait pas en question leur «droit inaliénable» à enrichir l'uranium.
«C'est une réunion d'experts, à laquelle nous participons, les discussions se poursuivent», a déclaré hier le porte-parole du Quai d'Orsay, Bernard Valeron, en se refusant de répondre aux «commentaires» iraniens. Côté français, on s'est efforcé de banaliser les saillies de Téhéran, jugées par un diplomate comme ressortant du «jeu habituel du chat et de la souris» dans lequel les Iraniens sont passés maîtres. À Paris, on indiquait également que Téhéran «a besoin de la France» pour la fabrication du combustible nucléaire destiné à son réacteur de recherche, les Américains étant contraints par les restrictions votées, ces dernières années, par le Congrès pour limiter les échanges avec l'Iran.
Mardi après-midi à Vienne, les négociations à quatre (France, États-Unis, Russie, AIEA) n'avaient pas repris. Vers 17 heures, les diplomates français et américains se sont enfermés dans une pièce. Rien n'a filtré de leurs discussions. Il est toutefois envisageable que l'objectif iranien était, mardi à Vienne, de tenter d'amener vers eux les représentants des États-Unis pour un dialogue privilégié, au détriment de leurs homologues français. Un pas que Washington n'est pas diplomatiquement en mesure de franchir, même si certains, au sein de l'Administration Obama, commencent à s'agacer de voir la France en pointe pour contrer l'Iran.
Re: Alliance Galactique
Bonjour tous les mondes,
Bonjour Aurora,dis nous avec quoi tu prends ton petit déjeuner,du C4 ?
Bise

Bonjour Aurora,dis nous avec quoi tu prends ton petit déjeuner,du C4 ?

Bise
- Fichiers joints
-
- normal_z_145_1%5B1%5D.jpg (30.81 Kio) Vu 2695 fois
Re: Alliance Galactique
Grippe A/H1N1 : le plan de vaccination est prêt
La campagne de vaccination contre le virus de la grippe H1N1 commence Mardi 20 Octobre 2009 pour le personnel hospitalier prioritaire, vacciné sur son lieu de travail, et "après les vacances de la Toussaint" pour les autres, a annoncé Lundi 19 Octobre le ministère de la Santé(1).
Les opérations de vaccination sont organisées en ZONES DE DÉFENSE sur le mode d'activation du dispositif ORSEC et le préfet prend la direction des opérations de secours (DOS). A ce sujet, le Journal nice-matin du Vendredi 16 Octobre 2009 précise : Les vaccins en Zone de défense(2). La France est sectorialisée en 7 ZONES DE DÉFENSE (Bordeaux, Lille, Lyon, Marseille, Metz, Paris et Rennes.
Un préfet délégué à la sécurité et à la défense, assisté d'un chef d'Etat Major, est nommé auprès du préfet de zone pour assurer la direction de l’Etat Major de Zone, du service de zone des systèmes d’information et de communication et du secrétariat général pour l’administration de la police(3).
Aussi, le Journal nice-matin du Vendredi 16 Octobre 2009 indique que les écoliers et la communauté éducative seront directement vacciner dans les établissements scolaires sans convocation.
Nos enfants seront soumis à une vaccination OBLIGATOIRE.
En plus, toujours d’après le Journal nice-matin du Vendredi 16 Octobre 2009, le dispositif peut être amené à évoluer.
Il faut savoir que la mise en place des ZONES DE DÉFENSE permettent, avec l'Alerte de Niveau 6 et les directives de l'OMS, la Militarisation du territoire national et l’établissement d’un Véritable État d’exception.
A ce sujet, la circulaire du Préfet de la Marne du 12 Février 2006 concernant l’Action des maires dans la gestion d’une crise sanitaire majeure de type « pandémie grippale » est trés contraignante pour la population(4):
- la fermeture ou le contrôle des frontières
- l’arrêt des transports publics de passagers
- la restriction des déplacements (déplacements individuels, isolements, cordons sanitaires..)
- la suspension des rassemblements de population
- la fermeture des établissements scolaires et des crèches
- la limitation de toutes les manifestations (spectacles, rencontres sportives, foires et salons
- (etc)
Plus réjouissant aussi et pour information, les “Opérations funéraires” (!)de cette même circulaire insiste sur :
- l’identification des sites pouvant recevoir des corps sans mise en bière (fosses communes)
- le recensement des sites de stockage de cercueils
- la réalisation d’un annuaire avec les coordonnées des entreprises de pompes funèbres .
Une autre circulaire, plus récente, du 10 septembre 2009, adressée aux personnels civils et militaires de la gendarmerie nationale indique que les familles des personnels, comme les autres citoyens, seront convoquées pour la vaccinations(5).
Cependant, en Alerte Niveau 6, l’OMS peut prendre le Contrôle de la situation sanitaire avec les 7 ZONES DE DÉFENSE en France et peut imposer, suivant les cas, des mises en quarantaine et sûrement la vaccination forcée.
De plus, une Justice d’exception peut être mise en place. Enfin, concernant la vaccination forcée et d’après le témoignage d’un ancien directeur du CNRS, M. JP Petit, les militaires français stationnés dans les territoires et département des DOM-TOM auraient reçu l'ordre de se preparer aux vaccinations forcées et aux arrestations de manifestants(6).
vaccins-et-zones-de-defense_
http://www.nicematin.com/ra/cotedazur/2 ... n-est-pret


