
ALLIANCE GALACTIQUE
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Re: ALLIANCE GALACTIQUE
douce nuit les amis '(*_*)'
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la création est une symphonie dont nous sommes les musiciens , mais que signifie-t-elle sans son compositeur source de toute Vie ?
Re: ALLIANCE GALACTIQUE
Bonjour tous les mondes
Bonjour toutes et tous
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01/04/11
Au moins dix employés de l’ONU tués en Afghanistan
Une tuerie a eu lieu ce vendredi à Mazar-i-Sharif en Afghanistan. Au moins dix employés des Nations unies ont été tués sauvagement dans cette grande ville du nord du pays. Deux d’entre eux auraient été décapités. Ils sont étrangers en majorité, affirme la police afghane, et ils sont morts lors d’une attaque du siège de l’ONU dans la ville. L’attaque a été menée par des personnes armées, à l’issue d’une manifestation à laquelle avaient participé environ 500 Afghans. Ces manifestants protestaient surtout contre l’action provocatrice d’un pasteur américain intégriste le 20 mars dernier en Floride. Il avait brûlé en public un livre du Coran. Les violences semblent se poursuivre dans la ville de Mazar-i-Sharif. Des tirs y sont entendus.
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01/04/2011
Le combat d'Asra Nomani pour un «Vatican II de l'islam»
PORTRAIT - Mise au ban de la communauté musulmane, cette jeune féministe américaine milite pour «l'ouverture, la réforme et les droits des femmes».
Asra Nomani a posé sur la table de sa salle à manger un Coran importé d'Arabie saoudite largement utilisé dans les mosquées américaines. Cette intellectuelle quadragénaire aux longs cheveux de jais et aux yeux noirs comme des grains de café ouvre délicatement le livre sacré de l'islam aux endroits marqués de signets qu'elle a scotchés pour retrouver aisément les versets qui la tourmentent. «Voilà ce qui est écrit: il ne faut pas prendre pour amis les juifs et les chrétiens.»
Elle note que cette même phrase ne figure pas dans un autre Coran qu'elle utilise, mais qu'on la retrouve dans les sermons fournis en ligne de l'ambassade saoudienne que nombre d'imams américains téléchargent. Elle se reporte à un autre verset relatif aux «femmes qui doivent être battues si elles ne sont pas obéissantes». «Si l'on est prêt à battre les femmes, qu'on ne peut pas avoir d'amis juifs ou chrétiens et qu'on entend parler chaque jour de guerre sainte contre les non-croyants, on peut finir par en conclure qu'il faut tuer les non-musulmans, quand on est un jeune esprit fragile», avertit cette féministe musulmane américaine, qui rêve à haute voix d'un «Vatican II de l'islam».
Une réforme de l'islam
Pour Asra, en désaccord total sur ce point avec la majorité de la communauté musulmane américaine, il y a «une continuité évidente entre l'interprétation littérale très rétrograde de l'islam enseignée dans les mosquées d'Amérique et la capacité d'al-Qaida à recruter sur place des soldats du terrorisme». «Pourquoi nos communautés continuent-elles de fermer les yeux? Pourquoi ne lance-t-on pas une réforme de l'islam au lieu d'importer cette littérature religieuse saoudienne et cette idéologie qui lave le cerveau de nos jeunes gens? Cela crée un terreau redoutable», s'inquiète Asra.
Sans doute Asra Nomani - élevée par des parents musulmans conservateurs mais devenue depuis une libérale à la pratique irrégulière - ne se serait-elle pas mise à scruter à la loupe les textes religieux utilisés dans les mosquées s'il n'y avait eu le 23 janvier 2002. Ce jour-là, elle avait dit au revoir à son ami Daniel Pearl, brillant reporter du Wall Street Journal, qu'elle avait hébergé dans sa maison de Karachi au Pakistan, où elle était en poste pour le même quotidien pour couvrir l'après-11 Septembre. Depuis dix ans, ils travaillaient ensemble. Mais Danny fut kidnappé par un groupe d'extrémistes supervisés par le cerveau présumé du 11 Septembre, Cheikh Khaled Mohamed, puis égorgé, décapité et coupé en dix morceaux.
Son corps fut retrouvé au mois de mai suivant, et des cassettes de son attentat, intitulées par ses meurtriers «l'exécution du juif Pearl», identifiées dans une mosquée de Karachi. La tragédie allait changer la vie d'Asra pour toujours. «Le fait qu'on ait retrouvé cette vidéo dans une mosquée, ce lieu carrefour de la communauté, où tout se décide et tout converge était capital. C'était bien là que l'idéologie qui avait tué Danny transformait en soldats du terrorisme de jeunes musulmans», explique-t-elle dans sa belle demeure de Virginie, où elle vit aujourd'hui avec son fils au milieu de la verdure.
Elle a passé des années à tenter de «comprendre comment ils étaient devenus des assassins après avoir été de simples étudiants ou fermiers». Parallèlement à ce travail, Nomani a «voulu voir ce qui se passait dans les mosquées d'Amérique» et a tenté de s'investir dans le fonctionnement de celle de Morgantown, en Virginie occidentale, lieu de culte qu'elle fréquentait en compagnie de ses parents, établis là-bas.
«Quand va-t-on se réveiller?»
Elle dit pourtant qu'elle n'a pas le choix depuis la mort de Daniel Pearl. Ainsi vient-elle de publier un article dans le Washington Post, approuvant la récente audition du Congrès sur la radicalisation des musulmans américains, convoqué par le républicain Peter King, la jugeant «utile à la conversation nationale». «Je sympathise avec ce que font les Français sur la burqa et sur la laïcité», dit-elle, parlant d'un défi commun. Mais Asra Nomani regrette que ses «amis libéraux» - Obama en tête - restent sourds au problème et s'en tiennent prudemment à endosser «le refrain» de la communauté musulmane sur les dangers d'une mise au ban de l'islam. «King demande juste de reconnaître qu'il y a un problème et de discuter des moyens de le résoudre. Quel est le mal? La radicalisation des musulmans n'est pas une donnée théorique. C'est une réalité qui tue. Quand va-t-on se réveiller?»
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D 53
1966
L'objectif de ces très petits individus qui se trouvent sur cette Planète ( entre 13 et 9 OEMII) est de réaliser exclusivement des expériences psychiques et parapsychiques sur les OEMII terrestres sans désirer avoir accès à d'autres domaines du complexe culturel terrestre.
Leur niveau techologique est inférieur au nôtre et supérieur de beaucoup au vôtre. Mais dans le domaine de la psychologie, ils sont beaucoup plus avancés que nous et ils accordent une grande importance aux manifestations artistiques accessibles par voie acoustique (musique et parole) et par voie gustative.
Ils ont une Philosophie très particulière, Monothéiste comme la nôtre, mais ils ont aussi un cadre moral qui n'est pas universel, selon lequel il n'est seulement valable que pour les OEMII qui vivent sur leur Planète. Ils considèrent qu'il est éthique et permis de réaliser tous les types d'expériences sur des êtres étrangers à leur astre.
Cette morale les rend très dangereux pour vous et pour d'autres planètes visitées et leur objectif actuel est de créer chez les OEMII terrestres des UIIORAA EUUNNA ( cadre psychique anormal et différent des coutumes habituelles) pour observer les réactions des sujets soumis à une telle expérience et pouvoir connaître ainsi leur psychisme. Une telle technique est connue par nous mais à un niveau très rudimentaire.
