le Suaire
Modérateur : Admin
Re: le Suaire
Bonsoir Aja !
Le linceul est une énigme et le personnage de Jésus de Nazareth est une autre énigme. En tout cas, quand une personne souffre, elle peut déclencher toute sorte de phénomènes (tout comme un certain stress d'ailleurs). Je me rappelle l'histoire d'une religieuse qui avait été torturée pendant la guerre et qui s'était dédoublée dans une autre endroit (ubiquité). C'est aussi une projection énergétique d''une partie de soi.
Le linceul est une énigme et le personnage de Jésus de Nazareth est une autre énigme. En tout cas, quand une personne souffre, elle peut déclencher toute sorte de phénomènes (tout comme un certain stress d'ailleurs). Je me rappelle l'histoire d'une religieuse qui avait été torturée pendant la guerre et qui s'était dédoublée dans une autre endroit (ubiquité). C'est aussi une projection énergétique d''une partie de soi.
Re: le Suaire
Bonjour Myrtille
Effectivement ,dans le cas de Yéshua les évangiles parlent d'une disparition totale !
Fraternellement
Effectivement ,dans le cas de Yéshua les évangiles parlent d'une disparition totale !
Fraternellement
la création est une symphonie dont nous sommes les musiciens , mais que signifie-t-elle sans son compositeur source de toute Vie ?
Re: le Suaire
J'ai envie de sourire quand je vois le mot « Evangile » et « disparition totale »
Il y a déjà plusieurs versions quant au nombre des évangiles :
- il y a soi-disant les « vrais» (Marc, Matthieu, Luc, Jean) et puis
- il y « les autres » qui dérangent (Marie, Thomas, Judas, Philippe etc...) car les évangiles apocryphes n'ont pas été repris dans la Bible.
Quand on reprend l'Evangile de Saint Luc, Jésus n'a pas « totalement disparu »
« Lc 24,37. Mais, troublés et épouvantés, ils croyaient voir un esprit.
Lc 24,38. Et Il leur dit: Pourquoi vous troublez-vous? et pourquoi de telles pensées s'élèvent-elles dans vos coeurs?
Lc 24,39. Voyez Mes mains et Mes pieds; c'est bien Moi; touchez et voyez: un esprit n'a ni chair ni os, comme vous voyez que J'en ai.
Lc 24,40. Et après avoir dit cela, Il leur montra Ses mains et Ses pieds.
Lc 24,41. Mais comme ils ne croyaient point encore et qu'ils s'étonnaient, transportés de joie, Il dit: Avez-vous ici quelque chose à manger?
Lc 24,42. Ils Lui présentèrent un morceau de poisson rôti et un rayon de miel. »
Par contre dans l'évangile on parle de réssurection. Or à l'heure actuelle dans les faits divers, il y a eu plusieurs cas de personnes qui « ressuscitent » à la morgue.
Quant aux traces sur le linceul, je pense que ce sont des réactions chimiques d'un corps vivant. Je pense que Jésus avait beaucoup de magnétisme et qu'il a « impressionné » le linceul. Dans les faits étranges et paranormaux, on a déjà vu des personnes « impressionner » un appareil photographique et faire apparaître des images qui ne représentaient pas l'endroit où ils se trouvaient, par le pouvoir de l'esprit.
Personnellement, je pense que Jésus était un homme passionné, plein de compassion, sans préjugés contrairement aux autres hommes de son époque, et qu'il a vécu tout simplement avec une femme et qu'ils ont eu des enfants. Ben oui ... c'était un homme après tout, et il a trouvé "son graal" en sa compagne.
Et puis tout compte fait ... si bien même il serait mort physiquement, peut-on parler de disparition totale ? Si l'univers est infini on ne disparaît jamais totalement ! On disparaît sur un plan pour évoluer sur un autre.
Maintenant libre à chacun de croire en ce qu'il veut...
Respectueusement
Il y a déjà plusieurs versions quant au nombre des évangiles :
- il y a soi-disant les « vrais» (Marc, Matthieu, Luc, Jean) et puis
- il y « les autres » qui dérangent (Marie, Thomas, Judas, Philippe etc...) car les évangiles apocryphes n'ont pas été repris dans la Bible.
