ALLIANCE GALACTIQUE
Modérateur : Admin
Re: Alliance Galactique
ma main sur l'honorable poitrine des douze représentants de l'alliance '(*_*)' main sur le cœur
bonjour amies et amis heureux de vous retrouver , ma main sur ton humble poitrine noble frère ÉPYR
_____________________________________________________________________________________________________________________
Le 3 juillet 2010 à 15h34
Les risques de collision dans l’espace augmentent au fil du temps...
Le réchauffement climatique réduit la densité de la partie supérieure de l'atmosphère, diminuant le frottement sur les satellites et sur les débris spatiaux. L'augmentation est significative et a déjà été constatée. Des mesures pour éviter les collisions commencent à être prises.
Quand l'atmosphère se réchauffe, la densité de ses couches supérieures diminue. A 300 kilomètres d'altitude, elle s’amenuise d’environ 5% chaque décennie, estiment deux scientifiques de l'université de Southampton, Hugh Lewis et Graham Swinerd. Moins freinés, les satellites mais aussi les débris orbitaux vont donc rester plus longtemps en orbite. L'allongement serait de 25% ! En témoigne le suivi de 30 satellites au cours des 40 dernières années.
Ce problème est pris très aux sérieux par les représentants des Agences spatiales qui se réunissent régulièrement pour légiférer sur cette question au sein du Bureau des affaires spatiales de l’Onu en charge de l’utilisation pacifique de l’espace extra-atmosphérique. Les Etats-Unis, qui viennent de dévoiler leur nouvelle politique spatiale, ont également annoncé un plan de partage d’informations avec d’autres pays afin d’éviter et de prévenir tout risque de collision en orbite.
Reste qu’à ce jour il n’existe aucune loi relative à la non prolifération des débris orbitaux et aucune solution miracle. Des actions peuvent néanmoins être prises. Elles sont au nombre de quatre : l’évitement, pour empêcher une collision ; la protection des satellites, pour atténuer l’effet d’un impact ; le nettoyage de l’espace, pour diminuer le nombre de débris ; la prévention, l'action la plus importante, pour éviter de générer de nouveaux débris.
Le monde doit apprendre à vivre avec
Les missions envisagées pour nettoyer l’orbite basse sont évidemment utopiques. Toutefois, des missions ciblées en fonction de leur intérêt économique se justifient. Il faut savoir que certains satellites sont déviés de leur trajectoire plusieurs fois par an pour éviter la collision avec le même débris ! Evaluée entre 5 et 30 millions d’euros ce type de mission pourrait être financé par l’opérateur du satellite concerné.
Aujourd’hui, la durée de vie d’un débris dépend de sa position au-dessus de la Terre. Pour ceux situés sur des orbites très basses, c’est-à-dire avec un apogée inférieur à 300 kilomètres, le nettoyage est rapide, au contraire de ceux situés plus haut (périgée supérieur à 600 kilomètres). Ainsi, un satellite espion situé à quelque 200 kilomètres d’altitude retombera naturellement sur Terre au bout de… 3 jours contre quelques millions d’années pour un satellite en orbite géostationnaire (environ 36.000 km). Entre ces deux extrêmes, Hubble, qui évolue à 600 kilomètres mettra 10 ans à retomber et le composite supérieur d’Ariane 5 ECA près de 60 ans.
http://www.futura-sciences.com/fr/news/ ... xtor=RSS-8
______________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________
03 juillet 2010 - 16H16
USA: deux milliards de dollars pour développer l'énergie solaire, annonce Obama
AFP - Le président américain Barack Obama a annoncé samedi le versement de près de deux milliards de dollars à deux sociétés spécialisées dans l'énergie solaire afin de développer des projets aux Etats-Unis qui promettent de créer des milliers d'emplois.
"Nous allons continuer à nous battre pour la reprise" économique, a déclaré M. Obama dans son allocution radiodiffusée hebdomadaire. "Et nous allons rester sur l'offensive afin de nous assurer que les emplois et les industries du futur vont s'implanter ici en Amérique".
Une des sociétés qui va recevoir l'argent du gouvernement, Abengoa Solar, compte construire dans l'Arizona (sud-ouest) une des plus grandes centrales solaires au monde, qui créera environ 1.600 emplois dans le secteur du bâtiment. Une fois que l'unité sera achevée, elle alimentera 70.000 foyers.
L'autre société, Abound Solar Manufacturing, va construire deux unités de production de panneaux solaires, une dans le Colorado (ouest) et une dans l'Indiana (nord). Ces deux projets vont créer plus de 2.000 emplois dans le secteur du bâtiment et plus de 1.500 emplois permanents, selon des responsables de la Maison Blanche.
Le président Obama a toutefois averti qu'il faudrait "des mois, même des années, pour se sortir" de la récente crise économique.
Cette annonce intervient alors que le marché de l'emploi aux Etats-Unis a connu pour la première fois de l'année un retour aux suppressions d'emplois en juin, dû à la faiblesse de l'embauche dans le privé, selon des chiffres publiés vendredi.
http://www.france24.com/fr/20100703-usa ... once-obama
encore un aperçu de l"impact des agressions sur notre terre mère , et des efforts en ce sens de Mr Obama que nous pouvons saluer pour cela
ce qui est très inquiétant dans le cercle infernal du matérialisme , c'est que a l'origine lorsque quelqu'un faisaient des découvertes ,celles ci étaient directement issues de son esprit
donc métrisables en ce sens , aujourd'hui des tas de manuels excluent tout esprit créatif , on mâche bien souvent le travail des (créateurs) si le travail est prédéfinis on peu se demander
si la création est bien maitrisable sur son réel impact ?
de plus beaucoup utilisent des outils qu'il ne connaissent même pas dans leur réalité ,nous regardons tous par exemple un poste de télé ,
qui d'entre nous sait véritablement comment celui ci est conçu ?
a mon sens un retour aux valeurs spirituelles s'imposent , sans celui ci nous pouvons etre très inquiet sur l'avenir de notre monde,
notre terre mère est souffrante et ne supporteras pas éternellement l'agression de ces enfants
ce cercle infernal doit etre brisé, dans cette optique , l'aide de nos grand frères et sœurs galactiques serais bien venus
bonjour amies et amis heureux de vous retrouver , ma main sur ton humble poitrine noble frère ÉPYR
_____________________________________________________________________________________________________________________
Le 3 juillet 2010 à 15h34
Les risques de collision dans l’espace augmentent au fil du temps...
Le réchauffement climatique réduit la densité de la partie supérieure de l'atmosphère, diminuant le frottement sur les satellites et sur les débris spatiaux. L'augmentation est significative et a déjà été constatée. Des mesures pour éviter les collisions commencent à être prises.
Quand l'atmosphère se réchauffe, la densité de ses couches supérieures diminue. A 300 kilomètres d'altitude, elle s’amenuise d’environ 5% chaque décennie, estiment deux scientifiques de l'université de Southampton, Hugh Lewis et Graham Swinerd. Moins freinés, les satellites mais aussi les débris orbitaux vont donc rester plus longtemps en orbite. L'allongement serait de 25% ! En témoigne le suivi de 30 satellites au cours des 40 dernières années.