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Bien-aimés, n'ajoutez pas foi à tout esprit; mais éprouvez les esprits, pour savoir s'ils sont de Dieu, car plusieurs faux prophètes sont venus dans le monde. Jean 4:1
http://fr.euronews.net/2011/04/01/au-mo ... ghanistan/
http://www.lefigaro.fr/international/20 ... -islam.php
http://www.ummo-sciences.org/fr/index-o.htm

Bonjour toutes et tous

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01/04/11
Au moins dix employés de l’ONU tués en Afghanistan
Une tuerie a eu lieu ce vendredi à Mazar-i-Sharif en Afghanistan. Au moins dix employés des Nations unies ont été tués sauvagement dans cette grande ville du nord du pays. Deux d’entre eux auraient été décapités. Ils sont étrangers en majorité, affirme la police afghane, et ils sont morts lors d’une attaque du siège de l’ONU dans la ville. L’attaque a été menée par des personnes armées, à l’issue d’une manifestation à laquelle avaient participé environ 500 Afghans. Ces manifestants protestaient surtout contre l’action provocatrice d’un pasteur américain intégriste le 20 mars dernier en Floride. Il avait brûlé en public un livre du Coran. Les violences semblent se poursuivre dans la ville de Mazar-i-Sharif. Des tirs y sont entendus.
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01/04/2011
Le combat d'Asra Nomani pour un «Vatican II de l'islam»
PORTRAIT - Mise au ban de la communauté musulmane, cette jeune féministe américaine milite pour «l'ouverture, la réforme et les droits des femmes».
Asra Nomani a posé sur la table de sa salle à manger un Coran importé d'Arabie saoudite largement utilisé dans les mosquées américaines. Cette intellectuelle quadragénaire aux longs cheveux de jais et aux yeux noirs comme des grains de café ouvre délicatement le livre sacré de l'islam aux endroits marqués de signets qu'elle a scotchés pour retrouver aisément les versets qui la tourmentent. «Voilà ce qui est écrit: il ne faut pas prendre pour amis les juifs et les chrétiens.»
Elle note que cette même phrase ne figure pas dans un autre Coran qu'elle utilise, mais qu'on la retrouve dans les sermons fournis en ligne de l'ambassade saoudienne que nombre d'imams américains téléchargent. Elle se reporte à un autre verset relatif aux «femmes qui doivent être battues si elles ne sont pas obéissantes». «Si l'on est prêt à battre les femmes, qu'on ne peut pas avoir d'amis juifs ou chrétiens et qu'on entend parler chaque jour de guerre sainte contre les non-croyants, on peut finir par en conclure qu'il faut tuer les non-musulmans, quand on est un jeune esprit fragile», avertit cette féministe musulmane américaine, qui rêve à haute voix d'un «Vatican II de l'islam».
Une réforme de l'islam
Pour Asra, en désaccord total sur ce point avec la majorité de la communauté musulmane américaine, il y a «une continuité évidente entre l'interprétation littérale très rétrograde de l'islam enseignée dans les mosquées d'Amérique et la capacité d'al-Qaida à recruter sur place des soldats du terrorisme». «Pourquoi nos communautés continuent-elles de fermer les yeux? Pourquoi ne lance-t-on pas une réforme de l'islam au lieu d'importer cette littérature religieuse saoudienne et cette idéologie qui lave le cerveau de nos jeunes gens? Cela crée un terreau redoutable», s'inquiète Asra.
Sans doute Asra Nomani - élevée par des parents musulmans conservateurs mais devenue depuis une libérale à la pratique irrégulière - ne se serait-elle pas mise à scruter à la loupe les textes religieux utilisés dans les mosquées s'il n'y avait eu le 23 janvier 2002. Ce jour-là, elle avait dit au revoir à son ami Daniel Pearl, brillant reporter du Wall Street Journal, qu'elle avait hébergé dans sa maison de Karachi au Pakistan, où elle était en poste pour le même quotidien pour couvrir l'après-11 Septembre. Depuis dix ans, ils travaillaient ensemble. Mais Danny fut kidnappé par un groupe d'extrémistes supervisés par le cerveau présumé du 11 Septembre, Cheikh Khaled Mohamed, puis égorgé, décapité et coupé en dix morceaux.
Son corps fut retrouvé au mois de mai suivant, et des cassettes de son attentat, intitulées par ses meurtriers «l'exécution du juif Pearl», identifiées dans une mosquée de Karachi. La tragédie allait changer la vie d'Asra pour toujours. «Le fait qu'on ait retrouvé cette vidéo dans une mosquée, ce lieu carrefour de la communauté, où tout se décide et tout converge était capital. C'était bien là que l'idéologie qui avait tué Danny transformait en soldats du terrorisme de jeunes musulmans», explique-t-elle dans sa belle demeure de Virginie, où elle vit aujourd'hui avec son fils au milieu de la verdure.
Elle a passé des années à tenter de «comprendre comment ils étaient devenus des assassins après avoir été de simples étudiants ou fermiers». Parallèlement à ce travail, Nomani a «voulu voir ce qui se passait dans les mosquées d'Amérique» et a tenté de s'investir dans le fonctionnement de celle de Morgantown, en Virginie occidentale, lieu de culte qu'elle fréquentait en compagnie de ses parents, établis là-bas.
«Quand va-t-on se réveiller?»
Elle dit pourtant qu'elle n'a pas le choix depuis la mort de Daniel Pearl. Ainsi vient-elle de publier un article dans le Washington Post, approuvant la récente audition du Congrès sur la radicalisation des musulmans américains, convoqué par le républicain Peter King, la jugeant «utile à la conversation nationale». «Je sympathise avec ce que font les Français sur la burqa et sur la laïcité», dit-elle, parlant d'un défi commun. Mais Asra Nomani regrette que ses «amis libéraux» - Obama en tête - restent sourds au problème et s'en tiennent prudemment à endosser «le refrain» de la communauté musulmane sur les dangers d'une mise au ban de l'islam. «King demande juste de reconnaître qu'il y a un problème et de discuter des moyens de le résoudre. Quel est le mal? La radicalisation des musulmans n'est pas une donnée théorique. C'est une réalité qui tue. Quand va-t-on se réveiller?»
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D 53
1966
L'objectif de ces très petits individus qui se trouvent sur cette Planète ( entre 13 et 9 OEMII) est de réaliser exclusivement des expériences psychiques et parapsychiques sur les OEMII terrestres sans désirer avoir accès à d'autres domaines du complexe culturel terrestre.
Leur niveau techologique est inférieur au nôtre et supérieur de beaucoup au vôtre. Mais dans le domaine de la psychologie, ils sont beaucoup plus avancés que nous et ils accordent une grande importance aux manifestations artistiques accessibles par voie acoustique (musique et parole) et par voie gustative.
Ils ont une Philosophie très particulière, Monothéiste comme la nôtre, mais ils ont aussi un cadre moral qui n'est pas universel, selon lequel il n'est seulement valable que pour les OEMII qui vivent sur leur Planète. Ils considèrent qu'il est éthique et permis de réaliser tous les types d'expériences sur des êtres étrangers à leur astre.
Cette morale les rend très dangereux pour vous et pour d'autres planètes visitées et leur objectif actuel est de créer chez les OEMII terrestres des UIIORAA EUUNNA ( cadre psychique anormal et différent des coutumes habituelles) pour observer les réactions des sujets soumis à une telle expérience et pouvoir connaître ainsi leur psychisme. Une telle technique est connue par nous mais à un niveau très rudimentaire.