Quand on reprend l'Evangile de Saint Luc, Jésus n'a pas « totalement disparu »
« Lc 24,37. Mais, troublés et épouvantés, ils croyaient voir un esprit.
Lc 24,38. Et Il leur dit: Pourquoi vous troublez-vous? et pourquoi de telles pensées s'élèvent-elles dans vos coeurs?
Lc 24,39. Voyez Mes mains et Mes pieds; c'est bien Moi; touchez et voyez: un esprit n'a ni chair ni os, comme vous voyez que J'en ai.
Lc 24,40. Et après avoir dit cela, Il leur montra Ses mains et Ses pieds.
Lc 24,41. Mais comme ils ne croyaient point encore et qu'ils s'étonnaient, transportés de joie, Il dit: Avez-vous ici quelque chose à manger?
Lc 24,42. Ils Lui présentèrent un morceau de poisson rôti et un rayon de miel. »
Par contre dans l'évangile on parle de réssurection. Or à l'heure actuelle dans les faits divers, il y a eu plusieurs cas de personnes qui « ressuscitent » à la morgue.
Quant aux traces sur le linceul, je pense que ce sont des réactions chimiques d'un corps vivant. Je pense que Jésus avait beaucoup de magnétisme et qu'il a « impressionné » le linceul. Dans les faits étranges et paranormaux, on a déjà vu des personnes « impressionner » un appareil photographique et faire apparaître des images qui ne représentaient pas l'endroit où ils se trouvaient, par le pouvoir de l'esprit.
Personnellement, je pense que Jésus était un homme passionné, plein de compassion, sans préjugés contrairement aux autres hommes de son époque, et qu'il a vécu tout simplement avec une femme et qu'ils ont eu des enfants. Ben oui ... c'était un homme après tout, et il a trouvé "son graal" en sa compagne.
Et puis tout compte fait ... si bien même il serait mort physiquement, peut-on parler de disparition totale ? Si l'univers est infini on ne disparaît jamais totalement ! On disparaît sur un plan pour évoluer sur un autre.
Maintenant libre à chacun de croire en ce qu'il veut...
Respectueusement
Re: le Suaire
Bonsoir Myrtille
Il est dit que Marie se rendant au tombeau a trouvés les linges vides rangés et un homme a la porte qui lui dit que Yéshua est monté au père ...
Fraternellement
Dans l’Évangile cité il est question d'une réapparition après une ""disparition"" ou résurrection si tu préfère totale de notre plan de vie mon amie !Lc 24,37. Mais, troublés et épouvantés, ils croyaient voir un esprit.
Lc 24,38. Et Il leur dit: Pourquoi vous troublez-vous? et pourquoi de telles pensées s'élèvent-elles dans vos cœurs?
Lc 24,39. Voyez Mes mains et Mes pieds; c'est bien Moi; touchez et voyez: un esprit n'a ni chair ni os, comme vous voyez que J'en ai.
Lc 24,40. Et après avoir dit cela, Il leur montra Ses mains et Ses pieds.
Lc 24,41. Mais comme ils ne croyaient point encore et qu'ils s'étonnaient, transportés de joie, Il dit: Avez-vous ici quelque chose à manger?
Lc 24,42. Ils Lui présentèrent un morceau de poisson rôti et un rayon de miel. »
Il est dit que Marie se rendant au tombeau a trouvés les linges vides rangés et un homme a la porte qui lui dit que Yéshua est monté au père ...
Fraternellement
la création est une symphonie dont nous sommes les musiciens , mais que signifie-t-elle sans son compositeur source de toute Vie ?
Re: le Suaire
Normal il n'allait pas quitter les lieux avec son linceul, chère amie. Tout cela c'est une question d'état d'esprit et d'interprétation ...