Ce problème est pris très aux sérieux par les représentants des Agences spatiales qui se réunissent régulièrement pour légiférer sur cette question au sein du Bureau des affaires spatiales de l’Onu en charge de l’utilisation pacifique de l’espace extra-atmosphérique. Les Etats-Unis, qui viennent de dévoiler leur nouvelle politique spatiale, ont également annoncé un plan de partage d’informations avec d’autres pays afin d’éviter et de prévenir tout risque de collision en orbite.
Reste qu’à ce jour il n’existe aucune loi relative à la non prolifération des débris orbitaux et aucune solution miracle. Des actions peuvent néanmoins être prises. Elles sont au nombre de quatre : l’évitement, pour empêcher une collision ; la protection des satellites, pour atténuer l’effet d’un impact ; le nettoyage de l’espace, pour diminuer le nombre de débris ; la prévention, l'action la plus importante, pour éviter de générer de nouveaux débris.
Le monde doit apprendre à vivre avec
Les missions envisagées pour nettoyer l’orbite basse sont évidemment utopiques. Toutefois, des missions ciblées en fonction de leur intérêt économique se justifient. Il faut savoir que certains satellites sont déviés de leur trajectoire plusieurs fois par an pour éviter la collision avec le même débris ! Evaluée entre 5 et 30 millions d’euros ce type de mission pourrait être financé par l’opérateur du satellite concerné.
Aujourd’hui, la durée de vie d’un débris dépend de sa position au-dessus de la Terre. Pour ceux situés sur des orbites très basses, c’est-à-dire avec un apogée inférieur à 300 kilomètres, le nettoyage est rapide, au contraire de ceux situés plus haut (périgée supérieur à 600 kilomètres). Ainsi, un satellite espion situé à quelque 200 kilomètres d’altitude retombera naturellement sur Terre au bout de… 3 jours contre quelques millions d’années pour un satellite en orbite géostationnaire (environ 36.000 km). Entre ces deux extrêmes, Hubble, qui évolue à 600 kilomètres mettra 10 ans à retomber et le composite supérieur d’Ariane 5 ECA près de 60 ans.
http://www.futura-sciences.com/fr/news/ ... xtor=RSS-8
______________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________
03 juillet 2010 - 16H16
USA: deux milliards de dollars pour développer l'énergie solaire, annonce Obama
AFP - Le président américain Barack Obama a annoncé samedi le versement de près de deux milliards de dollars à deux sociétés spécialisées dans l'énergie solaire afin de développer des projets aux Etats-Unis qui promettent de créer des milliers d'emplois.
"Nous allons continuer à nous battre pour la reprise" économique, a déclaré M. Obama dans son allocution radiodiffusée hebdomadaire. "Et nous allons rester sur l'offensive afin de nous assurer que les emplois et les industries du futur vont s'implanter ici en Amérique".
Une des sociétés qui va recevoir l'argent du gouvernement, Abengoa Solar, compte construire dans l'Arizona (sud-ouest) une des plus grandes centrales solaires au monde, qui créera environ 1.600 emplois dans le secteur du bâtiment. Une fois que l'unité sera achevée, elle alimentera 70.000 foyers.
L'autre société, Abound Solar Manufacturing, va construire deux unités de production de panneaux solaires, une dans le Colorado (ouest) et une dans l'Indiana (nord). Ces deux projets vont créer plus de 2.000 emplois dans le secteur du bâtiment et plus de 1.500 emplois permanents, selon des responsables de la Maison Blanche.
Le président Obama a toutefois averti qu'il faudrait "des mois, même des années, pour se sortir" de la récente crise économique.
Cette annonce intervient alors que le marché de l'emploi aux Etats-Unis a connu pour la première fois de l'année un retour aux suppressions d'emplois en juin, dû à la faiblesse de l'embauche dans le privé, selon des chiffres publiés vendredi.
http://www.france24.com/fr/20100703-usa ... once-obama
encore un aperçu de l"impact des agressions sur notre terre mère , et des efforts en ce sens de Mr Obama que nous pouvons saluer pour cela
ce qui est très inquiétant dans le cercle infernal du matérialisme , c'est que a l'origine lorsque quelqu'un faisaient des découvertes ,celles ci étaient directement issues de son esprit
donc métrisables en ce sens , aujourd'hui des tas de manuels excluent tout esprit créatif , on mâche bien souvent le travail des (créateurs) si le travail est prédéfinis on peu se demander
si la création est bien maitrisable sur son réel impact ?
de plus beaucoup utilisent des outils qu'il ne connaissent même pas dans leur réalité ,nous regardons tous par exemple un poste de télé ,
qui d'entre nous sait véritablement comment celui ci est conçu ?
a mon sens un retour aux valeurs spirituelles s'imposent , sans celui ci nous pouvons etre très inquiet sur l'avenir de notre monde,
notre terre mère est souffrante et ne supporteras pas éternellement l'agression de ces enfants
ce cercle infernal doit etre brisé, dans cette optique , l'aide de nos grand frères et sœurs galactiques serais bien venus
- Fichiers joints
-
- 7qn5wu3m.jpg (32.78 Kio) Vu 4569 fois
yéshoua‘ lui dit: « Je suis la route, la vérité et la vie.
Personne ne vient au père, sinon par moi. UN PACTE NEUF annonce de jean 14:5/7 http://nachouraqui.tripod.com/id60.htm
Personne ne vient au père, sinon par moi. UN PACTE NEUF annonce de jean 14:5/7 http://nachouraqui.tripod.com/id60.htm
Re: Alliance Galactique
05 juillet 2010 - 14H35
Birmanie: Total et Chevron accusés d'aider l'ambition nucléaire de la junte
AFP - Une ONG américaine, EarthRigthts International, a accusé lundi les compagnies pétrolières présentes en Birmanie, dont la française Total et l'américaine Chevron, d'alimenter par les revenus du gaz les ambitions nucléaires de la junte et de se rendre complices de crimes.
Pour EarthRigthts International (ERI), de 1998 à 2009, les revenus du champ gazier de Yadana s'élèvent à plus de 9 milliards de dollars, dont plus de la moitié a été attribuée à la junte au pouvoir, "soutenant un régime qui a commis depuis des décennies de nombreuses atteintes aux droits de l'homme et finançant un programme clandestin d'acquisition de l'arme nucléaire".
Le champ gazier de Yadana ("trésor" en birman), situé dans le sud de la Birmanie, est détenu à 31% par Total, 28% par Chevron, 25% par la compagnie thaïlandaise PTTEP et 15% par l'entreprise birmane MOGE.
Sur les 4,599 milliards de dollars encaissés par la junte, "915 millions l'ont été en nature sous forme de gaz naturel à usage local, le reste ayant été versé en liquide", a souligné ERI dans un rapport publié à Paris.
ERI affirme que ces revenus gaziers représentent un moyen de pression internationale pour empêcher la junte, soupçonnée de vouloir acquérir l'arme atomique, de développer ces ambitions nucléaires. L'ONG suggère "des restrictions de l'accès du régime aux marchés internationaux des capitaux et le gel des avoirs concernés".
"Compte tenu des preuves apportées des ambitions nucléaires de la Birmanie, de son commerce illégal d'armes avec la Corée du Nord (...), la communauté internationale doit se concentrer sur ce qui constitue le nerf de la guerre pour les généraux birmans, leurs revenus gaziers", affirme ERI.
L'ONG a aussi renouvelé ses accusations contre Total et Chevron qui encourent, selon elle, "un risque bien réel de voir leur responsabilité pénale engagée" dans leurs pays respectifs à propos d'assassinats ciblés commis par des militaires assurant la sécurité des installations gazières. Elle pointe aussi du doigt le recours au travail forcé des populations.