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Bien-aimés, n'ajoutez pas foi à tout esprit; mais éprouvez les esprits, pour savoir s'ils sont de Dieu, car plusieurs faux prophètes sont venus dans le monde. Jean 4:1
http://fr.euronews.net/2011/04/01/au-mo ... ghanistan/
http://www.lefigaro.fr/international/20 ... -islam.php
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Re: ALLIANCE GALACTIQUE
au nom de l'énergie j'appose ma main sur l'honorable poitrine des dignes représentants de l'alliance '(*_*)' main droite sur le cœur
bonjour toutes et tous , ma main sur vos humbles poitrines sœurs et frères en l'esprit '(*_*)' main droite sur le cœur
que la paix et l'énergie nous conduisent a l'harmonie
________________________________________________________________________________
NOUS SOMMES TOUTES ET TOUS FRÈRES ET SŒURS EN LA CRÉATION
L'APPARTENANCE ETHNIQUE , LE SEXE , LE STATUT SOCIAL NE SONT QUE DES ÉTATS PRIS, POUR LES SENSIBILISER DE FAÇON DIFFÉRENTE ET EMMENER LES CONSCIENCES VERS LE VRAIS , C'EST A DIRE DES ÊTRES RESPONSABLES ET CONSCIENT EN LA CRÉATION CRÉATEUR , ET NE PRENDRE CELA EN COMPTE C'EST S'EXPOSER A UNE REMISE EN CONFORMITÉ DOULOUREUSE APRÈS LE DÉCÈS
bonjour toutes et tous , ma main sur vos humbles poitrines sœurs et frères en l'esprit '(*_*)' main droite sur le cœur
que la paix et l'énergie nous conduisent a l'harmonie
________________________________________________________________________________
NOUS SOMMES TOUTES ET TOUS FRÈRES ET SŒURS EN LA CRÉATION
L'APPARTENANCE ETHNIQUE , LE SEXE , LE STATUT SOCIAL NE SONT QUE DES ÉTATS PRIS, POUR LES SENSIBILISER DE FAÇON DIFFÉRENTE ET EMMENER LES CONSCIENCES VERS LE VRAIS , C'EST A DIRE DES ÊTRES RESPONSABLES ET CONSCIENT EN LA CRÉATION CRÉATEUR , ET NE PRENDRE CELA EN COMPTE C'EST S'EXPOSER A UNE REMISE EN CONFORMITÉ DOULOUREUSE APRÈS LE DÉCÈS
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Modifié en dernier par AJA le 02 avr. 2011, 22:35, modifié 2 fois.
la création est une symphonie dont nous sommes les musiciens , mais que signifie-t-elle sans son compositeur source de toute Vie ?
Re: ALLIANCE GALACTIQUE
dim, 2011-03-20
Les E.M.I. empathiques
L'article suivant a été publié dans le magazine "Nexus". Ce bimestriel international a pour but de publier une information scientifique alternative sur des domaines particuliers. Nous avons décidé de vous soumettre cet article car il présente une facette peu connue des expériences de mort imminentes (E.M.I.) : le partage de ces expériences avec un proche au moment du décès. Si les apparitions d'un décédé à des proches peu après la mort (Ubiquité) est un fait courant,
le partage en "live" d'une décorporation est une chose nouvelle selon nous. Nous laisserons donc au lecteur le soin de se faire sa propre idée sur la question.
--------------------------------------------------------------------------------
Ils accompagnent des prôches ou des patients en fin de vie, et vivent eux aussi une expérience transcendante qui les bouleverse. Devant ces "expériences de mort partagée" ou "NDE empathiques", l’argumentation sceptique traditionnelle s’effondre.
"Les expériences de mort partagée donnent une nouvelle dimension au débat sur les NDE et sur l’après-vie", estime le Dr Raymond Moody dans un dialogue avec son coauteur Paul Perry. De quoi s’agit-il ? Raymond Moody, pionnier de l’étude des NDE/EMI (Near Death Experience/experience de mort imminente) avec son best-seller "La Vie après la vie", vendu a plus de 10 millions d’exemplaire dans le monde, a recueilli des témoignages dès la fin des annees 1970 sur l’experience vécue par certaines personnes qui accompagnent un mourant.
Son premier cas lui fut rapporté par une femme médecin, le Dr Jamieson, qui venait de perdre sa mère après avoir tenté vainement de la réanimer pendant une demi-heure à la suite d’un arrêt cardiaque. Elle raconte qu’elle s’est soudainement sentie sortir de son corps, s’est retrouvée flottant au-dessus de celui-ci et du corps désormais sans vie de sa mère, puis a réalisé que sa mère, radieuse, flottait a ses côtés ! Elle lui a dit au revoir puis, regardant vers un coin de la pièce, elle a observé "une sorte de brêche dans l’univers, qui déversait de la lumière, comme l’eau coule d’une canalisation brisée". De cette lumière sortaient des personnes décédées, amies de la mère et connues de la fille, ainsi que d’autres, inconnues. Puis sa mêre s’est éloignée et a disparu dans cette lumière, sur fond de retrouvailles affectueuses...
Une expérience personnelle
Dans témoins de la vie après la vie, Raymond Moody rapporte des dizaines de cas semblables et explique son cheminement. D’abord décontenancé par ces expériences, il se contente de collecter les témoignages et ne sait que répondre aux questions qu’on lui pose à ce sujet. Puis, un jour de mai 1994, voilà qu’il vit lui-même l’expérience en accompagnant sa propre mêre, chez qui on a décelé deux semaines plus tôt un cancer du sang extrèmement grave. Il se trouve à son chevet avec plusieurs membres de sa famille. Soudain, quatre d’entre eux perçoivent un changement dans la lumière et la forme de la pièce, puis se sentent soulevés, et sa sœur a même une vision de leur défunt père à la tête du lit. En fait, ses deux sœurs et l’un de ses beaux-frères vivent l’expérience avec de subtiles nuances, alors que les deux autres personnes présentes ne perçoivent rien de particulier.
A partir de ce moment, le Dr Moody sait que ces expériences de mort partagée, ou "NDE empathiques" comme il les a nommées la première fois, sont plus importantes encore que les NDE proprement dites.
"Le point de vue sceptique sur la NDE est qu’il s’agit d’une hallucination produite par le cerveau et due à la privation d’oxygène, aux médicaments, etc., explique-t-il. Dans ce cas, pourquoi les accompagnants vivraient-ils le même type d’expérience ? Ils sont en bonne santé, et pourtant rapportent les mêmes caractéristiques : la lumière, la vision de proches décédés, et même la vision de l’esprit de la personne qui s’élève au-dessus du corps, sous forme de brouillard, ou d’un petit nuage qui va traverser le plafond. Parfois il peut s’agir d’une forme plus définie, d’une silhouette."
Revue de vie
L’un des éléments les plus extraordinaires est que des accompagnants assistent également à la "revue de vie" du partant, une caractéristique majeure de l’expèrience de mort imminente. Ainsi, cette femme âgée qui connaissait son mari depuis l’enfance a revu à ses côtés la vie entière de celui- ci, incluant les évènements qu’elle connaissait et ceux dont elle ignorait l’existence !