Re: le Suaire
Bonjour Myrtille
Fraternellement
Une simple constatation et éventualité mon amie, comme je l'ai dit dans cette affaire pour y voir clair, il me semble qu'il faut garder un esprit cartésien,sans idéologie ni dans un sens ni dans l'autre ...Myrtille a écrit
Normal il n'allait pas quitter les lieux avec son linceul, chère amie. Tout cela c'est une question d'état d'esprit et d'interprétation ...
Fraternellement
la création est une symphonie dont nous sommes les musiciens , mais que signifie-t-elle sans son compositeur source de toute Vie ?
Re: le Suaire
Suaire de Turin: un expert liégeois apporte un nouvel indice
Le suaire de Turin continue d’attiser les passions. Après l’autopsie du linceul réalisée par le professeur Philippe Boxho de l’Université de Liège, voici maintenant un numismate liégeois, Agostino Sferrazza, qui apporte également sa pierre à l’édifice. Tous deux penchent pour accréditer la thèse qu’il s’agit bel et bien du drap qui a recouvert Jésus dans son tombeau.
Le suaire de Turin a déjà fait l’objet de milliers d’écrits et d’études depuis des siècles et malgré tout, il partage toujours autant l’opinion. Il y a ceux qui croient qu’il s’agit réellement du linceul qui a entouré le corps de Jésus, entre sa crucifixion et sa résurrection trois jours plus tard. Et il y a ceux qui sont persuadés qu’il s’agit d’un faux, réalisé au Moyen Age, dans le but de s’attirer des fidèles et leurs offrandes.
Mais les techniques modernes ont permis de déceler des éléments qui n’étaient pas visibles à l’œil nu auparavant. Ainsi en va-t-il des deux zones plus claires que l’on apercevait près des globes oculaires du visage du Christ et qui ont été analysées dans les années 70 par les photographes de la Nasa. Avec les mêmes techniques qui permettent de faire apparaître des points lumineux au fin fond de l’univers.
En les grossissant et en utilisant les contrastes clair-obscur, certaines personnes ont pu y déceler la forme et le dessin de deux pièces de monnaie ! Leur présence est loin d’être saugrenue dans la mesure où Il s’agissait d’une coutume fréquente à l’époque : la pièce de monnaie placée sur les yeux des morts était censée payer Charon, un personnage mythologique qui possédait une barque et qui pouvait ainsi vous faire passer le fleuve vers le royaume des morts.
Dans les années 80, un père jésuite du nom de Filas, professeur de mathématiques à Chicago, avait alors réalisé une étude sur ces pièces et était arrivé à la conclusion qu’il s’agissait de « leptons romains » qui étaient en circulation en Judée du temps de Jésus. Peu de scientifiques lui avaient accordé du crédit à l’époque, estimant qu’il s’agissait surtout d’une « illusion d’optique de quelqu’un qui voulait croire ». Et ses travaux étaient tombés en désuétude. 30 ans plus tard
Agostino Sferrazza est médecin généraliste à Saint-Nicolas (Liège). Mais c’est aussi un éminent numismate. Une véritable passion chez lui qui date de son plus jeune âge. « Au cours de mes recherches, je suis tombé sur les travaux du père jésuite Filas, explique-t-il. Et j’ai décidé de les analyser avec le regard du numismate. »
Pour être franc, Agostino Sferrazza déclare d’emblée qu’il est croyant mais non-pratiquant. Et surtout qu’il ne voit pas à l’oeil nu tous les détails que semblent voir certaines personnes, dont le père Filas. « Mais ce que je peux affirmer, reprend-il, c’est que si ce que voient ces gens est bien réel, il s’agit à coup sûr de pièces romaines qui étaient en circulation en Judée du temps du procurateur Ponce-Pilate. Et même qu’elles ont été frappées en l’an 29 après Jésus-Christ. »
Elles seraient donc contemporaines de Jésus et accréditeraient la thèse selon laquelle le suaire de Turin serait bel et bien celui qui a enveloppé le Christ. Le professeur Philippe Boxho ne pensait pas autre chose lorsqu’il disait que les marques des blessures sur le suaire de Turin étaient celles de Jésus lui-même, ou bien de quelqu’un mort exactement de la même manière que lui.
