Bonjour à tous et toutes.
OHM vous accompagne dans le mouvement, la force et la vie du WAAM-WAAM.
ALLIANCE GALACTIQUE
Modérateur : Admin
Re: ALLIANCE GALACTIQUE
bonjour humble YOTAbE
une relation avec les deux arcs ummites ?
une relation avec les deux arcs ummites ?
Modifié en dernier par AJA le 15 janv. 2011, 16:36, modifié 1 fois.
la création est une symphonie dont nous sommes les musiciens , mais que signifie-t-elle sans son compositeur source de toute Vie ?
Re: ALLIANCE GALACTIQUE
ma main sur ton honorable poitrine malheureusement de façon virtuelle frère aimé YOTAbE
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Modifié en dernier par AJA le 15 janv. 2011, 16:14, modifié 1 fois.
la création est une symphonie dont nous sommes les musiciens , mais que signifie-t-elle sans son compositeur source de toute Vie ?
Re: ALLIANCE GALACTIQUE
Matière, ADN, espèces, cellules du cerveau : ce que nous ne savons pas
96 % de l’Univers est constitué d’éléments inconnus. 23% est constitué de matière noire qui est seulement détectable par ses effets gravitationnels et 73% est de l’énergie noire qui semble jouer un grand rôle dans l’accélération de l’expansion de l’Univers. La matière ordinaire (les étoiles, les galaxies, les planète, nous) représente seulement 4% de l’Univers.
12500 : nombre approximatif de gènes dans le génome humain dont la fonction reste indéterminée. Cela représente environ 5°% du total estimé de gènes codant les protéines. Et les gènes ne représentent que 2% du génome humain. Des portions restantes aident à réguler l’activité des gènes. Environ 3,5% de notre génome consiste en de l’ADN non codant (qui ne code pas les protéines) dont la fonction est inconnue.
5 millions : Estimation basse du nombre d’espèces non décrites sur la planète; leur nombre pourrait être aussi élevé que 50 millions. Seulement 1,9 millions d’espèces ont reçu un nom scientifique. Un grand nombre de bactéries, insectes et créatures des profondeurs marines reste non décrit. On pense que les espèces vivantes aujourd’hui représentent moins de 1% de celles ayant vécu.
85 millions : nombre estimé de cellules du cerveau humain qui ne sont pas des neurones, selon une étude de neuroscientifiques brésiliens (qui date de 2009). Les neurones représentent moins de 50% de toutes les cellules du cerveau. Les chercheurs n’ont commencé que récemment à cataloguer les fonctions des cellules restantes connues sous le nom de gliales. Elles pourraient jouer un rôle crucial dans la création d’une substance appelée myéline qui permet l’isolation des neurones; digérer et nettoyer les cellules mortes du cerveau; et aider à former et maintenir les points de connexion entre les neurones et les autres cellules.
http://guydoyen.fr/2011/01/15/matiere-a ... avons-pas/
96 % de l’Univers est constitué d’éléments inconnus. 23% est constitué de matière noire qui est seulement détectable par ses effets gravitationnels et 73% est de l’énergie noire qui semble jouer un grand rôle dans l’accélération de l’expansion de l’Univers. La matière ordinaire (les étoiles, les galaxies, les planète, nous) représente seulement 4% de l’Univers.
12500 : nombre approximatif de gènes dans le génome humain dont la fonction reste indéterminée. Cela représente environ 5°% du total estimé de gènes codant les protéines. Et les gènes ne représentent que 2% du génome humain. Des portions restantes aident à réguler l’activité des gènes. Environ 3,5% de notre génome consiste en de l’ADN non codant (qui ne code pas les protéines) dont la fonction est inconnue.
5 millions : Estimation basse du nombre d’espèces non décrites sur la planète; leur nombre pourrait être aussi élevé que 50 millions. Seulement 1,9 millions d’espèces ont reçu un nom scientifique. Un grand nombre de bactéries, insectes et créatures des profondeurs marines reste non décrit. On pense que les espèces vivantes aujourd’hui représentent moins de 1% de celles ayant vécu.
