ALLIANCE GALACTIQUE
Modérateur : Admin
Good morning :)
I finally figured out how to become a member, so now becoming a member, glad to be here! I'm glad to be right here as a final point, heading to submit given that I've been reading a very long time.
Sooo anyways, adequate info about me, see you close to and hello yet again haha.
PS, how do I change the time zone for my account? It's kind of weird having the time like 5 hours off lol I always am by my phone but not by my computer, even a nutritionist requires so much to keep up to date!
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Re: ALLIANCE GALACTIQUE
la création est une symphonie dont nous sommes les musiciens , mais que signifie-t-elle sans son compositeur source de toute Vie ?
Re: ALLIANCE GALACTIQUE
au nom de l'énergie j'appose ma main sur l'honorable poitrine des dignes représentants de l'alliance '(*_*)' main droite sur le cœur
bonjour toutes et tous , ma main sur vos humbles poitrines sœurs et frères en l'esprit '(*_*)' main droite sur le cœur
que la paix et l'énergie nous conduisent a l'harmonie
_________________________________________________________
Catastrophe nucléaire de Fukushima: Une employée de la centrale témoigne
Créé le 17.03.11 à 19h10 -- Mis à jour le 17.03.11 à 19h10]
JAPON - Elle rend hommage à ses collègues toujours présents sur le site pour réparer les réacteurs endommagés...
Malgré les précautions prises par la Tokyo Electric Power (Tepco), une employée de l’opérateur de la centrale nucléaire de Fukushima a raconté sa version de la situation sur place sur un réseau social, rapporte ce jeudi le quotidien de Singapour The Straits Times.
Michiko Otsuki s’est exprimée mardi sur Mixi (équivalent japonais de Facebook), après avoir été évacuée du site lundi, désirant parler au nom de ses 180 collègues «sacrifiés» qui travaillent encore au sein de la centrale nucléaire afin d’en refroidir les réacteurs.
«S’il vous plaît, arrêtez de nous attaquer»
«Des gens critiquent Tepco, mais du personnel a refusé de s’enfuir et continue de travailler au péril de leur vie. S’il vous plaît, arrêtez de nous attaquer», clame-t-elle. Employée sur le réacteur numéro 2, Michiko Otsuki explique qu’une fois le tsunami passé, elle est restée sur place jusqu’à son évacuation lundi.
«On a continué à travailler pour réparer les réacteurs de là où on était, face à la mer, conscients que cela pouvait nous conduire à une mort certaine», poursuit-elle. «La machine qui refroidit le réacteur est en bordure de l’océan et a été détruite par le tsunami. Tout le monde a travaillé désespérément pour essayer de le faire fonctionner à nouveau malgré la fatigue et le ventre vide», ajoute Michiko Otsuki.
«Chaque employé de la centrale se bat actuellement sans fuir»
L’employée ajoute: «Il y en a beaucoup qui n’ont pas de nouvelles de leur famille, mais ils affrontent la situation actuelle et travaillent dur». «Rappelez-vous de cela s’il vous plaît. Je veux que ce message atteigne tout le monde. Chaque employé de la centrale se bat actuellement sans fuir», dit encore Michiko Otsuki.
L’ingénieure s’adresse également aux personnes vivant autour du site, s’excusant profondément pour les conséquences du sinistre sur la centrale de Fukushima qui a pu les inquiéter. «Je vous écris en mon nom, sachant que je vais être attaquée à cause de cela. Il y a des gens qui travaillent pour vous protéger, et qui risquent leur vie pour cela», insiste Michiko Otsuki.
«J’espère retourner à la centrale et travailler pour réparer le réacteur»
«Quand je vois mes collègues qui jouent leur vie sans arrière-pensée, je suis fière de travailler pour Tepco et d’être membre de l’équipe du réacteur numéro 2. J’espère retourner à la centrale et travailler pour réparer le réacteur», conclut l’employée.