Les deux pièces datent de 29, 30 ou 31 après Jésus-Christ
Lundi, Mai 15, 2017 - 17:05
S’il s’agit bien de deux pièces de monnaie qui se trouvent sur les yeux du visage imprimé sur le linceul de Turin, elles ressemblent alors à des « leptons », ces pièces romaines en bronze qui étaient en usage en Judée au début du premier millénaire.
Mais comment Agostino Sferrazza parvient-il à les dater aussi précisément des années 29, 30 ou 31 après Jésus-Christ ?
« Sur l’œil droit, explique-t-il, la reconstruction informatique de la pièce fait apparaître le dessin d’un lipuus (une sorte de crosse) et le nom de Tiberius Cesarius, écrit en grec. Sur l’œil gauche, il s’agit également d’un lepton romain mais avec cette fois le dessin d’un simpulum (une petite coupe liturgique). »
Or, les seuls leptons semblables qu’on ait retrouvés datent tous du temps où Ponce-Pilate était l’envoyé de Rome en Judée, à savoir entre 26 et 36 après Jésus-Christ. Or, on sait que ce procurateur romain a fait frapper au moins trois pièces durant son administration à l’effigie de son empereur Tibère César.
Et sur le revers de ces trois pièces, entre deux branches de laurier ou des épis de blé, on trouve les lettres suivantes : un « L » qui signifie « année », un iota grec qui renvoie au chiffre 10 et soit un digamma, un eta ou un zeta grecs correspondants aux chiffres 5, 6 et 7.
« Nous sommes donc dans la quinzième, la seizième ou la dix-septième année du règne de Tibère César. Tibère étant devenu empereur en 14, on se situe donc dans les années 29, 30 ou 31. Et on sait que Jésus a été crucifié dans sa 33ème année. »
On peut donc affirmer que, si traces de pièces il y a sur le linceul de Turin, elles existaient bel et bien en Judée et étaient en circulation au moment de la mort de Jésus.
L.G. http://liege.lameuse.be/82430/article/2 ... vel-indice
Le suaire de Turin continue d’attiser les passions. Après l’autopsie du linceul réalisée par le professeur Philippe Boxho de l’Université de Liège, voici maintenant un numismate liégeois, Agostino Sferrazza, qui apporte également sa pierre à l’édifice. Tous deux penchent pour accréditer la thèse qu’il s’agit bel et bien du drap qui a recouvert Jésus dans son tombeau.
Le suaire de Turin a déjà fait l’objet de milliers d’écrits et d’études depuis des siècles et malgré tout, il partage toujours autant l’opinion. Il y a ceux qui croient qu’il s’agit réellement du linceul qui a entouré le corps de Jésus, entre sa crucifixion et sa résurrection trois jours plus tard. Et il y a ceux qui sont persuadés qu’il s’agit d’un faux, réalisé au Moyen Age, dans le but de s’attirer des fidèles et leurs offrandes.
Mais les techniques modernes ont permis de déceler des éléments qui n’étaient pas visibles à l’œil nu auparavant. Ainsi en va-t-il des deux zones plus claires que l’on apercevait près des globes oculaires du visage du Christ et qui ont été analysées dans les années 70 par les photographes de la Nasa. Avec les mêmes techniques qui permettent de faire apparaître des points lumineux au fin fond de l’univers.
En les grossissant et en utilisant les contrastes clair-obscur, certaines personnes ont pu y déceler la forme et le dessin de deux pièces de monnaie ! Leur présence est loin d’être saugrenue dans la mesure où Il s’agissait d’une coutume fréquente à l’époque : la pièce de monnaie placée sur les yeux des morts était censée payer Charon, un personnage mythologique qui possédait une barque et qui pouvait ainsi vous faire passer le fleuve vers le royaume des morts.