85 millions : nombre estimé de cellules du cerveau humain qui ne sont pas des neurones, selon une étude de neuroscientifiques brésiliens (qui date de 2009). Les neurones représentent moins de 50% de toutes les cellules du cerveau. Les chercheurs n’ont commencé que récemment à cataloguer les fonctions des cellules restantes connues sous le nom de gliales. Elles pourraient jouer un rôle crucial dans la création d’une substance appelée myéline qui permet l’isolation des neurones; digérer et nettoyer les cellules mortes du cerveau; et aider à former et maintenir les points de connexion entre les neurones et les autres cellules.
http://guydoyen.fr/2011/01/15/matiere-a ... avons-pas/
la création est une symphonie dont nous sommes les musiciens , mais que signifie-t-elle sans son compositeur source de toute Vie ?
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kithia
Re: ALLIANCE GALACTIQUE
Pour voyager au sein du système dimensionnelle du WAAM-wAAM, il est nécéssaire d'avoir un bon équipement.
Re: ALLIANCE GALACTIQUE
L'hécatombe des carouges à épaulettes, vers l'apocalypse aviaire
la "pluie" de carouges à épaulettes en Arkansas, la mort de tourterelles en Italie, de pigeons au Canada, d’étourneaux en Roumanie et de choucas en Suède, ce n’est pas encore une prémisse de l’apocalypse aviaire, selon les ornithologues qui ont participé à la conférence de presse à RIA Novosti. Parler de "péril de masse menaçant les oiseaux", serait exagéré, il ne faut pas dramatiser. Mais il est certainement temps de se pencher sur les difficultés de la vie des oiseaux.
Il serait erroné de réduire au même dénominateur les cas de mort des oiseaux en Europe et en Amérique du Nord, déclarent les scientifiques. Les explosions pyrotechniques qui ont désorienté les animaux auraient pu être la cause de la mort de 3.000 oiseaux en Arkansas, estime le professeur de biogéographie de la faculté géographique de l’Université de Moscou, Vladimir Galouchine. En tentant de fuir les pétards et les feux d’artifices, les oiseaux effrayés auraient pu percuter les arbres, les lignes à haute tension, les maisons et les véhicules.
Toutefois, le "secret des carouges à épaulettes" demeure une énigme. Les ornithologues qualifient toujours ce cas de mystérieux. Certaines rumeurs sont mêmes parues dans la presse concernant l’empoisonnement des oiseaux par le phosgène, un agent militaire asphyxique, dont les réservoirs seraient enterrés en Arkansas. Quoi qu’il en soit, selon les scientifiques russes, il est nécessaire d’étudier cette catastrophe ornithologique très minutieusement.
Les tourterelles en Italie sont mortes d'une surconsommation de déchets de graines de tournesol. En Roumanie, les oiseaux se seraient empoisonnés avec de la pulpe de raisin fermentée, estime le président de l’Union de protection des oiseaux, Viktor Zoubakine. Il y a déjà eu des précédents. Par exemple, à Moscou les jaseurs ont déjà été intoxiqués par des baies de sorbier fermentées. Pendant l'hiver les baies gèlent, et elles fermentent lorsque les températures remontent.
En fait, des "intoxications" de ce genre sont tout à fait probables cet hiver. En principe, l’hiver est la période la plus difficile pour les oiseaux. La glace qui a emprisonné les arbres fin décembre a rendu difficile l’accès à la nourriture pour les oiseaux, par exemple aux insectes qui se sont réfugiés sous l’écorce. A Zvenigorod, a fait remarquer l’ornithologue Leonid Sokolov, le froid a privé de nourriture les grimpereaux de la famille des passereaux. Les grandes mésanges n’ont pas réussi à trouver de la nourriture en raison de l'épaisseur de la couche de neige.
Et l’été 2010 n’a pas épargné les oiseaux en Russie. Les ornithologues n’ont toujours pas évalué le nombre d’oiseaux qui avaient péri en raison de la canicule et de la fumée des incendies de forêt. Les oiseaux ont commencé à mourir dès la baisse des températures: le stress dû au changement de la météo est venu s’ajouter aux maladies et aux empoisonnements qui ont frappé les oiseaux.
En fait, les zoologues ont supposé à plusieurs reprises que les changements climatiques pourraient être l’une des causes de la mort des oiseaux. Et ces derniers ne sont pas les seules victimes. Par exemple, les crabes et les poissons meurent des brusques variations de température de l’eau. De ce fait, les oiseaux de rivage sont privés de nourriture et partent chercher de la nourriture ailleurs en abandonnant leurs petits.