Mais son post a été supprimé depuis mardi, remplacé par un mot d’excuse: «Je suis vraiment désolé, mais j’ai fermé ce post parce qu’il a été utilisé à mauvais escient, notamment pour répandre la peur parmi la population». «Je prie du fond de mon cœur pour la protection de vos êtres chers. Je suis désolé que les choses se soient passées ainsi», termine Michiko Otsuki.
Corentin Chauvel
http://www.20minutes.fr/article/689370/ ... or=RSS-145
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Catastrophe nucléaire de Fukushima: Une employée de la centrale témoigne
Créé le 17.03.11 à 19h10 -- Mis à jour le 17.03.11 à 19h10]
JAPON - Elle rend hommage à ses collègues toujours présents sur le site pour réparer les réacteurs endommagés...
Malgré les précautions prises par la Tokyo Electric Power (Tepco), une employée de l’opérateur de la centrale nucléaire de Fukushima a raconté sa version de la situation sur place sur un réseau social, rapporte ce jeudi le quotidien de Singapour The Straits Times.
Michiko Otsuki s’est exprimée mardi sur Mixi (équivalent japonais de Facebook), après avoir été évacuée du site lundi, désirant parler au nom de ses 180 collègues «sacrifiés» qui travaillent encore au sein de la centrale nucléaire afin d’en refroidir les réacteurs.
«S’il vous plaît, arrêtez de nous attaquer»
«Des gens critiquent Tepco, mais du personnel a refusé de s’enfuir et continue de travailler au péril de leur vie. S’il vous plaît, arrêtez de nous attaquer», clame-t-elle. Employée sur le réacteur numéro 2, Michiko Otsuki explique qu’une fois le tsunami passé, elle est restée sur place jusqu’à son évacuation lundi.
«On a continué à travailler pour réparer les réacteurs de là où on était, face à la mer, conscients que cela pouvait nous conduire à une mort certaine», poursuit-elle. «La machine qui refroidit le réacteur est en bordure de l’océan et a été détruite par le tsunami. Tout le monde a travaillé désespérément pour essayer de le faire fonctionner à nouveau malgré la fatigue et le ventre vide», ajoute Michiko Otsuki.
«Chaque employé de la centrale se bat actuellement sans fuir»
L’employée ajoute: «Il y en a beaucoup qui n’ont pas de nouvelles de leur famille, mais ils affrontent la situation actuelle et travaillent dur». «Rappelez-vous de cela s’il vous plaît. Je veux que ce message atteigne tout le monde. Chaque employé de la centrale se bat actuellement sans fuir», dit encore Michiko Otsuki.
L’ingénieure s’adresse également aux personnes vivant autour du site, s’excusant profondément pour les conséquences du sinistre sur la centrale de Fukushima qui a pu les inquiéter. «Je vous écris en mon nom, sachant que je vais être attaquée à cause de cela. Il y a des gens qui travaillent pour vous protéger, et qui risquent leur vie pour cela», insiste Michiko Otsuki.
«J’espère retourner à la centrale et travailler pour réparer le réacteur»
«Quand je vois mes collègues qui jouent leur vie sans arrière-pensée, je suis fière de travailler pour Tepco et d’être membre de l’équipe du réacteur numéro 2. J’espère retourner à la centrale et travailler pour réparer le réacteur», conclut l’employée.
Mais son post a été supprimé depuis mardi, remplacé par un mot d’excuse: «Je suis vraiment désolé, mais j’ai fermé ce post parce qu’il a été utilisé à mauvais escient, notamment pour répandre la peur parmi la population». «Je prie du fond de mon cœur pour la protection de vos êtres chers. Je suis désolé que les choses se soient passées ainsi», termine Michiko Otsuki.
Corentin Chauvel
http://www.20minutes.fr/article/689370/ ... or=RSS-145
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Re: ALLIANCE GALACTIQUE
MOSCOU, 17 mars - RIA Novosti
Les autorités japonaises ont décidé de ne pas poursuivre vendredi, l'opération d'arrosage du réacteur n°3 de la centrale nucléaire sinistrée Fukushima-1, craignant pour la santé du personnel, vu le niveau élevé de radiations, rapporte jeudi la chaîne NHK.
