La Nasa retrouve des roches de Dordogne sur la planète Mars
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Oui, vous avez bien lu le titre de cet article. Il y a un peu de Périgord sur la planète rouge. Des géologues de la Nasa, l'agence spatiale américaine, ont identifié des roches martiennes similaires à des minéraux présents en Dordogne. On vous explique tout.
C'est une belle surprise qu'a eu un physicien du CNRS à Bordeaux il y a quelques jours. Sur sa page Facebook, Bernard Trégon explique que des scientifiques de la Nasa utilisent des noms de communes du Périgord pour classifier des roches découvertes sur la planète Mars grâce au robot Curiosity en mission depuis 2012. Brantôme, Ribérac, Limeyrat ou encore Sorges ont notamment leurs noms sur la planète rouge !
Hubble a observé une exoplanète qui perd son atmosphère et la reconstitue
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"Le télescope Hubble a permis de découvrir que l'atmosphère de l'exoplanète GJ 1132 b, une petite superterre, était anormalement riche en hydrogène pour son âge. Les planétologues en ont déduit qu'il s'agissait d'une atmosphère secondaire continuellement maintenue par de colossales éruptions volcaniques dégazant son manteau"
Une force inconnue a détruit la vie sur Mars, selon des scientifiques
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Une équipe internationale de scientifiques est parvenue à la conclusion que la planète Mars était autrefois habitée, mais qu’une force inconnue a détruit tous les organismes vivants qui s’y trouvaient, rapporte space.com.
Les chercheurs ont analysé des échantillons de sol provenant du cratère Gale et ont conclu que Mars était habitée dans les temps anciens.
Il y a cinq ans, le rover Curiosity a extrait des minéraux argileux dont les propriétés sont très similaires à celles des argiles glauconites. Ces aluminosilicates hydratés complexes sont courants sur Terre et se forment exclusivement dans des écosystèmes stables.
Les premiers succès de Perseverance sur Mars : il y aurait bien eu un lac dans le cratère Jezero
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Depuis que le rover Perseverance s’est posé dans le cratère Jezero de Mars le 18 février 2021, il est déjà entré dans l’histoire.
À l’heure actuelle, Mars et la Terre se trouvent de part et d’autre du Soleil, et les deux planètes ne peuvent pas communiquer entre elles. Après avoir travaillé sans relâche pendant les 216 derniers jours martiens, les équipes scientifiques font leur première vraie pause depuis le début de la mission. Nous sommes deux membres de l’équipe Perseverance et, alors que le rover se terre pour ces 20 jours de « conjonction », c’est le moment idéal pour nous pour prendre un peu de recul et réfléchir aux succès de la mission.
Perseverance a testé toutes ses capacités techniques, parcouru 2,6 kilomètres sur un terrain accidenté et pris plus de 80 000 photos avec ses 19 caméras. Parmi tous ces succès, il y a trois étapes majeures qui nous enthousiasment particulièrement : la collecte des premiers échantillons de carottes de roche, le vol de l’hélicoptère Ingenuity et la publication de nos premiers résultats scientifiques sur le delta du cratère Jezero, qui concluent que le delta avançait dans un ancien lac dont la profondeur a varié avec le temps.
" Les crustodermes fossilisés sont abondants sur le site du cratère Jezero de la planète Mars, vos scientifiques pourront facilement les photographier, les collecter et en renvoyer des échantillons sur OYAGAA (planète Terre). Cette découverte significative motivera de nouvelles expéditions qui devraient se concentrer sur les calottes polaires martiennes et leurs océans souterrains. Les inlandsis abritent un habitat de substrat dur sous la plate-forme de glace observable qui nourrit un écosystème insoupçonné par vos chercheurs ; vous y découvrirez de nombreux AIUUBAAYII (êtres vivants) : éponges, ascidies, hydroïdes, balanes, cnidaires ou polychètes martiennes."
Nathalie Cabrol est astrobiologiste à l'institut SETI. Son livre« Voyage aux frontières de la vie » (Éditions du Seuil) est sorti le 23 septembre. L'occasion pour elle de revenir pour « Le Point » sur l'avancée des recherches sur la vie dans l'Univers.
Une étude scientifique affirme que des formes de vie pourraient se cacher dans les nuages de Vénus
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Des scientifiques ont émis l’hypothèse selon laquelle des formes de vie extraterrestres qui se nourrissent d’acides neutralisant les réactions chimiques pourraient se cacher dans les nuages de Vénus, apprend-ton par le journal Latin Times.
Une nouvelle étude, publiée dans la revue scientifique Proceedings of the National Academy of Sciences, suggère que la planète, située à 47 millions de kilomètres de la Terre, pourrait être potentiellement habitable en raison de la présence d’ammoniac.
La détection d’ammoniac, un composé d’azote et d’hydrogène, dans l’atmosphère de Vénus laisse les scientifiques perplexes depuis un certain temps. Elle a été détectée pour la première fois il y a environ quarante ans, rapporte le site 9news.com.au.
Toujours selon le journal, Vénus est la plus proche voisine de notre planète, or son environnement hostile rend l’existence de la vie humaine impossible. Mais selon la nouvelle étude menée par des chercheurs de l’Institut de technologie du Massachusetts (MIT), de l’Université de Cardiff et de l’Université de Cambridge au Royaume-Uni, si de l’ammoniac est présent sur Vénus, il déclencherait des réactions chimiques qui pourraient y favoriser la vie.
Un élément essentiel pour la vie découvert sur Encelade, une lune de Saturne
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. L’étude de données recueillies par la sonde de la Nasa Cassini sur une lune de Saturne a permis à des scientifiques de découvrir du phosphore, un élément essentiel pour la vie. C’est la première fois que cet élément est découvert dans un océan ailleurs que sur Terre.
La longue quête d’une vie extraterrestre vient de recevoir un coup de pouce majeur : du phosphore, un élément clé pour la vie, a été découvert dans un océan situé sous la surface glacée d’Encelade, une lune de Saturne.
La découverte, basée sur l’étude des données recueillies par la sonde Cassini de la Nasa, a été publiée mercredi 14 juin 2023 dans la prestigieuse revue scientifique Nature.
Une trace de vie découverte par le télescope spatial James-Webb ?
Par Victor Masson
Publié le 14/09/23 à 11h25
https://www.lesnumeriques.com/astronomi ... 13166.html [...] "Les premières observations de James-Webb ont également permis de détecter une molécule appelée sulfure de diméthyle (DMS). Sur Terre, elle n'est produite que par la vie, explique l'ESA dans un communiqué : “La majeure partie du DMS présent dans l'atmosphère terrestre est émise par le phytoplancton dans les environnements marins.” Cette découverte devra toutefois être confirmée par de futures observations."[...]
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Chronique de Paola Puerari dans "Le Temps de l'Info" présenté par Elizabeth Martichoux