ALLIANCE GALACTIQUE
Modérateur : Admin
Re: ALLIANCE GALACTIQUE
Bonjour à tous et toutes,
Je vous poste une petite vidéo sur la BIOMASSE et la création du pétrole bleu. Les guerres du pétrole vont bientôt se terminer et c'est un moyen éfficace de stocker de l'énergie.
Je vous poste une petite vidéo sur la BIOMASSE et la création du pétrole bleu. Les guerres du pétrole vont bientôt se terminer et c'est un moyen éfficace de stocker de l'énergie.
Re: ALLIANCE GALACTIQUE
bonsoir KIT Y A
beau spot publicitaire en fait , quelles sont les véritables impacts de tels procédés sur l’environnement ?
conserver le moteur a explosion semble risqué , pour aller vers un véritable respect de notre terre mère .des études sérieuses doivent a mon sens êtres menées , du moment ou il y a combustion il y a très certainement un impact
je ne suis pas spécialiste mais il me semble que la prudence et le discernement doivent êtres de mise ,avant de s'engager dans un nouveau processus énergétique
beau spot publicitaire en fait , quelles sont les véritables impacts de tels procédés sur l’environnement ?
conserver le moteur a explosion semble risqué , pour aller vers un véritable respect de notre terre mère .des études sérieuses doivent a mon sens êtres menées , du moment ou il y a combustion il y a très certainement un impact
je ne suis pas spécialiste mais il me semble que la prudence et le discernement doivent êtres de mise ,avant de s'engager dans un nouveau processus énergétique
la création est une symphonie dont nous sommes les musiciens , mais que signifie-t-elle sans son compositeur source de toute Vie ?
Re: ALLIANCE GALACTIQUE
bonsoir noble frère aimé ,très belle région !! impressionnant le ""vélodrome ""
http://dignois.fr/Esclangon/index.html#vel La Javie
La localité apparaît pour la première fois dans les textes en 1049 (Gaveda), dérivé selon Charles Rostaing de l’hydronyme *Gava, et selon Ernest Nègre, du nord-provençal javio, désignant un récipient à eau (jatte ou abreuvoir)10,11. Dans le cas où l’hypothèse de Rostaing serait la bonne, il est probable que le nom du lieu soit plus ancien que les Gaulois, sans que l’on puisse avancer l’hypothèse d’une occupation humaine dès cette époque12.
Le lieu-dit Chaudol est cité dès 780 (villa Caladius)13. Selon l’Atlas historique de la Provence, le nom du lieu est probablement plus ancien que les Gaulois, ainsi que le toponyme Esclangon12.
http://fr.wikipedia.org/wiki/La_Javie
http://dignois.fr/Esclangon/index.html#vel La Javie
La localité apparaît pour la première fois dans les textes en 1049 (Gaveda), dérivé selon Charles Rostaing de l’hydronyme *Gava, et selon Ernest Nègre, du nord-provençal javio, désignant un récipient à eau (jatte ou abreuvoir)10,11. Dans le cas où l’hypothèse de Rostaing serait la bonne, il est probable que le nom du lieu soit plus ancien que les Gaulois, sans que l’on puisse avancer l’hypothèse d’une occupation humaine dès cette époque12.
Le lieu-dit Chaudol est cité dès 780 (villa Caladius)13. Selon l’Atlas historique de la Provence, le nom du lieu est probablement plus ancien que les Gaulois, ainsi que le toponyme Esclangon12.
http://fr.wikipedia.org/wiki/La_Javie
la création est une symphonie dont nous sommes les musiciens , mais que signifie-t-elle sans son compositeur source de toute Vie ?
Re: ALLIANCE GALACTIQUE
au nom de l'énergie j'appose ma main sur l'honorable poitrine des dignes représentants de l'alliance '(*_*)' main droite sur le cœur
bonjour toutes et tous , ma main sur vos humbles poitrines sœurs et frères en l'esprit '(*_*)' main droite sur le cœur
que la paix et l'énergie nous conduisent a l'harmonie
_____________________________________________________________________
Le 8 avril 2011 à 15h35
Radioactivité dans les océans : quelles conséquences ?
L’accident de la centrale nucléaire japonaise entraîne une contamination du milieu marin… et des espèces sous-marines ! Les poissons risquent donc de contenir des éléments radioactifs, au même titre que les mollusques et les algues. Les risques pour l’Homme restent encore à être évalués.
Pour tout comprendre sur la radioactivité
C’est une évidence mais on l’oublie un peu facilement : la pollution radioactive affecte aussi les océans. Il n’est donc pas surprenant que l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) signale « une forte contamination du milieu marin par divers radionucléides rejetés lors de l’accident survenu dans la centrale nucléaire de Fukushima-Daiichi ». Les taux de radioactivité observés seraient même plusieurs millions de fois supérieurs à la normale, dans la zone affectée. Que va-t-il advenir de cette pollution ? Va-t-elle persister durablement dans les fonds marins ? Cette contamination concerne-t-elle les poissons et les autres espèces marines ? Et enfin, faudra-t-il cesser de consommer des produits de la mer ?