EarthRigthts International "ne milite pas pour un départ de Total, Chevron ou PTTEP de la Birmanie, mais pour que justice soit rendue aux victimes des violations des droits de l'homme et pour que les revenus issus des ressources naturelles birmanes soient partagées de manière responsable et bénéficient au peuple birman", souligne l'ONG.
L'ONG, qui affirme que Total a refusé de la recevoir, met aussi en cause la banque française BNP Paribas.
"D'après des informations datant de 2003, la banque française BNP Paribas est impliquée dans le projet: à travers BNP Paribas Jersey trust, basé dans les îles anglo-normandes, qui est utilisé comme agent payeur par Total. Et de hauts responsables de la junte birmane possèdent des comptes à la branche de Singapour de BNP Paribas", a assuré un responsable d'ERI, Matthew Smith, au cours d'une conférence de presse, à Paris.
EarthRights International est une organisation américaine qui s'intéresse depuis 1994 aux violations des droits de l'homme en relation avec des projets gaziers en Birmanie.
Le pays est dirigé par des militaires depuis 1962. La junte a promis avant la fin de l'année des élections législatives, qui seraient les premières depuis celles remportées haut la main en 1990 par la Ligue nationale pour la démocratie (LND) de l'opposante Aung San Suu Kyi, toujours assignée à résidence.
http://www.france24.com/fr/20100705-bir ... aire-junte
Birmanie: Total et Chevron accusés d'aider l'ambition nucléaire de la junte
AFP - Une ONG américaine, EarthRigthts International, a accusé lundi les compagnies pétrolières présentes en Birmanie, dont la française Total et l'américaine Chevron, d'alimenter par les revenus du gaz les ambitions nucléaires de la junte et de se rendre complices de crimes.
Pour EarthRigthts International (ERI), de 1998 à 2009, les revenus du champ gazier de Yadana s'élèvent à plus de 9 milliards de dollars, dont plus de la moitié a été attribuée à la junte au pouvoir, "soutenant un régime qui a commis depuis des décennies de nombreuses atteintes aux droits de l'homme et finançant un programme clandestin d'acquisition de l'arme nucléaire".
Le champ gazier de Yadana ("trésor" en birman), situé dans le sud de la Birmanie, est détenu à 31% par Total, 28% par Chevron, 25% par la compagnie thaïlandaise PTTEP et 15% par l'entreprise birmane MOGE.
Sur les 4,599 milliards de dollars encaissés par la junte, "915 millions l'ont été en nature sous forme de gaz naturel à usage local, le reste ayant été versé en liquide", a souligné ERI dans un rapport publié à Paris.
ERI affirme que ces revenus gaziers représentent un moyen de pression internationale pour empêcher la junte, soupçonnée de vouloir acquérir l'arme atomique, de développer ces ambitions nucléaires. L'ONG suggère "des restrictions de l'accès du régime aux marchés internationaux des capitaux et le gel des avoirs concernés".
"Compte tenu des preuves apportées des ambitions nucléaires de la Birmanie, de son commerce illégal d'armes avec la Corée du Nord (...), la communauté internationale doit se concentrer sur ce qui constitue le nerf de la guerre pour les généraux birmans, leurs revenus gaziers", affirme ERI.
L'ONG a aussi renouvelé ses accusations contre Total et Chevron qui encourent, selon elle, "un risque bien réel de voir leur responsabilité pénale engagée" dans leurs pays respectifs à propos d'assassinats ciblés commis par des militaires assurant la sécurité des installations gazières. Elle pointe aussi du doigt le recours au travail forcé des populations.
EarthRigthts International "ne milite pas pour un départ de Total, Chevron ou PTTEP de la Birmanie, mais pour que justice soit rendue aux victimes des violations des droits de l'homme et pour que les revenus issus des ressources naturelles birmanes soient partagées de manière responsable et bénéficient au peuple birman", souligne l'ONG.
L'ONG, qui affirme que Total a refusé de la recevoir, met aussi en cause la banque française BNP Paribas.
"D'après des informations datant de 2003, la banque française BNP Paribas est impliquée dans le projet: à travers BNP Paribas Jersey trust, basé dans les îles anglo-normandes, qui est utilisé comme agent payeur par Total. Et de hauts responsables de la junte birmane possèdent des comptes à la branche de Singapour de BNP Paribas", a assuré un responsable d'ERI, Matthew Smith, au cours d'une conférence de presse, à Paris.
EarthRights International est une organisation américaine qui s'intéresse depuis 1994 aux violations des droits de l'homme en relation avec des projets gaziers en Birmanie.
Le pays est dirigé par des militaires depuis 1962. La junte a promis avant la fin de l'année des élections législatives, qui seraient les premières depuis celles remportées haut la main en 1990 par la Ligue nationale pour la démocratie (LND) de l'opposante Aung San Suu Kyi, toujours assignée à résidence.
http://www.france24.com/fr/20100705-bir ... aire-junte
Modifié en dernier par Laja le 06 juil. 2010, 09:59, modifié 1 fois.
yéshoua‘ lui dit: « Je suis la route, la vérité et la vie.
Personne ne vient au père, sinon par moi. UN PACTE NEUF annonce de jean 14:5/7 http://nachouraqui.tripod.com/id60.htm
Personne ne vient au père, sinon par moi. UN PACTE NEUF annonce de jean 14:5/7 http://nachouraqui.tripod.com/id60.htm
Re: Alliance Galactique
05 juillet 2010 - 14H24
Lancement de Transgreen, projet de réseau électrique sous la Méditerranée
AFP - Une douzaine de groupes industriels européens ont lancé lundi à Paris le consortium Transgreen pour étudier la faisabilité d'un réseau sous la Méditerranée permettant en particulier d'acheminer vers le nord l'électricité issue de l'énergie solaire produite au sud.
Cette initiative s'inscrit dans le cadre du Plan solaire méditerranéen qui prévoit la construction, d'ici 2020, au sud et à l?est du bassin méditerranéen, de capacités de production d?électricité renouvelable, notamment solaire, de 20 gigawatts (GW). Sur ce total, environ un quart (5 GW) serait exporté vers l'Europe.
"Ces autoroutes énergétiques sont absolument indispensables", a estimé le ministre français de l'Ecologie Jean-Louis Borloo lors de la signature du protocole d'accord, soulignant que ce réseau permettrait, grâce aux tarifs de rachats européens, de contribuer à la rentabilité des projets d'énergie renouvelable au sud, en particulier au Maghreb.
Pour Henri Guaino, conseiller spécial du président Nicolas Sarkozy, le lancement de ce partenariat est "la meilleure réponse à tous ceux qui font preuve très grand scepticisme à l'encontre de l'Union pour la Méditerranée".
Ce consortium, qui sera mené par EDF, compte parmi ses membres les groupes français Areva, Alstom, les espagnols Abengoa et RED elétrica, ou encore l'allemand Siemens.
L'objectif de cette structure, qui disposera dans un premier temps d'un budget modeste de "2 à 3 millions d'euros", n'est pas d'investir dans les infrastructures mais "de promouvoir ce type d'interconnexions", a expliqué André Merlin, président du Conseil de surveillance d'ERDF et RTE, filiales d'EDF.