Cependant, hormis les changements de température, les oiseaux sont sensibles aux fluctuations magnétiques. Pendant la migration ils s’orientent sur des courants magnétiques. Les carouges auraient pu périr en raison de "tempêtes magnétiques ou de tests d'équipements techniques", fait remarquer Vladimir Galouchine. Toutefois, selon lui, il existe très probablement certains phénomènes "mondiaux" qui affectent toutes les créatures.
Le responsable de la station ornithologique dans l’isthme de Courlande (région russe de Kaliningrad) Kazimir Bolchakov a souligné que l’homme est en grande partie responsable de la mort des oiseaux. L’éclairage artificiel des zones autour des villes, notamment par temps humide, lorsque la visibilité est restreinte, désorientent les oiseaux, et ils se mettent à percuter les immeubles, les cheminées industrielles et les relais de téléphonie. On dénombre des dizaines de millions de morts d’oiseaux par an. Les oiseaux perdant leurs repères percutent les surfaces vitrées, étant incapables de les voir en tant qu’obstacle. Beaucoup d’oiseaux meurent sur les lignes à haute tension par temps humide.
Les oiseaux sont percutés par les voitures sur les autoroutes. Le pic des décès est observé pendant la migration et lorsque les petits quittent activement leurs nids, fait remarquer Roustam Saguitov, directeur du Fonds baltique de la nature. Et plus les routes et les véhicules sont rapides, plus il y a d’oiseaux tués. "L’évolution des oiseaux n’arrivent pas à suivre celle de la civilisation", conclut M. Saguitov.
Toutefois, tout n’est pas si dramatique dans la vie des oiseaux, en particulier dans la capitale. Les oiseaux passent de plus en plus souvent l’hiver à Moscou. Par exemple, les colverts et trois espèces de goélands (il reste de nombreux plans d'eau dans la ville), ainsi que les merles. A Moscou il existe un programme de repopulation des pèlerins. Ces oiseaux ont vécu à une époque dans les clochers de l’ancien Moscou. A Saint-Pétersbourg "on note l’apparition de balbuzards, ainsi que des éperviers autours, qui sont en principe des oiseaux plutôt sauvages", explique Roustam Saguitov.
Quoi qu’il en soit, les ornithologues évitent la discussion sur l'évolution précise de la vie des oiseaux. Il n’existe pas encore de monitorage ornithologique en Russie. Cependant, même si c’était le cas, l'analyse des résultats nécessiterait plusieurs décennies. Pendant ce temps, les oiseaux continueront à vivre dans les villes, livrés à eux-mêmes.
?
http://www.alterinfo.net/L-hecatombe-de ... 53844.html
la "pluie" de carouges à épaulettes en Arkansas, la mort de tourterelles en Italie, de pigeons au Canada, d’étourneaux en Roumanie et de choucas en Suède, ce n’est pas encore une prémisse de l’apocalypse aviaire, selon les ornithologues qui ont participé à la conférence de presse à RIA Novosti. Parler de "péril de masse menaçant les oiseaux", serait exagéré, il ne faut pas dramatiser. Mais il est certainement temps de se pencher sur les difficultés de la vie des oiseaux.
Il serait erroné de réduire au même dénominateur les cas de mort des oiseaux en Europe et en Amérique du Nord, déclarent les scientifiques. Les explosions pyrotechniques qui ont désorienté les animaux auraient pu être la cause de la mort de 3.000 oiseaux en Arkansas, estime le professeur de biogéographie de la faculté géographique de l’Université de Moscou, Vladimir Galouchine. En tentant de fuir les pétards et les feux d’artifices, les oiseaux effrayés auraient pu percuter les arbres, les lignes à haute tension, les maisons et les véhicules.
Toutefois, le "secret des carouges à épaulettes" demeure une énigme. Les ornithologues qualifient toujours ce cas de mystérieux. Certaines rumeurs sont mêmes parues dans la presse concernant l’empoisonnement des oiseaux par le phosgène, un agent militaire asphyxique, dont les réservoirs seraient enterrés en Arkansas. Quoi qu’il en soit, selon les scientifiques russes, il est nécessaire d’étudier cette catastrophe ornithologique très minutieusement.
Les tourterelles en Italie sont mortes d'une surconsommation de déchets de graines de tournesol. En Roumanie, les oiseaux se seraient empoisonnés avec de la pulpe de raisin fermentée, estime le président de l’Union de protection des oiseaux, Viktor Zoubakine. Il y a déjà eu des précédents. Par exemple, à Moscou les jaseurs ont déjà été intoxiqués par des baies de sorbier fermentées. Pendant l'hiver les baies gèlent, et elles fermentent lorsque les températures remontent.