« Bien sûr, les espèces marines présentes dans la zone de Fukushima vont être contaminées », souligne Dominique Boust, directeur du laboratoire de radioécologie de Cherbourg-Octeville, dans la Manche. Et cette contamination se développera aussi longtemps que des éléments radioactifs seront rejetés dans l’eau de mer. « Pour le moment, il est difficile de quantifier l’importance de cet impact, car on n’a pas encore pu évaluer la source même de la contamination », souligne Jean-Marc Peres, responsable de la surveillance de la radioactivité dans l’environnement à l’IRSN.
En effet, les sources de contamination sont multiples. « Elle est constituée en partie des eaux utilisées pour refroidir le cœur du réacteur, entrées en contact avec tout le cocktail de radioéléments de celui-ci », explique cet expert. Une deuxième source de pollution provient du panache atmosphérique lui-même, poussé vers la mer par les courants aériens. La contamination des eaux de mer trouve enfin une dernière origine dans le transfert par les rivières des polluants déposés au sol à la suite des rejets atmosphériques, puis lessivés par la pluie. « Cette accumulation peut se poursuivre très longtemps, même après que les rejets auront été interrompus », ajoute Jean-Marc Peres.
Des concentrations variables selon les espèces
Dans l’océan, toutes les espèces animales et végétales ne concentrent pas les radionucléides de la même manière. « Leur capacité d’accumulation dépend du radionucléide et de l’espèce, précise Dominique Boust. Des phénomènes d’accumulation dans les espèces vivantes pourraient conduire à des concentrations supérieures à celles que l’on a mesurées dans l’eau. » Et ces différences pourraient aller « d’un facteur 10 à un facteur de quelques milliers, selon le radionucléide et l’espèce considérés », souligne l’IRSN.
« Par exemple, une exposition à 1 becquerel par litre d’iode 131 dans l’eau peut entraîner une concentration de 10 à… 100 becquerels par kilogramme dans un poisson », précise Jean-Marc Peres. Pour ce radionucléide dont la demi-vie est de huit jours à peine, elle pourrait toutefois décroître en quelques mois. Mais pour d’autres éléments comme le césium 137 dont la demi-vie est de trente ans, le problème se posera sur le long terme...
« Ces phénomènes d’accumulation sont de nature à justifier la mise en place de programmes de surveillance radiologique », note l’IRSN. Les zones géographiques à étudier, tout comme les espèces végétales et animales entrant directement ou indirectement dans la chaîne alimentaire humaine, doivent toutefois encore être déterminées. Les experts précisent en outre qu’« une attention particulière devra être apportée aux installations aquacoles (algues, mollusques et poissons) situées sur le littoral proche de la centrale nucléaire ».
Dans toutes les mers du globe ?
Quel risque y aura-t-il à présent à consommer du poisson pêché dans le Pacifique, comme le saumon sauvage ? « Avec le temps de transfert des masses d’eau, la dispersion et la dilution des éléments dans l’océan, les concentrations radioactives devraient être, selon nos estimations, très faibles dans les espèces marines situées à distance », explique Jean-Marc Peres. De plus, « les espèces mobiles sont naturellement exposées pendant une période plus courte que les sédiments et les algues, à la pollution radioactive », ajoute Dominique Boust.
Les spécialistes estiment à environ dix ou quinze ans le temps nécessaire pour que l’eau de mer transfère la pollution du Pacifique nord-ouest à la zone équatoriale. Par ailleurs, une partie des eaux du Pacifique nord passe dans l’océan Indien en traversant les mers indonésiennes… avant d’être transportée vers l’Atlantique sud. La période de transfert est alors estimée à tente-quarante ans environ. « Lorsque les différentes sources de rejet en mer seront mieux évaluées, les simulations de dispersion marine devraient permettre d’améliorer l’estimation de l’évolution à moyen terme des concentrations en radionucléides », ajoute l’IRSN. Les inconnues sont donc encore nombreuses…
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Le 8 avril 2011 à 15h35
Radioactivité dans les océans : quelles conséquences ?
L’accident de la centrale nucléaire japonaise entraîne une contamination du milieu marin… et des espèces sous-marines ! Les poissons risquent donc de contenir des éléments radioactifs, au même titre que les mollusques et les algues. Les risques pour l’Homme restent encore à être évalués.