"L'objectif est que le bureau d'étude soit pleinement opérationnel d'ici la fin de l'année", a souligné M. Merlin, soulignant que le coût total du projet était, pour la partie transport d'électricité "de l'ordre de 8 mds EUR".
Concrètement, Transgreen se fixe comme objectif de proposer un schéma directeur pour la mise en place technique et économique d?un tel réseau et de promouvoir un cadre institutionnel favorable aux investissements et à la rentabilité des projets sur la rive sud.
"Ce projet a des dimensions réglementaires, institutionnelles et politiques extrêmement complexes", a reconnu M. Borloo.
Selon ses concepteurs, Transgreen est complémentaire du projet Desertec. Cette initiative allemande qui compte une vingtaine de partenaires, vise à créer d'ici à 40 ans un vaste réseau d'installations éoliennes et solaires en Afrique du nord et au Moyen-Orient, censées fournir à terme jusqu'à 15% de la consommation d'électrité de l'Europe.
http://www.france24.com/fr/20100705-lan ... diterranee
Lancement de Transgreen, projet de réseau électrique sous la Méditerranée
AFP - Une douzaine de groupes industriels européens ont lancé lundi à Paris le consortium Transgreen pour étudier la faisabilité d'un réseau sous la Méditerranée permettant en particulier d'acheminer vers le nord l'électricité issue de l'énergie solaire produite au sud.
Cette initiative s'inscrit dans le cadre du Plan solaire méditerranéen qui prévoit la construction, d'ici 2020, au sud et à l?est du bassin méditerranéen, de capacités de production d?électricité renouvelable, notamment solaire, de 20 gigawatts (GW). Sur ce total, environ un quart (5 GW) serait exporté vers l'Europe.
"Ces autoroutes énergétiques sont absolument indispensables", a estimé le ministre français de l'Ecologie Jean-Louis Borloo lors de la signature du protocole d'accord, soulignant que ce réseau permettrait, grâce aux tarifs de rachats européens, de contribuer à la rentabilité des projets d'énergie renouvelable au sud, en particulier au Maghreb.
Pour Henri Guaino, conseiller spécial du président Nicolas Sarkozy, le lancement de ce partenariat est "la meilleure réponse à tous ceux qui font preuve très grand scepticisme à l'encontre de l'Union pour la Méditerranée".
Ce consortium, qui sera mené par EDF, compte parmi ses membres les groupes français Areva, Alstom, les espagnols Abengoa et RED elétrica, ou encore l'allemand Siemens.
L'objectif de cette structure, qui disposera dans un premier temps d'un budget modeste de "2 à 3 millions d'euros", n'est pas d'investir dans les infrastructures mais "de promouvoir ce type d'interconnexions", a expliqué André Merlin, président du Conseil de surveillance d'ERDF et RTE, filiales d'EDF.
"L'objectif est que le bureau d'étude soit pleinement opérationnel d'ici la fin de l'année", a souligné M. Merlin, soulignant que le coût total du projet était, pour la partie transport d'électricité "de l'ordre de 8 mds EUR".
Concrètement, Transgreen se fixe comme objectif de proposer un schéma directeur pour la mise en place technique et économique d?un tel réseau et de promouvoir un cadre institutionnel favorable aux investissements et à la rentabilité des projets sur la rive sud.
"Ce projet a des dimensions réglementaires, institutionnelles et politiques extrêmement complexes", a reconnu M. Borloo.
Selon ses concepteurs, Transgreen est complémentaire du projet Desertec. Cette initiative allemande qui compte une vingtaine de partenaires, vise à créer d'ici à 40 ans un vaste réseau d'installations éoliennes et solaires en Afrique du nord et au Moyen-Orient, censées fournir à terme jusqu'à 15% de la consommation d'électrité de l'Europe.
http://www.france24.com/fr/20100705-lan ... diterranee
yéshoua‘ lui dit: « Je suis la route, la vérité et la vie.
Personne ne vient au père, sinon par moi. UN PACTE NEUF annonce de jean 14:5/7 http://nachouraqui.tripod.com/id60.htm
Personne ne vient au père, sinon par moi. UN PACTE NEUF annonce de jean 14:5/7 http://nachouraqui.tripod.com/id60.htm
Re: Alliance Galactique
Bonsoir tous les mondes
Bonsoir amies et amis, ma main sur ton honorable poitrine noble LAJA
--------------
05/07/2010
Le satellite Planck, conçu pour aider à mieux comprendre les débuts et le destin de l'Univers, a délivré sa première image de l'ensemble du ciel, un véritable trésor de données pour les astronomes, a annoncé lundi l'Agence spatiale européenne (Esa).
"Cette image de l’ensemble du ciel envoyée par Planck est une véritable caverne d’Ali Baba pour les astronomes en quête de données inédites", explique l'agence dans un communiqué.
"Moins spectaculaire mais peut-être plus énigmatique, l’aspect moucheté de l’arrière-plan", qui représente le "rayonnement de fond cosmologique hyperfréquence (CMBR), la plus ancienne lumière émise par l’Univers, issue de la grande explosion d’où notre Univers a émergé il y a 13,7 milliards d’années", indique l'Esa.
"Nous ouvrons la porte sur un eldorado où les scientifiques vont pouvoir rechercher des fragments de connaissance qui leur permettront de mieux comprendre la genèse de l’Univers et son fonctionnement actuel", explique dans le communiqué David Southwood, Directeur Science et Exploration robotique de l’ESA, qui relève que l'image est "d’une qualité remarquable".
Mis sur orbite en mai 2009, Planck, situé à 1,5 million de kilomètres de la Terre, va continuer à collecter des données jusqu'au début 2012.
http://www.ladepeche.fr/article/2010/07 ... ivers.html

Bonsoir amies et amis, ma main sur ton honorable poitrine noble LAJA

--------------
05/07/2010
Le satellite Planck, conçu pour aider à mieux comprendre les débuts et le destin de l'Univers, a délivré sa première image de l'ensemble du ciel, un véritable trésor de données pour les astronomes, a annoncé lundi l'Agence spatiale européenne (Esa).
"Cette image de l’ensemble du ciel envoyée par Planck est une véritable caverne d’Ali Baba pour les astronomes en quête de données inédites", explique l'agence dans un communiqué.
"Moins spectaculaire mais peut-être plus énigmatique, l’aspect moucheté de l’arrière-plan", qui représente le "rayonnement de fond cosmologique hyperfréquence (CMBR), la plus ancienne lumière émise par l’Univers, issue de la grande explosion d’où notre Univers a émergé il y a 13,7 milliards d’années", indique l'Esa.
"Nous ouvrons la porte sur un eldorado où les scientifiques vont pouvoir rechercher des fragments de connaissance qui leur permettront de mieux comprendre la genèse de l’Univers et son fonctionnement actuel", explique dans le communiqué David Southwood, Directeur Science et Exploration robotique de l’ESA, qui relève que l'image est "d’une qualité remarquable".