Dans les années 80, un père jésuite du nom de Filas, professeur de mathématiques à Chicago, avait alors réalisé une étude sur ces pièces et était arrivé à la conclusion qu’il s’agissait de « leptons romains » qui étaient en circulation en Judée du temps de Jésus. Peu de scientifiques lui avaient accordé du crédit à l’époque, estimant qu’il s’agissait surtout d’une « illusion d’optique de quelqu’un qui voulait croire ». Et ses travaux étaient tombés en désuétude. 30 ans plus tard
Agostino Sferrazza est médecin généraliste à Saint-Nicolas (Liège). Mais c’est aussi un éminent numismate. Une véritable passion chez lui qui date de son plus jeune âge. « Au cours de mes recherches, je suis tombé sur les travaux du père jésuite Filas, explique-t-il. Et j’ai décidé de les analyser avec le regard du numismate. »
Pour être franc, Agostino Sferrazza déclare d’emblée qu’il est croyant mais non-pratiquant. Et surtout qu’il ne voit pas à l’oeil nu tous les détails que semblent voir certaines personnes, dont le père Filas. « Mais ce que je peux affirmer, reprend-il, c’est que si ce que voient ces gens est bien réel, il s’agit à coup sûr de pièces romaines qui étaient en circulation en Judée du temps du procurateur Ponce-Pilate. Et même qu’elles ont été frappées en l’an 29 après Jésus-Christ. »
Elles seraient donc contemporaines de Jésus et accréditeraient la thèse selon laquelle le suaire de Turin serait bel et bien celui qui a enveloppé le Christ. Le professeur Philippe Boxho ne pensait pas autre chose lorsqu’il disait que les marques des blessures sur le suaire de Turin étaient celles de Jésus lui-même, ou bien de quelqu’un mort exactement de la même manière que lui.
Les deux pièces datent de 29, 30 ou 31 après Jésus-Christ
Lundi, Mai 15, 2017 - 17:05
S’il s’agit bien de deux pièces de monnaie qui se trouvent sur les yeux du visage imprimé sur le linceul de Turin, elles ressemblent alors à des « leptons », ces pièces romaines en bronze qui étaient en usage en Judée au début du premier millénaire.
Mais comment Agostino Sferrazza parvient-il à les dater aussi précisément des années 29, 30 ou 31 après Jésus-Christ ?
« Sur l’œil droit, explique-t-il, la reconstruction informatique de la pièce fait apparaître le dessin d’un lipuus (une sorte de crosse) et le nom de Tiberius Cesarius, écrit en grec. Sur l’œil gauche, il s’agit également d’un lepton romain mais avec cette fois le dessin d’un simpulum (une petite coupe liturgique). »
Or, les seuls leptons semblables qu’on ait retrouvés datent tous du temps où Ponce-Pilate était l’envoyé de Rome en Judée, à savoir entre 26 et 36 après Jésus-Christ. Or, on sait que ce procurateur romain a fait frapper au moins trois pièces durant son administration à l’effigie de son empereur Tibère César.
Et sur le revers de ces trois pièces, entre deux branches de laurier ou des épis de blé, on trouve les lettres suivantes : un « L » qui signifie « année », un iota grec qui renvoie au chiffre 10 et soit un digamma, un eta ou un zeta grecs correspondants aux chiffres 5, 6 et 7.
« Nous sommes donc dans la quinzième, la seizième ou la dix-septième année du règne de Tibère César. Tibère étant devenu empereur en 14, on se situe donc dans les années 29, 30 ou 31. Et on sait que Jésus a été crucifié dans sa 33ème année. »
On peut donc affirmer que, si traces de pièces il y a sur le linceul de Turin, elles existaient bel et bien en Judée et étaient en circulation au moment de la mort de Jésus.
L.G. http://liege.lameuse.be/82430/article/2 ... vel-indice
la création est une symphonie dont nous sommes les musiciens , mais que signifie-t-elle sans son compositeur source de toute Vie ?
Re: le Suaire
Le linceul de Turin aurait bien pu recouvrir Jésus-Christ
Un groupe franco-italien de chercheurs a trouvé des preuves indiquant que la datation au carbone 14 du suaire de Turin réalisée en 1988, et qui le situait entre 1260 et 1390, contenait des erreurs, selon Phys.org. L’étoffe serait-elle authentique?