Jeudi, des hélicoptères de l'armée et de puissants canons à eau ont arrosé le réacteur n°3 de la centrale, mais l'opération n'a pas eu l'effet escompté, le niveau du rayonnement a progressé. Peu après le largage de l'eau par les hélicoptères, il serait passé de 3.700 à 4.000 microsieverts par heure.
Selon les médias, un stock de plutonium pourrait se trouver sur le site.
http://fr.rian.ru/world/20110317/188899478.html
Les autorités japonaises ont décidé de ne pas poursuivre vendredi, l'opération d'arrosage du réacteur n°3 de la centrale nucléaire sinistrée Fukushima-1, craignant pour la santé du personnel, vu le niveau élevé de radiations, rapporte jeudi la chaîne NHK.
Jeudi, des hélicoptères de l'armée et de puissants canons à eau ont arrosé le réacteur n°3 de la centrale, mais l'opération n'a pas eu l'effet escompté, le niveau du rayonnement a progressé. Peu après le largage de l'eau par les hélicoptères, il serait passé de 3.700 à 4.000 microsieverts par heure.
Selon les médias, un stock de plutonium pourrait se trouver sur le site.
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I just figured out how to join and now am becoming a member, glad to be in! I'm Jessica and I'm inspired by life, I'm a fan of running and getting healthy and balanced
Sooo anyways, plenty about me, see you all around and hello again haha.
BTW where is the option to change the time zone for my account? It's kind of weird having the time like 5 hours off lol I always am by my phone but not by my computer, even a trainer requires so much to keep up to date!

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Re: ALLIANCE GALACTIQUE
17/03/2011 à 22:38
Les autorités libyennes ont annoncé jeudi une offensive "dès ce soir" contre Benghazi, fief des insurgés dans l'est du pays, et menacé de s'attaquer au trafic aérien et maritime civil et militaire en Méditerranée en cas d'opération militaire étrangère contre le pays.
Plus tôt, un porte-parole du ministère libyen de la Défense cité par l'agence officielle Jana avait indiqué que toute opération militaire étrangère allait "exposer tout le trafic aérien et maritime en Méditerranée au danger".
Alors que la révolte s'est transformée en guerre civile au prix de centaines de morts, le projet de résolution de l'ONU "autorise les Etats membres (...) à prendre toutes les mesures nécessaires (...) pour protéger les civils et les zones peuplées de civils sous la menace d'attaques" par les forces du colonel Mouammar Kadhafi, souligne le texte.
Le projet "décide d'établir une interdiction de tous les vols dans l'espace aérien" de la Libye "de manière à aider à protéger les civils".
L'expression "toutes les mesures nécessaires" ouvre la voie à des frappes militaires contre des cibles en Libye, même s'il est dit dans le texte qu'elles "excluent une force d'occupation".
17 mars 2011, 23h58
L'ONU autorise le recours à la force contre la Libye
Le Conseil de sécurité de l'ONU a voté jeudi soir en faveur d'un recours à la force contre les troupes du colonel Mouammar Kadhafi, ouvrant la voie à des frappes aériennes en Libye.
La résolution adoptée par le Conseil autorise "toutes les mesures nécessaires" pour protéger les civils et imposer un cessez-le-feu à l'armée libyenne.
Le texte a été adopté par 10 voix sur les 15 membres du Conseil de sécurité. La Chine et la Russie se sont abstenues mais n'ont pas utilisé leur veto pour bloquer le texte.
Alors que Mouammar Kadhafi a annoncé un assaut contre la ville de Benghazi, fief des rebelles, le ministre français des Affaires étrangères, Alain Juppé, a averti qu'il n'y avait plus beaucoup de temps pour intervenir. "C'est peut-être une question d'heures", a-t-il lancé.
La France avait auparavant annoncé des frappes aériennes dès l'adoption de la résolution.
http://www.lepoint.fr/monde/kadhafi-ann ... 081_24.php
http://www.francesoir.fr/actu/l-onu-aut ... 82966.html
Les autorités libyennes ont annoncé jeudi une offensive "dès ce soir" contre Benghazi, fief des insurgés dans l'est du pays, et menacé de s'attaquer au trafic aérien et maritime civil et militaire en Méditerranée en cas d'opération militaire étrangère contre le pays.