Mis sur orbite en mai 2009, Planck, situé à 1,5 million de kilomètres de la Terre, va continuer à collecter des données jusqu'au début 2012.
http://www.ladepeche.fr/article/2010/07 ... ivers.html
- Fichiers joints
-
- photo_1278342623697-1-0_zoom.jpg (27.53 Kio) Vu 4505 fois
Re: Alliance Galactique
au nom de l'énergie ma main sur l'honorable poitrine des douze représentants de l'alliance '(*_*)' main sur le cœur
bonjour tous et toutes heureux de vous retrouver , ma main sur ton honorable poitrine humble frère ÉPYR
___________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________
Ce que Claire Thibout, l'ex-comptable des Bettencourt, a dit aux enquêteurs
LEMONDE pour Le Monde.fr | 06.07.10 | 11h45 • Mis à jour le 06.07.10 | 13h34
L'audition de Claire Thibout, la comptable du couple Bettencourt jusqu'en décembre 2008 avait été initialement prévue lundi 5 juillet, au matin, dans les locaux de la BRDP, la brigade de répression de la délinquance contre la personne, à Paris. Elle devait être interrogée, dans le cadre de l'enquête diligentée à Nanterre sur "l'atteinte à la vie privée", sur ses relations avec le couple Bettencourt, le train de vie des milliardaires, ses activités de comptable, et sur les archives que Mme Bettencourt l'accusait d'avoir emportées avec elle.
Mais, voyant la tournure des évènements, c'est Philippe Courroye, le procureur de Nanterre, qui a demandé aux policiers de se déplacer dans l'après-midi au domicile parisien de Claire Thibout, dans le XXe arrondissement, pour la questionner plus avant sur la piste des retraits d'argent en liquide, et partant, du financement politique.
Missionnés par le parquet, les enquêteurs l'ont donc interrogée longuement sur les sommes retirées, et leur destination. C'est ainsi que Claire Thibout a fini par expliquer que oui, on lui avait réclamé, en mars 2007, de sortir 150 000 euros, prétendûment destinés à financer la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy. Des allégations démenties par l'Elysée, mais qui feront, forcément, l'objet de vérifications.
Reste à déterminer qui aura le droit de mener ces investigations. Isabelle Prévost-Desprez, la juge de Nanterre, qui estime que le parquet ne peut enquêter contradictoirement ? Ou Philippe Courroye, qui souhaite faire la preuve de son indépendance d'esprit ? A la cour d'appel de Versailles de trancher, dans quelques jours
http://www.lemonde.fr/societe/article/2 ... r=RSS-3208
bonjour tous et toutes heureux de vous retrouver , ma main sur ton honorable poitrine humble frère ÉPYR
___________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________
Ce que Claire Thibout, l'ex-comptable des Bettencourt, a dit aux enquêteurs
LEMONDE pour Le Monde.fr | 06.07.10 | 11h45 • Mis à jour le 06.07.10 | 13h34
L'audition de Claire Thibout, la comptable du couple Bettencourt jusqu'en décembre 2008 avait été initialement prévue lundi 5 juillet, au matin, dans les locaux de la BRDP, la brigade de répression de la délinquance contre la personne, à Paris. Elle devait être interrogée, dans le cadre de l'enquête diligentée à Nanterre sur "l'atteinte à la vie privée", sur ses relations avec le couple Bettencourt, le train de vie des milliardaires, ses activités de comptable, et sur les archives que Mme Bettencourt l'accusait d'avoir emportées avec elle.
Mais, voyant la tournure des évènements, c'est Philippe Courroye, le procureur de Nanterre, qui a demandé aux policiers de se déplacer dans l'après-midi au domicile parisien de Claire Thibout, dans le XXe arrondissement, pour la questionner plus avant sur la piste des retraits d'argent en liquide, et partant, du financement politique.
Missionnés par le parquet, les enquêteurs l'ont donc interrogée longuement sur les sommes retirées, et leur destination. C'est ainsi que Claire Thibout a fini par expliquer que oui, on lui avait réclamé, en mars 2007, de sortir 150 000 euros, prétendûment destinés à financer la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy. Des allégations démenties par l'Elysée, mais qui feront, forcément, l'objet de vérifications.
Reste à déterminer qui aura le droit de mener ces investigations. Isabelle Prévost-Desprez, la juge de Nanterre, qui estime que le parquet ne peut enquêter contradictoirement ? Ou Philippe Courroye, qui souhaite faire la preuve de son indépendance d'esprit ? A la cour d'appel de Versailles de trancher, dans quelques jours
http://www.lemonde.fr/societe/article/2 ... r=RSS-3208
yéshoua‘ lui dit: « Je suis la route, la vérité et la vie.
Personne ne vient au père, sinon par moi. UN PACTE NEUF annonce de jean 14:5/7 http://nachouraqui.tripod.com/id60.htm
Personne ne vient au père, sinon par moi. UN PACTE NEUF annonce de jean 14:5/7 http://nachouraqui.tripod.com/id60.htm
Re: Alliance Galactique
La disparition des serpents inquiète les scientifiques
LEMONDE | 06.07.10 | 15h22 • Mis à jour le 06.07.10 | 15h22
Après les grenouilles et les abeilles, les serpents sont-ils à leur tour menacés de disparaître ? Selon une récente étude, plusieurs espèces communes sont en net déclin dans tous les pays où elles ont été recensées : en France, en Italie, au Royaume-Uni, au Nigeria, en Australie et donc sans doute dans d'autres régions du monde.
"Il est plus difficile de publier des travaux sur ces animaux, mal aimés par tradition académique et culturelle, que sur les mammifères. C'est pourquoi il existe si peu d'études à long terme sur les populations de serpents", affirme Xavier Bonnet, erpétologue au Centre d'études biologiques de Chizé (Deux-Sèvres) et cosignataire des travaux. Si partielles soient-elles, les données publiées dans la revue Biology Letters du 9 juin donnent un exceptionnel aperçu de la situation planétaire de ces reptiles.
En mettant en commun les résultats d'études antérieures sur dix-sept espèces de serpents, les chercheurs ont tout d'abord constaté, pour onze d'entre elles, une diminution continue des populations de 1998 à 2002. Sous la coordination de Christopher Reading, du Centre pour l'écologie et l'hydrologie de Wallingford (Grande-Bretagne), ils ont ensuite prolongé ce travail sur le terrain. Conclusion : le déclin des onze espèces déjà fragilisées s'est confirmé jusqu'en 2009, date des dernières observations.
Ces résultats sont d'autant plus alarmants que les serpents, d'ordinaire, résistent plutôt bien aux coups durs. "En France, par exemple, la canicule de 2003 n'a eu sur eux aucun impact particulier, détaille M. Bonnet. Ce sont des animaux qui vivent relativement longtemps (de dix à quinze ans), qui peuvent encaisser des hivers rigoureux, supporter les polluants comme les changements de régime alimentaire... Si des espèces de ce genre se mettent à perdre leurs effectifs, il y a vraiment de quoi s'inquiéter !" Notamment pour la qualité de leur habitat, dont la dégradation constitue, pour les chercheurs, la principale responsable.
La preuve ? Pour les quatre espèces étudiées en France, dans la région Poitou-Charentes - la vipère aspic, la couleuvre vert et jaune, la couleuvre à collier et la couleuvre d'Esculape -, on observe un contraste flagrant entre aires protégées et non protégées. Dans les premières, incluses dans la forêt domaniale de Chizé, les populations sont restées stables au fil des ans ; dans les secondes, le déclin est systématique.
Pour se camoufler et se nourrir dans de bonnes conditions, les serpents ont besoin de zones denses en végétation et de proies en abondance : deux éléments qui manquent de plus en plus dans notre paysage rural. Les auteurs soulignent par ailleurs que certaines populations se sont également appauvries dans des zones préservées, ce qui laisse penser que la destruction de l'habitat n'est pas la seule cause de ce déclin.