Un autre élément rapporté par les témoins, après avoir souvent mentionné en premier lieu un changement de "lumière", de "couleur" ou de "texture" dans la pièce, est une déformation de sa géométrie. Dans le cas de l’expérience du Dr Moody, la pièce a semblé prendre la forme d’un sablier comme évasée vers le haut et le bas, avant de retrouver celle d’un cube. Enfin, dans bon nombre de cas, les proches ont la sensation d’accompagner partiellement le défunt dans le fameux tunnel de lumière !
http://nao-org.com/articles/emi-empathiques#
Les E.M.I. empathiques
L'article suivant a été publié dans le magazine "Nexus". Ce bimestriel international a pour but de publier une information scientifique alternative sur des domaines particuliers. Nous avons décidé de vous soumettre cet article car il présente une facette peu connue des expériences de mort imminentes (E.M.I.) : le partage de ces expériences avec un proche au moment du décès. Si les apparitions d'un décédé à des proches peu après la mort (Ubiquité) est un fait courant,
le partage en "live" d'une décorporation est une chose nouvelle selon nous. Nous laisserons donc au lecteur le soin de se faire sa propre idée sur la question.
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Ils accompagnent des prôches ou des patients en fin de vie, et vivent eux aussi une expérience transcendante qui les bouleverse. Devant ces "expériences de mort partagée" ou "NDE empathiques", l’argumentation sceptique traditionnelle s’effondre.
"Les expériences de mort partagée donnent une nouvelle dimension au débat sur les NDE et sur l’après-vie", estime le Dr Raymond Moody dans un dialogue avec son coauteur Paul Perry. De quoi s’agit-il ? Raymond Moody, pionnier de l’étude des NDE/EMI (Near Death Experience/experience de mort imminente) avec son best-seller "La Vie après la vie", vendu a plus de 10 millions d’exemplaire dans le monde, a recueilli des témoignages dès la fin des annees 1970 sur l’experience vécue par certaines personnes qui accompagnent un mourant.
Son premier cas lui fut rapporté par une femme médecin, le Dr Jamieson, qui venait de perdre sa mère après avoir tenté vainement de la réanimer pendant une demi-heure à la suite d’un arrêt cardiaque. Elle raconte qu’elle s’est soudainement sentie sortir de son corps, s’est retrouvée flottant au-dessus de celui-ci et du corps désormais sans vie de sa mère, puis a réalisé que sa mère, radieuse, flottait a ses côtés ! Elle lui a dit au revoir puis, regardant vers un coin de la pièce, elle a observé "une sorte de brêche dans l’univers, qui déversait de la lumière, comme l’eau coule d’une canalisation brisée". De cette lumière sortaient des personnes décédées, amies de la mère et connues de la fille, ainsi que d’autres, inconnues. Puis sa mêre s’est éloignée et a disparu dans cette lumière, sur fond de retrouvailles affectueuses...
Une expérience personnelle
Dans témoins de la vie après la vie, Raymond Moody rapporte des dizaines de cas semblables et explique son cheminement. D’abord décontenancé par ces expériences, il se contente de collecter les témoignages et ne sait que répondre aux questions qu’on lui pose à ce sujet. Puis, un jour de mai 1994, voilà qu’il vit lui-même l’expérience en accompagnant sa propre mêre, chez qui on a décelé deux semaines plus tôt un cancer du sang extrèmement grave. Il se trouve à son chevet avec plusieurs membres de sa famille. Soudain, quatre d’entre eux perçoivent un changement dans la lumière et la forme de la pièce, puis se sentent soulevés, et sa sœur a même une vision de leur défunt père à la tête du lit. En fait, ses deux sœurs et l’un de ses beaux-frères vivent l’expérience avec de subtiles nuances, alors que les deux autres personnes présentes ne perçoivent rien de particulier.
A partir de ce moment, le Dr Moody sait que ces expériences de mort partagée, ou "NDE empathiques" comme il les a nommées la première fois, sont plus importantes encore que les NDE proprement dites.
"Le point de vue sceptique sur la NDE est qu’il s’agit d’une hallucination produite par le cerveau et due à la privation d’oxygène, aux médicaments, etc., explique-t-il. Dans ce cas, pourquoi les accompagnants vivraient-ils le même type d’expérience ? Ils sont en bonne santé, et pourtant rapportent les mêmes caractéristiques : la lumière, la vision de proches décédés, et même la vision de l’esprit de la personne qui s’élève au-dessus du corps, sous forme de brouillard, ou d’un petit nuage qui va traverser le plafond. Parfois il peut s’agir d’une forme plus définie, d’une silhouette."
Revue de vie
L’un des éléments les plus extraordinaires est que des accompagnants assistent également à la "revue de vie" du partant, une caractéristique majeure de l’expèrience de mort imminente. Ainsi, cette femme âgée qui connaissait son mari depuis l’enfance a revu à ses côtés la vie entière de celui- ci, incluant les évènements qu’elle connaissait et ceux dont elle ignorait l’existence !
Un autre élément rapporté par les témoins, après avoir souvent mentionné en premier lieu un changement de "lumière", de "couleur" ou de "texture" dans la pièce, est une déformation de sa géométrie. Dans le cas de l’expérience du Dr Moody, la pièce a semblé prendre la forme d’un sablier comme évasée vers le haut et le bas, avant de retrouver celle d’un cube. Enfin, dans bon nombre de cas, les proches ont la sensation d’accompagner partiellement le défunt dans le fameux tunnel de lumière !
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Re: ALLIANCE GALACTIQUE
02 avril 2011
Les Etats-Unis commencent à tirer les leçons de Fukushima
WASHINGTON - Des experts américains ont commencé à tirer les leçons du désastre nucléaire au Japon qui selon eux révèle deux faiblesses: la vulnérabilité des piscines de stockage de combustible irradié et l'autonomie insuffisante des systèmes électriques de secours de refroidissement.
Le tsunami qui a déferlé le 11 mars sur la centrale de Fuskushima dans le nord-est du Japon, a apparemment endommagé deux des six piscines de refroidissement de combustible usé, a constaté Gregory Jaczko, directeur de la Commission américaine de réglementation nucléaire (Nuclear Regulatory Commission/NRC).
"La possibilité d'une fuite" n'est pas non plus écartée, a-t-il expliqué cette semaine devant une sous-commission du Sénat peu après son retour du Japon.
Les autorités japonaises craignent que ces bassins situés en hauteur dans le bâtiments des réacteurs, aient été fissurés par des explosions d'hydrogène et qu'ils ne soient plus étanches.
Mais le responsable de la NRC a assuré qu'aux Etats-Unis, ces piscines comme les enceintes de confinement étaient "des structures solides" où le carburant irradié usagé pouvait être stocké "en toute sécurité" pour au moins un siècle.
Il a néanmoins rappelé le lancement national d'un réexamen de la sécurité des 104 réacteurs américains.
Au contraire, David Lochbaum, spécialiste de l'Union of Concerned Scientists (UCS), un organisme scientifique indépendant, a insisté devant les sénateurs sur la fragilité de ces piscines qui contiennent selon lui, davantage de matériaux irradiés que les réacteurs eux-mêmes, tout en étant nettement moins sécurisées.
"Il y a aujourd'hui en Amérique des dizaines de milliers de tonnes de carburant nucléaire irradié stocké dans ces piscines qui, dans de nombreux sites, en contiennent près de dix fois plus que les réacteurs eux-mêmes", a-t-il expliqué. Il estime que l'exemple japonais devrait inspirer un changement aux Etats-Unis.
Contrairement aux réacteurs, ces piscines ne sont pas refroidies par une multitude de systèmes d'urgence complémentaires, alimentés par différentes sources d'électricité y compris des piles capables d'une autonomie de plusieurs heures en cas de panne totale comme ce fût le cas au Japon.