Les tests sur le linceul de Turin réalisés en 1988 étaient imparfaits, selon une équipe de chercheurs français et italiens, a annoncé Phys.org.
Dans un article publié dans la revue Archaeometry de l'Université d'Oxford, l’équipe a expliqué son analyse des données précédentes.
En 1988, les chercheurs de l'Université de l'Arizona, du Federal Institute of Technology de Suisse et de l’Université d’Oxford avaient été choisis pour examiner des morceaux du linceul. Ils avaient daté ces fragments à une époque située entre 1260 et 1390, ce qui démontrait qu’il ne correspondait pas à l'époque du Christ.
Analyse des éléments hétérogènes
Après avoir étudié les données pendant deux ans, la nouvelle équipe a annoncé que les résultats de 1988 était imparfaits, car ils n’impliquaient pas l’étude de la totalité du linceul mais seulement de quelques éléments du bord. Or, selon certaines rumeurs, des pièces de bordure auraient été confectionnées par des nonnes médiévales qui cherchaient à réparer les dommages causés au linceul au fil des ans.L’équipe franco-italienne a estimé que les fragments étudiés étaient hétérogènes, d’où la nécessité d’une analyse supplémentaire pour déterminer la date exacte.
Réticence du Vatican
Pour ce faire, il faut cependant que le Vatican fournisse à nouveau l’accès à la relique, ce qui suscite de forts doutes. Les responsables de l’Église se sont en effet montrés réticents à cette idée, a conclu Phys.org.
L'Église catholique, qui possède le linceul depuis 1983, ne s'est jamais prononcée officiellement sur son authenticité.
https://fr.sputniknews.com/internationa ... shortening
Un groupe franco-italien de chercheurs a trouvé des preuves indiquant que la datation au carbone 14 du suaire de Turin réalisée en 1988, et qui le situait entre 1260 et 1390, contenait des erreurs, selon Phys.org. L’étoffe serait-elle authentique?
Les tests sur le linceul de Turin réalisés en 1988 étaient imparfaits, selon une équipe de chercheurs français et italiens, a annoncé Phys.org.
Dans un article publié dans la revue Archaeometry de l'Université d'Oxford, l’équipe a expliqué son analyse des données précédentes.
En 1988, les chercheurs de l'Université de l'Arizona, du Federal Institute of Technology de Suisse et de l’Université d’Oxford avaient été choisis pour examiner des morceaux du linceul. Ils avaient daté ces fragments à une époque située entre 1260 et 1390, ce qui démontrait qu’il ne correspondait pas à l'époque du Christ.
Analyse des éléments hétérogènes
Après avoir étudié les données pendant deux ans, la nouvelle équipe a annoncé que les résultats de 1988 était imparfaits, car ils n’impliquaient pas l’étude de la totalité du linceul mais seulement de quelques éléments du bord. Or, selon certaines rumeurs, des pièces de bordure auraient été confectionnées par des nonnes médiévales qui cherchaient à réparer les dommages causés au linceul au fil des ans.L’équipe franco-italienne a estimé que les fragments étudiés étaient hétérogènes, d’où la nécessité d’une analyse supplémentaire pour déterminer la date exacte.
Réticence du Vatican
Pour ce faire, il faut cependant que le Vatican fournisse à nouveau l’accès à la relique, ce qui suscite de forts doutes. Les responsables de l’Église se sont en effet montrés réticents à cette idée, a conclu Phys.org.
L'Église catholique, qui possède le linceul depuis 1983, ne s'est jamais prononcée officiellement sur son authenticité.
https://fr.sputniknews.com/internationa ... shortening
la création est une symphonie dont nous sommes les musiciens , mais que signifie-t-elle sans son compositeur source de toute Vie ?
Re: le Suaire
Le Linceul de Turin ne peut venir que de la Résurrection du Christ
la création est une symphonie dont nous sommes les musiciens , mais que signifie-t-elle sans son compositeur source de toute Vie ?