Les serpents trouveront-ils leurs défenseurs ? Rien n'est moins sûr. Qui se souciera de la vipère aspic, dont les crochets venimeux et mortels peuvent mordre à la vitesse d'un dixième de seconde ? "Et pourtant, si on perd cette espèce, c'est l'horreur !", insiste M. Bonnet.
Adepte des régions tempérées et méditerranéennes, très commune dans la majeure partie de la France et dans toute l'Italie, Vipera aspis est peu regardante sur son habitat. Haies, broussailles, anciennes carrières ou paysages montagneux : tout lui va, pourvu que la végétation soit buissonnante.
Si les conditions deviennent telles que ses populations se raréfient, cela signifie que des dizaines, peut-être des centaines d'autres espèces, moins adaptables qu'elle, sont aussi menacées. "Les gens ont tendance à se focaliser sur les espèces rares qui disparaissent, mais l'urgence, c'est de s'occuper de la biodiversité commune, dont les serpents sont des éléments typiques !", poursuit le chercheur. D'autant qu'il est souvent simple, et peu coûteux, de prendre des mesures de sauvegarde. Par exemple ? Replanter des haies dotées d'un talus, afin de susciter leur peuplement par les petits animaux. Veiller à ce que les mares restaurées soient en connexion avec un roncier ou un muret de pierres, afin que les espèces qui détestent se déplacer à découvert puissent aller y boire.
Ou encore mettre en place, de part et d'autres des routes, des sites de ponte pour les serpents, afin que les femelles ne se fassent pas écraser avec leurs oeufs dans le ventre. Une mesure pratiquée depuis 2002 par les chercheurs de Chizé avec le concours de l'Office national des forêts (ONF) et qui, affirme M. Bonnet, "marche remarquablement bien".
http://www.lemonde.fr/planete/article/2 ... _3244.html
LEMONDE | 06.07.10 | 15h22 • Mis à jour le 06.07.10 | 15h22
Après les grenouilles et les abeilles, les serpents sont-ils à leur tour menacés de disparaître ? Selon une récente étude, plusieurs espèces communes sont en net déclin dans tous les pays où elles ont été recensées : en France, en Italie, au Royaume-Uni, au Nigeria, en Australie et donc sans doute dans d'autres régions du monde.
"Il est plus difficile de publier des travaux sur ces animaux, mal aimés par tradition académique et culturelle, que sur les mammifères. C'est pourquoi il existe si peu d'études à long terme sur les populations de serpents", affirme Xavier Bonnet, erpétologue au Centre d'études biologiques de Chizé (Deux-Sèvres) et cosignataire des travaux. Si partielles soient-elles, les données publiées dans la revue Biology Letters du 9 juin donnent un exceptionnel aperçu de la situation planétaire de ces reptiles.
En mettant en commun les résultats d'études antérieures sur dix-sept espèces de serpents, les chercheurs ont tout d'abord constaté, pour onze d'entre elles, une diminution continue des populations de 1998 à 2002. Sous la coordination de Christopher Reading, du Centre pour l'écologie et l'hydrologie de Wallingford (Grande-Bretagne), ils ont ensuite prolongé ce travail sur le terrain. Conclusion : le déclin des onze espèces déjà fragilisées s'est confirmé jusqu'en 2009, date des dernières observations.
Ces résultats sont d'autant plus alarmants que les serpents, d'ordinaire, résistent plutôt bien aux coups durs. "En France, par exemple, la canicule de 2003 n'a eu sur eux aucun impact particulier, détaille M. Bonnet. Ce sont des animaux qui vivent relativement longtemps (de dix à quinze ans), qui peuvent encaisser des hivers rigoureux, supporter les polluants comme les changements de régime alimentaire... Si des espèces de ce genre se mettent à perdre leurs effectifs, il y a vraiment de quoi s'inquiéter !" Notamment pour la qualité de leur habitat, dont la dégradation constitue, pour les chercheurs, la principale responsable.
La preuve ? Pour les quatre espèces étudiées en France, dans la région Poitou-Charentes - la vipère aspic, la couleuvre vert et jaune, la couleuvre à collier et la couleuvre d'Esculape -, on observe un contraste flagrant entre aires protégées et non protégées. Dans les premières, incluses dans la forêt domaniale de Chizé, les populations sont restées stables au fil des ans ; dans les secondes, le déclin est systématique.
Pour se camoufler et se nourrir dans de bonnes conditions, les serpents ont besoin de zones denses en végétation et de proies en abondance : deux éléments qui manquent de plus en plus dans notre paysage rural. Les auteurs soulignent par ailleurs que certaines populations se sont également appauvries dans des zones préservées, ce qui laisse penser que la destruction de l'habitat n'est pas la seule cause de ce déclin.
Les serpents trouveront-ils leurs défenseurs ? Rien n'est moins sûr. Qui se souciera de la vipère aspic, dont les crochets venimeux et mortels peuvent mordre à la vitesse d'un dixième de seconde ? "Et pourtant, si on perd cette espèce, c'est l'horreur !", insiste M. Bonnet.
Adepte des régions tempérées et méditerranéennes, très commune dans la majeure partie de la France et dans toute l'Italie, Vipera aspis est peu regardante sur son habitat. Haies, broussailles, anciennes carrières ou paysages montagneux : tout lui va, pourvu que la végétation soit buissonnante.
Si les conditions deviennent telles que ses populations se raréfient, cela signifie que des dizaines, peut-être des centaines d'autres espèces, moins adaptables qu'elle, sont aussi menacées. "Les gens ont tendance à se focaliser sur les espèces rares qui disparaissent, mais l'urgence, c'est de s'occuper de la biodiversité commune, dont les serpents sont des éléments typiques !", poursuit le chercheur. D'autant qu'il est souvent simple, et peu coûteux, de prendre des mesures de sauvegarde. Par exemple ? Replanter des haies dotées d'un talus, afin de susciter leur peuplement par les petits animaux. Veiller à ce que les mares restaurées soient en connexion avec un roncier ou un muret de pierres, afin que les espèces qui détestent se déplacer à découvert puissent aller y boire.
Ou encore mettre en place, de part et d'autres des routes, des sites de ponte pour les serpents, afin que les femelles ne se fassent pas écraser avec leurs oeufs dans le ventre. Une mesure pratiquée depuis 2002 par les chercheurs de Chizé avec le concours de l'Office national des forêts (ONF) et qui, affirme M. Bonnet, "marche remarquablement bien".
http://www.lemonde.fr/planete/article/2 ... _3244.html
- Fichiers joints
-
- 1370371_7_d016_les-serpents-sont-en-voie-de-disparition-dans.jpg (28.37 Kio) Vu 4405 fois
yéshoua‘ lui dit: « Je suis la route, la vérité et la vie.
Personne ne vient au père, sinon par moi. UN PACTE NEUF annonce de jean 14:5/7 http://nachouraqui.tripod.com/id60.htm
Personne ne vient au père, sinon par moi. UN PACTE NEUF annonce de jean 14:5/7 http://nachouraqui.tripod.com/id60.htm
Re: Alliance Galactique
Un nouvel ennemi de la couche d'ozone démasqué
Jean-Luc Nothias
29/08/2009 | Mise à jour : 00:03
Les oxydes d'azote rejetés notamment par les automobiles contribuent à détruire la couche d'ozone qui protège la planète des rayons ultraviolets.