L'ingénieur a également déploré qu'à la différence des réacteurs qui sont protégés par une épaisse couche d'acier et de béton, l'enceinte de ces piscines est faite de tôle de hangar.
"Nous avons échoué aux Etats-Unis à bien gérer le risque lié au stockage du carburant nucléaire usé. Nous pouvons et devons mieux faire", a-t-il insisté.
Selon lui, il faut stocker le moins possible de carburant radioactif usé dans ces piscines et l'entreposer à sec dans de solides conteneurs.
Ernest Moniz, professeur de physique au Massachusetts Institute of Technology a jugé "essentiel" qu'un tel transfert se fasse plus rapidement.
La sénatrice de Californie Dianne Feinstein a déploré que du carburant usé retiré des réacteurs en 1984 situés dans son Etat au risque sismique élevé, était aujourd'hui encore dans des piscines de refroidissement.
"Il est clair que nous manquons d'une politique fédérale répondant au cycle du carburant nucléaire", a-t-elle dit lors d'une audition.
David Lochbaum de l'UCS a par ailleurs insisté sur l'insuffisante autonomie des batteries de secours dans les centrales américaines en cas de panne durable d'électricité.
Il a noté que les batteries dans 93 des 104 réacteurs américains avaient quatre heures d'autonomie seulement, deux fois moins qu'à Fukushima où elles ont été insuffisantes.
Anthony Pietrangelo du Nuclear Energy Institute, qui représente l'industrie nucléaire, a dit au Sénat qu'il faudrait envisager des batteries autonomes au moins 48 heures.
http://www.romandie.com/ats/news/110402 ... qxm3bp.asp
Les Etats-Unis commencent à tirer les leçons de Fukushima
WASHINGTON - Des experts américains ont commencé à tirer les leçons du désastre nucléaire au Japon qui selon eux révèle deux faiblesses: la vulnérabilité des piscines de stockage de combustible irradié et l'autonomie insuffisante des systèmes électriques de secours de refroidissement.
Le tsunami qui a déferlé le 11 mars sur la centrale de Fuskushima dans le nord-est du Japon, a apparemment endommagé deux des six piscines de refroidissement de combustible usé, a constaté Gregory Jaczko, directeur de la Commission américaine de réglementation nucléaire (Nuclear Regulatory Commission/NRC).
"La possibilité d'une fuite" n'est pas non plus écartée, a-t-il expliqué cette semaine devant une sous-commission du Sénat peu après son retour du Japon.
Les autorités japonaises craignent que ces bassins situés en hauteur dans le bâtiments des réacteurs, aient été fissurés par des explosions d'hydrogène et qu'ils ne soient plus étanches.
Mais le responsable de la NRC a assuré qu'aux Etats-Unis, ces piscines comme les enceintes de confinement étaient "des structures solides" où le carburant irradié usagé pouvait être stocké "en toute sécurité" pour au moins un siècle.
Il a néanmoins rappelé le lancement national d'un réexamen de la sécurité des 104 réacteurs américains.
Au contraire, David Lochbaum, spécialiste de l'Union of Concerned Scientists (UCS), un organisme scientifique indépendant, a insisté devant les sénateurs sur la fragilité de ces piscines qui contiennent selon lui, davantage de matériaux irradiés que les réacteurs eux-mêmes, tout en étant nettement moins sécurisées.
"Il y a aujourd'hui en Amérique des dizaines de milliers de tonnes de carburant nucléaire irradié stocké dans ces piscines qui, dans de nombreux sites, en contiennent près de dix fois plus que les réacteurs eux-mêmes", a-t-il expliqué. Il estime que l'exemple japonais devrait inspirer un changement aux Etats-Unis.
Contrairement aux réacteurs, ces piscines ne sont pas refroidies par une multitude de systèmes d'urgence complémentaires, alimentés par différentes sources d'électricité y compris des piles capables d'une autonomie de plusieurs heures en cas de panne totale comme ce fût le cas au Japon.
L'ingénieur a également déploré qu'à la différence des réacteurs qui sont protégés par une épaisse couche d'acier et de béton, l'enceinte de ces piscines est faite de tôle de hangar.
"Nous avons échoué aux Etats-Unis à bien gérer le risque lié au stockage du carburant nucléaire usé. Nous pouvons et devons mieux faire", a-t-il insisté.
Selon lui, il faut stocker le moins possible de carburant radioactif usé dans ces piscines et l'entreposer à sec dans de solides conteneurs.
Ernest Moniz, professeur de physique au Massachusetts Institute of Technology a jugé "essentiel" qu'un tel transfert se fasse plus rapidement.
La sénatrice de Californie Dianne Feinstein a déploré que du carburant usé retiré des réacteurs en 1984 situés dans son Etat au risque sismique élevé, était aujourd'hui encore dans des piscines de refroidissement.
"Il est clair que nous manquons d'une politique fédérale répondant au cycle du carburant nucléaire", a-t-elle dit lors d'une audition.
David Lochbaum de l'UCS a par ailleurs insisté sur l'insuffisante autonomie des batteries de secours dans les centrales américaines en cas de panne durable d'électricité.
Il a noté que les batteries dans 93 des 104 réacteurs américains avaient quatre heures d'autonomie seulement, deux fois moins qu'à Fukushima où elles ont été insuffisantes.
Anthony Pietrangelo du Nuclear Energy Institute, qui représente l'industrie nucléaire, a dit au Sénat qu'il faudrait envisager des batteries autonomes au moins 48 heures.
http://www.romandie.com/ats/news/110402 ... qxm3bp.asp
Re: ALLIANCE GALACTIQUE
Bonjour tous les mondes
Bonjour toutes et tous, bon dimanche
----------------
03/04/2011
Les leçons de Fukushima
"Un accident aussi grave, il faudra au moins dix ans pour en tirer les conséquences. Regardez la centrale américaine de Three Mile Island. Il a fallu six ans pour que l'on puisse accéder au coeur et que l'on comprenne que près de la moitié de ses combustibles étaient entrés en fusion lors de l'accident de 1979." C'est sur le long terme que travaille Philippe Jamet, commissaire à l'Autorité de sûreté nucléaire, arrivé fin mars au Japon avec la ministre de l'Écologie Nathalie Kosciusko-Morizet. Leur mission : évaluer la crise nucléaire de Fukushima et identifier l'aide que le France peut apporter au Japon. À ce jour, la situation n'est toujours pas stabilisée (voir notre dossier spécial Japon). Un réacteur continue à émettre des décharges radioactives dans l'atmosphère alors que des eaux contaminées semblent filtrer de la coque du réacteur n° 2 et passent par ruissellement dans le sol avoisinant et l'océan Pacifique. De hauts degrés de radiation (2 millions de becquerels par mètre carré) ont été détectés à 40 km de la centrale par l'Agence internationale à l'énergie atomique cette semaine et l'accident de Fukushima est déjà considéré comme le plus grave survenu dans le monde, depuis Tchernobyl en 1986.
Ils le savent : il est impératif que le site de Fukushima soit sécurisé au plus vite. Le risque de séisme de forte magnitude reste toujours présent dans cette région et un nouveau tremblement de terre, ou un nouveau tsunami, pourrait avoir des effets dramatiques sur la centrale.