Plus tôt, un porte-parole du ministère libyen de la Défense cité par l'agence officielle Jana avait indiqué que toute opération militaire étrangère allait "exposer tout le trafic aérien et maritime en Méditerranée au danger".
Alors que la révolte s'est transformée en guerre civile au prix de centaines de morts, le projet de résolution de l'ONU "autorise les Etats membres (...) à prendre toutes les mesures nécessaires (...) pour protéger les civils et les zones peuplées de civils sous la menace d'attaques" par les forces du colonel Mouammar Kadhafi, souligne le texte.
Le projet "décide d'établir une interdiction de tous les vols dans l'espace aérien" de la Libye "de manière à aider à protéger les civils".
L'expression "toutes les mesures nécessaires" ouvre la voie à des frappes militaires contre des cibles en Libye, même s'il est dit dans le texte qu'elles "excluent une force d'occupation".
17 mars 2011, 23h58
L'ONU autorise le recours à la force contre la Libye
Le Conseil de sécurité de l'ONU a voté jeudi soir en faveur d'un recours à la force contre les troupes du colonel Mouammar Kadhafi, ouvrant la voie à des frappes aériennes en Libye.
La résolution adoptée par le Conseil autorise "toutes les mesures nécessaires" pour protéger les civils et imposer un cessez-le-feu à l'armée libyenne.
Le texte a été adopté par 10 voix sur les 15 membres du Conseil de sécurité. La Chine et la Russie se sont abstenues mais n'ont pas utilisé leur veto pour bloquer le texte.
Alors que Mouammar Kadhafi a annoncé un assaut contre la ville de Benghazi, fief des rebelles, le ministre français des Affaires étrangères, Alain Juppé, a averti qu'il n'y avait plus beaucoup de temps pour intervenir. "C'est peut-être une question d'heures", a-t-il lancé.
La France avait auparavant annoncé des frappes aériennes dès l'adoption de la résolution.
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Re: ALLIANCE GALACTIQUE
16 mars 2011
La démocratie bafouée au Bahreïn
Au Bahreïn, comme ailleurs dans le monde arabe, la dictature politique a toujours veillé à ce que la croissance économique ne bénéficie qu'à une petite élite, excluant la majorité du peuple.
Le roi Al Khalifa n'a plus aucune légitimité interne. Originaire de l'Arabie Saoudite, la dynastie sunnite Al Khalifa s'est toujours comportée en fidèle alliée de celle-ci. Et si beaucoup de Bahreïnis, à majorité chiite, ont été exclus du miracle économique de leur pays, de riches saoudiens paraissent avoir colonisé une bonne partie de l'économie.
Le lundi 14 mars les masques sont tombés. Jour pour jour un mois après le début de la révolte populaire, des chars d'assaut saoudiens sont entrés au Bahreïn. En quelques heures mille soldats saoudiens accompagnés de cinq cents agents des forces de l'ordre des Émirats Arabes Unis (EAU) ont transformé le Bahreïn en territoire occupé. Ils sont venus mater le peuple bahreïni et étouffer ses aspirations démocratiques. Afin de leur faciliter la tâche, le roi du Bahreïn a déclaré l'état d'urgence pour trois mois.
Pendant qu'on envisage de bombarder la Libye, on étouffe l'appel au secours du peuple bahreïni.
L'Union européenne de son côté prend simplement acte du « déploiement » saoudien. Aucune condamnation du régime, ni de l'invasion. Aucun soutien pour la population, ni de reconnaissance de l'opposition.
17/03/11
L'UE et l'OTAN exhortent Manama à cesser la répression à Bahrein
MANAMA/BRUXELLES (AP) — L'Union européenne et l'OTAN ont exhorté jeudi les autorités de Bahrein à cesser la répression des manifestations et à chercher à régler par le dialogue politique une crise qui a connu une sérieuse aggravation ces derniers jours.