On les avait un peu oubliés. Mais la couche d'ozone et son fameux trou (au-dessus de l'Antarctique à partir d'octobre) font reparler d'eux. Une étude américaine de chercheurs de la National Oceanic and Atmospherique Administration (NOAA), à Boulder (Colorado), affirme qu'aujourd'hui les principaux dangers pour l'ozone au XXIe siècle sont les oxydes d'azote (Science, 27 août). Des gaz formés d'azote et d'oxygène, particulièrement divers et répandus, que les activités humaines produisent en quantité. Et le protoxyde d'azote, aussi appelé «gaz hilarant», est dangereux pour l'ozone. Mais là, plus question de rire.
Il y a un peu plus de vingt ans était signé le protocole de Montréal par lequel les pays signataires s'engageaient à réduire puis à éliminer l'utilisation des halocarbones comme les chlorofluorocarbones (CFC). Les émissions de ces molécules destructrices d'ozone ont été fortement réduites, continuent à l'être, ce qui a permis à la couche d'ozone d'arrêter de se dégrader et même de se requinquer quelque peu.
La présence de concentrations conséquentes d'ozone dans les hautes couches de l'atmosphère, sur plusieurs dizaines de kilomètres d'épaisseur, permet de nous protéger des rayons ultra-violets et de n'en laisser passer qu'une faible quantité. Si elle n'était pas là, la vie ne serait possible que dans les océans.
Des volumes colossaux
Mais la couche d'ozone se régénère moins vite que prévu. C'est donc que d'autres mangeurs d'ozone sont à l'œuvre. Et avec la disparition des CFC, affirment les chercheurs américains, les molécules les plus dangereuses dans les années à venir seront les oxydes d'azote. Ils ont d'ailleurs beaucoup de points communs : les halocarbones et les oxydes d'azote sont très stables dans la basse atmosphère (troposphère) où ils sont émis, ils peuvent être transportés dans la haute atmosphère (stratosphère) où ils ont un fort potentiel de réactions chimiques.
Il est vrai que ce potentiel est différent. Ainsi, le protoxyde d'azote serait 60 fois moins «fort» que les CFC. Mais les volumes émis sont sans commune mesure. Ainsi, les chercheurs ont calculé, grâce à leur nouveau modèle, que si rien n'est fait pour réduire les émissions d'oxydes d'azote, ils auront, en 2050, un pouvoir destructeur 30 % supérieur aux CFC à leur pic d'émission en 1987. Le paradoxe est que l'on sait depuis les années 1970 que ces gaz sont destructeurs d'ozone. Mais ils n'avaient jamais vraiment été pris au sérieux.
D'où viennent les oxydes d'azote, et en particulier le monoxyde d'azote et le protoxyde d'azote ? S'il s'en forme à l'état naturel dans le cycle de l'azote (78 % de l'air est formé d'azote), les moteurs (de voitures, de camions, de navires, d'avions), les usines, les chauffages, les gazinières en produisent aussi. Et cela de plus en plus.
L'éventuelle réduction des émissions d'oxydes d'azote a d'autres avantages que la protection de l'ozone stratosphérique. En effet, ces gaz azotés ont un rôle dans le réchauffement climatique et le renforcement de l'effet de serre. Car juste après le gaz carbonique et le méthane, ils sont le troisième gaz le plus fortement en croissance. Et les volumes rejetés sont colossaux.
Autre avantage à limiter leurs émissions, cela réduirait beaucoup la pollution au niveau du sol. Car si l'ozone des hauteurs est bon, celui du plancher des vaches est plutôt un «poison». Et si les oxydes d'azote «mangent» de l'ozone là-haut, ils en produisent dans notre air. D'où les nombreuses alertes à la pollution déclenchées chaque été un peu partout en France.
Une situation un peu compliquée mais dont il faudrait mieux se préoccuper, estime Akkihebbal Ravishankara, l'un des auteurs de l'étude : «Maintenant, la balle est dans le camp des décideurs pour savoir comment gérer cela. Notre étude est juste un élément d'information pour ces discussions.
http://www.lefigaro.fr/vert/2009/08/29/ ... asque-.php
Jean-Luc Nothias
29/08/2009 | Mise à jour : 00:03
Les oxydes d'azote rejetés notamment par les automobiles contribuent à détruire la couche d'ozone qui protège la planète des rayons ultraviolets.
On les avait un peu oubliés. Mais la couche d'ozone et son fameux trou (au-dessus de l'Antarctique à partir d'octobre) font reparler d'eux. Une étude américaine de chercheurs de la National Oceanic and Atmospherique Administration (NOAA), à Boulder (Colorado), affirme qu'aujourd'hui les principaux dangers pour l'ozone au XXIe siècle sont les oxydes d'azote (Science, 27 août). Des gaz formés d'azote et d'oxygène, particulièrement divers et répandus, que les activités humaines produisent en quantité. Et le protoxyde d'azote, aussi appelé «gaz hilarant», est dangereux pour l'ozone. Mais là, plus question de rire.
Il y a un peu plus de vingt ans était signé le protocole de Montréal par lequel les pays signataires s'engageaient à réduire puis à éliminer l'utilisation des halocarbones comme les chlorofluorocarbones (CFC). Les émissions de ces molécules destructrices d'ozone ont été fortement réduites, continuent à l'être, ce qui a permis à la couche d'ozone d'arrêter de se dégrader et même de se requinquer quelque peu.
La présence de concentrations conséquentes d'ozone dans les hautes couches de l'atmosphère, sur plusieurs dizaines de kilomètres d'épaisseur, permet de nous protéger des rayons ultra-violets et de n'en laisser passer qu'une faible quantité. Si elle n'était pas là, la vie ne serait possible que dans les océans.
Des volumes colossaux
Mais la couche d'ozone se régénère moins vite que prévu. C'est donc que d'autres mangeurs d'ozone sont à l'œuvre. Et avec la disparition des CFC, affirment les chercheurs américains, les molécules les plus dangereuses dans les années à venir seront les oxydes d'azote. Ils ont d'ailleurs beaucoup de points communs : les halocarbones et les oxydes d'azote sont très stables dans la basse atmosphère (troposphère) où ils sont émis, ils peuvent être transportés dans la haute atmosphère (stratosphère) où ils ont un fort potentiel de réactions chimiques.
Il est vrai que ce potentiel est différent. Ainsi, le protoxyde d'azote serait 60 fois moins «fort» que les CFC. Mais les volumes émis sont sans commune mesure. Ainsi, les chercheurs ont calculé, grâce à leur nouveau modèle, que si rien n'est fait pour réduire les émissions d'oxydes d'azote, ils auront, en 2050, un pouvoir destructeur 30 % supérieur aux CFC à leur pic d'émission en 1987. Le paradoxe est que l'on sait depuis les années 1970 que ces gaz sont destructeurs d'ozone. Mais ils n'avaient jamais vraiment été pris au sérieux.
D'où viennent les oxydes d'azote, et en particulier le monoxyde d'azote et le protoxyde d'azote ? S'il s'en forme à l'état naturel dans le cycle de l'azote (78 % de l'air est formé d'azote), les moteurs (de voitures, de camions, de navires, d'avions), les usines, les chauffages, les gazinières en produisent aussi. Et cela de plus en plus.