De ce constat, les experts tirent une première leçon : les marges de sécurité face aux menaces naturelles devront être reconsidérées. Car la possibilité d'un tsunami de la taille de celui du 11 mars avait été sous-estimée. L'opérateur Tepco (Tokyo Electric Power Corporation) s'était en effet basé sur les tsunamis survenus aux XXe siècle pour déterminer la hauteur de la digue de protection qui, cette fois, s'est révélée insuffisante. Pourtant, un géologue japonais avait prévenu l'opérateur, voilà environ deux ans, qu'un tsunami gigantesque avait noyé la même région voilà près de mille ans. Mais son rapport, plaidant pour un renforcement de la digue, était resté ignoré. "Il va falloir faire davantage d'histoire, revenir aux grimoires des moines et aux analyses géologiques des paléoséismes", confie Philippe Jamet. La crise de Fukushima a ainsi rappelé aux Européens qu'un très puissant tsunami avait ravagé la ville de Lisbonne (Portugal) au XVIIIe siècle.
Les Français ne sont pas les seuls à prendre ces mesures préventives. Quatre jours après le séisme japonais, le Premier ministre chinois a ordonné un gel de l'énorme programme nucléaire qui devait faire de la Chine le premier chantier mondial de centrales. Wen Jiabao a également réclamé un audit approfondi de toutes les installations achevées et en cours de construction. Idem aux États-Unis. Au Japon, Naoto Kan réfléchit à séparer l'Agence de sûreté nucléaire (Nisa) du ministère de l'Économie, qui s'est fait l'avocat ces dernières années de l'important plan de développement nucléaire prévoyant la construction de 14 réacteurs supplémentaires d'ici 2030. Le Premier ministre pourrait envisager un changement fondamental dans la politique énergétique japonaise, révélait le 1er avril le Japan Times.
" L'enseignement principal que l'on peut retirer de Fukushima, estime Bernard Bigot, président de la CEA (Commission à l'énergie atomique et aux énergies alternatives), c'est qu'il n'existe pas de sécurité absolue. C'est l'association de la robustesse d'un concept et d'une organisation capable de faire face à des scénarios extrêmes qui est essentielle".
http://www.lepoint.fr/monde/les-lecons- ... 555_24.php
-------------------------
La conclusion dans la dernière ligne de la page du site officiel ci-dessous (néopal, BRGM) est on ne peut plus explicite !
Il y est dit que si en France l'aléa sismique est (supposé) faible, les structures industrielles (nucléaires qui y sont implantées) font que le risque est assez fort ! Je ne reproduit aucune info directe ni cartes, explicites aussi, provenant de ce site officiel car ils ont l'air extrèmement pointilleux (pourquoi ?) sur l'utilisation de ces études d'experts "en dehors d'un cadre famillial" (l'humanité est ma famille...
).
Toujours est-il qu'il sera désormais difficile et déplacé de la part des instances officielles de prétendre que les risques étaient ou sont à considérer comme étant minimes.
Il est clair que " risque assez fort " est à l'évidence très loin d'être compatible avec risque acceptable !
http://www.neopal.net/definitions.asp#alea
http://www-dase.cea.fr/evenement/dernie ... hp?lang=fr
http://www-dase.cea.fr/evenement/dernie ... 00&lang=fr

Bonjour toutes et tous, bon dimanche

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03/04/2011
Les leçons de Fukushima
"Un accident aussi grave, il faudra au moins dix ans pour en tirer les conséquences. Regardez la centrale américaine de Three Mile Island. Il a fallu six ans pour que l'on puisse accéder au coeur et que l'on comprenne que près de la moitié de ses combustibles étaient entrés en fusion lors de l'accident de 1979." C'est sur le long terme que travaille Philippe Jamet, commissaire à l'Autorité de sûreté nucléaire, arrivé fin mars au Japon avec la ministre de l'Écologie Nathalie Kosciusko-Morizet. Leur mission : évaluer la crise nucléaire de Fukushima et identifier l'aide que le France peut apporter au Japon. À ce jour, la situation n'est toujours pas stabilisée (voir notre dossier spécial Japon). Un réacteur continue à émettre des décharges radioactives dans l'atmosphère alors que des eaux contaminées semblent filtrer de la coque du réacteur n° 2 et passent par ruissellement dans le sol avoisinant et l'océan Pacifique. De hauts degrés de radiation (2 millions de becquerels par mètre carré) ont été détectés à 40 km de la centrale par l'Agence internationale à l'énergie atomique cette semaine et l'accident de Fukushima est déjà considéré comme le plus grave survenu dans le monde, depuis Tchernobyl en 1986.
Ils le savent : il est impératif que le site de Fukushima soit sécurisé au plus vite. Le risque de séisme de forte magnitude reste toujours présent dans cette région et un nouveau tremblement de terre, ou un nouveau tsunami, pourrait avoir des effets dramatiques sur la centrale.
De ce constat, les experts tirent une première leçon : les marges de sécurité face aux menaces naturelles devront être reconsidérées. Car la possibilité d'un tsunami de la taille de celui du 11 mars avait été sous-estimée. L'opérateur Tepco (Tokyo Electric Power Corporation) s'était en effet basé sur les tsunamis survenus aux XXe siècle pour déterminer la hauteur de la digue de protection qui, cette fois, s'est révélée insuffisante. Pourtant, un géologue japonais avait prévenu l'opérateur, voilà environ deux ans, qu'un tsunami gigantesque avait noyé la même région voilà près de mille ans. Mais son rapport, plaidant pour un renforcement de la digue, était resté ignoré. "Il va falloir faire davantage d'histoire, revenir aux grimoires des moines et aux analyses géologiques des paléoséismes", confie Philippe Jamet. La crise de Fukushima a ainsi rappelé aux Européens qu'un très puissant tsunami avait ravagé la ville de Lisbonne (Portugal) au XVIIIe siècle.
Les Français ne sont pas les seuls à prendre ces mesures préventives. Quatre jours après le séisme japonais, le Premier ministre chinois a ordonné un gel de l'énorme programme nucléaire qui devait faire de la Chine le premier chantier mondial de centrales. Wen Jiabao a également réclamé un audit approfondi de toutes les installations achevées et en cours de construction. Idem aux États-Unis. Au Japon, Naoto Kan réfléchit à séparer l'Agence de sûreté nucléaire (Nisa) du ministère de l'Économie, qui s'est fait l'avocat ces dernières années de l'important plan de développement nucléaire prévoyant la construction de 14 réacteurs supplémentaires d'ici 2030. Le Premier ministre pourrait envisager un changement fondamental dans la politique énergétique japonaise, révélait le 1er avril le Japan Times.
" L'enseignement principal que l'on peut retirer de Fukushima, estime Bernard Bigot, président de la CEA (Commission à l'énergie atomique et aux énergies alternatives), c'est qu'il n'existe pas de sécurité absolue. C'est l'association de la robustesse d'un concept et d'une organisation capable de faire face à des scénarios extrêmes qui est essentielle".
http://www.lepoint.fr/monde/les-lecons- ... 555_24.php
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La conclusion dans la dernière ligne de la page du site officiel ci-dessous (néopal, BRGM) est on ne peut plus explicite !
Il y est dit que si en France l'aléa sismique est (supposé) faible, les structures industrielles (nucléaires qui y sont implantées) font que le risque est assez fort ! Je ne reproduit aucune info directe ni cartes, explicites aussi, provenant de ce site officiel car ils ont l'air extrèmement pointilleux (pourquoi ?) sur l'utilisation de ces études d'experts "en dehors d'un cadre famillial" (l'humanité est ma famille...