La campagne de vaccination contre le virus de la grippe H1N1 commence Mardi 20 Octobre 2009 pour le personnel hospitalier prioritaire, vacciné sur son lieu de travail, et "après les vacances de la Toussaint" pour les autres, a annoncé Lundi 19 Octobre le ministère de la Santé(1).
Les opérations de vaccination sont organisées en ZONES DE DÉFENSE sur le mode d'activation du dispositif ORSEC et le préfet prend la direction des opérations de secours (DOS). A ce sujet, le Journal nice-matin du Vendredi 16 Octobre 2009 précise : Les vaccins en Zone de défense(2). La France est sectorialisée en 7 ZONES DE DÉFENSE (Bordeaux, Lille, Lyon, Marseille, Metz, Paris et Rennes.
Un préfet délégué à la sécurité et à la défense, assisté d'un chef d'Etat Major, est nommé auprès du préfet de zone pour assurer la direction de l’Etat Major de Zone, du service de zone des systèmes d’information et de communication et du secrétariat général pour l’administration de la police(3).
Aussi, le Journal nice-matin du Vendredi 16 Octobre 2009 indique que les écoliers et la communauté éducative seront directement vacciner dans les établissements scolaires sans convocation.
Nos enfants seront soumis à une vaccination OBLIGATOIRE.
En plus, toujours d’après le Journal nice-matin du Vendredi 16 Octobre 2009, le dispositif peut être amené à évoluer.
Il faut savoir que la mise en place des ZONES DE DÉFENSE permettent, avec l'Alerte de Niveau 6 et les directives de l'OMS, la Militarisation du territoire national et l’établissement d’un Véritable État d’exception.
A ce sujet, la circulaire du Préfet de la Marne du 12 Février 2006 concernant l’Action des maires dans la gestion d’une crise sanitaire majeure de type « pandémie grippale » est trés contraignante pour la population(4):
- la fermeture ou le contrôle des frontières
- l’arrêt des transports publics de passagers
- la restriction des déplacements (déplacements individuels, isolements, cordons sanitaires..)
- la suspension des rassemblements de population
- la fermeture des établissements scolaires et des crèches
- la limitation de toutes les manifestations (spectacles, rencontres sportives, foires et salons
- (etc)
Plus réjouissant aussi et pour information, les “Opérations funéraires” (!)de cette même circulaire insiste sur :
- l’identification des sites pouvant recevoir des corps sans mise en bière (fosses communes)
- le recensement des sites de stockage de cercueils
- la réalisation d’un annuaire avec les coordonnées des entreprises de pompes funèbres .
Une autre circulaire, plus récente, du 10 septembre 2009, adressée aux personnels civils et militaires de la gendarmerie nationale indique que les familles des personnels, comme les autres citoyens, seront convoquées pour la vaccinations(5).
Cependant, en Alerte Niveau 6, l’OMS peut prendre le Contrôle de la situation sanitaire avec les 7 ZONES DE DÉFENSE en France et peut imposer, suivant les cas, des mises en quarantaine et sûrement la vaccination forcée.
De plus, une Justice d’exception peut être mise en place. Enfin, concernant la vaccination forcée et d’après le témoignage d’un ancien directeur du CNRS, M. JP Petit, les militaires français stationnés dans les territoires et département des DOM-TOM auraient reçu l'ordre de se preparer aux vaccinations forcées et aux arrestations de manifestants(6).
vaccins-et-zones-de-defense_
http://www.nicematin.com/ra/cotedazur/2 ... n-est-pret
- Fichiers joints
-
- zonesdef.gif (38.05 Kio) Vu 2693 fois
Re: Alliance Galactique
http://www.nord-pas-de-calais.pref.gouv ... defense%2F
http://www.marne.pref.gouv.fr/sections/ ... ippale.pdf
http://oulala.centerblog.net/227-vaccin ... s-dom-tom-
Kikou Marc je ne déjeune jamais depuis des années
bisous
http://www.marne.pref.gouv.fr/sections/ ... ippale.pdf
http://oulala.centerblog.net/227-vaccin ... s-dom-tom-
Kikou Marc je ne déjeune jamais depuis des années

bisous