L'éventuelle réduction des émissions d'oxydes d'azote a d'autres avantages que la protection de l'ozone stratosphérique. En effet, ces gaz azotés ont un rôle dans le réchauffement climatique et le renforcement de l'effet de serre. Car juste après le gaz carbonique et le méthane, ils sont le troisième gaz le plus fortement en croissance. Et les volumes rejetés sont colossaux.
Autre avantage à limiter leurs émissions, cela réduirait beaucoup la pollution au niveau du sol. Car si l'ozone des hauteurs est bon, celui du plancher des vaches est plutôt un «poison». Et si les oxydes d'azote «mangent» de l'ozone là-haut, ils en produisent dans notre air. D'où les nombreuses alertes à la pollution déclenchées chaque été un peu partout en France.
Une situation un peu compliquée mais dont il faudrait mieux se préoccuper, estime Akkihebbal Ravishankara, l'un des auteurs de l'étude : «Maintenant, la balle est dans le camp des décideurs pour savoir comment gérer cela. Notre étude est juste un élément d'information pour ces discussions.
http://www.lefigaro.fr/vert/2009/08/29/ ... asque-.php
yéshoua‘ lui dit: « Je suis la route, la vérité et la vie.
Personne ne vient au père, sinon par moi. UN PACTE NEUF annonce de jean 14:5/7 http://nachouraqui.tripod.com/id60.htm
Personne ne vient au père, sinon par moi. UN PACTE NEUF annonce de jean 14:5/7 http://nachouraqui.tripod.com/id60.htm
Re: Alliance Galactique
Bonsoir toutes et tous, ma main sur ton honorable poitrine noble LAJA
Le gouvernement français a ouvert mardi un site sur la prévention face aux risques naturels, avec les consignes a appliquer, au cas où...
---------------------------
L'information de la population : le droit à l'information générale sur les risques majeurs s'applique. Chaque citoyen doit prendre conscience de sa propre vulnérabilité face aux risques et pouvoir l'évaluer pour la réduire. Pour cela il est primordial de se tenir informé sur la nature des risques qui nous menacent, ainsi que sur les consignes de comportement à adopter en cas d'événement et les actions à conduire comme la prise en compte des règles de construction parasismique par exemple (site du MEEDDM, prim.net, mairie, services de l'État)
Les consignes générales s'appliquent et sont complétées par un certain nombre de consignes spécifiques au risque sismique.
Consignes spécifiques
AVANT
- Repérer les points de coupure du gaz, eau, électricité.
- Fixez les appareils et les meubles lourds.
- Préparez un plan de groupement familial.
PENDANT
Rester où l'on est :
- à l'intérieur : se mettre près d'un mur porteur (mur très solide), une colonne porteuse ou sous des meubles solides, s'éloigner des fenêtres ;
- à l'extérieur : ne pas rester sous des fils électriques ou sous ce qui peut s'effondrer (ponts, corniches, toitures...) ;
- en voiture : s'arrêter et ne pas descendre avant la fin des secousses.
se protéger la tête avec les bras.
Ne pas allumer de flamme.
APRÈS
- Sortir des bâtiments et ne pas se mettre sous, ou à côté, des fils électriques et de ce qui peut s'effondrer (ponts, corniches, toitures, bâtiments,...) ;
- Ne pas prendre les ascenseurs pour quitter un immeuble.
- Couper l'eau, l'électricité et le gaz : en cas de fuite ouvrir les fenêtres et les portes, se sauver et prévenir les autorités.
- S'éloigner des zones côtières, même longtemps après la fin des secousses, en raison d'éventuels raz-de-marée.
- Après la première secousse, se méfier des répliques : il peut y avoir d'autres secousses.
http://www.developpement-durable.gouv.f ... mique.html
http://www.risques.gouv.fr/

Le gouvernement français a ouvert mardi un site sur la prévention face aux risques naturels, avec les consignes a appliquer, au cas où...
---------------------------
L'information de la population : le droit à l'information générale sur les risques majeurs s'applique. Chaque citoyen doit prendre conscience de sa propre vulnérabilité face aux risques et pouvoir l'évaluer pour la réduire. Pour cela il est primordial de se tenir informé sur la nature des risques qui nous menacent, ainsi que sur les consignes de comportement à adopter en cas d'événement et les actions à conduire comme la prise en compte des règles de construction parasismique par exemple (site du MEEDDM, prim.net, mairie, services de l'État)
Les consignes générales s'appliquent et sont complétées par un certain nombre de consignes spécifiques au risque sismique.
Consignes spécifiques
AVANT
- Repérer les points de coupure du gaz, eau, électricité.
- Fixez les appareils et les meubles lourds.
- Préparez un plan de groupement familial.
PENDANT
Rester où l'on est :
- à l'intérieur : se mettre près d'un mur porteur (mur très solide), une colonne porteuse ou sous des meubles solides, s'éloigner des fenêtres ;
- à l'extérieur : ne pas rester sous des fils électriques ou sous ce qui peut s'effondrer (ponts, corniches, toitures...) ;
- en voiture : s'arrêter et ne pas descendre avant la fin des secousses.
se protéger la tête avec les bras.
Ne pas allumer de flamme.
APRÈS
- Sortir des bâtiments et ne pas se mettre sous, ou à côté, des fils électriques et de ce qui peut s'effondrer (ponts, corniches, toitures, bâtiments,...) ;
- Ne pas prendre les ascenseurs pour quitter un immeuble.
- Couper l'eau, l'électricité et le gaz : en cas de fuite ouvrir les fenêtres et les portes, se sauver et prévenir les autorités.
- S'éloigner des zones côtières, même longtemps après la fin des secousses, en raison d'éventuels raz-de-marée.
- Après la première secousse, se méfier des répliques : il peut y avoir d'autres secousses.
http://www.developpement-durable.gouv.f ... mique.html
http://www.risques.gouv.fr/
- Fichiers joints
-
- guide_urgence.pdf
- (803.93 Kio) Téléchargé 200 fois
Re: Alliance Galactique
'(*_*)' merci de ces quelques conseils de notre gouvernement , pour notre( survie )
bien que les intérêts soient ailleurs pour nous, notre survie physique étant totalement secondaire
il serais préférable je pense de mettre en évidence les véritables valeurs de la vie ,
pour que tout un chacun puisse rencontrer sa véritable nature
bien que les intérêts soient ailleurs pour nous, notre survie physique étant totalement secondaire
il serais préférable je pense de mettre en évidence les véritables valeurs de la vie ,
pour que tout un chacun puisse rencontrer sa véritable nature
yéshoua‘ lui dit: « Je suis la route, la vérité et la vie.
Personne ne vient au père, sinon par moi. UN PACTE NEUF annonce de jean 14:5/7 http://nachouraqui.tripod.com/id60.htm
Personne ne vient au père, sinon par moi. UN PACTE NEUF annonce de jean 14:5/7 http://nachouraqui.tripod.com/id60.htm
Re: Alliance Galactique
Bonsoir tous les mondes
Bonsoir toutes et tous, ma main sur ton honorable poitrine noble LAJA
Belle journée aujourd'hui...

Bonsoir toutes et tous, ma main sur ton honorable poitrine noble LAJA

Belle journée aujourd'hui...
- Fichiers joints
-
- Copie de photo 4394.jpg (167.15 Kio) Vu 4430 fois
-
[L’extension bmp a été désactivée et ne peut plus être affichée.]