Pour tout comprendre sur la radioactivité
C’est une évidence mais on l’oublie un peu facilement : la pollution radioactive affecte aussi les océans. Il n’est donc pas surprenant que l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) signale « une forte contamination du milieu marin par divers radionucléides rejetés lors de l’accident survenu dans la centrale nucléaire de Fukushima-Daiichi ». Les taux de radioactivité observés seraient même plusieurs millions de fois supérieurs à la normale, dans la zone affectée. Que va-t-il advenir de cette pollution ? Va-t-elle persister durablement dans les fonds marins ? Cette contamination concerne-t-elle les poissons et les autres espèces marines ? Et enfin, faudra-t-il cesser de consommer des produits de la mer ?
« Bien sûr, les espèces marines présentes dans la zone de Fukushima vont être contaminées », souligne Dominique Boust, directeur du laboratoire de radioécologie de Cherbourg-Octeville, dans la Manche. Et cette contamination se développera aussi longtemps que des éléments radioactifs seront rejetés dans l’eau de mer. « Pour le moment, il est difficile de quantifier l’importance de cet impact, car on n’a pas encore pu évaluer la source même de la contamination », souligne Jean-Marc Peres, responsable de la surveillance de la radioactivité dans l’environnement à l’IRSN.
En effet, les sources de contamination sont multiples. « Elle est constituée en partie des eaux utilisées pour refroidir le cœur du réacteur, entrées en contact avec tout le cocktail de radioéléments de celui-ci », explique cet expert. Une deuxième source de pollution provient du panache atmosphérique lui-même, poussé vers la mer par les courants aériens. La contamination des eaux de mer trouve enfin une dernière origine dans le transfert par les rivières des polluants déposés au sol à la suite des rejets atmosphériques, puis lessivés par la pluie. « Cette accumulation peut se poursuivre très longtemps, même après que les rejets auront été interrompus », ajoute Jean-Marc Peres.
Des concentrations variables selon les espèces
Dans l’océan, toutes les espèces animales et végétales ne concentrent pas les radionucléides de la même manière. « Leur capacité d’accumulation dépend du radionucléide et de l’espèce, précise Dominique Boust. Des phénomènes d’accumulation dans les espèces vivantes pourraient conduire à des concentrations supérieures à celles que l’on a mesurées dans l’eau. » Et ces différences pourraient aller « d’un facteur 10 à un facteur de quelques milliers, selon le radionucléide et l’espèce considérés », souligne l’IRSN.
« Par exemple, une exposition à 1 becquerel par litre d’iode 131 dans l’eau peut entraîner une concentration de 10 à… 100 becquerels par kilogramme dans un poisson », précise Jean-Marc Peres. Pour ce radionucléide dont la demi-vie est de huit jours à peine, elle pourrait toutefois décroître en quelques mois. Mais pour d’autres éléments comme le césium 137 dont la demi-vie est de trente ans, le problème se posera sur le long terme...
« Ces phénomènes d’accumulation sont de nature à justifier la mise en place de programmes de surveillance radiologique », note l’IRSN. Les zones géographiques à étudier, tout comme les espèces végétales et animales entrant directement ou indirectement dans la chaîne alimentaire humaine, doivent toutefois encore être déterminées. Les experts précisent en outre qu’« une attention particulière devra être apportée aux installations aquacoles (algues, mollusques et poissons) situées sur le littoral proche de la centrale nucléaire ».
Dans toutes les mers du globe ?
Quel risque y aura-t-il à présent à consommer du poisson pêché dans le Pacifique, comme le saumon sauvage ? « Avec le temps de transfert des masses d’eau, la dispersion et la dilution des éléments dans l’océan, les concentrations radioactives devraient être, selon nos estimations, très faibles dans les espèces marines situées à distance », explique Jean-Marc Peres. De plus, « les espèces mobiles sont naturellement exposées pendant une période plus courte que les sédiments et les algues, à la pollution radioactive », ajoute Dominique Boust.
Les spécialistes estiment à environ dix ou quinze ans le temps nécessaire pour que l’eau de mer transfère la pollution du Pacifique nord-ouest à la zone équatoriale. Par ailleurs, une partie des eaux du Pacifique nord passe dans l’océan Indien en traversant les mers indonésiennes… avant d’être transportée vers l’Atlantique sud. La période de transfert est alors estimée à tente-quarante ans environ. « Lorsque les différentes sources de rejet en mer seront mieux évaluées, les simulations de dispersion marine devraient permettre d’améliorer l’estimation de l’évolution à moyen terme des concentrations en radionucléides », ajoute l’IRSN. Les inconnues sont donc encore nombreuses…
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Re: ALLIANCE GALACTIQUE
L' Eau, source de Vie
L'eau recouvre environ 70 % de la surface terrestre. Elle représente plus de 70 % de notre masse corporelle.Quantitativement, l'eau est de loin l'élément le plus important sur notre terre.
Pourtant, nous n'en connaissons que peu de choses et tout reste à découvrir avec ce liquide aux propriétés extraordinaires.