La responsable de la politique étrangère des Vingt-Sept, Catherine Ashton a téléphoné au chef de la diplomatie de Bahrein pour l'exhorter à la retenue, a annoncé son porte-parole. "Le message principal était que les droits de l'homme et les libertés fondamentales du peuple bahreini doivent être respectés", a-t-il dit.
http://www.ptb.be/nieuws/artikel/la-dem ... hrein.html
http://tempsreel.nouvelobs.com/actualit ... hrein.html
La démocratie bafouée au Bahreïn
Au Bahreïn, comme ailleurs dans le monde arabe, la dictature politique a toujours veillé à ce que la croissance économique ne bénéficie qu'à une petite élite, excluant la majorité du peuple.
Le roi Al Khalifa n'a plus aucune légitimité interne. Originaire de l'Arabie Saoudite, la dynastie sunnite Al Khalifa s'est toujours comportée en fidèle alliée de celle-ci. Et si beaucoup de Bahreïnis, à majorité chiite, ont été exclus du miracle économique de leur pays, de riches saoudiens paraissent avoir colonisé une bonne partie de l'économie.
Le lundi 14 mars les masques sont tombés. Jour pour jour un mois après le début de la révolte populaire, des chars d'assaut saoudiens sont entrés au Bahreïn. En quelques heures mille soldats saoudiens accompagnés de cinq cents agents des forces de l'ordre des Émirats Arabes Unis (EAU) ont transformé le Bahreïn en territoire occupé. Ils sont venus mater le peuple bahreïni et étouffer ses aspirations démocratiques. Afin de leur faciliter la tâche, le roi du Bahreïn a déclaré l'état d'urgence pour trois mois.
Pendant qu'on envisage de bombarder la Libye, on étouffe l'appel au secours du peuple bahreïni.
L'Union européenne de son côté prend simplement acte du « déploiement » saoudien. Aucune condamnation du régime, ni de l'invasion. Aucun soutien pour la population, ni de reconnaissance de l'opposition.
17/03/11
L'UE et l'OTAN exhortent Manama à cesser la répression à Bahrein
MANAMA/BRUXELLES (AP) — L'Union européenne et l'OTAN ont exhorté jeudi les autorités de Bahrein à cesser la répression des manifestations et à chercher à régler par le dialogue politique une crise qui a connu une sérieuse aggravation ces derniers jours.
La responsable de la politique étrangère des Vingt-Sept, Catherine Ashton a téléphoné au chef de la diplomatie de Bahrein pour l'exhorter à la retenue, a annoncé son porte-parole. "Le message principal était que les droits de l'homme et les libertés fondamentales du peuple bahreini doivent être respectés", a-t-il dit.
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Re: ALLIANCE GALACTIQUE
17 mars 2011
Japon: ignoré, un sismologue avait prévu la catastrophe dès 2007
Et si un expert chargé de l’élaboration des normes sismiques au Japon avait, dès 2007, averti son gouvernement que le pays allait subir un drame comparable à Fukushima à "moins que des mesures radicales ne soient prises"? Le drame aurait-il été évité ? La réponse est non. La preuve.
L’avertissement en question est en effet bel et bien parvenu sur les bureaux du gouvernement japonais et de la direction de Tepco (le premier producteur privé mondial d’électricité et exploitant de Fukushima Daichii). Il pouvait être lu en toute lettre dans un article du International Herald Tribune/Asahi Shimbun (l'article est à lire ici) paru le… 11 août 2007!
On y apprenait notamment qu'à "moins que des mesures radicales ne soient prises pour réduire la vulnérabilité des centrales aux tremblements de terre, le Japon pourrait vivre une vraie catastrophe nucléaire dans un futur proche".
Son auteur, le sismologue Ishibashi Katsuhiko faisait partie du comité d'experts chargé d'établir les normes sismiques des centrales nucléaires japonaises (cliquez ici pour lire sa biographie succincte). Selon lui, le comité se montrait bien trop permissif dans ses recommandations. A tel point qu'il avait préféré en démissionner. L’avenir lui a malheureusement donné raison. Avec un fracas assourdissant.