Toujours est-il qu'il sera désormais difficile et déplacé de la part des instances officielles de prétendre que les risques étaient ou sont à considérer comme étant minimes.
Il est clair que " risque assez fort " est à l'évidence très loin d'être compatible avec risque acceptable !
http://www.neopal.net/definitions.asp#alea
http://www-dase.cea.fr/evenement/dernie ... hp?lang=fr
http://www-dase.cea.fr/evenement/dernie ... 00&lang=fr
Re: ALLIANCE GALACTIQUE
03.04.11
COSTA (Haute-Corse) - Tchernobyl: la Corse espère la reconnaissance des conséquences du nuage
COSTA (Haute-Corse) - En Corse, une éventuelle clôture de l'enquête sur l'impact du nuage radioactif de Tchernobyl inquiète, notamment des malades, des médecins et les pouvoirs publics qui oeuvrent pour la reconnaissance des possibles conséquences sanitaires dans l'île.
Christophe, Christina et Barthélemy partagent plusieurs points communs: tous trois sont nés au second semestre 1986 en Balagne, dans le nord-ouest de la Corse, et ont déclaré une grave maladie du sang.
"Trois cas sur environ 75 naissances dans l'année pour ce secteur, c'est beaucoup", estime le Dr Denis Fauconnier, rencontré à son domicile de Costa, Barthélemy à ses côtés.
Ce médecin, aujourd'hui retraité, est alerté en mai 1986 par des patients qui reviennent d'Italie où les consignes de non-consommation de produits frais sont strictes.
Il fait analyser des échantillons de lait frais. Résultats sans appel: "des taux souvent supérieurs à 10.000 bequerels d'iode 131 par litre de lait et jusqu'à 100.000".
"J'ai averti les gens, mais il était déjà trop tard", dit le docteur. Il se souvient d'une fillette de 5 ans qui mangeait quotidiennement un bol de caillé et a souffert d'une thyroïdite dès la mi-mai 1986, peu après la catastrophe survenue en Ukraine le 26 avril.
S'appuyant sur son expérience, les observations du seul endocrinologue de Bastia et d'autres confrères corses ainsi que les données médicales de divers organismes, le médecin affirme que la contamination de la chaîne alimentaire a entraîné une augmentation des pathologies classées comme radio-induites.
Il transmet alors ses recherches à la juge d'instruction chargée de l'enquête ouverte en 2001, Marie-Odile Bertella-Geffroy.
Rose (prénom modifié à sa demande), 74 ans, a aussi envoyé un épais dossier à la juge. Elle vivait en 1986 avec son mari et ses deux garçons dans la plaine orientale, la plus contaminée par le nuage avec la Balagne selon les relevés.
A peine remise d'un lymphome après quatre ans de "traitements très durs", elle voit son mari emporté en 2002 par une autre forme de cette pathologie. Mais Rose n'en a pas fini: elle et ses enfants, âgés aujourd'hui d'une quarantaine d'années, ont développé des maladies thyroïdiennes.
"Puisque la Corse a été touchée, ça ne peut qu'être à cause de Tchernobyl, toutes ces maladies. Pourquoi personne ne veut le reconnaître?", s'indigne-t-elle.
La Chambre de l'instruction de la Cour d'appel de Paris rendra sa décision le 7 septembre sur la poursuite ou non de l'enquête sur l'impact du nuage. Le parquet a requis un non-lieu, estimant qu'aucune conséquence sur la santé n'a pu être prouvée.
La possible clôture des investigations inquiète la Collectivité territoriale de Corse (CTC) qui s'investit depuis 2004 pour la reconnaissance des conséquences sanitaires du passage du nuage sur l'île et a créé une commission ad hoc.
Les dirigeants de la CTC, Paul Giacobbi et Dominique Bucchini, ont adressé jeudi une lettre au ministre de la Justice Michel Mercier, où ils expriment leur "désapprobation" quant à cette éventualité. La CTC projette de confier un registre des cancers et une enquête épidémiologique à un organisme indépendant.
Deux outils d'évaluation que le dr Fauconnier attend: "On a entravé la science: on avait les moyens de suivre l'évolution des éléments radioactifs sur la santé, mais personne n'a tiré les conséquences".
Barthélemy, lui, n'espère plus être reconnu comme une victime du nuage de Tchernobyl, mais s'inquiète pour "les enfants du Japon". "Dans 25 ans, combien d'entre eux auront déclaré un cancer?", s'interroge-t-il.
http://www.20minutes.fr/article/699855/ ... nces-nuage
COSTA (Haute-Corse) - Tchernobyl: la Corse espère la reconnaissance des conséquences du nuage
COSTA (Haute-Corse) - En Corse, une éventuelle clôture de l'enquête sur l'impact du nuage radioactif de Tchernobyl inquiète, notamment des malades, des médecins et les pouvoirs publics qui oeuvrent pour la reconnaissance des possibles conséquences sanitaires dans l'île.
Christophe, Christina et Barthélemy partagent plusieurs points communs: tous trois sont nés au second semestre 1986 en Balagne, dans le nord-ouest de la Corse, et ont déclaré une grave maladie du sang.
"Trois cas sur environ 75 naissances dans l'année pour ce secteur, c'est beaucoup", estime le Dr Denis Fauconnier, rencontré à son domicile de Costa, Barthélemy à ses côtés.
Ce médecin, aujourd'hui retraité, est alerté en mai 1986 par des patients qui reviennent d'Italie où les consignes de non-consommation de produits frais sont strictes.
Il fait analyser des échantillons de lait frais. Résultats sans appel: "des taux souvent supérieurs à 10.000 bequerels d'iode 131 par litre de lait et jusqu'à 100.000".
"J'ai averti les gens, mais il était déjà trop tard", dit le docteur. Il se souvient d'une fillette de 5 ans qui mangeait quotidiennement un bol de caillé et a souffert d'une thyroïdite dès la mi-mai 1986, peu après la catastrophe survenue en Ukraine le 26 avril.
S'appuyant sur son expérience, les observations du seul endocrinologue de Bastia et d'autres confrères corses ainsi que les données médicales de divers organismes, le médecin affirme que la contamination de la chaîne alimentaire a entraîné une augmentation des pathologies classées comme radio-induites.
Il transmet alors ses recherches à la juge d'instruction chargée de l'enquête ouverte en 2001, Marie-Odile Bertella-Geffroy.
Rose (prénom modifié à sa demande), 74 ans, a aussi envoyé un épais dossier à la juge. Elle vivait en 1986 avec son mari et ses deux garçons dans la plaine orientale, la plus contaminée par le nuage avec la Balagne selon les relevés.
A peine remise d'un lymphome après quatre ans de "traitements très durs", elle voit son mari emporté en 2002 par une autre forme de cette pathologie. Mais Rose n'en a pas fini: elle et ses enfants, âgés aujourd'hui d'une quarantaine d'années, ont développé des maladies thyroïdiennes.
"Puisque la Corse a été touchée, ça ne peut qu'être à cause de Tchernobyl, toutes ces maladies. Pourquoi personne ne veut le reconnaître?", s'indigne-t-elle.
La Chambre de l'instruction de la Cour d'appel de Paris rendra sa décision le 7 septembre sur la poursuite ou non de l'enquête sur l'impact du nuage. Le parquet a requis un non-lieu, estimant qu'aucune conséquence sur la santé n'a pu être prouvée.
La possible clôture des investigations inquiète la Collectivité territoriale de Corse (CTC) qui s'investit depuis 2004 pour la reconnaissance des conséquences sanitaires du passage du nuage sur l'île et a créé une commission ad hoc.