Notre définition de la nature de l'eau n'est que très inadéquate. Jusqu'ici, ses caractéristiques ont été principalement jugées négatives, puisque nous ne la voyons que par le biais de la chimie et que les recherches ont été menées sur les toxines, les polluants et les scories.
D'ordinaire, nous jugeons une eau comme bonne parce que par exemple sa teneur en nitrate est inférieure au seuil de référence fixé arbitrairement. En Allemagne, la législation sur l'eau potable a fixé ce seuil à 50 milligrammes par litre. En Autriche, il est fixé à 100 milligrammes, comme si les Autrichiens étaient biologiquement différents ! La Communauté européenne prévoit une réduction à 25 milligrammes. Néanmoins, pour un nourrisson, un taux de nitrate supérieur à 10 milligrammes dans l'eau peut déjà s'avérer mortel lorsque ses aliments sont préparés avec cette qualité d'eau. Cela signifie que les valeurs limites sont très contestables.
Cristal de 'eau de Lourdes par le Dr Masaru Emoto
Certes, les filtres permettent de débarrasser l'eau des polluants, mais cela ne nous empêche pas de boire les millions de fréquences - ou effets au sens homéopathique du terme - stockées dans ce qu'on appelle la mémoire de l'eau, comme le montrent clairement les enquêtes scientifiques. Ce ne sont donc pas les substances qui subsistent dans l'eau qui sont les plus nocives, mais bien leurs mauvaises fréquences.
Pourtant certaines eaux ont des propriétés étonnantes comme l'eau de Lourdes ou l'eau Diamant. D'où viennent leurs propriétés ? Quels sont les mécanismes en jeu? Et pourquoi l'eau que je bois au robinet ou dans ma bouteille plastique ne sont elles pas miraculeuses ??
http://www.b-harmony.com/savoir/eau/eau_source.htm
L'eau recouvre environ 70 % de la surface terrestre. Elle représente plus de 70 % de notre masse corporelle.Quantitativement, l'eau est de loin l'élément le plus important sur notre terre.
Pourtant, nous n'en connaissons que peu de choses et tout reste à découvrir avec ce liquide aux propriétés extraordinaires.
Notre définition de la nature de l'eau n'est que très inadéquate. Jusqu'ici, ses caractéristiques ont été principalement jugées négatives, puisque nous ne la voyons que par le biais de la chimie et que les recherches ont été menées sur les toxines, les polluants et les scories.
D'ordinaire, nous jugeons une eau comme bonne parce que par exemple sa teneur en nitrate est inférieure au seuil de référence fixé arbitrairement. En Allemagne, la législation sur l'eau potable a fixé ce seuil à 50 milligrammes par litre. En Autriche, il est fixé à 100 milligrammes, comme si les Autrichiens étaient biologiquement différents ! La Communauté européenne prévoit une réduction à 25 milligrammes. Néanmoins, pour un nourrisson, un taux de nitrate supérieur à 10 milligrammes dans l'eau peut déjà s'avérer mortel lorsque ses aliments sont préparés avec cette qualité d'eau. Cela signifie que les valeurs limites sont très contestables.
Cristal de 'eau de Lourdes par le Dr Masaru Emoto
Certes, les filtres permettent de débarrasser l'eau des polluants, mais cela ne nous empêche pas de boire les millions de fréquences - ou effets au sens homéopathique du terme - stockées dans ce qu'on appelle la mémoire de l'eau, comme le montrent clairement les enquêtes scientifiques. Ce ne sont donc pas les substances qui subsistent dans l'eau qui sont les plus nocives, mais bien leurs mauvaises fréquences.
Pourtant certaines eaux ont des propriétés étonnantes comme l'eau de Lourdes ou l'eau Diamant. D'où viennent leurs propriétés ? Quels sont les mécanismes en jeu? Et pourquoi l'eau que je bois au robinet ou dans ma bouteille plastique ne sont elles pas miraculeuses ??
http://www.b-harmony.com/savoir/eau/eau_source.htm
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Re: ALLIANCE GALACTIQUE
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Re: ALLIANCE GALACTIQUE
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Re: ALLIANCE GALACTIQUE
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Re: ALLIANCE GALACTIQUE
la création est une symphonie dont nous sommes les musiciens , mais que signifie-t-elle sans son compositeur source de toute Vie ?
Re: ALLIANCE GALACTIQUE
Bonjour tous les mondes
Bonjour toutes et tous
Heureux de vous retrouver, retour d'une longue balade dans le Sud, positive, ne peut en informer davantage, suis allé aussi à Lourdes.

Bonjour toutes et tous

Heureux de vous retrouver, retour d'une longue balade dans le Sud, positive, ne peut en informer davantage, suis allé aussi à Lourdes.
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