Le professeur de l’université de Kobe a eu beau signaler aux autorités compétentes que les centrales nippones souffraient de "vulnérabilité fondamentale" face aux séismes potentiels, ses appels ont été ignorés.
Plusieurs coups de semonces sismiques depuis 2005
En 2006, le Japon avait renforcé ses normes de sécurité anti-sismiques. Mais dans une mesure encore trop laxiste selon Ishibashi Katsuhiko.
Le 16 juillet 2007, un tremblement de terre de magnitude 6,8 cause des dommages sérieux à la centrale de Kashiwazaki-Kariwa (la plus importante centrale nucléaire du monde). Et plusieurs coups de semonce étaient intervenus avant cela.
De sorte que, selon le site Mediapart, "l'accident qui vient de se produire à Fukushima ne peut être considéré comme une véritable surprise […]. Cet accident est la reproduction, en beaucoup plus grave, d'événements qui se sont répétés au moins depuis 2005".
Au chagrin de voir une telle catastrophe naturelle martyriser son pays, nul doute que Ishibashi Katsuhiko ajoutera la colère de ne pas avoir été écouté. Car ses recommandations auraient sans doute permis, si pas d'éviter, au moins de minimiser la catastrophe nucléaire face à laquelle le Japon se trouve aujourd'hui confronté.
http://www.rtbf.be/info/monde/detail_ja ... id=5789283
Japon: ignoré, un sismologue avait prévu la catastrophe dès 2007
Et si un expert chargé de l’élaboration des normes sismiques au Japon avait, dès 2007, averti son gouvernement que le pays allait subir un drame comparable à Fukushima à "moins que des mesures radicales ne soient prises"? Le drame aurait-il été évité ? La réponse est non. La preuve.
L’avertissement en question est en effet bel et bien parvenu sur les bureaux du gouvernement japonais et de la direction de Tepco (le premier producteur privé mondial d’électricité et exploitant de Fukushima Daichii). Il pouvait être lu en toute lettre dans un article du International Herald Tribune/Asahi Shimbun (l'article est à lire ici) paru le… 11 août 2007!
On y apprenait notamment qu'à "moins que des mesures radicales ne soient prises pour réduire la vulnérabilité des centrales aux tremblements de terre, le Japon pourrait vivre une vraie catastrophe nucléaire dans un futur proche".
Son auteur, le sismologue Ishibashi Katsuhiko faisait partie du comité d'experts chargé d'établir les normes sismiques des centrales nucléaires japonaises (cliquez ici pour lire sa biographie succincte). Selon lui, le comité se montrait bien trop permissif dans ses recommandations. A tel point qu'il avait préféré en démissionner. L’avenir lui a malheureusement donné raison. Avec un fracas assourdissant.
Le professeur de l’université de Kobe a eu beau signaler aux autorités compétentes que les centrales nippones souffraient de "vulnérabilité fondamentale" face aux séismes potentiels, ses appels ont été ignorés.
Plusieurs coups de semonces sismiques depuis 2005
En 2006, le Japon avait renforcé ses normes de sécurité anti-sismiques. Mais dans une mesure encore trop laxiste selon Ishibashi Katsuhiko.
Le 16 juillet 2007, un tremblement de terre de magnitude 6,8 cause des dommages sérieux à la centrale de Kashiwazaki-Kariwa (la plus importante centrale nucléaire du monde). Et plusieurs coups de semonce étaient intervenus avant cela.
De sorte que, selon le site Mediapart, "l'accident qui vient de se produire à Fukushima ne peut être considéré comme une véritable surprise […]. Cet accident est la reproduction, en beaucoup plus grave, d'événements qui se sont répétés au moins depuis 2005".
Au chagrin de voir une telle catastrophe naturelle martyriser son pays, nul doute que Ishibashi Katsuhiko ajoutera la colère de ne pas avoir été écouté. Car ses recommandations auraient sans doute permis, si pas d'éviter, au moins de minimiser la catastrophe nucléaire face à laquelle le Japon se trouve aujourd'hui confronté.
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