Les dirigeants de la CTC, Paul Giacobbi et Dominique Bucchini, ont adressé jeudi une lettre au ministre de la Justice Michel Mercier, où ils expriment leur "désapprobation" quant à cette éventualité. La CTC projette de confier un registre des cancers et une enquête épidémiologique à un organisme indépendant.
Deux outils d'évaluation que le dr Fauconnier attend: "On a entravé la science: on avait les moyens de suivre l'évolution des éléments radioactifs sur la santé, mais personne n'a tiré les conséquences".
Barthélemy, lui, n'espère plus être reconnu comme une victime du nuage de Tchernobyl, mais s'inquiète pour "les enfants du Japon". "Dans 25 ans, combien d'entre eux auront déclaré un cancer?", s'interroge-t-il.
http://www.20minutes.fr/article/699855/ ... nces-nuage
Re: ALLIANCE GALACTIQUE
01.04.11
Les bébés en poussette respirent trop de pollution
ETUDE - Selon l'association Santé environnement France, les bébés inhaleraient deux fois plus de microparticules que ce que préconise l'OMS...
«Bébé ou conduire, il va falloir choisir». L’étude menée en mars 2011 par l’association Santé environnement France, qui rassemble près de 2.500 médecins, confirme que les bébés en poussette sont les premières victimes de la pollution aux microparticules. En promenant deux poussettes tests équipées de capteurs dans la ville d’Aix-en-Provence pendant deux heures matin et soir, l’association a constaté que le taux de particules respirées ne descendait jamais en dessous de 20 microgrammes par mètre cube d’air. Soit deux fois la dose maximale recommandée par l’OMS(Organisation mondiale de la santé).
Asthme, infections ORL et allergies menacent les bébés
«De nombreuses études scientifiques ont montré que les enfants étant exposés aux pollutions automobiles développaient plus facilement asthme, infections ORL et allergies respiratoires. Or, en poussette, nos enfants sont aux premières loges pour inhaler les pots d’échappement des véhicules –forts nombreux à Aix-en-Provence où les transports collectifs sont sous-développés», affirme le Dr Patrice Halimi, Secrétaire Général de l’Association Santé Environnement France.
L’association appelle les collectivités à arrêter le «tout-voiture» et à favoriser les transports en commun dans les villes françaises.
http://www.20minutes.fr/article/699049/ ... -pollution
http://www.20minutes.fr/article/699245/ ... rtir-terre
Habitant depuis longtemps en montagne, il m'est devenu difficile de me replonger plus de quelques heures dans l'atmosphère d'une ville...
Les bébés en poussette respirent trop de pollution
ETUDE - Selon l'association Santé environnement France, les bébés inhaleraient deux fois plus de microparticules que ce que préconise l'OMS...
«Bébé ou conduire, il va falloir choisir». L’étude menée en mars 2011 par l’association Santé environnement France, qui rassemble près de 2.500 médecins, confirme que les bébés en poussette sont les premières victimes de la pollution aux microparticules. En promenant deux poussettes tests équipées de capteurs dans la ville d’Aix-en-Provence pendant deux heures matin et soir, l’association a constaté que le taux de particules respirées ne descendait jamais en dessous de 20 microgrammes par mètre cube d’air. Soit deux fois la dose maximale recommandée par l’OMS(Organisation mondiale de la santé).
Asthme, infections ORL et allergies menacent les bébés
«De nombreuses études scientifiques ont montré que les enfants étant exposés aux pollutions automobiles développaient plus facilement asthme, infections ORL et allergies respiratoires. Or, en poussette, nos enfants sont aux premières loges pour inhaler les pots d’échappement des véhicules –forts nombreux à Aix-en-Provence où les transports collectifs sont sous-développés», affirme le Dr Patrice Halimi, Secrétaire Général de l’Association Santé Environnement France.
L’association appelle les collectivités à arrêter le «tout-voiture» et à favoriser les transports en commun dans les villes françaises.
http://www.20minutes.fr/article/699049/ ... -pollution
http://www.20minutes.fr/article/699245/ ... rtir-terre
Habitant depuis longtemps en montagne, il m'est devenu difficile de me replonger plus de quelques heures dans l'atmosphère d'une ville...
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Re: ALLIANCE GALACTIQUE
Bonsoir Gaga, je mesure 1, 80 m et mes deux enfants sont plus grands que moigaga a écrit :De toute manière il vaut mieux faire des bébés à la montagne

Traduction Google
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mardi 29 mars 2011
Ovni s'arrête à l'aéroport d'Oslo, en Norvège Gardermoen 24-Mar-2011
24 mars 2011 - Il y avait un OVNI implantation à l'aéroport d'Oslo, Gardermoen, qui est le principal aéroport desservant Oslo, Norvège. Ce mystérieux OVNI causé le deuxième aéroport le plus achalandé-dans les pays nordiques de fermer le vendredi. Un avion transportant 400 passagers a dû rebrousser chemin et autour de la terre à l'aéroport en raison de l'objet volant non identifié bloquant son chemin. Des milliers de passagers ont été arrêtés lors de l'aéroport fermé pendant 90 minutes. Cela a provoqué l'aéroport d'Oslo une perte de millions de dollars parce que les vols tant de passagers ont été effectués.
Quel était le mystérieux aéronef? Personne ne semble être en mesure de répondre à cette question, pour le moment. Les seuls à voir l'objet ont été membres de l'équipage d'un Boeing 737 qui ont été SAS voler dans l'aéroport d'Oslo Garermoen de Francfort, l'Allemagne, jeudi, peu avant 16 heures L'avion était inférieure à 60 km de l'atterrissage en Norvège, où les membres d'équipage ont vu un objet vert planant dans le ciel de blocage de leur atterrissage. Le pilote de l'avion a donné la description de son aspect un peu comme un deltaplane et plus tard a fait remarquer que ça ressemblait à celle d'un planeur. Quoi qu'il en soit, il n'était pas supposé être là, dans leur espace aérien. Le pilote SAS communiqué avec le contrôle gound pour savoir s'il y avait des rapports d'un aéronef dans la région et il y en avait pas. Il a plané dans le ciel pendant plus d'une heure et il n'y avait aucun moyen de vols à l'arrivée à la terre. Il a été directement flottant à la même hauteur que les compagnies aériennes desservant l'aéroport d'Oslo en maintiendrait. Tous les vols ont dû être déroutés ou annulés jusqu'à ce que le UFO quitté la région.
La seule façon de le Boeing 737 pourrait atterrir à l'aéroport d'Oslo était d'arriver à un nouveau plan de vol. Les membres de l'équipage, puis dirigé vers le nord-ouest plan d'Oslo et a effectué un virage sud pour atterrir à Oslo. À ce stade, le pilote peut voir l'objet verdâtre dans le cadre du plan et légèrement vers la droite. Il est resté avec eux pendant approximetely 20 secondes et fait ensuite un virage à droite contrôlée et disparaît de la vue du pilote.
L'aéroport d'Oslo, Gardermoen est l'aéroport le plus achalandé sixième domestiques dans toute l'Europe. Plus de 19 millions de personnes passent par l'aéroport d'Oslo en 2010. Peut-être qu'ils n'auront pas plus de visiteurs étranges dans le ciel favorable. L'aviation civile continuera à enquêter sur l'incident.
http://www.latest-ufo-sightings.net/201 ... rmoen.html
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