En fait, des "intoxications" de ce genre sont tout à fait probables cet hiver. En principe, l’hiver est la période la plus difficile pour les oiseaux. La glace qui a emprisonné les arbres fin décembre a rendu difficile l’accès à la nourriture pour les oiseaux, par exemple aux insectes qui se sont réfugiés sous l’écorce. A Zvenigorod, a fait remarquer l’ornithologue Leonid Sokolov, le froid a privé de nourriture les grimpereaux de la famille des passereaux. Les grandes mésanges n’ont pas réussi à trouver de la nourriture en raison de l'épaisseur de la couche de neige.
Et l’été 2010 n’a pas épargné les oiseaux en Russie. Les ornithologues n’ont toujours pas évalué le nombre d’oiseaux qui avaient péri en raison de la canicule et de la fumée des incendies de forêt. Les oiseaux ont commencé à mourir dès la baisse des températures: le stress dû au changement de la météo est venu s’ajouter aux maladies et aux empoisonnements qui ont frappé les oiseaux.
En fait, les zoologues ont supposé à plusieurs reprises que les changements climatiques pourraient être l’une des causes de la mort des oiseaux. Et ces derniers ne sont pas les seules victimes. Par exemple, les crabes et les poissons meurent des brusques variations de température de l’eau. De ce fait, les oiseaux de rivage sont privés de nourriture et partent chercher de la nourriture ailleurs en abandonnant leurs petits.
Cependant, hormis les changements de température, les oiseaux sont sensibles aux fluctuations magnétiques. Pendant la migration ils s’orientent sur des courants magnétiques. Les carouges auraient pu périr en raison de "tempêtes magnétiques ou de tests d'équipements techniques", fait remarquer Vladimir Galouchine. Toutefois, selon lui, il existe très probablement certains phénomènes "mondiaux" qui affectent toutes les créatures.
Le responsable de la station ornithologique dans l’isthme de Courlande (région russe de Kaliningrad) Kazimir Bolchakov a souligné que l’homme est en grande partie responsable de la mort des oiseaux. L’éclairage artificiel des zones autour des villes, notamment par temps humide, lorsque la visibilité est restreinte, désorientent les oiseaux, et ils se mettent à percuter les immeubles, les cheminées industrielles et les relais de téléphonie. On dénombre des dizaines de millions de morts d’oiseaux par an. Les oiseaux perdant leurs repères percutent les surfaces vitrées, étant incapables de les voir en tant qu’obstacle. Beaucoup d’oiseaux meurent sur les lignes à haute tension par temps humide.
Les oiseaux sont percutés par les voitures sur les autoroutes. Le pic des décès est observé pendant la migration et lorsque les petits quittent activement leurs nids, fait remarquer Roustam Saguitov, directeur du Fonds baltique de la nature. Et plus les routes et les véhicules sont rapides, plus il y a d’oiseaux tués. "L’évolution des oiseaux n’arrivent pas à suivre celle de la civilisation", conclut M. Saguitov.
Toutefois, tout n’est pas si dramatique dans la vie des oiseaux, en particulier dans la capitale. Les oiseaux passent de plus en plus souvent l’hiver à Moscou. Par exemple, les colverts et trois espèces de goélands (il reste de nombreux plans d'eau dans la ville), ainsi que les merles. A Moscou il existe un programme de repopulation des pèlerins. Ces oiseaux ont vécu à une époque dans les clochers de l’ancien Moscou. A Saint-Pétersbourg "on note l’apparition de balbuzards, ainsi que des éperviers autours, qui sont en principe des oiseaux plutôt sauvages", explique Roustam Saguitov.
Quoi qu’il en soit, les ornithologues évitent la discussion sur l'évolution précise de la vie des oiseaux. Il n’existe pas encore de monitorage ornithologique en Russie. Cependant, même si c’était le cas, l'analyse des résultats nécessiterait plusieurs décennies. Pendant ce temps, les oiseaux continueront à vivre dans les villes, livrés à eux-mêmes.
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http://www.alterinfo.net/L-hecatombe-de ... 53844.html
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Re: ALLIANCE GALACTIQUE
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Re: ALLIANCE GALACTIQUE
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